Le survivant
Chers tous, voici un récit, faisant initialement partie d'une série de 4 vols entre Lyon et Paris. Mais là, je voyageais pour un projet professionnel et ce dernier demandait beaucoup de flexibilité.
Pourtant, les conditions parfaites étaient là, avec une promo à 40€ A/S bienvenue, avec en plus les fameux CRJ-700 Hop! exploités par Cityjet, ce qui m'aurait valu une double nouvelle entrée au flight log. Hélas, il m'a fallut être bien plus flexible que ne le permet l'aviation d'aujourd'hui, et seul un survivant sortit victorieux des épreuves.
Le routing initial aurait du être :
Enchainement de vols
- 112/01/2019 – AF 7414 |ORY 13:30 → LYS 14:35| Hop! by Cityjet | CRJ-700
- 213/01/2019 – AF 7415 |LYS 18:50 → ORY 20:00| Hop! by Cityjet | CRJ-700
- 319/01/2019 – AF 7640 |CDG 13:30 → LYS 14:35| Hop! | A321
- 420/01/2019 – AF 7417 |LYS 11:10 → ORY 12:15| Hop! | A319
QUE choisir : Mini ou FLEX ?
Lorsque l'on envisage de prendre l'avion mais qu'une certaine flexibilité s'impose, que choisir ?
Le tarif Flex saute aux yeux de prime abord, avec une possibilité de changer de vol et d'obtenir de surcroît un remboursement intégral en cas d'annulation. Mais il faut payer le prix fort et je ne dispose pas de prise en charge spécifique pour mes trajets.
Si on peut se passer de l'avion, l'autre solution consiste à tenter le tout pour le tout avec le tarif Mini, non remboursable par définition. Mais en cas d'annulation, tout n'est pas perdu car la loi impose le remboursement des taxes en cas d'annulation.
Hors dans mon cas, en profitant des promos à 40€ A/S, j’obtenais ainsi la décomposition des tarifs suivante :
- AF 7414 + AF 7415 : 57,52 + 22,00 HT = 79,52 €
- AF 7640 : 23,00 + 15,95 HT = 39,95 €
- AF 7417 : 23,00 + 15,95 HT = 39,95 €
Soit 103,52 € de taxes et 53,90€ HT.
En annulant 3 vols sur 4 (AF 7414/15 +AF 7417), je me voyais remboursé de 80,52 € et perdais donc 37,95 €.
Au total, j'ai donc déboursé pour l'unique vol AF 7640 39,95 € + les 37,95 € non remboursables, soit 77,90 €.
Bien mieux que les 120€ minimum par A/S pour le tarif flex !
En remplacement des 3 vols, les solutions de replis furent les suivantes :
Enchainement de vols
- 112/01/2019 – ICN 5789 + TER + TGV|Paris Aust. 20:50 → 11:28 Lyon Part Dieu
- 214/01/2019 – Flixbus |Lyon Perrache 07:15 → ORY 12:50 Paris-Bercy
- 320/01/2019 – IC 5756 |Lyon Perrache 16:26 → Paris-Bercy 21:05
> Le 12, je suis finalement pris à Paris et je dois être à 13h impérativement le 13 à Lyon. Pour joindre l'utile à l'agréable, je profiterai du train de nuit Paris-Briançon avec changement à Chorges puis Valence. Après déduction d'un code avantage : j'obtiens un tarif de 37€
> Le 14, une promo exceptionnelle de Flixbus à 0,99€ me convainc de rentrer par la route, ce qui n'est pas désagréable quand c'est occasionnel.
> Enfin, le 20, je rentrerai à Paris via l'IC 100% éco avec un tarif de 25€, le tout en 1e classe.
Au total : je débourserai 62,99 € en frais supplémentaires.
Résultat des courses : 77,90 + 62,99 = 140,89 €
Si j'avais opté pour 4 billets en tarif flex, cela m'aurait coûté évidemment bien plus cher, et ce malgré un remboursement ou une modification intégrales, sans oublier qu'avec une modification d'un dossier, un réajustement tarifaire se serait imposé.
Moralité : même si l'on n'est pas sûr de voyager, à prix le plus bas, le tarif Mini reste de loin le plus avantageux, d'autant plus qu'une annulation peut s'effectuer directement et très facilement depuis le site internet d'Air France (chez d'autres concurrentes low-cost, la procédure d'annulation est beaucoup plus fastidieuse et il semble difficile de se faire rembourser les taxes).
Le Rail-Report
En guise de bonus et à défaut de CRJ-700 Cityjet / Hop, quelques photos du substitut ferroviaire. Cela commence avec le train de nuit Paris-Briançon. Un détour assez important certes, mais quand on aime le train de nuit, il ne faut pas se priver !

