Avis du vol entre Bari et Zurich en classe Economique avec SWISS

Bonjour à toutes et tous.

Voilà ce court Séjour est passé trop vite.
Après un abus de bonne chère et de bon vin, il est temps de rentrer. 

Un Bonus sur Matera en fin de FR.
Rappel du routing  

L'aéroport de Bari (code AITA : BRI • code OACI : LIBD), encore appelé aéroport Bari-Palese Macchie ou aéroport Karol Wojtyła

Il me semble l’avoir déjà mentionné mais j’ai une conduite assez « sportive » ou « nerveuse », et ce qui sur des petites routes fut pour moi un plaisir dans les Pouilles fut une torture pour l’une de mes amies assise à l’arrière durant l’aller-retour à Matera.
Le jour du départ, nous nous retrouvons après le petit déjeuner à la voiture qui nous attend bien esseulée.

Cependant nous avons perdu un peu de temps : il est 8 :30, nous avons 1 heures 20 de route et devons rendre la voiture à 9 :30.

Vous avez vite compris le problème, mon amie n’étant pas compatible avec mon style de prise de virage et n’ayant pas pris d’option de conducteur additionnel il va falloir 1) mettre le turbo en route, 2) Prier pour que son estomac tienne le coupe.
D’ailleurs elle me ferra une remarque forte à propos : pourquoi dans les voitures de location il n’y a pas de vomitobag comme dans les avions ?

Bref je vous passe les détails, j’ai un peu dépassé les vitesses autorisées, mais en Italie, c’est plutôt un style très couru ; nous n’avons pas eu de temps pour faire le plein et avons suivi les indications du GPS qui nous a fait passer par des chemins totalement incohérents. 

Il est 9 :45 lorsque je pile devant le loueur, celui ci arrive prestement, je lui explique que le plein n’est pas fait, que la voiture est en parfait état et que nous sommes en retard ;
Andiamo et arrivederci pas le temps de lui raconter nos vacances.

L’aéroport est d’architecture moderne.

Le chemin n’est pas très long jusqu’à l’aérogare.
L’accès pour une gare ferroviaire visiblement moderne, la ligne permet de rejoindre la gare de Bari. 

Ne perdons pas de temps et accédons à l’intérieur.

Mes amies ont une valise à enregistrer, c’est donc la direction du check in que nous prenons, celui ci est à l’étage.

La décoration extérieure à l’air agréable.

Ahh une très belle file est déjà bien constituée.

Ayant déjà fait mon check in la veille sur mon téléphone, je leur laisse ma valise pour une visite des toilettes.
Le FIDS 

Celles-ci sont propres.

Puis comme à l’aller nous nous séparons, afin que je puisse effectuer mon repérage de la partie Airside.

C’est la première fois que je constate un passage du PIF de cette manière : à gauche : un accès fast track (normal), au centre un accès pour les legacy, à droite un accès pour les low cost.
Pour finalement se retrouver dans le même hall. 

Il me faudra 10 minutes pour passer sans contrôle supplémentaire, le plus long est de sortir son PC, sa ceinture, et de ranger ses affaires après.
Il y a pas mal de LCC à BRI. 

L’avantage de Lufhtansa, c’est que c’est comme le Port-Salut, c’est marqué dessus : un A319 et au loin un Ryanair en 737 (facile aussi, ils n’ont qu’un seul type d’appareil).

Une vue de l’arrière du PIF.

Cette boutique me fait de l’œil.

Enfin surtout çà.

Il y a plusieurs zones de restauration.

Et un Relay.

Même si j’aime le Limoncello, je ne succomberai pas à en acheter.

4€ la petite bouteille de Spritz, moins cher que sur le BOB de DS.

Le hall est lumineux, moderne, bref très agréable. J’aime bien cette zone avec des transats et ce FIDS en mode vintage.

Pour nous ce sera en bas, donc paxbus.

Visiblement les pax sont tous encore dans les boutiques ou à mogoyer dans les salons.

Porte A7 pour Zürich : je suis au bon endroit.

Autant en profiter pour faire un tour de visite. Un stock de chaise roulante.

Alitalia en porte.

Ryanair.

