Bonjour et bonne année à tous ! Comment bien commencer l'année ? Rédiger un FR ! Retour en Septembre 2018 (ouille le retard de publication) après la parenthèse enchanté en J sur l'A340-600 d'Iberia, retour au basique, au low-cost, au vol purement utilitaire pour retourner à la maison après un excellent périple av-geek.
INTRODUCTION
Après le SSJ de Cityjet pour SN et le regretté F50 de VLM je pars pour un troisième petit périple Avgeek pour passer à la taille au-dessus avec l’Airbus A340-600.
Nous sommes au printemps 2018 quand les premiers A350 d’Iberia sont sur le point d’être livrées à la compagnie Espagnole. Je vois sur un poste Facebook disant qu’Iberia prévoit de les déployer dans un premier temps sur la ligne MAD-LHR pendant une partie des vacances d’été le temps d’entraîner les équipages. Personnellement l’A350 ne m’intéresse pas spécialement (on a encore le temps de voler à son bord) on trouve d’ailleurs 2 très bons FR de SkyteamCHC et Ducourf sur le sujet. Par contre le vol que les nouveaux A350 remplacent est celui habituellement effectué en A340-600. Je prends donc conscience que comme leurs homologues B747 ces derniers sont bel et bien une espèce en voie d’extinction.
Ayant 2 jours de repos consécutifs début septembre (Pile pour le retour de A340 sur la ligne) je regarde les tarifs, compliqué d’avoir un TLS-MAD avec escale à LHR sans vol multi-destination hors de prix. Dans l’autre sens Iberia propose souvent des routings bizarroïdes à un tarif intéressant et le miens est proposé au tarif canon de 67€ pour un TLS-MAD-LHR. Il me suffit donc d’ajouter un retour low-cost pour revenir de Londres et c’est Ryanair qui gagne haut la main avec son tarif à 17€!
Ce qui nous donne le routing suivant:
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3FR281 - Economique - Londres (STN) => Toulouse en Boeing 737-800
Coté FR cette ligne est plutôt bien documentée avec 2 reports le premier de Fernous972 peu de temps après l'ouverture des lignes Ryanair sur TLS, le second vient de moi lors de mon retour de mon vol Avgeek depuis Anvers pour prendre le F50 de VLM. Peu de surprise pour moi donc…
En route pour l'ASile de Stansted
Une nouvelle fois départ depuis Liverpool Street en "Stansted express" que j'avais réservé sur internet lors de l'achat de mon billet Ryanair au mois de Juin à un tarif donc abordable d'un peu moins de 15 livres (il y a tout de même 45 minutes de train).

Le trajet est plutôt confortable avec le wifi à bord, assez peu d’arrêts mais surtout un horaire parfaitement respecté. Attention pour les éventuelles resquilleurs des contrôles de tickets sont réalisés à l'arrivée se qui occasionne une file d'attente importante.

Toujours autant de monde dans l'aéroport de Stansted.

Mais beaucoup moins aux différents comptoirs d'enregistrements, c'est ce que l'on appel l'effet low-cost, nul doute qu'avec l'apparition des nouvelles règles bagages de certaines compagnies comme Ryanair ou Wizz les comptoirs doivent être plus garnis.

Welcome to Stansted ! Avec la très britannique Jet2 qui fait sa pub pour ses destinations soleils.

Connaissant un peu les lieux je ne tarde pas trop à rejoindre les contrôles de sécurités, il faut le vivre une fois pour le croire, c'est un peu un gros bazar avec beaucoup de monde malgré un nombre important de files ouvertes, des agents crient à tue tête de sortir les liquides des trousses même si contrairement à la dernière fois les agents avec qui je passerais sont plutôt souriant et sympathique. Evidemment beaucoup de passagers ne sont pas habitués à prendre l'avion et pour certain cela prends du temps.

On retrouve le jour après les passages de sécurités et avant de pénétrer dans la caverne à duty free.

SI vous arrivez ici (entrée de la zone duty free) et que votre vol est marqué en boarding, il faut commencer à courir.

Pour moi pas de problème la gate n'est pas encore affichée sur le FIDS.

La zone commerce et duty est l'une des plus longue que j'ai jamais traversé dans un aéroport, il faut bien près d'une dizaine de minutes sans flâner avant de rejoindre la zone d'attente principale. Et oui il faut bien financer les taxes d’atterrissages réduite.