Une petite couchette en seconde classe et ziou ! C'est parti pour une belle nuit reposante, bercé par le souple roulis et le doux chant de l'air contre la voiture corail. Le voyage à l'état pur ! Une belle pause agréable entre 2 journées bien actives.

Le réveil matinal est un peu raide à Chorges, mais quel spectacle que d'admirer l'aurore derrière le massif de l'Ubaye.

Tout au fond, on peut distinguer la Petite Séolane (2854m) et la Grande Séolane (2909m).

Le 14, ce sera un tout autre engin roulant qui me ramènera à Paris.

Puis le 20, retour dans une confortable voiture corail 1e classe via la ligne impériale.


place au Flight-report ! (enfin !)
Je devine votre pensée, il est temps de passer au vif du sujet et de prendre de la hauteur !
Ce voyage commencera par… le RER B (encore un train !). Un trajet moins confortable que le train de nuit ! Toutefois celui-ci se déroulera sans accrocs et sans trop de monde.

Au terme d'un voyage sans histoires, j'arrive comme il se doit au pied de l'imposant FIDS.

Rien à signaler me concernant ! Perfect !

En sortant de la gare, je fais une halte au bandit manchot, histoire de récupérer mon passe droit.


Mais… Qu'est-ce que ce gloubi-goulba de carte d'embarquement ? Déjà qu'on est passé au format ticket de caisse, v'là maintenant l'encre qui fout l'camp !

Heureusement, le BP ne me sert que de souvenir. L'appli AF sera suffisante pour m'ouvrir la voie. C'est donc avec sérénité que je m'engage sur le trottoir roulant d'un train de sénateur, tenant bien ma droite pour laisser le champ libre à la foule pressée.
C'est que je me suis levé fort tôt et qu'il va falloir tenir éveillé jusqu'à tard le soir. De toute façon, mon gros n'avion n'est pas encore prêt à prendre la poudre d'escampette.

En parlant d'avions, voilà des silhouettes familières, justifiant un départ si tôt !

Je suis d'ailleurs entre gens initiés !

Non, je ne vais pas à Munich ! Je peux rester tortue sans devenir lièvre.

C'est que du calme et de la sérénité, il va en falloir pour attendre au PIF. #FBexplorer

Pas trop de monde à vue de nez, mais avec seulement 4 postes d'inspection ouverts, dont un dédié en priorité à la file N°1, ça fait peu pour fluidifier le trafic. Heureusement, ça ne durera pas plus de 15min.
un cadeau-surprise !
Bon, quand je disais que j'avais le temps, en fait non, je suis quand même attendu ! Un ange gardien m'a laissé un petit quelque-chose en ces lieux et il convient de ne pas arriver trop tard pour en profiter !

Pas de doutes, l'oiseau s'est déjà envolé. Il faut dire que lui s'est réveillé bien plus tôt que moi !

Je le cherche pourtant là haut, grâce à une de ses techniques qu'il m'a savamment apprise, mais le reflet magique me confirme que je suis bien seul. Tant mieux pour lui, car un retard sur un vol aussi matinal aurait été une très mauvaise plaisanterie.

