Les plus perspicaces d'entre vous auront noté mon choix de photo de couverture : un bord d'aile. Le ton est donné, vous êtes avisés.
Je vous avais laissés à la sortie d'un vol Rabat-joie. J'aurais dû vous narrer le reste et bien d'autres choses encore mais voilà, je peine à récupérer mes fichiers sur un disque dur récalcitrant alors…
Entre deux histoires de Fès, vous apprécierez sans aucun doute quelques va-et-vient entre les monticules du sein de l’Europe. C’est de la navette, le genre de liaison pas dangereuse mais routinière à souhait. Paris – Milan avec Air France et morceau de retour avec sa copine Alitalia via la Suisse. Rajoutez un okapi à ce drôle de couple et ça donne un trio plus que douteux sur toute la ligne. Fidèle public, l'exercice manquera certes de style mais c'est par la répétition que l'on apprend le mieux et au programme du jour, il n'y a que du connu, écrit en un seul mot, comme je l'ai déjà dit. Amateurs de sauce okapi, rassurez-vous, point d'éclaboussures, mes prestations seront on ne peut plus propres, je ne suis pas du genre à voyager alité dans un avion long-courrier, ne vous en déplaise.
Si vous savez déjà tout sur les navettes transalpines, vous pourrez toujours mettre un Like avant de passer votre chemin, moi je reste.
Depuis quelques temps, c'est la ville préférée de certains rois de France ainsi que d'aiguiseurs de guillotines qui a l'honneur de m'accueillir dans le cadre d'activités professionnelles que je ne détaillerai point tant elles ont pour but ultime de mettre fin aux déplacements d'affaires en avion. Greta s'en délectera. Quelle dommage, une si chic jeune fille qui préfère déjà le train-train aux plaisirs du septième ciel sous des couettes d'apparence innocentes… sacrée Tintin, va!
En France, on n'a pas de pétrole mais plein d'idées pour le taxer.
Départ donc d'un Versailles en chantiers pour un doublet RER C/RER B afin de rejoindre les plaines du Mesnil Amelot. En cette saison torride, faut vraiment aimer les transpire en commun. J'en connais une qui devrait essayer.
La suite du voyage en RER B vers Roissy sera assez rapide mais surtout sans animations musicales ce qui est un point très positif ce soir, mon abonnement à Spotify remercie. Bon après, faut pas être trop exigeant non plus, la vie est un parcours semé d’embûches.
Promiscuité malsaine en gare du Nord. Tout le monde se rue sur une hypothétique place assise comme la vérole sur le bas clergé.
Instant libération, ouf! faisait une chaleur pas possible là-dedans, j'ai bien failli me déshabiller… Heureusement, les contrôleurs mettront fin à ce pèlerinage en nous attendant en haut de l'escalier mécanique. J'imagine la question à la jeune fille me précédant… Composte-t-elle?
Paris Vous Aime, un slogan à la mode qui défile sous nos yeux.
Faut le voir pour le croire.
Et puisque c'est en vogue, voici l'indispensable routing des amnésiques en culottes… courtes.
Enchainement de vols
- 1Paris - Milan Malpensa
- 2
- 3
Séquence voyeurisme… comme ça, pour la forme mais avec pudeur au royaume de la cuniculture.
indispensables préliminaires…
Tout a commencé en ligne, la veille.
Mais une fois arrivé dans ces espaces où sécurité copule avec chasteté, je n'ai plus qu'à m'adresser à cette borne tactile au dialogue facile.
Notez que pour les feux d'artifices, faites comme Greta : prenez le train! mais les plus sagaces remarqueront qu'on ne lui en veut pas forcément, les allumettes sont autorisées! D'ailleurs, je me demande si Marathon en était équipé lors de ses crochets en Suède…
Pour vos spasmes de plaisir…
Pas de voisin.e à mes côtés? Mon plaisir solitaire serait donc garanti par une certaine fidélité? On verra…
Je me demande qui pourrait bien vouloir recevoir sa carte d'embarquement par email après un passage sur cette borne. Encore de la masturbation mentale de la part de programmeurs qui ne prennent pas souvent l'avion… Quant au non merci, j'abandonne toute idée d'en comprendre la raison.