Le parcage à bestiaux entouré de commerce "fast food" c'est ici que la majorité des passagers attendent l'annonce de leur porte d'embarquement.

En effet c'est à partir d'ici que l'on se dirige en direction du bon satellite soit en marchant soit à l'aide d'un petit train automatique.

Pour ma part sans être agoraphobe, j'aime bien ne pas être trop entasser avec mes congénères. Je décide donc de partir en direction des portes du terminal A qui est un des seuls connectés sans avoir besoin de prendre le train. En chemin quelques belles vues sur les aéronefs.

La jetée est grande, lumineuse et surtout très peu peuplée en effet les passagers ni passent au plus qu'une vingtaine de minutes le plus souvent debout dans une file d'attente pour un embarquement. On y trouve donc beaucoup de sièges libres. Attention toutefois les FIDS n'annonce que les vols de la jetée concernée.

Au bout de ce terminal on trouve même de belles baies vitrées le spotter qui sommeil en moi est donc ravis !

Bien évidement il y a du 737 Ryanair à la pelle, celui-ci arrive de Lanzarote

Le suivant s’apprête à partir vers Cracovie.

De l'autre coté du terminal Papa Hotel arrive lui de Gènes.

Tandis que Mike Alpha libère la place en repoussant cap vers Thessalonique.

Un peu plus loin des pilotes rejoignent leur appareil qui s’apprête à partir vers d'autres horizons.

Toutefois en regardant de plus près il n'y a pas que des appareils bleu/blanc et jaune. On trouve aussi des appareils plus confidentiel comme ce B757 de Titan Airways qui s’apprête à décoller vers Reus.

On y trouve aussi une importante activité fret avec ce B757 d'UPS qui s'envolera lui en direction de Varsovie.

On pouvait voir jusqu’à il y a quelques mois les A321neo flambant neuf de Primera Air qui effectué des vols transatlantiques, ce dernier livré par Airbus à la compagnie quelques jours avant n'avait pas encore volé sous ses couleurs qu'il gardera moins de un mois… un vrai gâchis.

Tout ces mouvements donne une activité plutôt instance pour l'unique piste de l'aéroport.

Après ce premier intermède spotting retour dans le hall de gare pour vérifier l'horaire de mon vol, une nouvelle fois celui-ci voit son heure d'affichage de porte retardé, ce qui doit aussi être perçu comme du retard…

Après quelques minutes le numéro de porte tombe, il s'agit une nouvelle fois de la porte 32, pour cela il nous faut emprunter le petit train automatique.

Le trajet ne dure qu'environ qu'une à deux minutes.

On rejoint une nouvelle jetée, plutôt grande et assez vide mais plutôt bien équipé en baies vitrées un atout majeur pour moi !

Du coup seconde séance spotting ! Toujours en bleu et blanc avec Victor Yankee qui arrive de Copenhague.

Tandis que India Zulu s’apprête à partir vers l'aéroport low-cost de Stockholm Skavsta.

Il n'y a pas que du Ryanair à Stansted on trouve aussi l'écurie Orange Easyjet en A319 avec l'autocollant Europcar qui s'appète à décoller vers Malaga. Il est a noté qu'Easyjet essaye de reprendre du terrain à STN avec l'ouverture d'une ligne vers CDG notamment.

FR est toutefois le maître incontesté des lieux avec Delta Hotel qui s’apprête à repousser pour un vol vers Paphos sur l’île de Chypre.

Un autre appareil au repoussage Oscar Mike part lui vers une destination un peu moins ensoleillée, Ostrava en République Tchèque.

Petit moment souvenir des compagnies disparus ou en passe de l'être, avec une grande partie de la flotte de Primera avec ses A321neo en partance pour Toronto et Washington Dulles. Tandis que le 737 partait lui vers Alicante.



Un vestige d'une des dernière grosses faillites à savoir un appareil aux couleurs d'Air Berlin volant pour Eurowings depuis Hanovre.


Wow aura elle bien souffert à l'automne 2018 avec la disparition d'un bon tiers de sa flotte, toutefois TF-JOY est encore au service de la low-cost Icelandaise.

Ryanair, elle n'a pas se genre de problèmes, avec pas moins de 456 Boeing 737 en service dont celui-ci qui arrive depuis Faro.


Stansted accueil aussi une activité Fret assez fournie avec ce 777 de FedEx qui atterri après un long vol depuis Memphis.

