Avis du vol entre Paris et London en classe Economique avec British Airways

Je vous retrouve pour un nouveau routing, que je vais appeler très classique par rapport dans le sens où ce n'est pas la première fois que je vous propose ces liaisons entre l'Europe et Hawaii.

Je ne rentre pas dans le détail…ce sont toujours les mêmes méthodes qui sont utilisées ici. J'ai déjà expliqué chacune d'entre elles en détail, et il ne s'agit que d'une compilation de l'ensemble.

1/ Pour obtenir un bon prix, le départ s'est fait d'Istanbul. Dans ce FR (qui pour le coup n'est pas lié à ce routing précis), j'expliquais comment j'avais lié les fins de mes routings aux débuts des suivants. Il y a donc eu un IST-LHR-CDG avec BA en préambule, que je ne rédigerais pas.

2/ Je fais un stop-over à Paris, et je peux ainsi repartir de chez moi, mais je downgrade volontairement le CDG-LHR en Economy pour ne pas avoir à payer la IZ (la "taxe Chirac" qui est importante en Business).

3/ Je favorise aux USA les liaisons de plus de 2000 miles pour gagner un maximum de Tier Points pour la requalification de mon statut chez oneworld.

4/ Enfin, j'abandonne le LHR-xxx, qui ne me ramenait ni à Paris où j'habite, ni à IST d'où j'ai commencé ces vols, cet open-jaw permettant de réduire significativement la YQ (la "taxe carburant" qui soit disant est calculée selon le coût effectif du kérozène). Je rajoute donc en supplément un LHR-CDG en billet prime pour un forfait de 21€ et 4000 miles chez BA.

Normalement ce niveau d'information est suffisant pour comprendre la construction du routing, sinon je vous invite à relire tous mes FRs précédents ^^ (ou comment faire de la vue, LOL).

Voici le routing :

C'est en fin d'après midi après une journée de travail (assez tranquille, soyons honnêtes, puisque nous sommes entre Noël et le Nouvel-An) que je rejoins l'aéroport.

J'ai déjà imprimé ma carte d'embarquement, je me dirige directement au sous-sol pour profiter de l'entrée automatique (depuis la date de ce vol, des barrières automatiques ont également été installées au RdC du 2AC)

Et je me dirige directement vers le salon CX, qui est désormais bien connu. Il est très calme à cette heure-ci.

C'est un des très bons salons de la plateforme, avec de l'espace, des buffets corrects et une jolie vue sur les pistes.

Comme BA n'offre plus de service à bord, nous faisons un vrai dîner avant d'embarquer : les entrées se trouvent au buffet et en plats chauds, un noodle bar proposent quelques spécialités.

Puis direction notre porte, où l'embarquement se fait par groupe, sachant que deux points d'accès distincts invitent les passagers des groupes respectifs.

C'est assez rare sur CDG, mais l'embarquement se fera par bus.

Cela permet quelques vues sur notre coucou du soir.

Normalement, si ça clignotte rouge, on ne devrait pas ouvrir, non ? C'est une question pour Esteban, notre spécialiste des portes :)

Nous sommes en sortie de secours (avantage officiel du statut) et nous n'avons personne au centre, comme très souvent (avantage non-officiel du statut ?)

Pour autant, nous serons logés à la même enseigne en ce qui concerne le service.

Consignes de sécurité et c'est parti pour un vol très court…

Rien à dire de particulier. Il se déroule sans encombre, et 40 minutes après le décollage, nous touchons le sol d'Heathrow : à peine le temps nécessaire pour que les PNC fassent leurs ventes.

Nous ne repartons que le lendemain, toujours du terminal 5. Nous prenons donc le seul hôtel connecté à celui-ci, qui ne mérite pas de bonus, tellement il est médiocre pour sa gamme (mais en situation de monopole sur le T5).

A bientôt pour les vrais vols ;)