Allez, je vous dispense de la sortie d'ouate de cellulose que l'imprimante embarquée a bien voulu me délivrer et c'est avec la vue de ce mur vitré carminé que je m'achemine sans vergogne vers la palpation qui fera de moi un passager apte à s'envoyer en l'air.
La fouille corporelle n'a rien donné. En fait, je suis passé sans contact. Ah!… le côté aseptisé des transactions modernes ne cessera d'émoustiller ma curiosité! Je suis du bon côté, c'est ce qui compte.
Ceci dit, vous ne rechignerez pas devant cet incontournable jaillissement contrôlé, n'est-ce pas? Je vous rassure, c'est à la portée de quiconque : il suffit juste d'un peu de doigté. Avec ou sans verre, entraînez-vous à l'amour parisien, c'est gratuit. #h2okapi
30 minutes au boudoir
Naked… encore une proposition indécente? Faut pas s'étonner si ça me donne des idées.
Bon, trêve de préliminaires. Amis du genre, j'ai rendez-vous avec de bien jeunes pensionnaires qui attendent les fortunés clients.
Ces fraîches pupilles qui me font de l’œil, je les espère tendres et roses à souhait. C'est que je suis un peu en manque… Mais d'abord, un mot sur l'accueil : bienveillant comme il se doit, je suis même reconnu. Aucun doute, je suis un client fidèle, au moins ici, ça rassure. Et puis, sans transition, direction l'étage du bas. Et hop! Les rondelles sont là, à consommer sans modération.
Tiens, le Campari a disparu. Je suspecte une commande massive de mignonettes pour satisfaire les besoins primaires de FFLyerCDG en vol.
Je me rabattrai donc sur le Martini Rosso avec glaçons pour calmer ces chaleurs mondaines.
Et pour les amants de petites douceurs, le choix n'était pas quantitatif mais qualitatif ce soir-là.
Ma sélection sera donc des plus simples.
Instant confesse… J'ai même pris du rab!
Tout ceci est bien beau (et bon) mais l'heure tourne et je dois quitter les lieux, repu. Du coup, je vous fais une fleur et je vous mets la photo de l'escalier.
Puis, au moment de quitter le salon, je me fais interpeller : "Monsieur! Votre vol a quelques minutes de retard et l'embarquement n'a pas encore commencé. Vous pouvez rester encore parmi nous."
Service client impeccable, je dois l'admettre. Je squatterai donc au premier niveau afin d'adoucir l'expectative.
À propos de douceurs…
Le péché est permis en ces lieux… #jefaismescoursesausalon
Et je consomme local, goulûment.
mise en branle
Cette fois-ci, c'est la bonne. Andiamo!
Passerelle vitrée climatisée pour rafraîchir les ardeurs des voyeurs.
Vous êtes plutôt nez?
Ou plutôt queue?
Franchement, à cette heure-ci…
peu im-porte!
L'essentiel, c'est qu'on s'amuse avec joy! Instant Playstation.
L'accueil à bord est différent de tous les autres. Je reconnais la cheffe de cabine. Elle aussi a un doute sur ma personne. Bon sang mais c'est bien sûr! C'était à bord d'un autre Paris Milan (What else, comme dirait l'homme du lac de Côme).
Note pour Opoman, les sachets de "So Fresh" ne sont pas ce que tu crois…
Bon, tout le monde a fini d'embarquer, la porte de l'avion est fermée et nous sommes fin prêts pour le départ.
Roulage vers la 26R
Talonnés par Mogoy et ses disciples.
Cornichou sur le départ.
En position pour l'envol, c'est à nous.
l'envoi en l'air
Il aura fallu une vingtaine de secondes aux pilotes pour nous envoyer en l'air. Dans le genre rapide et efficace, on ne fait pas mieux.
Passons tout de suite l'étape "couches", et voyons un peu ce que ce ciel nous réserve ce soir.
Changement de cap.
Et le spectacle est à la hauteur de mes attentes.
Ce n'est pas depuis la vitre d'un train que j'aurai ce genre de vue.
le septième ciel
Les plaisirs les plus exquis seront cachés à notre vue. Je me demande ce qui peut bien se passer derrière ce rideau…
Parce que, je ne vous l'ai pas dit avant mais finalement, j'ai hérité d'un voisin. Tant qu'il n'envahit pas mon espace, tout va bien. J'espère juste qu'il ne cherchera pas à s'emparer de ma carotte.