Reflexe de FRiste

Je m’installe à proximité, Je reçois un message, les deux amies sont toujours dans la file à l’enregistrement qui n’a pas bougé d’un iota.

En fait elles attendront durant une demi heure que l’agente ait terminé une conversation avec une autre agente, une fois la deuxième agente partie, l’agente s’occupera enfin des clients en mode speedy gonzales.

Autant s'occuper en lisant le dernier FR du moment.

Pas de technique de la Tortugua pour ce vol comme certain, ayant une place au hublot, mais pourquoi faire la queue pour attendre dans un bus.

Mes amies arrivent et nous attendons tranquillement en papotant.
Bon là aussi, cela n’avancera pas, il y a visiblement un problème avec deux passagers, qui sont coincés par l’agente chargée de l’embarquement. Finalement ils les mettent de côté et font enfin avancer la file.
Une fois celle ci résorbée, nous passons le contrôle des BP et de notre pièce d’identité. 

L’accès vu depuis le bus.

Je me dirige vers l’avant de l’appareil, j’ai réussi à avoir le siège 4A à l’ouverture de l’enregistrement la veille.

BA qui repousse.
Au fond une dérive m’intéresse, on y reviendra tout à l’heure. 

Il est beau ce Csérie.

« La porta per Esteban. »

a bord du vol LX2517

Je rentre la première du groupe dans l’avion, le chef de cabine et un PNC me souhaitent la bienvenue.
Il y a un bouchon et je dois attendre devant eux.
Puis nous arrivons à nos sièges : Voici le 4 A qui correspond à un siège business, et comme celle ci ne c’est pas bien vendue, seuls les rangs 1 et 2 seront pourvus et les rangs 3 et 4 seront rendus à la classe éco. 

Le pas est donc extraordinaire.

C’est là que mes assistantes vont me relater que durant l’attente dans le galley l’équipage LX s’est amusé à étudier attentivement les flammes de mon sac à dos, sans que je remarque quoi que ce soit. Conclusion le PNC viendra me voir et me demandera si tout va bien en français, zut j’ai été repérée.

En tout cas ils seront charmants et très souriants et utilisant systématiquement le français lors des quelques échanges que nous aurons durant le vol. Verdict des copines : l’équipage était bien plus sympathique qu’à l’aller.
En attendant je vous présente la fiche de sécurité. 

Le magazine Swiss.

Étudions ce siège : l’accoudoir de gauche, celui de droite.

La ceinture non logotée.

La moquette

L’IFE.

La vue depuis mon hublot.

La tour de contrôle.

Nous prenons la direction de la piste en effectuant une rotation de l’appareil.
Il y a du gras sur le hublot que je vais m’employer à nettoyer avec un mouchoir. 

 Voilà ce qui avait attiré mon regard un MD82 De Bulgarian Air Charter.
Celui ci était indiqué sur le FIDS pour un vol à destination de Sharm el Sheikh. 

On continue notre cheminement, avec diffusion des consignes de sécurité.

Le revoilà.

On passe devant les pompiers.

Il y a du vent.

Ne pas aller à gauche.

On marque un stop et le Commandant lance les moteurs.

On s’élance et nous voilà dans les airs.

Direction la mer.
Rotation, avec la piste de BRI au loin. 

Un coussin pour dormir ?

Nous sommes trop loin des côtes, ce sera le grand bleu en haut et en bas (pas le film hein !).

Les chariots sont de sortie, vous pouvez lire la description du sandwich du jour.

Ben oui c’est encore au fromage, mais avec une autre variante de pain et de sauce.

N’ayant pas envie de rentrer, autant festoyer avec le vin blanc LX et un verre d’eau pour la soif.

Mais il y a un changement de programme.
Vous vous souvenez de la vitrine avec ces sandwichs tellement alléchants et bien il aurait été dommage de ne pas les goûter, et avec un Spritz pour le côté festif et parce que j’aime ça. 

Santé à tous et toutes.

La têtière est en faux cuir du plus bel effet.

Attaquons le magazine (souvent pourvoyeur d’idées) avec la carte asiatique.

Les nouvelles destinations : devinez laquelle j’ai réservée ?

Nous sommes en week-end pascal, donc LX offre des œufs en chocolat (les même qu’à la Migros, nos amis suisses comprendront).