Il est possible aussi de distinguer ce Boeing 747F au loin avec derrière lui un appareil qui ressemble a un Boeing 727.

D'autres compagnies opèrent aussi depuis STN comme la filiale britannique de TUI qui dessert Burgas (Bulgarie) à l'aide de ce 737 équipé de scimitar wingtip.

Mais aussi Smartlynx Estonie qui assure un vol charter vers l’île grecque de Kos.

Cet A319 d'Easyjet s'envolera lui vers Bilbao.

Notre appareil arrive enfin depuis Trévise avec une bonne demi-heure de retard. Il s'agit d'EI-DAO un Boeing 737-800 livré neuf il y a déjà 15 ans à la compagnie Irlandaise.



L'embarquement est affiché comme en cours depuis plusieurs minutes toutefois les dames en charge de l'embarquement ne semble pas se pressé outre mesure pour lancer l'embarquement.

J'en profite donc pour prendre encore quelques clichés dont ce 737 de Ryanair qui arrive de Cracovie.

Le balai des Ryanair est vraiment impressionnant à Stansted.

Notre appareil est en porte et vient de déposer ses passagers tandis que le personnel au sol s'affaire autour de notre Boeing.

Si notre hôtesse du jour est en jupe, notre voisin de parking porte lui le kilt ! Comme vous l'aurez reconnu il s'agit d'un Saab 340B de la compagnie Ecossaise Loganair qui assure une liaison vers Dundee.


D'un coup l'embarquement est lancé au pas de course, j'ai bien pris soin de m'éloigner de la porte lors de la distribution des étiquettes bagages en soutes (report effectué avant le premier novembre et la disparition du bagage cabine type trolley gratuit chez FR).

Le BP du jour en version électronique.

Je passe donc rapidement dans les derniers et comme il faut aller vite l'agente proposée à l'embarquement ne fait pas attention si j'ai oui ou non un tag bagage sur mon trolley, je voyagerais donc avec tout mon barda sans avoir eu à attendre debout devant la porte… Ce monsieur m'ouvre la voie, il nous faut descendre d'un étage.

Puis un second afin de rejoindre le tarmac de l'aéroport Londonien

La pluie commence à faire son apparition après une belle journée Londonienne, quoi vous ne me croyez pas allez voir le bonus…

Ryanair est à ma connaissance l'une des rares compagnies à utiliser très régulièrement les escaliers intégrés à la porte avant du Boeing 737, il faut dire qu'il s'agit d'une option et donc assez peu d'appareils en sont équipés à travers le monde.

Notre voisin arrive lui à l'instant de Cologne.

Je ne traine pas plus sous la pluie et grimpe ce petit escalier afin de me mettre à l'abri non sans avoir réalisé un petit fuselage shoot avec bonus CFM-56.


Sans oublier notre cher modérateur Esteban !

A Bord du boeing 737 de FR
L’accueil à bord sera poli à défaut d’être souriant. On retrouve l'ancienne cabine aux teintes jaunâtre et bleu et au sièges qui montrent leurs quinze années de services.


Pitch étroit et plafonnier à l'ancienne sont les marqueurs de cette ancienne cabine.


A bord l'embarquement est en cours et comme Ryanair à la fâcheuse habitude de séparer les passagers d'une même réservation aux quatre coins de l'avion (afin de gagner quelques € supplémentaires en facturant un choix de siège) cela donne un sacré bazar les passagers préférant bien évidemment voyager avec leurs proches.

Mon unique voisin de gauche, un espagnole, est parti chercher sa compagne à l'autre bout de l'avion non sans avoir oublié de se mettre à l'aise au préalable #commechezmémé…

Dehors la pluie vient de passer la grille supérieure. La vue sur notre voisin de droite s'en trouve donc réduite


Après de nombreux appelles des PNC invitant les passagers à rejoindre leurs sièges tous ce petit monde semble avoir trouvé une place auprès de ses co-voyageurs, nous allons donc pouvoir partir !

En repousse finalement avec près d'une heure de retard sur l'horaire prévu.

Les pilotes démarrent les 2 moteurs qui propulsent notre Boeing 737.

Heureusement le roulage sera plutôt court pour rejoindre la piste 22.

Mieux vaut ne pas trop traîner il y a du monde qui attends derrière nous !