Chacun la sienne, ok?
Ceci dit, pour trouver de la carotte dans ce sandwich, faut se lever de bonne heure. Encore une recette qui va finir en queue de poisson! Arsène aurait-il frappé?
Bon, au moins, dans mon gobelet, on sait ce qu'il y aura.
N'est-ce pas?
Santé (chaste)!
Chaste, l'eau cas pi? Allons, un peu de sérieux. Je vous ai habitués à mieux quand même.
Genre #jefaismescoursesausalon pour vous offrir un instant Ateon. Il a raison, ces gaufrettes sont délicieuses.
Vin de messe et ostie? Le moment "pieu(x)", c'est pour plus tard.
Après quelques minutes de mâchouillage vient le marathonage, super simple à exécuter. Le truc était bon. J'ai même eu un refill de rouge^^
Puis vient le café. Rassurez-vous, je ne tremperai pas mon biscuit salé dans le breuvage servi chaud.
C'est que j'ai certains principes auxquels je suis accroché.
Où qu'on est? Ah mince, j'ai pas pu faire coucou aux EAP-istes…
Dernières lueurs du jour au loin puis début de descente. Pour admirer les fameux monticules, c'est trop tard.
Je ne consulte la météo que lorsque je dois voyager en avion; une chanson résumera bien le climat à destination…
"j'ai demandé est-ce que plus tard, tout redevient solide
est-ce qu'on peut exister longtemps suspendus dans le vide
dans ce vertige continu, cet arrêt sur images…"
Nous aurons droit à quelques turbulences. Contournement de la tempête passée sur Milan ce soir-là obligé mais…
mais dans la nuit noire, il n'y pas grand chose à voir. L'avion nous précédant (un 320 IB) n'aura pas laissé suffisamment de certitudes dans la tête de notre commandant de bord.
La sanction arrive sous la forme d'une remise de gaz. Et hop! un autre tour de manège! Un retour sur les faits plus tard viendra confirmer tout cela.
Reprise de l'approche après inspection de la piste.
Puis atterrissage sans encombres.
Finalement arrivés. Pas de no-photos en bas, j'en profite. Le bus partira dans les secondes qui suivent. Je sortirai de l'avion bon dernier comme souvent non sans avoir discuté quelques secondes avec l'équipage.
Maigre avantage du paxbus, un moment de spotting avec vue sur une rareté. Deux avgeeks en feront les frais avec des sms tardifs mais la tentation était trop forte.
ce fut bref et intense, on recommence?
Bref, c'est vite dit. Intense, oui surtout avec une remise de gaz et quelques tours en l'air. En tous cas, ce fut le plus long de tous mes vols entre Paris et Milan. Toutefois, jouer la carte de la sécurité au détriment de la ponctualité ne me gêne nullement.
Je découvre le lendemain du vol que l'on peut télécharger une attestation de retard. On n’arrête pas le progrès!
Une fois landside…
je n'ai plus qu'à aller au bar, histoire de prendre un bon café avant d'affronter la route vers Milan. Désolé Greta mais je ne vais pas prendre le train ce soir non plus. C'est un sport de luxe ici aussi. Pour moins cher, du goudron en veux-tu en voilà!
Après l'effort, le réconfort.
J'en connais une qui ferait bien quelques emplettes dans le coin ^^ et elle n'est pas suédoise.
Voilà, c'est tout pour le moment. La suite au prochain numéro.
Comme d'habitude, merci de m'avoir lu. N'hésitez pas à commenter voir critiquer (mais pas trop non plus, faut pas exagérer). Si vous avez aimé, mettez un Like en dessous sinon vous en mettrez deux!
À bientôt pour de nouveaux envols.
✈
Merci Guillaume pour le partage.
Ravi de te relire après quelques mois d'absence :)
A bientôt !
Merci Stephan pour ta lecture et le commentaire. Je n'étais absent qu'en apparences mais je lis la prose des autres sans relâche et il y a beaucoup de belles plumes en ce moment!
De la fumée s'échappe du Duomo di Milano, en volutes blanches dans le ciel d'août : il Guglielmo nuovo est arrivé ! Et quel cru, avec ces jeux de mots et références au détour de chaque phrase. Et la cuniculture : bravo. De quoi faire tenir à Flight-Report son rang de précis de vocabulaire à l'usage des rustres et des malpolis.
