Après quelques semaines d’absences me voilà de retour pour un vol vers… Fès ! Cette fois-ci, ce sont pour des vacances avant de reprendre les cours le 30 septembre 2019 à Polito.
J'ai pas mal de travail en ce moment alors je tiens à m'excuser pour ce manque de présence sur Flight Report, j'essaye quand même de lire les vôtres même si je ne commente pas forcément. Je vais essayer de publier un récit chaque samedi jusqu'à la fin de l'année, mais je ne vous promets rien.
Trêve de bavardages ! Voici l'itinéraire prévu pour ce vol, il s'agit d'un aller-retour tout simple. J'ai également inclus le transport pour me rendre au dîner annuel de Flight Report pour les membres Gold vu que les dates sont vraiment proches.
Enchainement de vols
- 1FR5369 - Economique - Turin → Fes - Boeing 737-800
- 2FR5368 - Economique - Fes → Turin - Boeing 737-800
- 3FLIXBUS - Turin → Lyon Perrache
- 4AF1779 - Economique - Lyon → Bologne - Embraer 170
Le vol en vidéo
Je vous propose une vidéo avec ce Flight Report, n'hésitez pas à la regarder ou l'ajouter à votre liste de vidéos à regarder plus tard. Je tiens également à vous informer que j'ai sorti plusieurs vidéos sur le Milano Linate Show (pour le moment juste sur le jour de la répétition générale), donc si vous voulez rien manquer, vous savez quoi faire !
Réservation
J'effectue ma réservation directement sur le site de Ryanair fin avril 2019. Les horaires sont parfaits, je pourrais éventuellement déjeuner au salon avant de partir et pour le retour je serais rentré chez moi avant le déjeuner.
Les prix sont parfaits, un vol A/R vers le Maroc pour 65,70€ c'est très bien.

Je poursuis ma réservation et je choisis ma franchise de bagage cabine. La meilleure option pour ce voyage est la formule à 6€ qui inclus la priorité et les "2 bagages en cabine", ça me permet de partir tranquillement sans avoir besoin d'envoyer un bagage en soute.
Selon moi, les 2 bagages en cabine sont plutôt un bagage cabine et un accessoire.
Et la dernière option à 10€ n'est pas du tout intéressante car elle oblige de déposer son bagage en cabine au comptoir d'enregistrement et n'inclus pas la priorité.

Ryanair me propose plein d'autres options pour mon voyage comme le choix du siège. Mais je préfère tenter ma chance à la roulette de l'attribution aléatoire.

Ryanair me propose également d'acheter le passage prioritaire aux contrôles de sûreté (notez l'erreur de traduction au passage) à Turin pour 4,59€ au lieu de 5€ sur place. Mais c'est aussi inclus avec l'accès au salon à Turin.

Enregistrement en Ligne
Comme d'habitude, j'utilise la technique qui consiste à attendre le dernier moment pour s'enregistrer qui permet d'avoir plus de chances d'obtenir un siège hublot ou couloir. En effet, les sièges du milieu sont attribués en priorité, ce qui fait qu'il y a rapidement moins de sièges milieu disponibles et donc plus de chance d'obtenir un siège hublot ou couloir.
J'effectue donc l'enregistrement en ligne la veille et l'attribution aléatoire me donne le siège 4A, ce qui est parfait, je suis plutôt chanceux ! Et dire que ce siège est vendu au prix de 13€, je ne l'aurais jamais pris à ce prix.

En route pour l'aéroport de Turin-Caselle
Pour me rendre à l'aéroport, je choisis d'emprunter le bus et pour se faire il faut que je me rende à la gare Porta Susa qui se trouve être l'arrêt le plus proche de chez moi à Turin.
J'arrive donc à pieds à l'arrêt de bus côté de la gare Porta Susa, je trouve l'arrêt de bus assez facilement par contre impossible de trouver la billetterie (il y a une majoration si vous achetez le ticket à bord). Je décide de faire le tour des lieux, je tombe d'abord sur la caisse du parking, il y a un panneau pour trouver la billetterie de la compagnie de bus qui l'indique sur la droite. Alors je continue sur la droite et puis je décide de voir à l'intérieur de la gare.
Enfin bref, après avoir tourné pendant 15 minutes en vain, je décide d'interroger un agent de je ne sais quelle compagnie qui m'indiquera la direction de la billetterie.
A ma grande surprise, c'est cette petite maisonnette qui extrêmement mal indiquée, vous ne pensez pas ? Je n'aurais jamais deviné tout seul que c'était ici…