La cabine est prête pour le décollage

Notre appareil s'engage sur l'unique piste de l'aéroport, et nous ne tardons pas à commencer notre course d'élan.

Nous prenons les airs rapidement sur la droite de l'appareil défilent les hangars qui accueillent les centres de maintenances et les parkings pour jets privés, décidément deux mondes différents de chaque coté de la piste de STN.


Le survole de la verte campagne de l'Essex durant quelques instants avant que notre appareil file se cacher entre les nuages.



La couche nuageuse est au finale assez fine


Et se sont finalement les dernières lueurs du soleil qui accompagne notre montée vers notre altitude de croisière.



Jet privé ou 737 Ryanair le spectacle au hublot est le même, toujours un plaisir de voler et plus généralement de voyager…

Le soleil permet à notre carlingue de se refléter sur la nacelle de notre moteur.

En cabine les annonces et le service de vente à bord commencent. Ils connaîtront un succès modéré.

Pour la documentation de bord il faudra se contenter de la safety card collée sur le siège de devant.

Dehors la luminosité décrois rapidement à mesure que le soleil file vers l'ouest et que notre appareil descends vers le sud.




La couverture nuageuse se déchire enfin mais il fait bien trop sombre désormais pour distinguer le sol.

Winglet shoot !

Dernières lueurs du jour avant de plonger dans la nuit.


En cabine la majorité des passagers somnolent à présent.

Détail sur les coffres à bagages sans pub cette fois, par contre on voit bien que le plastique c'est bien délavé.

Pour avoir une idée de la route suivi par notre vol du jour, merci Flightradar24.

Mon voisin ayant sa lumière allumé pour lire il ne me sera possible de reprendre les photos qu'au moment de l’atterrissage, nos feux d’atterrissages illuminent la nuit toulousaine.

Les premières lueurs de la ville font leur apparition.

Tandis qu'au contraire en cabine, l'intensité lumineuse est réduite par l'équipage.

Nous descendons progressivement dans la pénombre pour une approche en 32.




Arrivée A toulouse
Puis nous rejoignons le plancher des vaches dans les lumières de la plateforme Toulousaine.

Les reverses sont sortis afin de nous ralentir lors de notre posé.

Ayant atterri sur la piste 32L il nous faut traverser la piste 32R afin de rejoindre le terminal.

Pas grand monde à cette heure là au hall D qui fait office terminal international.

Le roulage sera court et nous nous parquons rapidement, quelques minutes plus tard nous pouvons quitter cette cabine hideuse.

Débarquement par l'escalier avant, ici pas de pluie.

Dernière vue sur notre appareil du jour. Bye bye Alpha Oscar…

Petite marche sur le tarmac qui nous amène sous les passerelles du hall D où nous empruntons un escalier qui nous amènera dans la passerelle vitrée.

Direction le contrôle de la PAF qui sera passé plutôt rapidement cette fois-ci.

En chemin je croise cet A321 d'AF arrivé un peu plus tôt d'une navette depuis Orly.

Passage par la zone de livraison bagage où je ne marquerais pas l’arrêt ayant mes deux pièces de bagage à main avec moi.

Groud side il y a assez peu de monde vu l'heure avancée de notre arrivée toutefois la majorités des loueurs et autres commerces sont encore ouverts.

Le FIDS avec les arrivées du soir.

Je sors dans la nuit Toulousaine après une dernière vu sur la façade caractéristique de l'aéroport de Blagnac.

Avant de m’engouffrer dans le tramway direction la maison, on regrettera uniquement des fréquences assez faible pour la branche desservant l'aéroport.

C'est ici que se termine ce report et cette série j'espère que cela vous aura plus, il me reste encore quelques récits à rédiger datant de l'automne et l'hiver 2018 que je vais m'empresser de rédiger vu ce qui se profile pour 2019 !
Petit bilan de l'année 2018 en tout point exceptionnel pour moi coté av-geek avec pas moins de 50 vols soit 40% de plus que l'an dernier année record. On notera au palmarès des nouvelles compagnies empruntées : Cityline, Aer Lingus, VLM, Lufthansa Cityline, Lufthansa, Thai Air Asia, Air Nostrum et Iberia express. Ainsi que 7 nouveaux appareils parmi lesquels le Sukhoï SSJ100, Fokker 50, Bombardier Crj-900, Airbus A380-800, Airbus A320neo, Embraer Erj195 et Airbus A340-600.
Le tout sur une carte:

