Avis du vol entre Paris et Rio De Janeiro en classe Affaires avec Air France

Bonjour à tous,
Me revoilà avec pas mal de retard pour un voyage en Amérique du Sud et Afrique du Sud, fait durant ma semaine de vacances en octobre.
Tout a commencé début octobre 2018 par un sympathique tarif en one-way de Rio vers l’Allemagne avec Latam pour environ 600€. Pour 100€ de plus, il était possible de faire un (sacré) détour par Johannesburg. Je connais déjà la ville mais hasard du calendrier mon père y sera au même moment pour le travail. Je trouvais bien sympa l’idée de faire ce détour pour se retrouver et manger ensemble le midi (et en plus ça me fait voler plus, et ça je ne dis pas non !). Les dates qui me correspondent ne me permettent pas de rester plus longtemps de toute façon.

C’est bien tout ça mais reste quand même à rejoindre Rio de Janeiro. J’avais accumulé pas mal de miles FB lors de mes aventures en Sibérie, et avec mes réserves précédentes j’ai assez pour aller à Rio en J. Mais… pas depuis CDG depuis que FB ne fonctionne plus par zone pour les billets primes ! Bien sûr, rien depuis Toulouse (là où j’étudie, et qui m’aurait arrangé le plus) … Après pas mal de recherches des villes proposant le meilleur prix avec l’acheminement le plus accessible, je choisi Mulhouse comme point de départ pour 78800 miles.
Comme point d’atterrissage en Europe, je choisis FRA pour pouvoir effectuer la visite de l’aéroport sur le tarmac. Et pour retourner à Paris, ce sera un combo AF/KL en billet prime, faute de place sur le direct d’Air France.
Allez, en route !

Arrivée tôt à l’aéroport de Bâle Mulhouse après avoir passé la nuit au F1, je me dirige vers le salon qui a été plusieurs fois reporté par les locaux :) Et effectivement il est bien agréable, avec une vue sympa.

A bord, je ne savais pas trop à quoi m’attendre car le mémo voyage indiquait Business pour ce segment. Mais pas de surprise, c’était un avion full éco et en plus j’ai été relégué assez loin dans la cabine…

Arrivée au 2G, je transite vers le 2E portes M (dommage j’aurais bien aimé tomber sur les portes L).

A gauche toute.

Il faut ensuite attendre un bus qui emmène directement aux portes M. Ce qui m’a d’ailleurs permis de voir à quel point il est difficile pour les passagers -étrangers notamment- de saisir le fait qu’il y a le terminal 2E et ensuite les portes K, L et M. C’est vrai que ADP n’a pas choisi l’option la plus simple…

Le bus arrive rapidement.

En 5min je suis aux portes M, derrière la sécurité : c’est ce qu’on appelle un transit efficace !

A l’étage, c’est le duty free.

Et le salon.

L’offre solide est correcte, mais rien ne me tente vraiment.

L’ambiance est assez agréable.

Après 1h30 au salon, direction la porte d’embarquement pour m’envoler pour la première fois vers l’Amérique du Sud !

Ce sera la M25, il n’y a personne en Sky Priority.

A droite un B77W.

Deux passerelles connectées, pas de P sur les B772 donc ce sera à gauche pour moi.

La cabine Best, que j’avais pris soin de choisir (en effet, à cette période là -je ne sais pas ce qu’il en est maintenant- AF avait deux vols vers GIG : un quotidien de nuit en NEV4 et un autre (vol de jour) certains jours en Best).

Le siège est très confortable, mais un peu fatigué à certains endroits (notamment cette pièce en dessous du gilet de sauvetage).

La cabine ne sera pas pleine, je dirais 60%.

De mon côté, j’ai emmené de la lecture saine (que j’ai trouvé un peu décevant d’ailleurs…).

Contrôles du siège, au placement pas idéal.

Distribution de la trousse, que je prendrais rouge.

Et du verre d’accueil.

A ce moment, le chef de cabine principal viendra me voir pour me remercier de ma fidélité et me souhaiter la bienvenue. C’est une attention qui fait plaisir. Il reviendra peu après pour me présenter l’hôtesse de ma rangée, en insistant sur le fait de ne pas hésiter à faire appel à eux si besoin.
Suivra l’oshibori.

Nous repoussons avec, de mémoire, un peu de retard.

Et c’est parti

Service de l’apéritif et de l’amuse-bouche. On en profitera pour me demander mon choix de plat principal afin de me le réserver (bon point).

Quelle vue pour un repas… Impossible de s’en lasser.

En parlant de repas, voici le menu.

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Une heure après le décollage, c’est au tour de l’entrée de faire son apparition. Pas mal, salade à droite un peu sèche.

Pour le plat, je prendrais le bar.

Du poivre est proposé en sus avec un joli moulin, je trouve ça sympa. C’est très bon.
Puis fruits assez moyens, et glace toujours bonne !

Je suis ensuite rapidement débarrassé et m’endors une petite heure en full flat.
A mon réveil, proposition de « gourmandises » ….

J’irais ensuite demander au « bar » à ce qu’on me réchauffe un hamburger au saumon. Il arrivera quelques minutes plus tard, l’hôtesse a eu pitié de moi et m’en a mis deux : elle a bien fait car ils sont vraiment riquiqui (comparez à la taille de la serviette ou de l’écriture Air France !).

By the way ils sont bons, mais en une bouchée c’était terminé !
J’irais ensuite discuter avec le chef de cabine principal car je voulais en savoir un peu plus sur le rôle des PCB (Personnel Complémentaire de Bord) chez AF.
A l’approche du Brésil, j’irais faire un tour de l’avion pour me dégourdir les jambes.

A peu près une heure avant l’atterrissage (bon point), c’est l’heure de la seconde prestation.

Ça ne présente pas bien mais c’était bon et apprécié.

Puis descente et atterrissage, on a vraiment eu le droit à une très belle approche.

Armée locale.

Arrivée à côté d’un 767 DL.

Débarquement rapide, avec au revoir chaleureux et personnalisé de l’équipage. Une belle dernière impression de ce très bon équipage !

Arrivée un peu bordélique à l’aéroport, mais au final assez efficace car en 30 min je suis dehors à attendre mon Uber.

Direction Copacabana !