Bonjour à tous et à toutes.
L'introduction
Petit rappel de l'introduction de ce routing à retrouver dans le premier FR pour ceux - nombreux - qui ne l'avaient pas lu.
Il commence déjà à ne pas se renouveler le garçon… Il va finir dans la baraque à navetteurs s'il ne prend pas garde.
Vous auriez raison si vous vous livriez sans vergogne à cette conclusion hâtive, superficielle et somme toute assez injuste quoique les apparences vous donnent raison.
Mais, si vous me lisez c'est que vous avez ouvert ce FR et êtes déjà prêts à m'accorder le bénéfice du doute.
En vérité je vous le dis (oui parfois, je me prends pour le Christ), ce n'est pas vous que je devrais soupçonner de fainéantise intellectuelle ou de curiosité non renouvelée, mais tous les infidèles impies qui ne lisent pas ces saintes lignes.
Après ce FR, je m'en retournerai à mes rites sataniques et autres pratiques vaudoues d'un autre âge mais remontant du fond de ceux-ci. Ainsi, ils seront voués aux gémonies pour les siècles des siècles. Na, bien fait pour leurs gueules !
Bref, le petit accès d'inquisiteur passé, reprenons notre propos : comment vous retenir ici ?
Qu'offre ce dernier opus aussi sexy qu'une orange en promo du Leclerc de Charleville-Mézières (cela marche aussi avec Saint Dié des Vosges, mais c'est une ville sainte, n'est-ce pas.) ?
Trois raisons me sautent à l'esprit comme le balik me saute à la bouche :
- Ce n'est pas un vol easyJet suisse (DS) donc perfide par définition mais un vol easyJet (U2) honnête et droit, européen à défaut d'être français. Je ne crois pas que l'un des respectables contributeurs du site ne se soit livré avec application à une étude comparée des deux produits. Une espèce de jeu des sept erreurs !
- ensuite, il s'agit d'un vol pro et non perso, mes services comptables sont localisés au Portugal (c'est moins cher, hein, les jobs de comptables ce n'est plus trop pour les Français, les djeun's…), c'est la première fois que j'irai les voir. Vous pourrez ainsi me voir dans mon accoutrement de travail (je fais de la résistance en portant toujours des costumes dans l'usine vosgienne où j'officie, double incompatibilité mais c'est doublement plus rigolo).
- enfin last and nevertheless least…, il s'agit d'une exclue internationale majeure car malgré la présence de nombreux contributeurs émérites à EAP et des meet-ups hush hush à Porto, cette ligne n'a jamais été reportée. Vous l'attendiez tous, dans une angoisse tourmentée. Je viens vous en délivrer, grâces me soient rendues !
Convaincu ? Non ? Réfléchissez y à deux fois car le Royaume des Cieux appartiennent à ceux qui lisent mes FRs. C'est écrit dans la Bible.
Si, si je vous assure, de toute façon vous ne pouvez pas dire le contraire, personne ne l'a lue intégralement ! C'est d'ailleurs ce qui vous perdra, bande de mécréants !
Passons à la genèse de ce routing. Dire bonjour aux Portugais, c'est sympa mais c'est chronophage.
EAP a beau être un aéroport de province honorable, la connectivité n'est pas top.
Au jeu de l'économie de temps, c'est U2 qui remporte la mise face aux offres avec correspondances. C'est moins cher, de toute façon et il me faut montrer l'exemple de la sainte frugalité érémétique. On part donc sur un vol en soirée la veille de la rencontre et un retour avec un vol de la muerte dont j'ai le triste secret dès le lendemain. Tout cela pour une centaine d'euros et aucun miles. J'ai bien fait d'investir dans la carte de magie noire donnant accès aux salons.
Place au routing qui ne devrait pas occuper trop de mémoire vive de votre cerveau que je vais m’employer à rendre disponible du mieux que je peux.
Enchainement de vols
- 1
- 2U21132 - Economique - Porto –> Bâle - Airbus A320
Voici qu'avance à pas feutrés le FR de retour.
Feutrés ? Oui car seuls les braves et les fidèles auront noté l'heure de départ.
6 heures du matin, voilà un vol qui qualifie bien au titre de "vol de la muerte".
Mais c'est pire que ce que vous pouviez imaginer. Alors que les tous premiers vols de la muerte décollaient d'un aéroport à 15 minutes de mon lit, celui-ci requiert un peu plus de route.
Ma mission ne se déroulait pas à Porto même mais à Saint Jean de Madère, charmante bourgade que je n'ai pas eu le loisir de visiter.
Arrivé la veille tard, j'en repars le surlendemain aux aurores.
Tout cela pour m'économiser du temps. Car en ces temps troublés de prise de poste, chaque minute compte !
Je tiens à signaler qu'il s'agit d'un traitement de défaveur auto infligé, mais c'était cela ou choisir une autre compagnie qui m'aurait fait perdre toute une journée de boulot.
Le prelude
Voilà pourquoi je me réveille à 3h00 du matin à l'hôtel, puis le quitte à 3h22 (record du monde battu pour la préparation !).
Entre mon point de départ et l'aéroport de Porto : quarante trois minutes de parcours essentiellement sur autoroute, je n'ose imaginer ce que cela aurait été si le Portugal n'avait pas été dans l'Europe !
Il est d'ailleurs si tôt que les maquignons verts ne sont pas encore de service. Je laisse donc ma carne à l'extérieur de l'enceinte fermée, les clefs dans la boîte aux lettres.