Coté report l'année fut aussi plutôt riche du coté Flightreport avec pas moins de 36 reports publiés en 2018 année elle aussi record dans le domaine.
Je vous laisse avec un petit bonus Avgeek:
Merci pour ce reportage. Prions pour que les Max8 haute densité poussent ces vieux appareils vers la sortie.
Bonjour BDANY38 et merci pour ce commentaire, ces vieux 737 ont des cabines au bout du rouleau toutefois je suis pas sur que les Max200 soit bien plus confortable car le pitch risque d'être vraiment étroit par contre les B737-800 équipés du Sky interior sont vraiment correct.
Bon vols !
Pour votre information le stansted express ne fait qu'un seul arrêt entre liverpool street et stansted.
Hello BDANY38. A moins que cela et changé il y a quelques mois le Stansted express marqué l'arret à Tottenham Hale ainsi qu'a Bishop's Stortford quelques minutes avant d'arriver à STN.
Bon vols !
Merci Hugo pour ce FR !
Grosse différence avec le vol précédent même si le plaisir de voler est toujours présent
Je vois que les contrôles des tickets sur le quai du Stansted express n’ont pas changé depuis mon dernier passage et engendrent toujours autant de bouchons
Le traffic Ryanair est juste impressionnant à STN alors que les autres avions des compagnies défuntes attendent de retrouver un propriétaire, étonnant marché du low-cost
Le bonus est sympa, je ne connaissais pas l’endroit
A bientôt
Bonjour Hugo et merci pour ce retour, en effet dur retour aux habituelles (pour moi) low-cost même si on reste loin de la torture... En effet le controle sur le quai semble un pré-requis lors de l'arrivée en Stansted Express.
Ryanair avait a une époque près de 40 appareils basés à STN, une vrai ruche !
Pour le RAF museum je ne peux que conseiller, il est extrêmement bien fait avec de superbes appareils bien conservés de plus il est gratuit pour ma part j'ai fait quelques achats à la boutique pour financer ce superbe monument de l'histoire aéronautique.
Bon vols !
Merci Hugo pour ce FR !
Excellent FR ! (je parle du site, pas de la compagnie :)_
Tu as rendu l'attente à STN et le vol Ryanair très agréable à suivre. Les aéroports anglais en général ne sont vraiment pas agréables, à part LHR et LCY.
A bord, c'est un vol utilitaire sans surprise.
2h50 de vol, il y a une erreur de notre côté car les horaires de vols sont bons. Je vais voire pour corriger cela :)
Je confirme que le RAF est très un bon musée, par contre cela prends beaucoup de temps pour y aller. Mais les passionnés comme nous ne comptent pas !
A + !
Bonjour Nico et merci pour ce sympathique commentaire, l'attente quand j'ai une vue sur les pistes ne me dérange pas du tout, pour les aéroports anglais je ne connais que STN, LCY et LHR j'ai donc visiter 2 des plus agréables ^^. Utilitaire je crois que c'est le mot pour Ryanair ça me rappel le C15 de mon vielle oncle... utilitaire aussi ...
Décallage horaire non pris en compte, faille spatiotemporel ou effet Brexit je vous laisse chercher :-p.
Le RAF museum à une superbe collection (j'ai rarement vu des appareils aussi bien conservés) les batiments sont aussi agréables ce qui n'est pas le cas de tous les musés d'aviation.
Bon vols !
Salut Hugo, merci pour ton partage!
Je n'ai jamais pris FR et c'est vrais que ton reportage ne donne pas vraiment envie....je pense que il n'y as pa que les avions que sont au bout du rouleau malheureusement.....les équipage aussi!
Merci pour la photo du 757 UPS! Ca fait plaisir de voir les couleurs de notre compagnie :)
Pour TLS, je connais bien l’aéroport, le dernière tramway est sensé de partir a minuit et c'est vraiment pratique ainsi que pas cher! Bravo la ville qui applique les mémés prix du transport urbain!
A bientot
Bonjour Renni et merci pour ce retour, en effet Ryanair ne montre pas son meilleur jour à STN avec en plus un appareil en fin de course. Etre membre d'équipage chez FR n'est en effet pas de tout repos notamment pour les équipages cabines qui ont des cadences importantes et un salaire très faible. Pour les PNT là aussi le rythme est soutenu mais c'est aussi une excellente école qui forme de très bon pilote, si tu sais voler chez FR tu sauras voler partout ailleurs, on peut d'ailleurs voir que le safety report de la compagnie Irlandaise est plutôt bon.
