Avis du vol entre Brussels et Bordeaux en classe Economique avec Brussels Airlines

Je vous avais laissé à la descente de mon vol de Montréal.
Me voilà au niveau des portes A d'où je vais bientôt repartir pour Bordeaux.
J'aime beaucoup cet aéroport, très spacieux, lumineux, très propre, très confortable, beaucoup de boutiques, bars, restaurants…

Je me suis arrêté quelques temps auparavant manger une gaufre elle était vraiment pas bonne.
C'est peut être ce qu'il manque ici, un endroit dans l'aéroport pour manger de vraies bonnes gaufres liégeoises belges…

On trouve beaucoup de chaises longues avec prises électriques, j'y ai fait une sieste d'une bonne heure un peu plus tôt

J'aperçois le Dreamliner qui m'a déposé ici 3 heures plus tôt repartir vers le pays des Caribous, escortés par 2 collègues Staralliance CRJ LH et CRJ SK

Ma porte pas encore affichée

J'arrive en porte environ 45 minutes avant le départ et aperçois notre oiseau :
OO-SSW, un Airbus 319 plus récent, qui a commencé sa carrière chez Iberia en 2007, avant de débarquer chez Brussels Airlines en 2012.

Début embarquement 11h35 plus d'une demi-heure avant le départ, très bien

Je m'installe sur la planche à repasser SN, qui est un peu raide comme toujours, mais pas trop inconfortable et avec assez d'espace pour mon 1m83

Le contenu de la pochette
Je passe le détail de la BOB consultable en ligne, attrayant et que j'ai déjà testé sur un autre vol.
Mais cette fois je ne consommerai rien.

Attachez vos ceintures on va bientôt partir

On repousse 12h25 accompagné de Tintin et des Red Devils

Puis on décolle 12h35

On passe rapidement au-dessus de la grisaille
Le personnel de bord sera très souriant avec un petit accent belge charmeur.
Pas mal de personnes consommeront, le service durera la moitié du vol.

Au bout d'environ une demi-heure de vol, nous survolons Paris.
Les photos donnent pas trop à cette altitude mais je vous assure qu'on voyait super bien.

La cabine pendant le reste du vol

Puis on descend vers Bordeaux…

…en traversant un épais nuage au-dessus de l'estuaire

Pour se poser finalement avec un peu de soleil à 13h45.

On débarque par les escabeaux en faux contact
Une dernière vue de notre appareil depuis l'intérieur du terminal.

Et là encore le gros point noir de Mérignac qui devient vraiment trop petit par rapport à l'envergure qu'il prend.
20 minutes pour passer la PAF, l'aéroport a très sous-estimé sa croissance, ni anticipé le rétablissement de contrôles suite état d'urgence.
Un local minuscule et j'aurai largement le temps d'aller aux toilettes, elles aussi minuscules.
Heureusement que Royal Air Maroc, Air Algérie, TunisAir n'arrivent pas en même temps, quand on pense qu'ils veulent lancer assez vite des vols directs vers les USA et l'Asie…

Quand je passerai parmis les derniers passagers, ma valise sera déjà en train de tourner sur le tapis, et pour le coup j'évacuerai très vite ces lieux
A bientôt, prochain FR plus tropical à prévoir pour janvier et février ;)