Avis du vol entre Tromsø et Bergen en classe Economique avec Wideroe

Après une petite semaine au nord de la Norvège, à la découverte des aurores boréales pour la première fois, il est déjà temps de rentrer. Je serais bien resté mais les vacances sont finies (pas pour moi je suis tjs sans emploi) et ce n'est pas une destination très économique. Comme nous sommes samedi, il n'y a pas de vols Norwegian. La solution est de faire un détour par Bergen, la grande ville du Sud de la Norvège, plutôt que par Oslo. Les billets retour ont été achetés via Expedia, de façon à avoir les 2 vols avec 2 compagnies différentes sur le même billet. Il était impossible de combiner par les sites respectifs des compagnies Widerøe et Joon, pardon Air France euh non Air Joon ? Une fois la transaction achevée j'ai reçu quasiment immédiatement, un message d'AF avec numéro de résa attribué à mon compte avec l'indication des 2 vols.
La matinée a été calme, à revisiter le centre de Tromsø sous un magnifique soleil contrairement à mercredi. Le musée polaire est fermé le samedi. Nous commandons un taxi depuis l'hôtel où nous avons pu garder notre chambre jusqu'à midi, cool. C'est plus simple et rapide que de prendre le bus (mais c'est plus cher :). Il y a un bus direct pour l'aéroport mais plus cher que le bus local. Sa fréquence est limitée le week-end.
 Ce n'est pas le premier FR sur ce vol. PM2006 a publié en juin 2017, sous un temps gris.  

En moins de 5 minutes nous rejoignons l'extrémité de l’île de Tromsøya, après avoir emprunté un grand tunnel avec son rond point et un carrefour. Arrivé, c'est plutôt calme à l'extérieur

Sur la gauche, il fait frais

A l'intérieur, c'est le moment où le bus vient d'arriver du centre ville et c'est un peu l'affluence. A droite de l'entrée, les loueurs de voiture

A gauche de l'entrée les comptoirs. A l'étage l'accès à la zone d'embarquement. Comme vous pouvez le voir, il y a du monde. Là on fait la queue pour atteindre les comptoirs. Pas mal de bagages, des skis pour quelques voyageurs. Il y a quelques vols internationaux au départ.

Les comptoirs Widerøe et la queue qui restait après qu'on ai déposé nos valises. Un groupe de musiciens fini de déposer leurs instruments et matériels. Il s'est passé 15 minutes entre le moment où nous sommes entrés dans l'aéroport et cet instant après avoir eu nos cartes d'embarquement. 

Comme nous sommes en avance, nous sortons profiter une dernière fois de l'air si pur, un peu frais et du paysage. Le poisson est l'une des richesses de la Norvège (mais moins que le pétrole)

Le terminal

Les installations au fond

On ne s'éternise pas à l'extérieur. Il ne fait pas bien chaud. Il est temps de passer à l'étage.

Quelques minutes d'attente pour le PIF. Une des portes vient de fermer devant nous. En face de poste.

Comme il y a quelques vols au départ, il y a pas mal de monde. Nous achetons à manger, sur le pouce, une incontournable saucisse grillée et son petit pain. Nous avons pris un copieux petit déjeuner qui ressemblait plus à un brunch.
Allons voir ce qu'il y a de beau. Du Widerøe, normal Tromsø est une de leur base. Il se pourrait bien que ce soit notre avion qui vient d'arriver. L'Edelweiss est encore en porte. 

Je ne vois pas souvent des Dash 8

Bientôt à l'arrêt

Des frères

Un petit de la famille vient d'atterrir également.

A l'autre bout du terminal, un autre est en train d'être repoussé. 

Meilleure vue des installations et de la tour. Le sol est bien gelé

Un 319 de Lufthansa vient d'arriver. Prochaine destination, Francfort

Je continue avec l'arrivée du SAS qui partira pour Oslo. On l'a bien vu faire son demi tour avant d'atterrir.

Mosaïque boréalienne et ville de Tromsø -telle qu'on l'a vu hier soir- à l'entrée des toilettes, propres.

Les départs. Bientôt notre tour

Vue de la zone d'embarquement.