Je prends donc un ticket aller-retour sur la borne, il est vendu au prix de 12€ contre 6,50€ l'aller-simple sur la borne ou 7,50€ si le ticket est acheté à bord. Je trouve que ce tarif est hors de prix pour un transport en commun sur une quinzaine de kilomètres et même si c'est pour aller dans un aéroport et qu'il y a une concession à payer pour exploiter la ligne.
Selon moi, il est impensable de demander plus de 4€ (comme à Séville par exemple) pour ce trajet en aller simple. Enfin bref, je n'ai pas vraiment le choix pour me rendre à l'aéroport, je dois prendre un ticket.

Le ticket édité par la machine est valable pendant 60 jours, ce que je trouve très bien.

Ensuite, je me rends à l'arrêt n°13 qui est dédié à la ligne qui se rend à l'aéroport. L'arrêt est bien placé sur Google Maps et l'itinéraire ainsi que les horaires du bus sont disponibles, ce qui n'est pas le cas dans toutes les villes.
Dans le fond vous avez le gratte-ciel Intesa Sanpaolo qui vaut le surnom auto-attribué par les Turinois de la New York italienne… Pas sûr que les Milanais approuvent ce surnom, n'est-ce pas Okapi ?

Le bus arrive avec une dizaine de minutes de retard, la conductrice ne descendra pas pour se renseigner si les passagers souhaitent déposer un bagage dans la soute du bus.

L'accueil à bord est quelconque, il faut passer son billet sur la borne qui utilise la technologie bip de la région du Piémont. Le bus est à moitié plein, je trouverais facilement une place et qui plus est sans voisin.
Il y a aussi un Wi-Fi sécurisé en 2,4 GHz et 5 GHz, mais il ne fonctionne pas car une fois connecté, il n'y a pas d'accès à internet. Même si je n'en avais pas besoin sur ce trajet, je ne peux que constater que la promesse d'un Wi-Fi à bord n'est pas tenue.

Le bus nous dépose à côté des arrivées après 37 minutes de trajet, ça a été plutôt long compte tenu de la distance parcourue.

Aéroport de Turin-Caselle
A priori si les arrivées sont ici, les départs sont de l'autre côté ? Non !

Une fois arrivé de l'autre côté, il y a une flèche qui vous renvoie aux arrivées, ce n'est pas bien indiqué. Enfin bref, je reviens sur mes pas, décidément en Italie les indications ce n'est pas ça puisque je me perds tout le temps.

Je me suis trompé avec le cadre rouge, il s'agit du vol qui arrive de Fès qui es encadré. Les départs sont sur l'écran de droite.
Une fois à l'intérieur, je consulte le Flight Information Display System (FIDS) sans obtenir d'information supplémentaires sur mon vol.

Je poursuis mon chemin, j'emprunte l'escalator sur la droite pour accéder à l'étage des départs.

J'aime beaucoup ces comptoirs organisés de manière triangulaire, contrairement aux comptoirs classiques placés en ligne devant un mur. Je trouve que cela privilégie le contact humain et procure un sentiment de liberté qui est plus enclin pour bien démarrer un voyage, en particulier en avion.

L'aéroport en lui-même ressemble un peu à un hangar, comme la plupart des aéroports italiens de manière générale, mais c'est plutôt un joli hangar.

Une célèbre voiture italienne !

L'aéroport dispose d'une file Fast Track vendue au prix de 5€ ou inclus dans l'entrée salon facturée 25€ qui doit pouvoir s'acheter sur une borne.

J'ai essayé de passer sur un des portiques sur la droite mais l'accès m'avait été refusé, je pensais à un problème technique mais en regardant mes photos, j'ai compris la raison de ce problème.
Les passagers de Ryanair et de Wizz Air doivent impérativement emprunter un des portiques sur la gauche. Si j'ai bien compris, c'est pour contrôler les gabarits en cas de doute.

Je passe le contrôle de sûreté sans avoir trop attendu, c'était tout à fait classique.
Ensuite, il faut passer à travers du Duty Free, c'est un peu comme à Toulouse, il y a une grande allée et différents rayons sur le côté mais ici c'est nettement plus petit.