6h30, petits joueurs ! Ces gens travaillant dans les services sont des vrais fainéants !

Alors que pour trouver du boulot, il suffit juste de traverser la rue. L'absence de navette verte est donc une invitation à chercher du boulot.
A autant de reprises qu'il y a de voies sur mon parcours. Pas prêt d'être au chômage, moi !

Drôle de logo, qui me donne l'impression que je suis à l'aéroport de Zanzibar.
L'exotisme à deux pas de chez vous !

Evidemment à cette heure des braves travailleurs, il n'y a pas foule. Les légions des profiteurs du peuple et autres parasite des forces de progrès sont encore au lit bien au chaud. Mais, comme tous les matins, on nous promet le Grand Soir à la fin de la journée.

On dit que l'ascenseur social est en panne. Mais celui-ci fonctionne bien.

Quelques classes socio professionnelles plus haut mais pas tout à fait au bout de l'échelle, me voilà prêt à jouer au touriste.
Genre "ma chérie, je viens de rentrer de Porto, qui est une ville formidâââââble ! Je n'en ai absolûûûment rien vu ! Terrific !".

J'ai retrouvé mes compagnons d'infortune. C'est qu'il faudra bien payer les retraites présentes et futures des FRistes vétérans !

OPO n'est pas peu fier de ses trophées

Toute une série, distribuée par une officine dont la crédibilité est laissé à l'appréciation du pax qui en ignore tout. Complimentez, complimentez, il en restera toujours quelque chose.

Dieu, merci, j'ai ma carte d'embarquement dans chacun de mes smartphones. Voilà qui me fait économiser quelques minutes.

Le pif est passé en cinq minutes, encore du temps de gagné pour le salon mais aussi du temps de sommeil dont j'aurais pu bénéficier en partant plus tard !

Evidemment, il est dorénavant plus facile de compter les aéroport sans parcours de duty free.
Cela ne me dérange que lorsque l'on fait slalomer le pax dans de multiples méandres de façon à l'exposer au commercialisme le plus longtemps possible. Ou l'art du consumérisme de nous faire passer pour des nutriments dans un intestin. On sait qu'il en sort…

Je ne craquerai même pas pour un petit vin local.
Fallait pas m'interdire les photos !
Autant je veux bien accorder de l'attention aux explications d'interdiction des zones sensibles (les MiB ont ce sens inné de la pédagogie qui force l'admiration et suscite l'adhésion totalement spontanée), mais interdire dans un duty free ??

Le pictogramme du salon me convient bien en revanche. L'absence de verre convivial dressé est toutefois un mauvais présage.

Aux amateurs et autres fous, il y a pire que mon vol de 6h. Il faut vraiment être très pressé pour vouloir arriver avant 6h du matin à Lisbonne.

le lounge report
Sur ces profondes réflexions, je poursuis ma route aux ultrasons.
Piso 3 is the way, for the sinners and the believers alike.

La pictophonie s'améliore, un verre à cocktail est bien présent et il semble suffisamment démesuré pour étancher toute soif tenace.

Les signes cabalistiques touchent à leur fin. J'aperçois le boss du premier niveau.
Il faudra tout de même enjamber le chausse trape de la machine à nettoyer. Le sens du détail, c'est le luxe.

je suis contrôlé et accepté. Un seul salon à OPO, tout le monde logé à la même enseigne.

La presse à disposition.

Petit tour rapide du buffet avant d'aller prendre mes quartiers pour une petit heure.

Forcément un peu de local. Mais je n'ai guère faim ce matin.

