Avis du vol entre Hong Kong et Taipei en classe Affaires avec Cathay Pacific

Ce vol est la continuation du vol CX268 CDG-HKG. Le FR commence après le passage de sécurité obligatoire pour passer du niveau arrivée au niveau départ.
Je n'ai pas pris le temps d'aller au salon CX The Pier, situé pourtant littéralement sous la porte d'embarquement de mon vol : la correspondance était courte, je n'avais ni faim ni soif et j'ai préféré me dégourdir un peu les jambes tout en synchronisant ma messagerie grâce au wifi gratuit de HKG.
Voici l'avion que j'aurais mieux fait de prendre pour arriver à HKG.

Une petite collection de quadriréacteurs, avec un B747 British Airways et un A340 Finnair?

?et un A380 Emirates, avec, pour faire bonne mesure, un B747 Qantas en arrière plan.

Désolé, je n'ai pas trouvé d'Avro 146 pour compléter la famille.
Là, même en cherchant bien, il n'y a qu'un réacteur, peut-être bien un deuxième de l'autre côté (mais je ne pouvais pas le voir de mon siège), et dans la famille Airbus, je parie plutôt sur un A330 pour l'appareil m'ayant emmené à Taipei.

En revanche, je n'ai pas identifié à qui appartient ce B747 immatriculé YF-BLK dont on aperçoit tout juste la queue dans la photo qui précède.

Mais qu'il s'agisse d'un 777 ou d'un A330, les sièges de CX en court courrier semblent être identiques, toujours aussi larges et confortables.

Pour répondre à une question posée précédemment, en voici l'inclinaison maximale, du moins quand on est au dernier rang en J.

Mon siège aussi pouvait s'incliner; non seulement il le pouvait, mais il était impossible de l'empêcher de le faire partiellement, comme ceci. J'ai fait constater le problème à une PNC, qui m'a immédiatement proposé de changer de siège (le taux de remplissage en J était de l'ordre de 80%), mais la chose ne me gênait guère, et je voulais uniquement faire remonter le constat d'anomalie à la maintenance.

Ce qui n'avait aucune anomalie perceptible, c'était le dîner, servi toujours aussi efficacement, avec un café pour terminer. J'ai aperçu des bouteilles de vin, mais je ne m'y suis pas intéressé.

Une durée de vol de 1h40 selon l'horaire, 1H20 selon le CDB, et une arrivée parfaitement ponctuelle auprès du drapeau lumineux géant de Taïwan, situé au centre du terminal.

Passage éclair de l'immigration et livraison rapide de mon bagage. Cette fois-ci, ce n'est pas un bus express pour arriver à la gare centrale : le tarif est encore plus modeste (90 TWD au lieu de 125 TWD, diviser par 40 pour avoir des EUR), mais il n'y a pas d'IFE.

Arrivée chez moi au bout de vingt heures de voyage porte à porte (exclusivement en transport en commun, et en ayant pris des marges) : ces deux semaines en Europe ont passé vite, très vite, trop vite, mais cela fait pourtant du bien de retrouver mon pays d'accueil qui m'accueille si bien.