Bon déjà, la piste continue ici. Au passage, j'admire la jetée et sa verrière, toujours aussi belles.

Vous savez, l'instinct, ça ne s'explique pas. C'est ainsi qu'en arrivant devant ce panneau, je stoppe net les machines. Je ne sais pas pourquoi mais je subodore que mon bienfaiteur est passé par là. En avant mon cher Watson ! Descendons dans les sous-sols mystérieux…

réveil au salon, sur les traces de l'okapi
Bingo, j'ai trouvé ! Et brusquement la mémoire me revient !
Grâce à cet outil merveilleux qu'est le meetup de Flight-Report, Okapi m'informa précédemment qu'il serait à Roissy quasiment en même temps que moi. Sauf que lui, ce sera un départ pour Milan à 6h50 et que je serai le bienvenu au salon. Touché par cette invitation, mais peu motivé à me lever 1h plus tôt face à cette lourde journée en perspective, Okapi sort son instrument magique.
Tel une sirène, il va réussir à convaincre les cerbères du salon d'accueillir son invité après son départ. Ce ne fut pas une mince affaire mais ce génie à encore réussi !
Je me présente donc à l'entrée du salon en présentant mon BP et leur informant que je suis l'invité d'Okapi, parti chez les transalpins bien plus tôt que moi. La cerbère approuve de la tête en me disant que j'étais attendu et également le bienvenu !
Me voilà, grâce à la générosité du maître des eaux (que je remercie grandement au passage) autorisé à dévaler le bien connu escalier en spirale.

Me voici dans la place prêt à me sustenter ! J'ai zappé exprès le petit déjeuner au réveil, et mon ventre crie famine.

Un haie d'honneur de verres destinés aux "boissons pour les grands" attire les yeux. Mais en cette heure, pas question de passer outre le liquide orangé et pulpeux bien maintenu au frais.

Pis tant qu'à faire, autant se réchauffer avec un bon chocolat chaud !

Voici ma sélection du matin. Ce serait un sacrilège de ne pas prendre de la compote !

Une fois la pitance terminé, un peu de lecture pour digérer ne fera pas de mal, même si les nouvelles sont un peu indigestes.

en route ! (ou presque)
L'heure c'est l'heure. Et si je ne veux pas troquer la sérénité au profit de la précipitation, il va falloir faire surface.

Une fois émergé, je suis accueilli par les premières lueurs du jour. Vivement qu'on soit là-haut !

J'aime ce paradoxe d'être serein et posé, comme cette aurore naissante, tandis que plus bas dans la passerelle, les passagers défilent sans discontinuer, pressés d'arriver à bon port et à la bonne heure.

Air France et Air Europa au contact.

Bon, réveillons-nous ! Ce n'est pas ici que ça se passe mais là-dessous !

Un embarquement en F21-23 signifie que nous devrons prendre un paxbus. Chouette !

Quelques détails sur notre vol sont affichés en porte.

Puis nous voilà (presque) partis !

Je commence à bien connaître la technique, en embarquant environ 5min après le début de l'embarquement afin d'être le dernier à grimper à bord du premier bus, ce qui me permettra d'en sortir dans les tous premiers, au nez et à la barbe des skypriority (désolé pour eux, mais c'est l'inconvénient du paxbus pour les pax prioritaires).

Nous saluons quelques "collègues" 320 en chemin. J'espère pour eux qu'ils sont mieux réveillés que moi.

Tiens, du Joon. Profitons-en, la fin est proche.

La question cruciale du moment est : va-t-on en face ou au 2E ?

La réponse ne se fait guère attendre !

Nous irons donc du côté du siège d'Air France. Les frères Dalton sont en face ! Joe-A318 n'est pas là, probablement en train de rager sur un pauvre caillou du pénitancier sous la bonne garde du fidèle Rantanplan.
Mais nous voyons au moins les 3 autres de droite à gauche : William-A319, Jack-A320 et le grand Averell-A321 qui, décidément, trouve toujours le moyen de se distinguer !