En tout cas, il y a du frais préparé. C'est appréciable.

Ou du moins frais.

Les boissons. Avec yaourts également.

Le coin numéro 2.

Le salon propose une espèce de véranda qui donne sur le terminal.


Pour ma sélection je me contenterai d'un jus et d'une salade de fruits frais, pas l'ombre d'un fruit en conserve.
Le vrai luxe !

Les docs de voyage.

Je quitte le salon à 5h08 après quelques lectures studieuses mais sans rapport avec le travail (eh j'ai déjà bien donné !).

Cette invitation à descendre d'un niveau n'est pas bon signe.

Et voilà, quand le mogoy joue le jeu de la ponctualité car il s'agit du premier vol de la journée (donc pas d'arrivée tardive de l'appareil), voilà que l'agent orange est en retard… Ce qui ne fait que renforcer le côté léonin de la relation compagnie-passager. Quand ce dernier est en retard, c'est tant pis pour lui (cela m'est arrivé récemment et vous sera relaté), en revanche, le pax n'a qu'à poireauter lui…

Le problème aurait été résolu par le speedy boarding que j'aurais pu me faire offrir sur ce vol pro.
Mais même dans ce cas, je trouve cela inutilement dispendieux. L'avion partira à l'heure pour tout le monde.
Comme je prends rarement de gros bagages, l'espace des coffrezabagages m'est assez indifférent.

Le flight report
En revanche, l'appel de la Tortuga me retient de l'autre côté de la porte d'embarquement le plus longtemps possible.
Alors que la queue s'est résorbée depuis une bonne minute, je me présente à mon tour. Une trentaine de secondes à faire semblant de ranger mes affaires au cas où un retardataire ultime me ravirait la palme du dernier à embarquer, et me voilà en chemin.
Sur mes talons, l'agent et sa PIL imprimée. Normalement cela devrait le faire !

Je progresse aussi lentement que possible. Ce n'est pas le tout d'être le dernier à monter. Il faut aussi laisser du temps au troupeau de s'asseoir afin de clarifier le choix de sièges restant.

Easy aus Berlin.

L'agent et sa PIL ont fini par me dépasser. Voilà qui fera un beau prétexte pour rester encore quelques secondes au seuil de l'appareil.

Fuselage shot, qui est TRREEESSSS compliqué à bien saisir !

Allez, l'instant porte.

Et la partie la plus intéressante du boarding : scruter, analyser, décider sur quel siège poser mon séant.
J'évite un 7C libre sans voisin, le souvenir cuisant du walk of shame du vol précédent est encore vif.
Bien m'en a pris, car le choix est rapidement fait dès le premier triplet apparu.
Big success en 18 DEF !

Fort égoïstement, je m'installe dans mon mini appartement. C'est qu'il y a tout de même, deux heures et demie de vol !
On repousse avec deux minutes d'avance.

Et décollage à 06h06.


Le jour se lève.

Porto by night.

Le pas n'est pas mauvais à cette rangée meilleur que d'habitude.

Test marathon ok.

Idem pour le test Horatius (soit dit en passant le copyright n'est il pas expiré maintenant ?).

Le lot de bord sans surprise. On voit à l'absence de la marque du malin, que cet appareil n'est pas suisse.

U2 n'a pas renoncé à me faire adhérer à son programme easyJet plus. Sans salon, point de salut, messieurs !

Le siège sans oreillette ajustable.

Dehors, cela moutonne, mais je vais plutôt me reposer.

Début du service. je ne prendrai rien. Avoir mangé au salon de si bon matin est déjà en dehors de mes habitudes.

Au dessus des nuages, le ciel bleu, par Toutatis.


On finit par arriver.


Je laisse aux vétérans de la base les commentaires d'approche.



Touch down.


Suivi, sans surprise, par l'instant danette et le débarquement.


Il fait encore frisquet en Alsace.

On est mieux au chaud. Récupération de la mogoymobile et je m'en retourne en mes terres administrer mon fief.

Pour finir la route et l'appareil.