Derrière moi

Notre porte, pour l'instant pas de retard

C'est parti. Embarquement lancé. Les enfants d'abord

En bas de l'escalier

Ça coince un peu. Ainsi je peux prendre mon temps pour photographier

A notre tour d'avancer

Beau nez et montagnes enneigées

A contre jour. Il faut laisser les bagages à main les plus volumineux sur ce chariot

Instant porte :)

Pour ne pas se tromper à la rédaction de ce FR. Il a été mis en service en juin 2009.

Fuselage shot de rigueur

Accueil avec le sourire et welcome.  C'est chargé, vol complet. Comme c'est étroit il faut patienter que tout le monde ai trouvé de la place pour caser son sac, sa valisette. C'est long.
J'ai merdé pour l'enregistrement en ligne. Je m'y suis pris trop tard, donc nous avons été attribué d'office rang 18 mais séparé par le couloir, ce qui fait que je n'ai pas de hublot, catastrophe. Rien à faire, au comptoir à l'enregistrement ai demandé s'il était possible de changer. La jeune femme m'a pris pour une buse en me disant que j'avais un hublot, en 18 C, ah, ah. J'en ris encore !! 
La capture de l'enregistrement. 

La belle carte d'embarquement qui est restée intacte, avec le magazine de la compagnie. 

La littérature

Le réseau de la compagnie avec les vols locaux. La carte de la Norvège est souvent présentée à l'horizontale avec près de 1800 km du nord au sud (environ l'équivalent de Paris Rabat)

Tablette repliée

C'est un peu serré. Je ne me plains pas trop par rapport à d'autres

On attend le départ. On est en retard

Là je me dis que ça va être bon. On va partir. Il est 14 h 10. Mais non. Au bout d'un moment la chef de cabine nous informe qu'il y a un souci avec des bagages laissés au pied de l'avion. Le préposé au chargement vient donc montrer quelques valises et demande à qui elles appartiennent. C'est la première fois que je vois cela. Il y avait en tout 4 bagages concernés, mais ça n'a pas été fait à la suite. Nous avons patienté entre chaque présentation

Ensuite le commandant prend la parole, s'excuse pour le retard. Il reprendra la parole pour nous annoncer les points d'intérêts à voir. Mise en route des moteurs successivement.

Roulage puis décollage. 

Il est 14 h 27 lorsqu'on quitte Tromsø. Il nous reste de la marge pour notre correspondance à Bergen. Mon voisin m'a gentiment laissé un peu de place pour étendre mes bras afin que je puisse prendre quelques photos du décollage.

Vue à droite

La plus belle vue était sur la gauche. 

Retour à droite. On voit les hauts sommets au fond.

La cabine, complète

Les magnifiques paysages. Mieux qu'un IFE avec ce soleil

A gauche

20 minutes après le départ, distribution de 2 chocolats pour tous. 

Mon voisin, un DJ norvégien du groupe qui a embarqué avec son matériel, m'a fait le guide lorsque je prenais les photos en me montrant sur la carte du magazine notre position.
Au loin, les Lofoten 

Le reste du temps j'ai lu. C'est assez bruyant comme avion, ça me rappelle les Fokker de ma jeunesse. Cela me semble tout de même plus bruyant que les ATR.
Maintenant à l'approche de Bergen on arrive dans la grisaille. C'est normal. Il ne fait pas souvent beau à Bergen et il pleut beaucoup également.
On aperçoit une plateforme pétrolière en construction au centre de l'image 

Il pleut

Il est 16 h 34 lorsqu'on se pose à Bergen sous la pluie. Vue droite

Et vue gauche ! Double reportage

A l'arrivée, il pleut également sur mon voisin !

Ca vient de quelque part par là

J'avais oublié la tétière des 85 ans de la compagnie, je me rattrape en sortant

Sortie sur le tarmac = photo. Le rendu était mieux avec le soleil au départ. Il a un peu morflé cet appareil avec cette grosse rustine que je n'ai remarqué qu'après coup en regardant les photos. J'ai regardé rapidement sur le net mais n'ai rien trouvé pour expliquer cela.

Une saucisse SAS

Après ce faux contact, on rejoint la passerelle par cet escalier.

Vers la sortie

C'est plutôt calme dans le coin

A suivre pour notre prochain vol pour Paris