Ce retour de Hambourg pour raison professionnelle commençait mal :
Enchainement de vols
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- 2AF1711 - Economique - Hamburg → Paris en Airbus A319
… car AF n’avait pas été capable de me conserver mon siège, et pire, m’avait placé, certes au hublot, mais à contre-jour,

Mais en quelques clics, je rétablissais le bon ordre des choses : le 6A est une valeur sûre, éprouvée au fil de mes navettes suédoises de 2017.

Trajet en S-Bahn vers HAM
Quand on est à la proximité de la gare centrale de Hambourg, on peut rentrer à Paris en bus (c’est long, mais très bon marché)

Ou en train, pas avec ces trains là :

Ni avec ceux là :

Mais plutôt avec un train de cette famille là, ce qui est plus rapide qu’en bus. Pas celui-ci, me précise BESMRS (merci à lui), pour raison de nombreuses incompatibilités techniques.
Pour mémoire, Wikipedia m'apprend que cette gare est celle qui a le plus de trafic passager en Allemagne; elle occuperait selon ce critère la troisième place en Europe, derrière les gares parisiennes du Nord et de Châtelet-Les Halles.

Malgré les apparences, le plus rapide n’est pas un train à grande vitesse, mais un train rapide (Stadtschnellbahn, abrégé en S-Bahn), tout particulièrement la ligne S1 vers l’aéroport.

Mais attention, la ligne est en fourche, et en heure creuse, ce train va se scinder à Ohlsdorf

Les trois premières voitures (ou plus précisément les trois caisses de l’automotrice de tête) vont en direction de l’aéroport, et les trois suivantes vers Poppenbüttel.

Les habitants de Poppenbüttel le savent bien, en revanche, on rappelle cette particularité aux PAX qui ne vont pas tous quotidiennement à l’aéroport.

Bref, vingt minutes plus tard, l’afficheur dans la rame annonce que le train est à destination de Wedel, à l’autre extrémité de la ligne, ce qui signifie qu’il est temps de descendre.

HAM
Un escalier mécanique, un couloir un peu long, un ascenseur…

… et arrivée landside. Personne à l’enregistrement des vols Eurowings (à droite)

Et pas grand monde aux bornes destinées (notamment ?) aux PAX des vols Skyteam, en amont de comptoirs de dépose de bagages.

Un espace jeu au deuxième niveau de la mezzanine, là où se trouve l’accès à la terrasse d’observation

OLCI et pas de bagage en soute : je vais directement au PIF prioritaire, à droite.

Les bornes de lecture de BP refusent de laisser passer cette PAX et ses enfants, qui finissent par être hélés par une dragonne à un comptoir derrière moi.
Le passage du PIF se fait sans problème particulier, mais j’ai été frappé par l’attitude identiquement un peu désagréable du personnel supervisant la dépose des bagages à main et autres dans les bacs, de celui supervisant le nudoscope et de celle qui a effectué un contrôle aléatoire d’explosif. Au prix de dix minutes d’attente au PIF général, on a en revanche des agents adorables en fin de matinée, je le sais de source sûre, à savoir ce FR HAM-BRU de Kilmarnock.

Passage le long de boutiques duty-free où je ne m’attarde pas.

Mon étape suivante est en haut à gauche de cette photo

Le salon d’affaire multi-compagnies

HAM, le salon
Le dragon est courtois et efficace

Un présentoir de presse étrangère verso

Et allemande recto. En allemand ci-dessous, en anglais ci-dessus, il est précisé que ces journaux et magazines sont à lire sur place.

En arrière-plan ci-dessous, l’un des deux canapés circulaires pour mini-réunions.

J’ai oublié de prendre une phot d’ensemble du premier espace du salon, où se trouve notamment le buffet, mais en voici les canapés situés le long des baies vitrées donnant sur le tarmac (photo prise à mon départ ; ils étaient tous occupés à mon arrivée).