Merci de m'avoir lu et je vous promets que le prochain FR ne sera pas à la fleur d'oranger !
Merci Quentin pour ce FR,
Tu "jugeais" mes DSS-LIS en "vol de la muerte", mais je trouve de ton côté un sérieux outsider ! :-)
Dur en effet d'aller si tôt à LIS à moins d'une correspondance primordiale ou d'un tarif défiant toute concurrence (et permettant à TP de remplir ce vol).
Un salon ou l'offre liquide (en soft) est assez généreuse mais l'offre solide succincte et un poil cliché.
A bord, la stratégie Mogoy permet de s'installer tel un prince et de plus sur une rangée vide :-)
Tu y gagnes largement.
Bonne soirée à toi
Merci Benoît pour le com'.
Je crois qu'on a tous plus ou moins déjà pris un vol à 2h ou 3h du matin, ce sont les pires.
Je connais pas les plages de correspondances de TP, mais arriver à 6h00 du matin implique un départ LC vers 8h00.
Pas bcp de vols partent à ces heures chez AF.
La salade de fruits m'allait parfaitement pour une fois.
Doublé gagnant sur ce routing. Ce n'est pas le cas à chaque fois malheureusement.
Merci Quentin pour ce FR en mode : No pain, no gain
Décollage à 06:00 , n'aurait il pas été plus simple d'avoir un hôtel à proximité d'OPO plutôt qu'à Saint Jean de Madère ?
formidâââââble => A cette heure là j'en aurai mal à la tête.
Un no photo au duty free ?? Un excès de zèle d'un employé en mal de travail ?
La salade de fruit est en effet pas mal (en tout cas elle l'était en novembre).
Tortuga le retour, ou la technique du juste à temps, avec le gain d'un triplet pour finir la nuit.
Je laisse aux vétérans de la base les commentaires d'approche. => cela s'appelle de la sous traitance.
Sur la première photo : Mulhouse avec à gauche de l'aile le nouveau bassin et au bout de celui-ci un peu plus à gauche : moi même en train de travailler (pas pour ma retraite, mais celle des autres c'est ça le système de répartition) à cette heure-ci.
Sur la troisième je miserai sur Bartenheim.
Il fait encore frisquet en Alsace : Avec de la neige hier !!!!!
A bientôt
Merci Valérie pour le com'.
C'eût été plus simple en effet, mais réserver un hôtel avec notre système est un vrai parcours du combattant.
Je pense que le pictogramme était là peut-être pour marquer la frontière entre la zone commerciale et la zone opérationelle airside. Mais franchement je n'avais encore jamais vu d'interdiction de photographier des portes d'embarquement.
Je ne me souviens plus si je me suis allongé, mais c'est quasi certain !
"cela s'appelle de la sous traitance" faut bien donner des idées pour appeler les coms. Même s'ils sont garantis venant de toi et d'Esteban.
J'ai traversé les Vosges ce week end et au dessus de 800 mètre les arbres étaient blancs.
J'avais loupé le FR du vol aller que je me suis pressé d'aller consulter.
Un vol à six heures, comment peut on... et pour un retour de déplacement pro en plus!
Au moins le salon était ouvert.
Ruses de sioux qui te permettent d'embarquer en bon dernier et de disposer d'un triplet pour rattraper un peu de sommeil.
Le gros avantage est que le vol est direct et si c'était le seul de la matinée, ceci explique bien cela.
A bord, prestation Zizi Jet classique, ca vole.
Merci Quentin pour se FR aux yeux rouges de fatigue et à bientôt.
Merci Michel pour le com'.
J'avoue que je n'étais pas enthousiasmé par les horaires, c'est le moins que je puisse dire, mais je n'avais pas d'autre choix. Toute minute perdue au bureau c'est une minute de week end en moins...
Effectivement bien content de m'isoler avant l'embarquement. J'avais prévu un peu large mais OPO n'est pas un aéroport vraiment familier et on ne sait jamais.
Seul vol de la journé je crois !
Salut Quentin et merci pour le partage !
Quel horreur d’horaire ;) faut vraiment vouloir !!
Tiens un no photo au duty free c’est de l’inédit :)
RAS sur ce vol à part la technique réussie de l’embarquement dernieritaire (a l’opposé du prioritaire attention les LCC pourraient être tentées de facturer ce privilège aussi !).
==> moi je dis carrément de la paresse, Google map est ton meilleur ami Quentin !
À bientôt !
Et avec FlightRadar24, c'est carrément d'une facilité déconcertante ^^
Fayot !
Merci Stephan pour le com'.
Oui mais c'est moi qui l'ai choisi.
Rien de plus jouissif que d'avoir de meilleures conditions de voyage que ceux qui ont payé pour être au dessus du lot. Une sorte de justice sociale !