Sans compter ce lounge-report qui rappelle, s'il en était besoin, que l'Okapi sait aussi être un prédateur des grands fonds. Mais c'est aussi un fameux photographe doublé d'un esthète : ce coucher de soleil et cette crevette peinte sur le moteur – il l'aurait voulu, mais ce hublot ne daignait s'ouvrir – en sont des témoins irrévocables. C'est d'ailleurs la présence de crustacés, car j'en crois l'étiquette, qui a dû aux yeux de l'Okapi donner à ce sandwich tubulaire toute sa saveur. Quant à cette communion en plein vol, qu'en dire ? Sanguis Christi, inebria me. Et la fumée s'échappe en blanches volutes du Duomo di Milano. Amen.
Grazie mille.
De la fumée s'échappe du Duomo di Milano, en volutes blanches dans le ciel d'août : il Guglielmo nuovo est arrivé ! Et quel cru, avec ces jeux de mots et références au détour de chaque phrase. Et la cuniculture : bravo. De quoi faire tenir à Flight-Report son rang de précis de vocabulaire à l'usage des rustres et des malpolis.
Sans compter ce lounge-report qui rappelle, s'il en était besoin, que l'Okapi sait aussi être un prédateur des grands fonds. Mais c'est aussi un fameux photographe doublé d'un esthète : ce coucher de soleil et cette crevette peinte sur le moteur qu'il n'a pas dégustée – il l'aurait voulu, mais ce hublot ne daignait s'ouvrir – en sont des témoins irrévocables. C'est d'ailleurs la présence de crustacés, car j'en crois l'étiquette, qui a dû aux yeux de l'Okapi donner à ce sandwich tubulaire toute sa saveur. Quant à cette communion en plein vol, qu'en dire ? Sanguis Christi, inebria me. Et la fumée s'échappe en blanches volutes du Duomo di Milano. Amen.
Grazie mille.
"De la fumée s'échappe du Duomo di Milano (...)" -> Le smog à Milan est une chose sérieuse avec laquelle on ne plaisante pas. Habemus Okapiss
"jeux de mots et références au détour de chaque phrase. Et la cuniculture : bravo." -> La nuit porte conseil ;-)
"C'est d'ailleurs la présence de crustacés, car j'en crois l'étiquette" -> J'ai voulu croire aux traces éventuelles et m'imaginer, si proche du rideau en animal qui Rugy de plaisir mais j'ai été enduit d'erreur^^
"Sanguis Christi, inebria me." -> Amen!
"Et la fumée s'échappe en blanches volutes (...)" -> Tout le monde le sait : https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_conspirationniste_des_chemtrails
Merci pour cette lecture diurne.
Merci Guillaume pour ce FR !
Une Navette Okapi toujours aussi plaisante à lire :)
A très vite !
Merci pour ta lecture de cette navette toujours aussi plaisante à écrire qu'à partager^^
À bientôt pour la suite!
Salut Guillaume, merci pour le partage de ce récit en mode navette et bon retour parmi nous côté auteur.
J'espère que tu arriveras à récupérer tes données sur ton disque dur.
C'est le retour des fameuses crevettes "sautées" !
A bord, tu as eu le même sandwich que moi lors de mon vol vers Florence, j'avais bien aimé mais je trouvais la quantité vraiment limite. Par contre je n'avais pas eu le droit au service de boissons chaudes et pourtant ce vol était censé être plus long.
J'ai suivi ce vol en direct mais j'aurais raté le tour de manège supplémentaire, j'espère que tu auras pu en profiter.
Jolie prise l'avion de Lumiwings !
A bientôt pour le retour de Fès
"J'espère que tu arriveras à récupérer tes données sur ton disque dur." -> Récupérer des crevettes au salon après des semaines d'absence était plus aisé.
"C'est le retour des fameuses crevettes "sautées" !" -> Malgré le thème choisi, ce n'est pas moi qui les ai sautées.^^
"A bord, tu as eu le même sandwich que moi lors de mon vol vers Florence (...)" -> D'où mon récent commentaire sur ton vol de pré-acheminement "des manœuvres florentines"
"J'ai suivi ce vol en direct (...)" -> tout comme le suivant, n'est-ce pas?
Merci pour ta lecture et le commentaire. À bientôt pour la suite de la poursuite.
