Avis du vol entre Paris et Toulon en classe Economique avec Air France

Voici le dernier tronçon de ce voyage à Singapour, avec le retour dans le sud pour passer le week-end de Pâques en famille.

Le vol pour TLN s'effectuera le lendemain de mon arrivée de SIN, pour récupérer ma fille qui arrivera le matin même.

Le routing

Le terminal 2G

Je prends le RER de bonne heure pour retrouver mes parents et ma fille qui sont arrivés de SIN à 6h00. Une fois la pitchoune récupérée, directement le bucolique terminal 2G.

C'est par là.

Le FIDS n'a toujours pas été remis. Vous savez quand il sera à nouveau opérationnel ?

Les tapis ne sont toujours pas remis en état de marche non plus (cf. le FR aller).

Direction donc le T2G.

Le trajet est vraiment rapide, nous voici devant le terminal.

Il fait très aéroport de province. Les comptoirs sont déserts…

Sauf côté SP.

Les agents AF près des bornes éditent nos BP et nous passons le PIF. Celui-ci est désert et sera expédié en quelques minutes.

Arrivée à l'étage dans le hall d'embarquement.

Direction le salon. Le rétroéclairage du pourtour du logo est du plus bel effet.

Le salon du 2G

L'accueil est sympathique (j'avais la flegme de flouter les visages alors j'ai pris une photo floue directement…)

Notre vol est bien indiqué. Nous avons une petite heure à passer dans ce salon que je trouve agréable.

Le salon n'est pas trop fréquenté à cette heure-ci. Il est vraiment lumineux avec ces nombreuses fenêtres vitrées.

J'adore cette vue sur les avions !

Nous nous trouvons une place sur les banquettes.

Je n'ai pas pris de petit-déjeuner, allons voir ce qu'AF nous propose aujourd'hui.
Le buffet est plutôt correctement fourni, avec céréales, viennoiseries, fruits et autres.

Comme le disait Montagnard dans son dernier FR, les salons d'aéroport sont les seuls endroits au monde où il est socialement acceptable de boire de l'alcool à toute heure. En voici un exemple avec cette dame qui customise son jus d'orange avec de la vodka. (sauf que ça ne devait pas être le premier, elle renversera son verre en en mettant partout !!!)

A cette heure matinale je reste sobre. Ma sélection.

Pour ma fille qui arrive de SIN, en revanche c'est l'heure du déjeuner et elle se régalera d'une soupe de nouilles…

Même sur les banquettes il y a toujours une prise USB accessible, bien pratique.

L'attente n'est pas désagréable avec le ballet des avions au décollage et à l'atterrissage.
Ici la faune du 2G (WX, LG et A5).

Un mérou EK qui vient d'atterrir. Il a une livrée spéciale Expo2020.

Un 773 AF.

L'offre de presse est bien fournie.

Je trouve l'enclos à Ultimate, vide.

Le salon restera calme pendant notre court séjour et aura même tendance à se vider vers 10h30.

L'embarquement

C'est l'heure à laquelle nous quittons le salon pour rejoindre notre porte d'embarquement. Celui-ci est censé débuter dans quelques minutes mais la porte n'est toujours pas indiquée.

En consultant les FIDS, je comprends que nous serons dans le hall d'embarquement de droite.

Ce sera l'un des deux Embraer stationnés au bout de la jetée.

L'ambiance y est très "blue"… Ce sera donc celui-ci (en cours de débarquement)…

Ou celui-là.

Ce n'est qu'à 10h40 que la porte d'embarquement est affiché.

Ce sera finalement celui de  gauche.

Une PNC sort de la cabine et s'essaie à un fuselage shot.

L'embarquement est lancé à 10h50, avec en premier lieu une famille avec enfants en bas âge. Puis c'est à nous.

C'est sympa les embarquements en faux contact, car on n'a pas les inconvénients du paxbus tout en profitant d'une ambiance bien particulière. Ici le décollage du 777.

Notre oiseau du jour a été baptisé (je ne savais pas que c'était le cas dans la flotte A5).

Accueil souriant en porte.

Comme la PNC, je fais mon fuselage shot.

le flight report

Arrivée dans cette cabine bien connue.

