Avis du vol entre Strasbourg et Lyon en classe Economique avec Air France Hop

Bonne année 2019 à tous !
Ceci est mon deuxième Flight Report. J'ai essayé de prendre un peu plus de photos cette fois-ci ! Comme la dernière fois c'est un vol de nuit, donc je suis désolé pour la qualité des photos.

Aujourd'hui, je rentre à Toulouse ! Comme il n'y avait pas de vol direct opéré par Air France pour cette période de l'année, j'ai opté pour une courte escale à Lyon.

Pour ce vol, je me suis enregistré en ligne la veille du départ, les places avec plus de place pour les pieds étaient toutes déjà prises, j'ai donc opté pour les places 06A et 06C à l'avant de l'appareil (il n'y a pas de rangée B ni E à bord de cet appareil).

Il m'a également été proposé d'imprimer mes étiquettes bagages à domicile, je trouvais cela amusant et ludique alors je l'ai fait. Je vous donne mon avis sur cela à la fin.

Vidéo explicative trouvée sur le site d'Air France

Aéroport de Strasbourg-Entzheim

Dans cette section, il y a peu de photos. J'ai oublié d'en prendre et je vous invite à consulter un autre Flight Report si vous voulez voir des photos de l'aéroport de Strasbourg-Entzheim.

Nous sommes arrivés directement à l'aéroport en TER, cette facilité et fréquence d'accès et vraiment un bon point pour cet aéroport. Cependant pour rejoindre l'aéroport il faut obligatoirement emprunter des escalators, ce n'est pas très pratique avec des valises.

Ensuite, comme je me suis rendu au comptoir d'enregistrement. J'ai cherché pendant quelques instants le comptoir pour mon vol mais je me suis vite rendu compte qu'il suffisait d'aller à un comptoir Air France. Il n'y avait personne devant nous, nous n'avons pas fait la queue. L'agent nous donne nos pochettes réutilisables pour mettre les étiquettes bagage que j'ai préalablement imprimé. Mon bagage en soute est pesé à 23,5 kg, pas de soucis !

J'avais déjà ma carte d'embarquement imprimée mais je préfère les cartes d'embarquement classiques, je les trouve plus pratiques pour le format et les informations. En effet, elle se glisse facilement dans mon passeport, comme cela je suis sûr de ne pas la perdre et je retrouve immédiatement les informations sur les portes d'embarquement. Encore une fois, aucun soucis, l'agent me donne une nouvelle carte d'embarquement.

Enfin, je passe au contrôle de sûreté qui se situe juste derrière les comptoirs d’enregistrement d'Air France. Il n'y a aucun contrôle à l'entrée, mais il faut tout de même scanner sa carte d'embarquement, il n'y a pas de barrière ni de moulin. Il y a une queue assez importante qui se divise en deux lignes de contrôle. Il y a pas mal d'attente et l'emplacement est relativement étroit, au final nous avons attendu une quinzaine de minutes. Les machines à rayon X font vieillottes et j'ai trouvé que le contrôle était trop léger. J'ai pu passer avec une montre au poignet sans que l'on me dise rien et je n'ai pas remarqué d'autre type de contrôle.

Une boutique dans l'aéroport

Je me retrouve donc enfin de l'autre côté. Et là c'est la déception, mis à part quelques magasins en Duty Free, il n'y a rien d'autre. Il n'y a pas de salon dans cet aéroport. Bref, prévoyez quelque chose pour vous occuper car il n'y a rien à faire dans cet aéroport, et ne venez pas non plus trop tôt.

Je me dirige donc vers la porte d'embarquement 04 qui se situe au niveau du sol. De cette porte on peut voir les avions moyen-courriers de dessous et un jet régional Hop! garé entre un Boeing de la Royal Air Maroc

Le temps passe et il fait déjà nuit…

Nous allons commencer l'embarquement et il se fera en bus ! Je n'ai pas réussi à trouver les journaux qui sont habituellement proposés par Air France avant pendant le pré-embarquement, dommage mais j'avais prévu le coup et j'ai téléchargé quelques magazines et journaux sur une des application d'Air France avant le départ pour m'occuper. Je vous présenterai cette application dans un prochain Flight Report.

Expérience de vol

Les agents d'escale demandent à certains passagers de déposer leur bagage cabine au pied de l'avion, ils pourront le récupérer au même endroit à l'arrivée.

Voici notre avion, un Bombardier CRJ-1000 ! J'ai pas pu prendre plus de photos de l'avion, car c'était interdit.

Comme nous serons assis à l'avant de l'appareil et qu'il n'y a qu'une seule porte, nous laissons passer quelques passagers devant nous pour faciliter l'embarquement.

L'avion n'est pas bien grand, mais ce n'est pas grave, nous n'y resterons pas longtemps. En effet pour tenir dans la cabine il ne faut pas être très grand !

Les sièges sont très confortables et on ne se sent pas trop à l'étroit !

Les sièges à notre droite (ceux des retardataires)

Il y a suffisamment de place pour les jambes et il fait froid dans l'avion

Une fois assis et bien que l'heure d'embarquement limite soit dépassée de plusieurs minutes, une hôtesse nous informe que nous attendons un deuxième bus. Nous attendons donc les retardataires !

Une fois le deuxième bus arrivé, on nous informe qu'il y en aura un troisième mais pas d'inquiétude celui-ci sera le dernier.

Les hôtesses nous font les démonstrations de sécurité et nous invite à lire les instructions de sécurité situées dans la pochette du siège devant nous.

Rien à redire, les consignes sont claires !

Il faut bien remarquer qu'il n'y a pas d'issue à l'arrière de cet appareil.

L'équipage nous annonce que nous allons décoller bientôt, que la météo sur notre parcours est claire est que le temps de vol sera d'environ 45 minutes.

Nous décollons donc de Strasbourg à 18h45 avec 35 minutes de retard mais ce n'est pas bien grave, nous prendrons un second vol à Lyon qui sera certainement à l'heure.

Je me suis rendu compte que le décollage sur ce Bombardier CRJ-1000 n'était pas quelque chose d'agréable, il y a beaucoup de vibrations et de bruit à ce mot, cela pourrait faire peur à certains.

Pendant le vol, nous n'avons pas eu de turbulences, cependant sur ce type d'appareil on ressent tout les mouvements de l'avion.

Pendant le vol, une collation a été distribuée. Les hôtesses nous proposaient un apéritif salé ou un biscuit sucré et une boisson au choix. Pour ne pas changer les traditions ancestrales, je prends un jus de tomate et un apéritif salé !

Un petit menu sympathique !

L'apéritif salé était bon, et le jus de tomate est bon comme d'habitude ! Cette collation est tout à fait adaptée à ce type de vol, on pourrait même s'en passer.

Le temps de débarrasser et Hop! on atterri sur Lyon, le vol aura vraiment été court. Nous atterrissons piste 35 droite (35R) à 19h15, puis nous marquons l'arrêt après avoir emprunté la bretelle de sortie avant de traverser la piste 35 gauche (35L). En effet, nous ne pouvons pas traverser cette piste parce qu'un autre appareil est en train de décoller comme l'indique les signaux lumineux rouges très visibles devant nous.

Enfin nous allons nous garer au terminal 2 à côté d'un autre avion identique. Le débarquement se passe sans accrocs, nous récupérons la valise au pied de l'avion et rentrons dans le terminal.

Arrivée au terminal 2 de l'aéroport de Lyon

Aéroport de Lyon

Ça, c'est une autre histoire !

Je vous invite à consulter la suite du voyage pour connaître mon avis sur l'aéroport de Lyon.