Le salon Piemonte Lounge est situé à gauche mais je n'irais pas cette fois. Ma porte n'est pas encore annoncée et je repère un vol de Volotea pour Naples qui est souvent opéré en Boeing 717 en porte 15 alors je vais faire un tour là-bas.

Oh !! La belle livrée Star Alliance ! Il s'agit d'un Embraer 195 d'Air Dolomiti immatriculé I-ADJV, il a une dizaine d'années et vient d'arriver de Francfort.

Puis, après quelques minutes de marche, j'arrive près de la porte 15. Malheureusement, aujourd'hui c'est un Airbus A319 qui effectue la liaison et il n'est pas au contact en plus.

Je me trouve une place au calme près de la porte d'embarquement 18 qui me permet de voir les avions sur le taxiway, décoller et atterrir.

Tiens une étrange bête ! Un Dassault Mystère-Falcon, un modèle d'avion d'affaires assez fréquent mais qui m'intriguera toujours autant.

Lors de mon Flight Report où je vous emmené avec moi à Florence, j'avais trouvé le système de boîtes de recharge à CDG malin. Et bien voici ce qu'il se passe quand on laisse les passagers partir avec les clés sans consigner son téléphone. Toutes les clés ont disparues !

Je retourne vers la partie centrale du terminal, ici aussi il y a plein de places pour s'asseoir.

J'en profite pour aller aux toilettes avant d'embarquer dans l'avion, à bord ça sera plus compliqué.

Les toilettes sont extrêmement propres, rien à redire sur ce point.

Test #h2okapi validé.

La porte d'embarquement vient d'être annoncée, ce sera la porte d'embarquement n°2 pour moi.

Je me dirige vers la porte d'embarquement dès l'annonce car il y a un contrôle de passeports à passer avant puisque c'est un vol international et même si je puis dire intercontinental.

Les policiers ne sont pas encore arrivés alors je décide d'attendre ici, il y a pas mal de places assises disponibles également.

Finalement, les policiers arriveront très rapidement, ils avaient l'air plutôt sympathiques et je passerai le contrôle sans avoir attendu. De l'autre côté, il y a également des sièges qui ont l'air assez vieux mais sont en fait très confortables.

Un Boeing 737-500 de Blue Air, une compagnie que je testerai prochainement.

Sinon sur le tarmac il y a un collègue de Ryanair et des jets privés.

La zone internationale se rempli peu à peu et l'embarquement commence à se préparer.

Une saucisse

Embarquement
L'embarquement est annoncé alors que l'avion n'est pas encore là. Il y a 2 files pour l'embarquement : une prioritaire et l'autre non, la séparation est effectuée grâce un panneau de l'aéroport. J'aime assez bien, ça évite d'avoir un panneau différent pour chaque compagnie. Mais les autres passagers ne semblent pas comprendre parce que la file non prioritaire est vide et beaucoup se verront renvoyer dans cette file.

Les comptoirs d'embarquement sont de la même forme que ceux de l'enregistrement, décidément j'aime beaucoup cet aéroport.

Le pré-embarquement continue par la passerelle avant de descendre sur le tarmac.

Notre avion arrive justement de Fès, le voici !

Pour une raison inconnue, les passagers se sont arrêtés ici, nous resterons quelques minutes de plus ici avant d'avancer un peu plus.

La situation s'est débloquée et nous pouvons avancer sur le tarmac jusqu'à être bloqués à nouveau un peu plus loin en attendant que l'avion soit prêt à nous accueillir, les passagers du vol précédent étant toujours en train de débarquer.

Tiens, un collègue avec une livrée spéciale que je n'ai pas encore identifié par manque de temps.

Et voici notre avion, un Boeing 737-800 Next Generation, immatriculé EI-GDY, il est âgé d'un peu moins de 2 ans. Il est donc équipé de la dernière cabine de Ryanair et il me semble avoir déjà voyagé à bord au départ de Toulouse il y a quelques temps.

Photo de profil

De l'autre côté, nous avons le collègue vu précédemment avec la livrée spéciale et un Embraer 195 de KLM qui va repartir pour Amsterdam.

Fuselage shot avec un Airbus A320 d'Alitalia qui se pose dans l'arrière plan, une jolie prise !