On passe non loin du siège d'Air France.

enfin à bord !
Voilà notre oiseau du jour, l'A321 F-GTAU réceptionné en février 2009.

Instant nez.

Instant fuselage !

Chic ! On va avoir du dégivrage ! C'est qu'il fait bien frisquet ce matin.

D'ailleurs, l'agent de passage bloque temporairement les passagers dans le bus une fois que l'escalier est totalement rempli, afin d'éviter une attente dehors dans le froid.

Avant de grimper dans l'obscurité, petit demi-tour pour photographier le voisin !

Instant porte.

Je vous laisse découvrir la cabine. Sans surprise, il s'agit d'une cabine de seconde génération, qui plus est équipée de l'aménagement S&B : l'avantage de partir de CDG au lieu d'Orly.

Quelques examens d'usage, en commençant par le pas, qui me sied.

Instant patère.

Instant bibi ^^

pour les amateurs ! ;)



Petit coup d'oeil rapide au magazine, avec le Kenya à l'honneur.

Revue en détail de la flotte !

Enfin, terminons par le meilleur avec la vue depuis le 33A. Comme souvent, aucun autre siège avec hublot n'était sélectionnable et la chance a voulu que l'OLCI me décernât un siège du bon côté ! Car sur un PAR-LYS, vous n'êtes pas sans savoir (depuis le temps) que les plus beaux paysages sont à gauche !

En attendant, il va falloir aller dire bonjour à la dégivreuse !


Allons donc nous alléger de toute cette glace avant que notre A320 ne grelotte trop.

Un CRJ venu des balkans est visible au T2A.

Derrière, des dérives venant de contrées plus lointaines (ou pas), posent fièrement.

Y aura-t-il mon quadri-semeur de nuages préféré ? A première vue, non…

Rôô ! Mais j'ai cru voir un 'ros 343 TN ?

Mais oui ! J'ai bien vu un 'ros 343 TN ! (Heureusement, l'illustre Sylvester de notre ami Michel n'est pas dans le coin).

Côté A340, je suis servi avec en prime un 343 Air Madagascar.

A la douche !
En attendant, direction le jet massant !

Ce ne sera que mon deuxième vol avec dégivrage. Autant dire que je ne suis pas (encore) coutumier du fait.

Ce 777 sort justement de sa thalasso et nous cède gentiment sa place.

Un 777 est lui en plein nettoyage.

Tandis que derrière nous, un 777 DL attends son tour lui aussi.

A321 - "Bonjour docteur !"

Dégivreuse - "Faites Aaaaaaaaaaaaaaah… Bon c'est bon, tout va bien. Passons à la suite !"

A321 - "hihi, faites vite ! ça chatouille hihihi !"

Dégivreuse - "Rassurez-vous, c'est terminé ! Au suivant !

Décollage !
Tandis que nous nous dirigeons désormais d'un pas lent mais certain vers la piste 08 gauche, j'aperçois ce petit ERJ Belavia.

Au loin, l'éternel Concorde pose fièrement devant un des derniers A340-200 encore en état de vol, celui de l'escadron Estérel, tandis qu'un A320 domine le tout en s'envolant vers de nouveaux horizons.

Focus sur Air Tahiti Nui, en entier cette fois ! (enfin presque)

Un ERJ-170 Hop! semble éviter la case dégivrage. Le petit malin a en effet pris sa douche de l'autre côté.

Tu es malin, mais nous passerons avant toi ! Na !

Au fait, il est quelle heure avec tout ça ?
Bon, ça devrait être rattrapable.

Allez départ !


Avec un peu de son, c'est encore mieux !
En-dessous, le T2G.


Puis il est temps de virer sud-sud-est pour rejoindre notre route.

L'arrivée de nuages élevés derrière lesquels se cache le soleil créée de splendides couleurs !

