Avis du vol entre Paris et Stuttgart en classe Affaires avec Air France

Bonjour á tous,
avec plus de deux mois de retard, je trouve enfin un peu de temps pour le tronçon final de mon voyage au Brésil datant de la fin 2018. Heureusement qu'en ce moment je suis en phse creuse de voyages, je peux rattraper mon retard sans trop de stress^^.
Pour rappel, ce voyage m'a emmené depuis Stuttgart à Curitiba, capitale du Parana en passant par Amsterdam et Rio, puis à Passo Fundo, petit aéroport régional du Rio Grande do Sul en passant par Campinas, hub de la compagnie Azul. Le retour s'est fait par São Paulo et CDG avec une longue pause d'une journée en région parisienne, d'où mon arrivée pour ma connexion vers Stuttgart par le très aimé RER B.
Pour qui aurait manqué les étapes intermédiaires, c'est ici:

Fraichement débarqué du RER B, il me faut tout d'abord rejoindre le 2F pour prendre la navette du 2G. C'est certes indiqué mais pour qui ne connais pas ce n'est pas facile de trouver le départ de la navette. De plus les passages sont bondés.

Il me faut me faufiller parmi les groupes d'asiatiques.

Puis prendre cette passerelle des plus engageantes - mais Paris vous aime!

Arrivée au 2F qui est toujours aussi sombre = glauque à mon goût.

La navette est à l'entrée, certes fléchée mais tout de même difficile à trouver surtout lorsque l'on ne sait pas qu'il va falloir faire un tour en bus. Elle part juste après moi. Sans attente, en jouant des coudes, en marchant d'un bon pas et avec départ immédiat, il me faut tout de même près de 20min pour rejoindre le terminal. Adeptes du last minute, soyez prévenus.

Le trajet prend bien 5 min, le terminal est éloigné. Heureusement le PIF est vide et pour tout le monde. Les passagers en correspondance arrivenet directement par une porte à droite devant l'escalator et n'ont pas à repasser la sécurité. Un bon point.

Le hall d'attente, un peu petit pour le trafic de l'aérogare et on s'y emmerde profondemment. Néanmoins c'est confortable et connecté.

Moi je me rend sur la droite dans ce salon que je trouve bien réussi si ce n'est la hauteur sous plafond et l'offre chaude minimaliste.

Arrivant sur le tard, je sais cette fois que AF ferme les buffets à 20h15 même si les derniers vols partent à 21h30. Donc direction première sélection sans attendre. Le Perrier est un reste du passagers pécédent. Le ramassage est déficient avec le monde.

Stuttgart s'est fait voler la vedette par Rennes en n'étant plus le dernier vol au départ ;)

Le salon est encore bien rempli. C'est aussi un de ses défauts: un peu juste en plages de correspondances. A gauche un espace Ultimate protégé.

L'unique offre chaude: quiche, flammekuche et… bacon grillé?!?

Le reste est correct je trouve avec pains, soupes chinoises, fruits, douceurs sucrées, salades et fromages.

Par contre pour les vins et champagne, vraiment nul. Le vin rouge est sur une plaque réfrigérée et le champagne reste à l'air libre. Je sais bine que les passagers sont responsables de ce désordre mais AF ne fait rien pour y mettre de l'ordre. Un saut à vins et champagnes serait bien mieux avec espace séparés pour vins frais et à température ambiente.

Il est maintenant temps de rejoindre ma porte. Celle-ci est annoncée avec seulement 25min d'avance mais l'application KL me donne cette information bien une heure avant.

De toute facon c'était encore trop tôt.

Mon E170 est à l'heure

Instant escalier

Les salutations sont bof bof… Mon chef de cabine utilise tout le premier coffre à bagage pour ses affaires. J'ai le malheur de placer ma veste sur sa sacoche et je vois bien que ca le faire chier (oui c'est le mot), donc il va déplacer sa sacoche pour la mettre sur ma veste, la grande classe!

Le siège couloir restera vide mais uniquement du fait d'un remplissage moyen car sur le réseau donné en exploitation à HOP c'est comme sur KLM Cityhopper, il faut se serrer même en Business.

En cette fin de journée le tramac est quasi vide, la plupart des avions dormant en escale.

Instant porte vue de l'intérieur

Le service se fera de la même mannière que le vol à commencer - Monsieur le chef de cabine se fait royalement chier et le montre bien. Le plateau est jeté sans un mot. Les plastiques restent. Le pain est froid et dur. Il est vrai que le vol est à l'unisson avec mes précédents au Brézil ça sautille de partout!

Pour ce qui est de l'offre décedemment ces derniers voyages régionnaux sur les avions du groupe de suivent… Viande froide dure que l'on ne peut couper avec ses couteaux à bout rongs non coupant donnés et une tablette qui s'afesse dès que l'on appuit un peu. Des légumes certes bien cuits mais froids ce qui reste peu agréables. Je laisserai presque tout.
Débarassage en sautillant. Tout tombe. Monsieur rale, merci pour les passagers.

On finira par arriver sous cette note très dessevante. En guise de message d'au revoir j'aurai le droit à un je vous emprie au moment du dégagement du passage vers la porte mais rien d'autre. Honteux jusqu'au bout!
Bien évidemment mon bagage arrivera dans les 5 derniers. Quand ca veut pas, ca veut pas. Sur un avion de 72 places la gêne est limite il est vrai.

Voici donc la fin, ENFIN, de cette série. Au final aucin vol exceptionel, certains même ratés comme ce dernier et les code-shares sur GOL sans coix de siège et positionnement dans la cabine.

Au programme pour 2019: Paris (oui et juste Paris), Bordeaux x3, Zürich (une première rencontre pour moi!!!), Chicago, Vancouver et… le Brésil à nouveau! Cela promet de nouveau d'être chargé :)

A bientôt.