Comme je l'ai dit plus tôt, l'avion est relativement récent, la cabine l'est aussi puisque c'est la cabine Boeing Sky Interior que je trouve très agréable visuellement et qui offre notamment plus d'espace, tant au niveau du pas, que des coffres à bagages grâce à un meilleur arrangement.

Je dois avoir un statut Ultimate chez Ryanair parce que j'ai encore un siège avec non pas un mais 2 hublots, qui plus est à l'avant de la cabine et en plus je n'aurais pas de voisin au milieu pendant le vol.

L'Embraer de KLM Cityhooper a été repoussé avant de repartir vers Amsterdam pendant que notre embarquement est toujours en cours.

Vous aviez déjà remarqué le pictogramme sur le mur en entrant dans la cabine ?

"Les personnes portants des robes doivent tenir la main des personnes de petites tailles."

Le pas est bon grâce à des sièges plus fins par rapport aux anciens modèles et l’absence de voisin me permet de profiter pleinement de l'espace sous le siège de devant.

Un voisin nous rejoint en porte, il s'agit d'un Airbus A320 d'Alitalia et de bientôt 10 ans qui vient de Rome, il est immatriculé EI-EIA.

Le terminal a une forme assez sympathique surtout après avoir testé plusieurs aéroports italiens, j'aime assez celui de Turin.

L'embarquement étant terminé, l'escalier ventral est rentré par la cheffe de cabine. Au passage, la passerelle dans le fond ne semble pas être bien placée.

Expérience de vol
Les annonces habituelles et les démonstrations de sécurité sont effectuées mais je ne me souviens plus dans quelles langues entre l'arabe, le français, l'anglais et l'italien. Le temps de vol annoncé est de 2h25, et bien c'est beaucoup plus que ce que je pensais.
Après un roulage assez court, nous nous élançons sur la piste 36 à 12h17.

Quelques photos du décollage




Rapidement après le décollage, nous nous retrouvons au-dessus des nuages et nous pouvons apercevoir les montages du Piémont.

Nuages

Ryanair a bien travaillé sa copie, le Buy on Board (BoB) a l'air vraiment appétissant. Mais je n'aime pas particulièrement la nourriture d'avion et j'ai déjà mangé donc je passe mon tour une fois de plus.


Quelques photos de la suite de la montée avec vues sur les Alpes




Le remplissage sur ce vol n'est pas terrible, en particulier à l'avant de la cabine. Le taux de remplissage doit être de 20 ou 30%. Par contre, à l'aller le vol était très certainement complet ou presque puisque beaucoup de marocains expatriés repartent dans leur pays d'expatriation en début d'année scolaire.

Je profite que mon voisin assis au 4C soit parti aux toilettes pour voir la vue de l'autre coté, la vue sur les Alpes est plutôt belle.

Instant F-OITN

Moi qui me faisait une joie d'enfin apercevoir la côté marocaine, quelle ne fut pas ma déception quand je me suis rendu compte que c'était en fait Valence et qu'il restait donc encore une heure de vol, ce vol me semble interminable.



Le temps s'éternise à bord et il n'y a pas grand choses à faire pour s'occuper, heureusement que j'ai téléchargé des choses à voir sur Netflix pour passer le temps.
Puis comme nous approchons réellement des côtes marocaines, alors je profite des quelques minutes de répit qui nous reste avant l'atterrissage pour aller aux toilettes, la propreté ne m'ayant pas particulièrement marqué, ça devait ni être particulièrement propre ni particulièrement sale.

Comme toujours dans les avions de Ryanair, nous avons le droit à la fameuse fiche qui est bourrée de faute en français (j'imagine que c'est la même chose dans les autres langues). Sur une flotte de 455 Boeing 737-800 Next Generation, cela ne le fait vraiment pas.

Nous allons bientôt survoler la côte marocaine puisque je peux voir Melila, une ville espagnole autonome, sur notre gauche.

Quelques photos de l'approche sur Fès





Nous atterrissons à 13h31 à l'aéroport de Fès-Saïss après 2 heures et 13 minutes de vol.



Quelques instants après l'atterrissage, l'escalier ventral est manipulé pour permettre aux passagers de descendre.


Aéroport de Fès-Saïss
Fuselage shot

L'avion qui nous a emmené jusqu'ici.

Dans le fond, un appareil qui vient de Nîmes.