Puis nous passons dans la couche. En cabine, les PNC se préparent au service tandis que les consignes lumineuses nous demandent de rester assis attachés, les turbulences étant nombreuses et modérées.

Une fois les nuages passés, le calme revient comme par magie.

Voici ma (deuxième) sélection du matin, avec l'inévitable madeleine !

Un peu plus tard, en arrivant par le travers de Mâcon, les nuages se déchirent et laissent place au paysage gelé ! Magnifique depuis les airs !

Cela ne rend pas bien en photo, mais en réalité, le blanc du paysage était très marqué.


"Window view"

Voici en-dessous Paray-le-Monial. Nous sommes bien plus à l'ouest de la route habituelle.

Le Val de Saône est totalement dissimulé sous un épais brouillard givrant, tandis que les hautes terres des Monts du Mâconnais percent la couche.

Le village de La Clayette et son Grand Étang.

Nous progressons encore plus au-dessus des Monts du Mâconnais, gelés, voire même légèrement enneigés.


Puis nous arrivons rapidement au-dessus du bassin lyonnais.

Tiens, tiens ! Au loin, voilà mon copain Mont-Blanc qui apparaît ! On distingue bien l'Aiguille Verte juste à gauche, ainsi que l'Aiguille du Midi.


En-dessous, voici Villefranche-sur-Saône.

Au loin, les Alpes se distinguent de mieux en mieux.

Sacrebleu ! Voilà Méphisto qui se réveille encore ! (voir ici le reportage exclusif de Mogoy).

Heureusement, le Mont-Blanc veille au grain !

Instant winglet & Mont-Blanc.

givrage sévère : l'annonce spéciale du cdb
Soudain, la voix du CDB retenti dans le public adress : "Mesdames et messieurs, en raison du fort givrage et du brouillard présent à Lyon, nous vous demandons d'éteindre tous vos appareils électroniques, afin de ne pas perturber notre radar."
Diantre ! Le brouillard givrant ne l'est pas qu'à moitié !
Les PNC s'empresseront de vérifier que les passagers ont appliqué à la lettre la consigne du commandant. Mon voisin rechignera à couper sa tablette, mais le PNC restera ferme en lui expliquant ce que signifiait cette mesure de précaution : vu qu'il est impossible de vérifier si tous les appareils sont en mode avion et afin d'être certain qu'aucune perturbation ne puisse être commise par un appareil à bord, le CDB demande que tous ceux-ci soient éteints. Fort heureusement, mon appareil photo n'est pas concerné !
En attendant, nous survolons déjà Lyon par l'ouest. Coup de chance, la moitié la plus intéressante de la ville sort du brouillard !

Voici la confluence Saône-Rhône.


Après avoir dépassé Lyon, virage à gauche pour rejoindre la piste 35 droite.

On distingue bien la LGV contournant Lyon, sautant de collines en collines via de grands viaducs.

Au loin, les Monts du Lyonnais.

Flaps two !

En courte finale, la couche n'est plus bien loin !

Et nous voici partis pour une approche en AUTOLAND, un mode utilisé uniquement lorsque la visibilité est extrêmement faible, proche des minimas. Le pilote automatique va alors lui même effectuer l'arrondi et ne sera déconnecté qu'au moment du freinage. Vous pourrez-voir dans la vidéo que le sol n'apparaît que quelques instants avant le poser.
le fog lyonnais !
Bienvenue à Lyon !

On ne va pas se mentir, le spotting va être difficile dans ces conditions !

"Ce n'était pas un brouillard à couper au couteau, mais à coup de hache, on n'aurait pas pu !" (Fernand Raynaud).

Allons nous nous perdre dans cette purée de pois ? Non ! Voilà des ombres familières !

Coucou petit frère !

C'est vrai qu'on est grand nous !

Vu qu'il n'y a toujours pas le feu au lac, je savoure l'instant danette depuis mon siège !