L’espace ci-dessus se prolonge à l’arrière plan par un corridor le long des baies vitrées – derrière la cloison à droite se trouvent les escaliers et ascenseurs.

Cet espace où je m’installe (car proche des baies vitrées pour le spotting) aboutit à un espace symétrique du premier, logiquement désert, car en cul-de-sac et situé au plus loin de l’entrée et du buffet. Comme tous les usagers de ce salon l’on déjà souligné avant moi, ce salon n’est pas très calme, car faute de séparation phonique du reste du terminal, il y a en permanence un bouhaha en bruit de fond, pas insupportable, mais impossible à ignorer.

Fail aux places le long des baies vitrées pour ce qui est de l’alimentation électrique : les prises au sol sont monopolisées pour l’alimentation de colonnes lumineuses. Il faut penser à venir avec sa prise multiple (en supposant que ce détournement soit toléré…).

Les canapés situés loin des baies vitrées ont des prises électriques de type E/F (mais pas de prises USB qui ont tendance à se généraliser ailleurs).

Pour ce qui est de l’accès internet, entre le salon de HAM et celui de CDG, il n’y en a pas un pour racheter l’autre, en ce début de semaine.

En revanche, rien à dire pour la propreté : cette employée tourne en permanence dans le salon pour débarrasser et nettoyer. Il y a l’embarras du choix de place pour s’installer en arrivant au salon peu après 14h.

Le buffet : on tombe dessus en tournant le coin après le comptoir d’accueil à l’entrée.

Ces photos se passent de commentaires.



Quasiment pas de protéines animales, à part ces fourrés à la viande de porc et un conteneur de saucisses de Francfort chaudes.

Outre les habituels distributeurs de café et thé, il y a ces boissons avec et sans alcool (mes excuses pour ce cliché assez flou).

Spotting humide
Je n’ai pas immortalisé ma collation qui n’était pas inoubliable, pour me concentrer sur le spotting, malgré une météo qui était beaucoup moins favorable que celle dont Kilmarnock a bénéficié une semaine plus tôt.
Le seul gros porteur à cette heure là est ce 777 EK

… en faisant abstraction de ce 707 définivement parqué de l’autre côté des pistes

Arrivées successives d’un A319 Eurowings

A319 Austrian

Et l’A319 AF qui va me ramener à CDG

Effet étincelant dû aux gouttes d’eau sur la vitre

Le temps s’améliore au loin

Mais c’est encore dans un déluge qu’atterrit cet A320 Iberia

Le voici qui arrive au terminal

Sur un tarmac inondé

Repoussage d’un A320 Swiss

Départ d’un E-190 KLM

Arrivée d’un A320 Germanwings

Toujours autant d’eau sur la piste, à l’arrivée de cet A321 Lufthansa

Wind Nord/Ost, Startbahn drei-drei
Bis hier hör' ich die Motoren
Wie ein Pfeil zieht sie vorbei
Und es dröhnt in meinen Ohren
Und der nasse Asphalt bebt
Wie ein Schleier staubt der Regen
Bis sie abhebt und sie schwebt
Der Sonne entgegen

Ich seh' ihr noch lange nach
Seh' sie die Wolken erklimmen
Bis die Lichter nach und nach
Ganz im Regengrau verschwimmen
Meine Augen haben schon
Jenen winz'gen Punkt verloren
Nur von fern' klingt monoton
Das Summen der Motoren
(C’est très tendance de citer une célébrité du monde de la chanson dans un FR concernant HAM).

Le ciel commence à se dégager

Il est 14h56 : mon vol est affiché en train d’embarquer

Mais deux minutes plus tard, à un autre FIDS du même salon, je peux encore attendre

Embarquement
J’ai préféré ne pas chercher à savoir quand ce FIDS allait se réveiller. L’espace est très dégagé le long des portes d’embarquement : cela change de CDG-2F !

A droite, les boutiques sont bien gardées.