En me présentant au contrôle des passeports je choisis une file avec 2 guichets d'ouverts et pratiquement que des familles en me disant que ça avancera plus vite puisqu'ils passent en groupe. Sauf que j'ai vraiment pas eu de chances, un policier est parti en pause et puis comme la fiche de débarquement a été supprimée, le passage est plus lent.
Effectivement, la fiche de débarquement a été supprimée mais les policiers m'ont posé les mêmes questions que sur la fiche que j'avais déjà préparé avant le voyage. La policière qui s'est occupée de moi, m'a demandé d'où je venais, elle ne semblait pas comprendre que je ne venais pas de Nîmes, j'ai du lui montrer mes billets d'avion. Et puis j'ai du donner une adresse au Maroc également.
Enfin bref, si vous êtes pas juste un touriste lambda, vous allez perdre un maximum de temps. Au final, j'aurais perdu 40 minutes entre l'attente et le contrôle.

Puis, je passe devant les ceintures à bagages où évidemment la livraison est terminée depuis longtemps. Mais le nombre de bagages circulants encore est impressionnant après 40 minutes d'attente au contrôle des passeports.

Enfin, je me rends à mon hôtel avec un taxi qui m'attendait à l'aéroport.

Le dîner du soir, au restaurant libanais que j'aime beaucoup à Fès. Il est pas bien Okapi ce restaurant ?


Merci Guilhem pour le partage !
Même avec des cabines rétrofitées et plus jolies, RYR reste la compagnie européenne qui occupe la dernière place de celles que je prendrai un jour. Après le tarif est bon et la compagnie fait le job mais je reste contre leurs pratiques sociales.
A bientôt !
Merci Stéphane pour le commentaire, et félicitations d'avance pour tes 10 000 commentaires, ça du te prendre un temps fou !
Je comprends tes appréhensions avec Ryanair, mais d'un autre côté tu as essentiellement des liaisons point à point en général non desservies directement par les autres compagnies, des avions relativement modernes, une maintenance simplifiée grâce à un appareil unique, un service basique, une compagnie plutôt écologique (remplissage et routes directes).
Tous les vols que j'effectue avec Ryanair, ce sont des vols que je n'aurais pas pu faire sinon.
Pour les pratiques sociales, c'est un sujet bien compliqué. J'ai cru comprendre que les équipages marocains n'étaient pas concernés puisque à ma connaissance les équipages marocains n'ont jamais fait de grève.
A bientôt
Merci Guilhem pour cette ligne originale.
Rien à dire sur le produit mais bien joué pour l'enregistrement tardif, carton plein !
Merci Mogoy pour le commentaire.
Merci pour ce report Guilhem.
Intéressant de voir cette nouvelle cabine Ryanair et ces FR donnent une bonne idée sur les compagnies low cost pour des personnes comme moi ;)
Merci Toca59 pour votre commentaire !
Je suis ravi de voir que vous avez pu découvrir la nouvelle cabine de Ryanair grâce à mon Flight Report. Si vous souhaitez vous faire une idée plus générale sur les compagnies à bas coût, je vous invite à consulter d'autres récits car l'expérience était plutôt bonne ici et ce n'est pas toujours le cas.
A bientôt
Salut Guilem
J'ai exactement la même vision que Esteban concernant Rayanair, qui n'est pas prête de me voir à bord de ses avions...
Merci pour ce FR !
Salut Hervé, merci pour le commentaire.
Je comprends votre vision sur Ryanair, ceci dit je fais une dizaine de vols avec eux par ans et ce sont tous des vols que je n'aurais pas pu faire sinon.
A bientôt
Parmi toutes les options de Ryanair, celle du siège est pour moi la plus importante. En faisant tout payer, Ryanair ne doit pas avoir beaucoup de passager qui ne paye aucune option.
Ryanair permet quand même de faire en direct et à de bons prix des liaisons qui seraient impossible autrement.
Bien joué pour la place au check in.
Merci pour ce Fr!
Salut Momolemomo et merci pour votre commentaire.
J'en suis convaincu également, maintenant je voyage souvent assez souvent seul et donc il m'arrive parfois de n'en prendre aucune. De temps en temps je prends un siège hublot quand je ne l'ai pas obtenu à la roulette ou la priorité et les 2 bagages en cabine pour un séjour plus long qu'un week-end.
Oui et ce n'est pas négligeable !
A bientôt