Notre A321 a visiblement faim !

Heureusement, la nourrice vient à son secours !

A321 - "Vous m'en mettrez 3732 litres ! Hips !"

Une fois la voie dégagée, je prends congé de mon A321.

Serait-je bon dernier ? Oui, comme d'habitude !

Le voisin est un A320 de GetJet Airlines, une compagnie lituanienne spécialisée dans les vols charters et ACMI. Il vient donner un petit coup de main à Hop!

Au final, le retard ne sera que d'une dizaine de minutes à l'arrivée, ce qui n'est pas gênant.
Je rejoindrais ensuite Lyon via l'inévitable Rhône Express.
Ainsi se conclue cet opus !
Un grand merci à Okapi pour l'invitation au salon !
Et un grand merci également pour votre lecture ! :)
A très bientôt !
Merci pour cette intro ferroviaire en mode PLM. Il est bien loin le temps de notre première rencontre pour célébrer cette ligne Paris-Lyon en 787 mais comme chaque vol est unique, les souvenirs restent vifs. Il y a toujours matière à disserter et tu n'es pas avare de mots, je me devais donc te rendre la tâche un peu plus facile. Merci d'avoir zappé le petit-déjeuner car il ne m'a pas été facile de convaincre les dragons de te laisser le champ libre et je ne te dirai pas comment je m'y suis pris mais l'amulette a fonctionné encore une fois. L'ami Guilhem a eu un peu moins de chance, dommage.
Je t'ai laissé de la compote, ceci dit, je déplore l'absence totale d'un instant #jefaismescoursesausalon. Tssss!!!
Le reste est un exquis mélange de belles photos et de lettres savamment enchevêtrées pour produire un texte agréable à lire, comme toujours. Merci beaucoup pour ce partage qui fait l'éloge de la fonction meet-up qui m'a permis de commencer et terminer ce week-end en excellente compagnie. Tiens, faudra que je publie de la navette alors...
Merci beaucoup Guillaume !
Arf ! C'était le bon temps. Et malheureusement, l'A350 ne connaîtra pas la joie des petites lignes, dixit la DG d'AF qui y voit trop de contraintes par rapport à ce que ça apporte.
Manque d'expérience encore ! ;)
Je l'attends impatiemment !
A très vite !
Merci pour ce FR !
Un simple vol Paris Lyon rendu très agréable à lire grâce à de magnifiques photos :)
L’approche à Lyon est impressionnante, j’imagine que les EMB145 et autres ATR de Hop ont du se dérouter par ce temps ?
A bientôt !
Merci Nicolas !
En effet, pas mal de vols annulés au départ et à l'arrivée à Lyon, principalement en ATR et ERJ.
Jusqu'au posé, j'ai cru à la remise de gaz mais malheureusement non ^^
A bientôt !
Merci Cyrille pour ce FR.
Pas mal le calcul entre les billets flex et les billets mini en cas de date incertaine. A cogiter.
Un vol par grand froid, et un atterrissage plus complexe.
A bientôt
Merci Valérie ! :)
A bientôt !
Merci Cyrille pour le partage de ce FR fort complet ! Le lever de soleil est magnifique !
À bientôt !
Merci Stephan !
A bientôt :)
Merci pour ton FR,
Super reportage comprenant la procédure de dégivrage a CDG, très beau levé du soleil dans la gare :)
Très intéressant ton vidéo de l'atterrissage en autoland
Super cadeau de la part d' Okapi pour le salon :)
A bientôt
Merci Renni !
A bientôt ! :)
Merci pour ce FR
Très instructif au niveau du montage des billets
Très complet, comme d'habitude, au niveau des transports, quels qu'ils soient
Bravo à l'Okapi pour son sens de la persuasion et pour ainsi vous avoir donné l'accès au salon
A bord de très belles photos tout au long du vol
A bientôt
Merci Gilbert !
A bientôt :)