Concernant le tramway desservant TLS je trouve la fréquence assez faible pour un transport lourd alimentant un aéroport 1 tram toute les 20 min les week-end et après 19h en semaine, sans compter que la première rame n'arrive à l'aéroport qu'a 5h30 heure où l'aéroport est déjà en service depuis un bon moment. Pour la tarification standard c'est plutôt positif mais ça ne durera pas avec l'arrivée de la ligne C du métro.
Bon vols !
Merci pour ce FR!
STN est une vraie ruche qui semble friser la saturation avec la fréquence élevée des nombreux vols LCC.
Les pays d'Europe de l'est et la forte communauté polonaise en Angleterre y est bien représentée!
A bord, les clichés de l'IFE naturel sont de très bonne qualité, mais les cabines Ryanair (ancienne version) paraissent arriver à bout de souffle!
Excellente année et à bientôt
Bonjour Benoit et merci pour ce retour, pour STN ce n'est pas pour rien que les habitués le surnomme l'asile de Stansted... Pour les pays de l'Europe de l'Est en effet on en retrouve beaucoup dans le melting pot Londonien à voir comment cela va évoluer avec le Brexit. La cabine de ce vieux 737 (dans les trente premiers -800 reçu par FR) est complètement défoncée et mériterait un bon coup de jeune.
Bonne année à toi aussi et bon vols !
Merci Hugo pour le partage et la découverte en détail de STN qui ressemble à un joyeux bazar.
Je n'aime pas ces aéroports qui n'affichent les portes que tardivement pour pousser un peu plus encore à la consommation.
Merci aussi pour la dédicace porte :)
Un vol RYR sans relief mais sans problème, et c'est déjà très bien comme ça.
A bientôt !
Bonjour Esteban et merci pour ce commentaire STN, il faut le faire une fois pour le croire, heureusement la plupart des passagers partent ou son encore en vacances ils sont donc un peu plus cool. Pour les portes je suis tout a fait d'accord surtout que le hall principale est bondé avec peu de place pour s'asseoir alors que le reste de l'aéroport est vide ...
Avec plaisir pour la porte, vol sans relief mais en retard d'une bonne heure ... mais bon quand on sait que ce vol affiche un retard moyen de 51 min ...
Bon vols !
Bonjour Scorph et merci pour ce FR.
Ryanair fait du Ryanair malheureusement. A mon sens elle est loin de valoir Easyjet ainsi que certaines low cost d'Europe de l'Est (Wizzair,...).
STN n'a pas changé depuis mon dernier passage il y a presque 10 ans.
Encore un aéroport londonien saturé, toutefois je pense que cette aéroport pourrait être agrandi au vu de l'espace libre autour et devenir grâce à sa liaison direct en train depuis Londres une alternative à Heathrow.
TLS est vraiment un bon aéroport au niveau international, rien à redire. Le Tramway vers le centre-ville est vraiment pratique.
A bientôt
Bonjour Globetrotter avec plaisir et merci pour ce retour, pour ma part au niveau des LCC en Europe il est clair que je ne porte pas FR en première place (le site flightreport non plus par ailleurs). Je trouve aussi U2 un peu au dessus mes préférences allant à Iberia Express et Volotea. SI STN n'a pas changé en 10 ans le trafic à lui c'est intensifier, les aéroports Londoniens saturés sont en effet légions je n'ais pas entendu parlé d'extension de STN tout le monde semble attendre l'arrivée du Thames HUB qui semble être une chimère.
Pour TLS pour sa taille il est plutôt agréable même si la rénovation aurait encore pu aller plus loin.
Bon vols !
Merci Hugo pour ce FR.
Même sur une low cost on peut faire un formidable FR, bravo.
J'ignorais cet escalier sur certain 737.
A bientôt
Hello Valérie, je me sent limite plus à l'aise pour faire un FR sur une LCC peu être car plus habitué... pour les escaliers sur la porte avant des 737 cela date des premiers 737-200 après peu de compagnies prennent cette option assez pénalisante au niveau du poids de l'appareil cela dit rien qu'a Toulouse une passerelle type Jetbridge coûte environ 40€ par utilisation.
Bon vols !