Encore un peu de spotting : A321 LH sur le départ

Et « mon » A319 au soleil revenu


Il n’y a plus de PAX en porte : je suis parmi les derniers à embarquer

A319 Eurowings à la porte voisine

Instant porte

Fuselage shot

Les deux rangs de J ne seront pas complets

On n’attend plus guère que moi, en 6A, et cela semble bien parti pour avoir un siège vide à côté de moi

La moquette n’est pas impeccable, mais c’est acceptable

Pour ce qui est du pitch, il est tout aussi serré dans cet A319 que dans l’A318 de l’aller.

Ce qui est tout aussi inconfortable quand on est de grande taille, même en étant au couloir, comme à l’aller également.

Instant F-OITN

La fiche de sécurité recto-verso

Je n’ai pas utilisé cette patère, faute d’avoir emporté le crochet qui permet de la rendre fonctionnelle – son piton est beaucoup trop petit.

Le hublot maculé de goutelettes réduit à néant mes efforts de spotting avant le début du roulage. (Atterrissage d’un A319 LH)

Deux issues sur l’aile, mais c’est quand même un A319, à haute densité de sièges comme chez Easyjet.

Je me suis demandé à quoi servent ces deux Smart sur le tarmac

Embarquement terminé : le siège milieu est resté vide, comme à l’aller. (BESMRS, dans son commentaire, précise que c'est effectivement un confidentiel privilège FB-Plat). Notez la prise USB à l’extrémité de l’accoudoir.

Le ciel se dégage peu avant le repoussage, mais il pleut encore

Le terminal vu après le repoussage

Une accorte employée de piste monte la banderole de la goupille de blocage du train avant

Elle ne s’attarde pas et repart au plus vite vers le terminal

Roulage le long du terminal : l’A320 Iberia vu à son arrivée et un A319 LH

L’extrémité du terminal est dédiée aux LCC : un A319 (lui aussi à double issue sur l’aile) et un A320 Germanwings

L’A320 Germanwings

Et une bonne prise : la belle livrée noire et jaune de D-AIZR, l’A320 Eurowings aux couleurs du club de football Borussia Dortmund dont l’emblème sur l’empennage rappelle qu’il a été fondé en 1909. (Cette fois-ci, c'est bien un A320, merci Lucky Luke…)

Alignement piste 33

En vol
Décollage

Sortie de la couche nuageuse.

Über den Wolken
Muß die Freiheit wohl grenzenlos sein
Alle Ängste, alle Sorgen
Sagt man
Blieben darunter verborgen
Und dann
Würde was uns groß und wichtig erscheint
Plötzlich nichtig und klein
(Über den Wolken, Reinhard Mey, 1974)

Les nuages vont vous épargner me cacher le paysage pendant l’essentiel du vol.

Bref aperçu de l’Elbe, avant que les nuages ne se referment

Après avoir mis son téléphone à recharger et casé tant bien que mal ses jambes, mon voisin s’endort.

… pendant que je reçois la collation, qui à bord du vol AF1711 HAM-CDG de 15h30 est exactement la même que celle servie à bord du vol AF1510 CDG-HAM de 15h30 de la veille.

Comme l’a remarqué Okapi dans mon FR précédent, les 47% d’ananas de ce gâteau sont composés d’ananas, de sucre et d’eau. La quantité de sucre et d’eau ne saurait être nulle – ce serait sinon une information mensongère - mettons qu’il y en ait 10%. Cela laisse 90% d’ananas dans l’ananas. Ah oui, mais de quoi sont composés les 90% d’ananas ? De 90% d’ananas et 10% de sucre et d’eau, bien sûr !
Tout élève en premier trimestre de Maths Sup connait la limite de cette suite quand sa raison est inférieure à 1 : en poussant l’analyse, il est mathématiquement prouvé que ce moelleux exotique ne contient pas d’ananas du tout, et accessoirement qu’il contient rien moins que 47% de sucre et d’eau dans des proportions relatives inconnues.
On notera aussi que non seulement ce produit ne doit pas être recongelé, mais qu’il doit être consommé dans l’avion (contrairement au gilet de sauvetage qui doit être consommé hors de l’avion).