Bien qu'elle ne fasse pas très moderne malgré son jeune âge (la PNC m'indiquera que l'appareil n'a que quelques mois), la cabine est très confortable. Dommage, je n'ai pas eu de place au 1er rang, le pas y est impérial !

Mais même en rangée "standard", le pas est bien meilleur que sur un A319.

Ma fille vous présente les consignes de sécurité (un clin d'oeil et une pensée pour vous, M. Jack)

Les bagages sont en cours de chargement. Ils sont nombreux sur ce vol, signe qu'il y a malgré tout de nombreuses connexions à CDG. (la ligne TLN-CDG est tombée à 1 vol par jour au lieu de 2 au motif qu'il n'y avait pas assez de connexions avec le LC…)

Je prends une photo de l'avant de la cabine et là je vois que le CDB et la CC me voient. Oups !

Nous repoussons à 11h15, avec 15 minutes de retard.

Durant le taxi, nous passons devant une ferme à A380… Certes un 777 (avec l'ancien logo d'ailleurs) s'est inscruté sur la photo.

Le cousin ricain en A330.

787 Aeromexio et China Southern (toujours Skyteam pour l'instant…)

Et bien sûr la flotte des gros porteurs AF qui viennent d'arriver.

ST règne en maître ici. SV en force avec deux 777.

Un peu plus de diversité (encore que…) avec l'A380 d'EK que j'ai vu à l'atterrissage tout à l'heure.

CX.

Moins courant, un A340 d'Air Madagascar, coincé entre trois Américains.

Au loin les appareils AF/JN stationnés à la maintenance.

Take-off !

Nous échangeons nos places avec ma fille, qui veut profiter un peu du hublot (je ne peux pas lui en vouloir).

Les réflexes de flight-reporteuse en herbe ne tardent pas à venir…

Pendant ce temps je feuillète le magazine pris au salon. Je tombe sur cet article.

Ah, Changi !

Tiens une pub ?!!

Le service a entre temps débuté.

Lorsque la CC arrivera à nous, nous commencerons à discuter. Elle m'a vu prendre des photos et me demande si je fais un reportage. Je lui parle de FR, qu'elle connaît. La discussion est sympathique, d'autant plus qu'elle me reconnaît, bien que je fréquente plutôt la ligne vers ORY. Nous parlons des avions et je lui fais part de ma préférence pour les Embraer, que je trouve plus confortables que les Airbus ou les Bombardier. C'est ainsi que j'apprends que notre oiseau du jour est pratiquement neuf !

Ma sélection, classique. Ayant vu que j'aimais bien les biscuits salés au pavot, j'en gagne un deuxième ;-)

Santé !

Ma fille testera le biscuit au pavot trempé dans le chocolat chaud… Elle trouvera ça délicieux mais je passerai mon tour sur ce coup-là…

Malgré le squattage de hublot par ma fille, je parviens quand même à profiter un peu de la vue extérieure. Il reste encore un peu de neige par endroits.

Focus sur le winglet, bien prononcé.

Durant une bonne partie du vol, un gamin intenable s'amusera à cavaler dans l'allée centrale, sans un mot de ses parents. Lassant à la longue…

Après trois quart d'heure de vol, nous arrivons en vue de la côté méditerranéenne.

Nous arrivons directement sur la côte varoise, avec les îles des Embiez au loin.

La rade de Toulon.

De plus près.

Il fait beau !

La presqu'île de Giens et Porquerolles en arrière-plan.

Les approches sur TLN sont toujours magnifiques.

Cet après-midi je pense que ce sera plage…

Atterrissage tranquille. On passe devant la tour de contrôle, qui nous rappelle que TLN est avant tout une base militaire (aéronavale pour être précis).

Le coin des jets privés, qui commencent à fleurir avec le retour des beaux jours.

Le terminal de TLN.

Instant Danette à l'arrêt de l'appareil. Il n'est jamais trop tard pour prendre connaissance des consignes de sécurité mon bon Monsieur…

Débarquement à pied et un dernier regard à "Cpt. François Debost".

Petite marche au soleil pour rejoindre le terminal.

Et direction le parking où nous attend l'atéon-mobile…

… que j'aurai la désagréable surprise de retrouver avec un malotru littéralement collé aux fesses ! (plus de peur que de mal heureusement)

A bientôt pour une prochaine escapade plus nordique ;-)