Nous revenons vers Venise.

Et les Alpes arrivent rapidement.

Je m’en vais faire une visite des toilettes. En chemin, je m’arrête discuter avec mes assistantes qui ont bien travaillé en me signalant ce sachet qui était sur le siège de leur petite voisine de 5 ans, celle ci jouera le jeu de remettre en état le paquet pour mes photos.
Le lapin de Pâques prend aussi l’avion chez LX et les enfants avaient cette surprise sur leur siège. Je trouve que c’est une bonne idée. J’aimerais bien savoir si d’autres compagnies font la même chose. 

Vue de la cabine depuis l’arrière.

Le galley avec le chariot du duty free.

Les toilettes

Le lavabo.

Retour à mon siège, je ne me lasse pas de cette vue.

Après ce moment magique on retrouve les lacs suisses.

Et la ville de Zurich.

Un joli camaïeu de vert.

Enfin j’arrive à prendre une photo du Victorinox.

Quelques emplacements de spotter.

 Bon le toucher sera assez rude.

L'aéroport international de Zurich (code AITA : ZRH • code OACI : LSZH)

On bifurque vers la droite.

On longe l’aéroport.

Certains s’en vont.

EL AL au béton comme tous les samedis ;

La terrasse ouverte au public.

Edelweiss.

Puis Swiss.

Ce n’est pas fini, on continue de rouler.

Air Mogoy^^

Non on n’est toujours pas arrivés.

Enfin nous y voilà.

Et on se lève tous pour Danette.

Les escaliers sont installés.

Un minibus pour la classe avant.

Et un cobus pour les autres.

Les moteurs ont bien travaillé.

Il est temps de rejoindre le groupe dans le bus.

Et nous sommes déposés au hall des arrivées.

Direction la sortie.

La marche est courte.

Welcome to Zürich

Un dernier duty free

Il va falloir attendre les valises.

Une fois celles ci récupérées sur les carrousels, nous prenons la direction de la sortie et l’arrêt de la navette.

Sauf que celle ci ne passera pas avant 16h00 et il est 14 heures.
L’une de mes amies (celle qui était malade en voiture) à développé une immense conjonctivite durant le vol retour et ne se sent pas d’attaque à marcher jusqu’au parking.

Nous décidons donc de prendre un taxi.
Le premier dans la file nous demande la destination et ne connais pas le parking. Je lui montre sur maps, celui ci ne reconnaît pas les lieux et ne comprends pas ou nous voulons aller, je lui demande si il connaît le « fracht », bingo il comprend ou nous voulons aller près des hangars de l’aviation privée.

Il nous y emmène en 5 minutes (pour 24chf !!) et là au lieu de s’arrêter à l’entrée du parking il continue pour se rapprocher de notre véhicule alors que nous n‘avons rien demandé. Et s’arrête sur le chemin.

Mais voilà qu’une voiture de police sort de nulle part et met en route les gyrophares.
Le chauffeur est prié de se garer correctement et voilà qu’un contrôle du véhicule commence.

Nous sommes bien embêtées et attendons afin d’expliquer aux policiers que ce Monsieur voulait bien faire en nous déposant au plus près (même si on n’avait rien demandé)
Le chauffeur se fait vertement réprimander.
Et le voilà qui repart et les policiers qui reviennent vers nous.

Au final ils nous expliqueront que le taxi ne doit pas s’arrêter n’ importe où et que pour lui faire comprendre la réglementation ils lui ont fait un contrôle complet (je ne parle pas allemand mais l’une de mes amies oui), et là tout sourire il nous explique que cela a du nous coûter bien cher pour le taxi.

Nous lui expliquons le problème d’absence de navette à cette heure ci.
En rigolant ils nous disent de nous plaindre à l’aéroport, mon amie lui explique alors qu’elle voyage avec quelqu’un qui connaît bien l’aéroport, et la voilà à leur expliquer en quoi consiste Flight report, (merci les copines)
Les choses finiront en mode décontraction avec ces deux policiers, mais plus jamais je n’irai au parking P17.

Merci pour votre lecture.

Prochaine destination : la capitale de la bière pour une visite du musée Magritte et celui de la bande dessinée, avec la compagnie nationale belge.