Je frémis à la pensée des sanctions douanières qui me guettent si je descends de l’avion avec et je le déballe donc

Autopsie de la chose qui a exactement le même goût qu’à l’aller : de la noix de coco et un soupçon homéopathique, pour ne pas dire infinitésimal, d’ananas.

Je ne sais s’ils avaient plus d’ananas devant le rideau

Vue du réacteur, à défaut du paysage en dessous

Les nuages se dégagent au niveau de Liège qui a dû être visible à contre-jour à droite de l’appareil. A défaut, voici Lierre, dont le béguinage est cité par l’Unesco comme faisant partie du patrimoine mondial de l’humanité. Je vous accorde volontiers qu’on ne le distingue pas, au centre de cette photo, même à la résolution d’origine.

Plus facile à reconnaitre, mais culturellement moins prestigieux : le site du festival Tomorrowland, à Boom, ici à gauche de l’autoroute A12, avant le franchissement du Rupel, affluent de l’Escaut.

Duffel, commune dont le nom est passé dans le langage courant : c’était ici qu’était tissée la laine très épaisse des duffel-coats. C’est le seul souvenir de cette industrie qui fit la fortune de la Flandre au XIX° siècle : l’usine que vous voyez au centre de cette photo est un très important laminoir d’aluminium.

Kilmarnock ayant montré l’aéroport de Bruxelles en repartant de Hambourg, je ne pouvais pas me permettre de ne pas en faire autant.

En bonus, voici la ville de Bruxelles



Aperçu par une miraculeuse trouée dans les nuages, l’autre grand aéroport belge, Charleroi (CRL), une base importante de Ryanair, affublé sans surprise du nom « Bruxelles-sud ».

L’avion fait un curieux zig-zag dans la descente

Un lecteur en connait-il la raison ?

Arrivée à CDG
Air to air avec un Dash 8-400 Flybe en descente vers le doublet sud de CDG – la médiocre transparence de l’air ne me permet pas de faire mieux.

Juilly

Coucher de soleil

On aperçoit à peine le vieux village de Mitry-Mory derrière les immenses entrepôts de sa zone industrielle

De gauche à droite, les terminaux 2E et 2D et la gare TGV-RER de CDG

Le terminal de CDG, canal habituel (pour moi)

Le double taxiway effectuant la liaison entre le terminal 2 côté Est et le doublet nord
Sur la droite, le parking des appareils long-courrier Skyteam est bien vide.

Coucher de soleil sur la toiture de la jetée 2 du Terminal 2F

Le Terminal 2 défile au loin – à droite, la toiture plate de la gare SNCF

Posé des roues à 16h46, déploiement des inverseurs de poussée

Le terminal de CDG, canal historique

787-9 ANA

Le manque de lumière et les cahots au roulage un peu rapide ne facilitent pas la prise de vue : c’est le logo de la RAM sur l’empennage et le crénelage des capots de GEnx, mais je n’ai pas trouvé de référence à un 747-8 à la RAM. BESMRS (encore lui !) m'indique que c'est le remplaçant du 744 qui a effectué son dernier vol en septembre de cette année.

La, c’est plus facile : A330-200 Kuwait Airways

A319 Brussels Airlines

A350 LATAM

Passage au dessus de l’autoroute A1

Ce 738 Travel Service (OK-TVT) a été endommagé lors d’un atterrissage « dur » le 22 févier 2014 ) à TER (Açores).

A320 Vueling

738 TUI

Arrivée d’un appareil marocain

Cet A320 appartient à Air Arabia Maroc

Un autre A320 de LCC maghrébin, la tunisienne Nouvelair

L’un de mes A310, en copropriété avec mes concitoyens


La brochette d’appareils au parking LCC

La cabine avait la même taille que celle d’un E-190, mais il n’a pas eu le même succès commercial.