Merci pour ce retour de la navette de la mort qui tue le statut Air chance :o)
Toujours en forme à ce que je vois !!! :o)
"Toujours en forme à ce que je vois !!! :o)" -> Ce doit être l'air malin qui conserve si bien. Pardon! L'air marin^^
Merci pour la lecture et ce commentaire... "brestois"!
Merci pour ce FR
Bord d'aile et hard... disk défectueux c'est ça l'explication du long silence
de l'h²okapi ?
Greta, pur produit média, ne serait que la réincarnation de Fifi Brindacier
(de son nom complet Fifilolotte Victuaille Cataplasme Tampon Fille d'Efraïm Brindacier) ?
En voilà des mystères(et pas 20, ni vains) !
" J'en connais une qui devrait essayer."
Anne, ma soeur Anne, ne vois-tu rien venir ?
" J'imagine la question à la jeune fille me précédant… Composte-t-elle?"
Toujours à faire le jacques, l'h²okapi
"Séquence voyeurisme… comme ça, pour la forme mais avec pudeur au royaume de la cuniculture."
Heureusement sur cette photo la décence n'a pas posé un lapin.
D'autre part l'h²okapi est doté d'une telle langue que cela doit lui faciliter
la pratique de la cuniculture.
"je n'ai plus qu'à m'adresser à cette borne tactile au dialogue facile."
T'as de beaux oeufs tu sais
"il suffit juste d'un peu de doigté"
Pas si facile de faire de la Badoit à partir de, au fait à partir de quoi,
c'est fait de quoi ce jaillissement contrôlé ?
Passage au salon, toujours mieux qu'à tabac
Même si ces crevettes baignant dans leur jus...
"les sachets de "So Fresh" ne sont pas ce que tu crois…"
Habituellement on s'en tamponne avec
"J'espère juste qu'il ne cherchera pas à s'emparer de ma carotte."
ça justifierait de lui faire le coup du lapin
"Arsène aurait-il frappé?"
C'est le plus grand des voleurs mais j'ignorais qu'il faisait
aussi dans la carotte
"Bon, au moins, dans mon gobelet, on sait ce qu'il y aura."
De quoi s'arsouiller bien sur
L'h²okapi s'est longuement envoyé en l'air au final
"voici un truc tout aussi utile que le कामसूत्र enfin, j'espère. "
Honni soit qui Malpensa !
A bientôt
de l'h²okapi ?
Silence ici mais pas ailleurs, tu sais où je commente avec parcimonie^^
Pippi Calzelunghe en Italie :-D La rouquine coquine. Les couettes sont à la mode en Scandinavie?
Toujours à faire le jacques, l'h²okapi
Tu as le don pour repérer mes coquilles!
Tu sous-estimes les miracles?
Un vin blanc du Zaïre!
Excellent, comme chaque autre ligne!
Amen et merci pour ce commentaire^^
Merci pour ce FR Guillaume !
Un plaisir de te relire après quelques mois sans publications !
Les crevettes au salon sont toujours présentes et la prestation à bord est tout à fait satisfaisante pour ce genre de vols. Mon avis sur les gaufrettes est tout de même totalement différent de toi, je n'en suis vraiment pas fan ^^
A bientôt !
Pourtant, avec une bière, elles passent bien. Sinon, chez Franprix en bas de chez moi, il y a les mêmes aux goûts différents. Je vais les twitter tôt ou tard.
Merci pour ta lecture et pour ton commentaire.
Merci Guillaume pour ce FR très charnel !
La routine propre aux navettes doit être comme celle qui rythme parfois la vie de couple, difficile à casser. Mais que c’est plaisant quand le ou les protagonistes usent et abusent de lascivité et lubricité
Un joli dimanche soir de juillet, qui plus est jour de fête nationale est particulièrement enclin à s’envoyer en l’air. Mais de la à intégrer le fameux high miles club…
”au royaume de la cuniculture” : Il l’a placé ! Et en plus dans un récit en mode chaud lapin
”Il aura fallu une vingtaine de secondes aux pilotes pour nous envoyer en l’air” : Messieurs étaient précoces, heureusement qu’ils vous ont fait languir de désir avec la remise de gaz et le retard au départ qui à permis de prolonger de quelques minutes ce merveilleux séjour dans l’antre du paradis terrestre (peut-être même marin si on prend en compte les crevettes)
”Instant confesse” : Ce FR est bourré de pêchés (dont certains sont capitaux) et le #jefaismescoursesausalon n’arrange rien
Aussi pimentés qu’elles soient, je suis un peu déçu par la taille ridicule des gaufrettes poivre/pavot alors que le paquet paraissait bien plus gros. Mais comme dans la vraie vie, le paquet est trompeur. Ainsi va l’orgueil et le malheur des illusions d’optiques
A bientôt
"Merci Guillaume pour ce FR très charnel ! " -> C'est la première fois que j'utilise ce thème.
