Avis du vol entre Brussels et Mulhouse / Bâle en classe Economique avec Brussels Airlines

Bonjour à toutes et tous.

Après un très bon week end à Bruxelles il est malheureusement temps de rentrer en Alsace.
Je retourne donc à BRU en train avec mon billet week-end depuis Grand centraal.
La gare est souterraine, c’est étonnant, mais elle permet de relier facilement des villes à potentiel touristique en train, ce que je note pour un autre week-end.

 
Je n’en avais pas parlé lors du vol aller mais SN propose une possibilité d’upgrade, il va se soi que je suis allée y faire un tour. Mais je serai vite stoppée dans mon élan lorsque j’en ai vu les prix.
Au minima 205€ pour un vol d’une heure, à ce prix je préfère repartir ailleurs en week-end (les prix étaient similaires sur les deux vols). 

Un petit rappel du routing

Départ à 10 h 00 de mon hôtel après avoir bouclé avec grande difficulté la Bretzel valise et les quelques paires de chaussures achetées en attendant l’ouverture des musées la veille, on se donne les excuses que l’on peut.

Même pas 3 minutes de marche pour Bruxelles centraal, le prochain train pour l’aéroport est à 10:14 , la fréquence est bonne.

Billet acheté sur l’application SNCB pour un AR en première classe à 17€.

Aéroport de Bruxelles-National

15 minutes plus tard me voilà au sous-sol de Zaventem.

Quelques escalators pour rejoindre le hall des départs au niveau 3.

Si vous n’avez pas de sachet pour vos liquides, il vous en coûtera 1€ (à ZRH ils sont gratuits, c’est là que je fais mon stock^^).

Un coup d’œil au FIDS, je suis très en avance.

Je me dirige vers une borne pour imprimer mon BP et vérifier le plan cabine.

J’ai choisi le siège 18A la veille avec un triplet de libre.
Je constate que j’ai 2 voisins. 

Le 21A est libre avec juste un siège occupé au couloir, je tente donc l’option du siège ingrat qui ne sera pas choisi.

Le BP imprimé je prends la direction du PIF

Celui ci est de taille suffisante, on passe le portique automatique.

A droite la fast lane qui est vide et au fond les nobody dont je fais partie.
Présentation du BP avec scan , je ne comprends pas ce contrôle puisqu’il a déjà fallu accéder à cette zone avec le scan de celui ci, cela fait double emploi.

J’accède à un stand, je sors prestement mes affaires et grommelle contre ma valise que je n’arrive plus à refermer (#tropdechaussures)

Je passe sans biper : combat basket / talon, les baskets gagnent la rapidité des contrôles. 

Mon vol est annoncé en porte A, comme en Angleterre celles ci ne sont délivrées qu’au moment de l’embarquement.  

British Airways, Etihad, freebird, Aéroflot, Bruxelles Airlines et Turkich Airlines

Direction Gate A avec passage au temple sacré.

J’ai le temps d’un test Campari.

Là c’est plus tentant.

La revoilà.

Au test des voitures, devinez laquelle je préfère ?

Pour les amateurs de maquettes mais elles sont plus chères qu’à bord.

Je déambule un peu dans l’aérogare.
Puis le trouve une place près des portes vitrées
Devant un Alitalia. 

La une du jour.

L’oiseau du jour.

Ma porte est annoncée, direction le sous sol pour l’A37.

Mais avec la chance d’avoir une vue sur le smurf et le Rackham.

En porte une agente passe en demandant quels sont les passagers pour Bâle, je me signale et écope d’une mise en soute de ma valise qui au final finira quand même dans les racks de l’appareil.

Sans appel des pax prioritaires l’embarquement est lancé : direction le bus.

Le Rackham est en train de quitter sa porte, je profite d’être à l’extérieur pour en avoir enfin une photo présentable.

Finalement je monte à bord du bus.

Et là nous prenons en fait la direction du bâtiment des vols hors Schengen.

Le bus nous dépose au pied de la passerelle, nous accédons à celle ci via un escalier.
La rotation précédente de notre vol était Manchester.  

La passerelle aveugle.

L’instant frite (ah non porte) pour le fétichiste.  

A BORD DU VOL SN2705

La cabine en 3 * 3.

Arrivée à mon siège en fond de cale ;

Le pas y est très bon. 

La moquette propre.

Par contre l’assise du siège est en train de se faire la malle (sur la rangée entière d’ailleurs).

La notice de sécurité qui elle restera à bord.

Un voisin.

Les PNC auront beaucoup d’humour, en voici une qui arrive et qui s’exclame : « Allons y pour un jeu de tétris ! »

Boarding is complete
Et voilà le siège central est resté libre. 

Nous repoussons.

Et au fond je suis heureuse, voici la livrée Magritte (j’aurais donc eu mes deux préférés). 

Nous prenons le chemin des pistes.

Avec ce « cimetières des B737max 8 de Tui ».

#girlpower le CDB est une femme. Elle demande au PNC de s’asseoir pour un décollage imminent.

Et nous voilà après un roulage un peu long à prendre de l’altitude.

Au revoir BRU

Le vol sera d’une heure avec des turbulences à l’arrivée en raison d’une mauvaise météo à Bâle.

Le BOB.

Si le magazine vous inspire, relisez mon FR du vol précédent.

Annonce pour le BOB : pas de trolley, si on veut quelque chose il faut se rendre au galley.
Mais comme j’avais beaucoup de temps à l’aéroport, j’ai déjà mon déjeuner avec un sandwich à l’artichaut et roquette.  

L’aéroport de LUX.

Les documents de ce jour.

Les Vosges.

Mulhouse.

Mais c’est l’Euroairport !

On continue en Suisse.
Puis demi-tour pour un atterrissage par le Sud, ce qui est assez rare. 

Jet aviation et Amac aerospace.

euroairport

Croisement et un atterrissage en douceur.

EAP est finalement sous le soleil, me voilà à la maison.

La danette parfum chocolat belge.

Pas de passerelle mais un bus ! Et oui alors que l’on est à proximité d ‘une porte.

Profitons en pour quelques photos 

Quelques mètres en bus juste pour passer de l’autre côté du bâtiment.
Avec un passage provisoire en raison des travaux. 

Direction le sous-sol pour la PAF.
 Ca bouchonne.
Un petit sourire serait quand même plus agréable qu’un agent scotché sur son portable.

Rénovation du hall des livraisons bagages.

Et me voilà dehors en direction du F4, puis 15 minutes de voiture (et 29€ au passage pour le parking).  

Merci pour la lecture et les commentaires.

On se retrouve en juin pour un départ d’EAP pour CDG, première étape de mon périple ouzbèke. 

bonus