"carrément de la paresse" ou de l'art de susciter les commentaires bienveillant. Il faut toujours laisser un fil à tirer à son auditoire pour qu'il tire dessus.
Merci Quentin pour ce FR :)
Horaire de la muerte pour ce vol. Bon, le confort reste de mise avec ce triplace grâce à la technique qui marche encore une fois.
Même pas tenté de passer un jus de chaussette en note de frais ? ^^
Merci Jules pour le com'.
J'avais avalé deux grands jus d'orange au salon et je ne suis pas très porté sur le café par nature même si j'apprécie.
Et puis j'ai dit à mon chef que je ne prenais pas de petit déj. Il aurait été malvenu d'en présenter une note !
Merci Quentin pour ce FR !
Ce vol de la muerte renoue avec les traditions Iraniennes, le réveil à 3h00 à du faire bien mal
”je me contenterai d'un jus et d'une salade de fruits frais” : Diantre, les traditionnelles orgies Dubaïotes sont désormais bien loin. Même pas un petit pasteis ou un pastis ?
”Fort égoïstement, je m'installe dans mon mini appartement” : Etihad the Residence a du soucis à se faire
A passage, je remarque que la technique Tortuga a un taux de réussite plutôt élevé. A condition que l’équipage ne soit pas trop attentif
A bientôt
Merci Hugo pour le com'.
C'est rude comme toujours, même si avec le décalage horaire c'était en fait 4h du matin CET.
Quand ce n'est pas séduisant, cela n'ouvre pas l'appétit et le pasteis non trop lourd dès le matin.
"Etihad the Residence" avec un prix à 0 assurément.
La technique a bien fonctionné sur cette rotation, un joli doublé de triplet. Malheureusement ils remplissent assez bien leurs vols aux horaires plus conventionnels.
Le pictogramme du salon m'évoque un PAX muni d'une canne anglaise. Etre PMR suffit-il pour y être admis ?
On ne m'ôtera pas de l'idée que l'interdiction de photographier vise à dissuader d'effectuer un relevé des prix risquant de révéler des tarifs supérieurs à ceux qui sont pratiqués en ville sur place, ou à destination.
Merci pour le partage !
Merci François pour le com'.
Fichtre tu as l'oeil bizarrement tourné, de là à comparer ce salon d'hospice, ce n'est pas très flatteur.
Explication la plus plausible jusqu'à présent mais ce n'est pas bien commercial, en tout cas aucun vendeur ne s'est jeté sur moi, la bave aux lèvres quand j'ai pris ce cliché.
Merci pour ce retour Quentin!
J'ai un vol Easyjet à la fin du mois, je vais essayer de reproduire cette technique de la tortue si mon siège attribué est mal situé. Le vol sera de nuit alors je n'ai pas besoin d'avoir un siège hublot ou côté gauche/côté droit ?
A bientôt!
Merci Benjamin pour ton com'.
Hâte de lire le résultat ! Mais entre couloir et hublot, le tout sera de choper une absence de voisin.
Merci pour ce FR
"Ma mission ne se déroulait pas à Porto même mais à Saint Jean de Madère"
Porto, Madère tout cela a du être bien arrosé !
"Voilà pourquoi je me réveille à 3h00 du matin à l'hôtel,"
Une auto-flagellation bien méritée après avoir psamoldié lors du FR aller
"Drôle de logo,"
Pas très réussi et incompréhensible à lire : en un mot c'est raté
"une salade de fruits frais"
L'offre nourriture du salon est limitée et peu variée mais cette salade
de fruits frais (mais pas vraiment de saison) t'aura enthousiasmé
A bord la technique de la tortuga, désormais digne d'être un art, a pleinement
fonctionné et te permet de bénéficier d'un trois pièces (sans cuisine toutefois)
"Il fait encore frisquet en Alsace."
Plus froid qu'en Suisse ?
A bientôt
Merci Gilbert pour le com'.
"tout cela a du être bien arrosé" même pas, je rappelle à toutes fins utiles qu'il s'agissait de rencontrer des comptables concentrés en un lieu unique !
"bien méritée" réveil monacal oblige pour aller chanter pour les mâtines.
"trois pièces (sans cuisine toutefois)" pour cela il faut bourse délier, ou piquer directement sur le chariot, ce que la morale chrétienne réprouve !
"Plus froid qu'en Suisse ?" jamais !
Décollage tôt le matin, ça réveil ^^
Le salon fait son office, il y a de quoi boire et manger... Et il n'était pas trop visité
Une fois de plus tu récoltes 3 sièges pour t'étaler
Un très bon vol au final
Merci Quentin pour ce FR, à bientôt !
Merci Hervé pour le com'.
Dans mes souvenirs, il devait y avoir un ou deux pax, certainement pour ce vol terrible de TP à 5h00 du matin.