"Mais que c’est plaisant quand le ou les protagonistes usent et abusent de lascivité et lubricité" -> L'okapi aurait pu afficher un carré blanc...
"Mais de la à intégrer le fameux high miles club…" -> Cloud 9 me suffira-t-il?
"Un joli dimanche soir de juillet, qui plus est jour de fête nationale est particulièrement enclin à s’envoyer en l’air." -> à un mois près, les feux d'artifices jeune homme!
"”au royaume de la cuniculture” : Il l’a placé ! Et en plus dans un récit en mode chaud lapin " -> Je ne ponds pas vite (les œufs de lapin de pâques) mais quand je m'applique un peu, j'y arrive assez bien, n'est-ce pas? Merci Twitter...
"Messieurs étaient précoces, heureusement qu’ils vous ont fait languir de désir avec la remise de gaz (...)" -> Pas sûr qu'une remise de gaz soit l'ingrédient idéal pour casser les routines^^
"”Instant confesse” : Ce FR est bourré de pêchés (dont certains sont capitaux) et le #jefaismescoursesausalon n’arrange rien" -> L'okapi aggrave son cas. Il lui faudra un avocat? Ça tombe bien, ça passe super avec des crevettes!
"Aussi pimentés qu’elles soient, je suis un peu déçu par la taille ridicule des (...)" -> Allons, allons! Les piments les plus forts sont souvent les plus petits. Un peu de concentration ne fait pas de mal...
"Mais comme dans la vraie vie, le paquet est trompeur. Ainsi va l’orgueil et le malheur des illusions d’optiques " -> Mes photos de couvertures sont là pour en témoigner!
Merci H(comme Heineken) pour ta lecture et le commentaire.
Merci Guillaume pour ce FR. Sacrement polisson.
« Le ton est donné » belle entame.
Diantre, l’okapi se dévergonde !
« Composte-t-elle? » son ticket de métro ? C’est bien douloureux pour l’objet de toute convoitise, y compris des contrôleurs. A moins que tu ne l’ait confondu avec Greta et ses pratiques horticoles. Ton récit est par trop ambiguë.
« incontournable jaillissement contrôlé » l’Okapi a la santé !
« Talonnés par Mogoy et ses disciples. » inquiet ?
Tu as eu ta double dose de rouge, bromuré ? Apparemment non !
Hello Quentin!
Un vrai (animal) sauvage!!!
L'eau, c'est la base.
Non, pas du tout. D'ailleurs, j'essaiera la tortuga prochainement.
Merci pour ta lecture et le commentaire. À bientôt!
Merci Guillaume pour ce FR.
AH ces disques durs défectueux , mais heureusement cette navette a été sauvée, pour le plus grand plaisir des lecteurs.
A bientôt
Et bien d'autres encore (!), pour mon plus grand plaisir à moizossi.
Merci Valérie pour la lecture et le commentaire.
Ah ça faisait un moment que je n'avais pas croisé la navette de l'Okapi, celle-ci n'a pas perdu de son piquant et c'est tant mieux! On trouve des crevettes du salon aux réacteurs, on ne vous a pas carotter dans cette histoire.
Vol turbulent à l'arrivée, comme bien souvent à Milan. Dommage que le train soit aussi onéreux, j'ai eu l'occasion de le prendre mais lorsque l'on fait souvent la navette on l'évite forcément.
Merci du FR et à bientôt!
Merci pour la lecture et le commentaire. Une navette toujours aussi piquante, ça réveille l'essence. Les crevettes étant l'un de mes carburants favoris, il n'en a pas fallu beaucoup plus pour me convaincre de publier ce récit. Dans le match qui oppose le train à l'avion, c'est une fois de plus le bon sens qui l'a emporté.
À bientôt pour d'autres envols!