Roulage le long du siège d’AF

Le hall K du Terminal 2E, au fond

Dernier virage à côté d’un A319

Instant Danette après l’arrêt complet de l’appareil

Il n’y a plus de tradition : ce vol AF en provenance d’Europe du Nord est en avance d’un quart d’heure.

Cheminement à l’étage inférieur de la jetée

Et surprise : passage par les aubettes de la PAF pour un contrôle d’immigration qui sera rapide.

Puis descente dans la salle de livraison des bagages, déserte

Comme bien souvent, cette boutique duty-free est fermée

Il n’y a qu’un attroupement de douaniers juste avant la sortie landside, mais il ne feront pas mine de me souhaiter la bienvenue à leur manière.

Il ne me reste plus qu’à payer le parking (71 EUR pour moins d’un jour et demi !)

Mais pas ici, à la barrière de péage

Et rentrer chez moi, alors que la circulation est déjà engorgée en petite couronne

En résumé, la trajectoire relevée sur Flightradar24.

Merci de m’avoir lu jusqu’ici !
Je vous propose maintenant un bonus sur un bâtiment de Hambourg qui fait partie de mon patrimoine.
Il y a des bâtiments, comme ce parking à voiture juste à côté de la gare centrale de Hambourg, qui sont franchement quelconques de jour

Et qu’un éclairage un peu soigné magnifie la nuit.

Hambourg est l’une des villes où se trouvent parmi les plus beaux exemples d’Expressionisme de brique, style architectural apparu dans les années 1920.

Mais si estimables soient les réalisations de Hans und Oskar Gerson, qui sont signé le Sprinkenhof, ci-dessous et ci-dessus.

… ainsi que le Meßberghof, ci-dessous,

… elles n’ont pas le trait de génie de Hans Hölger, qui a dessiné la Chilehaus (« Maison du Chili », car le commanditaire avait fait fortune en important du salpêtre chilien).

L’architecte a allégé la silhouette de ce bâtiment massif (4,8 millions de briques !) en réduisant la taille des derniers étages, et utilisé le plan de la parcelle pour donner à cette pointe effilée une allure de proue de paquebot, la quintessence de la modernité à l’époque.

Cette réusssite architecturale a valu à cet immeuble d’être associé à Speicherstadt, le quartier des entrepots de l’ancien port de Hambourg, dans le classement de ce dernier au patrimoine mondial par l’Unesco.

Un condor, symbole du Chili, à l’extrémité du bâtiment.

Entrée de la principale cour intérieure

La cour est tout aussi impressionnante de jour…

… que de nuit

La façade illuminée

La proue du navire dans la nuit

A bientôt pour le prochain embarquement !

Merci pour le Fr :o)
Le hasard n’a rien de présent dans la présence d’un siège libre : c’est même ultra classique !
Les rangs x à 8 sont réservés : Flex, abonnés, Platinum, Club 2000 et VIP… en configuration 1-X-1 !
Un pax lambda ne pourra pas les sélectionner à l’OLCI ou en pré-assignation.
Par contre des pax éligibles pourront sélectionner le siège central (en cas de voyage à 3 par exemple).
Je doute que l’ICE-T (pendulaire) qui assure un ICE de la ligne 28 vers Berlin soit technique apte à venir en France (pas de 25 kV, pas de KVB, ni d’ERTMS, gabarit germanique, etc.)… mais bon on peut toujours essayer !
Pour moi S-bahn vient de Stadtschnellbahn (appellation berlinoise de 1929 ?
Le 747-400 de la RAM a fait son dernier vol en septembre 2018, son successeur a visiblement été livré !
Merci beaucoup pour ces nombreuses précisions et correctifs, Herr Professor Doktor BESMRS !
J'ai repris le texte de ma copie maculée de rouge - j'attends avec crainte la relecture du prof d'identification d'avion ;)
(Wikipedia indique que S-Bahn provient "höchstwahrscheinlich" (= le plus vraisemblablement) de Stadtschnellbahn, en mentionnant l'origine berlinoise, sans être catégorique). Je n'avais pas envisagé que cet ICE puisse aller en France, mais tout au plus qu'il puisse m'en rapprocher, sans me préoccuper de sordides considérations de ligne auquel ce modèle pourrait être affecté dans la réalité ;)
Merci, à bientôt pour le prochain épisode !
Cher co-propriétaire d'A310 (excellent ... !),
Merci pour ce FR dans la pure tradition Marathonienne, à savoir avec plein de détails intéressants avec un joli spotting (autant que possible vu la météo) au départ et à l'arrivée.
Sans prétendre rivaliser pour le poste de "prof d'identification d'avion" cité ci-dessus, je me permets de te signaler que tu cites deux fois un A320 Eurowings qui est en fait un A319 comme tu le soulignes plus loin avec la raison de la confusion fréquente entre les deux (les doubles issues d'aile) ainsi que deux typos concernant Germania iso. Germanwings. Bref rien de bien grave mais je préfère te le dire avant que tu ne t'attires les foudres d'un autre :-)
A bientôt.
Je doute qu'il y ait eu beaucoup de monde à la plateforme d'observation cette fois-ci.
Merci pour ces correctifs, et à bientôt !
Merci à toi cher Co Pro (l’assemblée générale pour la rénovation de la façade de l’Airbus est pour bientôt !)
Très joli spotting mouillé a HAM, et sans fautes s’il vous plaît (a moins que je n’en n’aie loupé !)
Le gâteau à l’ananas sans ananas il faut l’inventer quand même !
A bientôt !!
Notre copropriété se porterait mieux s'il y avait plus de Co Pro présents ou représentés à l'assemblée générale, et si tous payaient leurs charges ;)
Il fallait vraiment passer l'objectif entre les gouttes cette fois-ci pour le spotting.
La présence de noix de coco rendait ce gâteau "à l'ananas" meilleur que les gâteaux réellement à l'ananas dont les Taïwanais sont si fiers.
A bientôt !
Merci pour ce récit retour François!
Je vais finir par croire que tu m'as suivi à Hambourg haha, beaucoup de photos et de trajets sont similaires à ce que j'avais vécu 1 semaine avant ^^
En revanche tu décris de ton côté ce beau salon à l'offre plutôt moyenne.
Dommage pour la météo. Le trafic à HAM ne mérite cependant pas de s'y attarder.
Tu as donc toi aussi eu un personnel adorable au PIF.
Merci également pour ce joli bonus architectural! On ne peut donc pas dire qu'il ne casse pas des briques ^^
A bientôt.
J'ai bien révisé ton FR avant d'aller à HAM (si si, c'est vrai !)
En deux déplacements à HAM, j'ai eu plutôt de la chance côté météo, car je suis chaque fois arrivé dans le terminal juste avant la pluie. A cette saison et à cette latitude, on ne peut pas espérer beaucoup de lumière dans l'après-midi.
Bien vu au sujet de ces immeubles :)
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Merci Marathon pour ce FR!
Le salon offre de belles vues sur les pistes!
A bord, les photos sont magnifiques!
Le survol de Charleroi est bien présenté mais je trouve que le catering à bord reste bien "cheap".
Excellente journée à toi et à bientôt
Un salon très spotter-friendly qui fournit une vue imprenable sur les deux pistes. La seule erreur de conception, ce sont les baies vitrées inclinées qui prennent toute la pluie.
En vol, j'ai eu de la chance de voir BRU et CRL - ce n'était pas gagné d'avance.
Avec Eurowings comme seul concurrent en vol direct, AF n'est malheureusement pas incitée à faire beaucoup d'effort sur cette ligne.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Merci François pour le récit :)
J'aime bien ce salon à HAM, même si l'offre y est limitée et qu'il est un peu bruyant, il y a beaucoup de place, et la vue directe sur le tarmac est très appréciable...
A bord, rien de bien mémorable. L'offre est symbolique, elle a le mérite d'encore exister quand les lignes MC passent inexorablement sous pavillon Joon...
Jolies vues depuis le ciel, idem pour le bonus :)
A bientôt !
En dominant le tarmac, ce salon offre une excellente vue sur les mouvements d'avion, mais les PAX ordinaires ne sont pas oubliés pour autant, car il y a une terrasse en accès libre landside fournissant une vue similaire, et on a aussi de bonnes vues à proximité des portes successives.
Objectivement, ce qui compte à bord, ce n'est pas ce petit gâteau de faible valeur qui passerait au PIF, mais la boisson si l'on apprécie d'avoir plus que de l'eau froide.
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Merci pour ce FR
Tour d'horizon des moyens de locomotion entre Hamburg et Paris mais aucun qui ait
convaincu Mètre Marathon de réduire son empreinte carbone ;)
Joli spotting sous la pluie
"(C’est très tendance de citer une célébrité du monde de la chanson dans un FR concernant HAM)."
Cette célébrité pourrait mériter d'être connue donc pourquoi ne pas la citer ?
Salon avec une offre bien légère mais on peut toujours imaginer qu'aux heures des repas
une offre chaude conséquente soit présente.
La vue sur le tarmac permet d'avoir une compensation
Cabine semblable à celle du vol aller
Le moelleux exotique, ayant un meilleur goût que les patisseries taiwaïnaises au même fruit,
fait un retour (presque) gagnant.
Même si mathématiquement il n'est pas si sur qu'il contienne de l'ananas !
"pour ne pas dire infinitésimal, d’ananas."
Effet direct de la mise en doute de l'existence de Dieu, pardon d'ananas dans le moelleux.
Vous avez la dent dure, à défaut de l'avoir sucrée, contre ce pauvre moelleux décongelé.
Fin de vol avec de belles vues aériennes
Très beau bonus architectural dont le point d'orgue est cette Chilehaus
A bientôt
« Aucun moyen de locomotion entre Hamburg et Paris qui ait convaincu Mètre Marathon de réduire son empreinte carbone »
-> Je doute que mon employeur accepte de me faire passer une journée entière rémunérée dans les transports terrestre au motif de réduire mon empreinte carbone, même s’il ne s’interdit pas un peu de greenwashing à l’occasion.
« Cette célébrité pourrait mériter d'être connue donc pourquoi ne pas la citer ? »
-> Je fournis le nom de Reinhard Mey un peu plus loin dans le récit. En cas d’impatience, un moteur de recherche californien dévoile sans peine l’auteur de ces vers.
« on peut toujours imaginer qu'aux heures des repas une offre chaude conséquente soit présente au salon »
-> La disposition des présentoirs ne semble pas prévue pour améliorer l’offre chaude dans la journée.
« La vue sur le tarmac permet d'avoir une compensation »
-> Dommage que les vitres soient inclinées de manière à maximiser l’exposition à la pluie.
« Cabine semblable à celle du vol aller »
-> Semblable, mais pas identique : les sièges de l'A319 sont en cuir, contrairement à ceux de l'A318 de l'aller.
Le moelleux à l’ananas, un sujet inépuisable, à la différence de la quantité d’ananas y présente !
J’avais aperçu fugitivement la Chilehaus lors du déplacement précédent et m’étais promis de la revoir plus longuement. C’est chose faite, et j’ai déjà des idées pour le bonus de la prochaine fois.
Merci pour le commentaire, à bientôt pour de nouvelles aventures !
Merci François pour ce FR :)
Les transports à Hambourg sont d'une facilité déconcertante : tout est fait pour aiguiller le passager. Pas comme dans un certain aéroport français, où l'on vient de voter une nouvelle ligne Express tarifée à 24€ aller-simple...
Salon sans grande offre mais qui permet d'attendre confortablement, et c'est le principal.
A bord, à nouveau cette prestation trop juste pour ce vol d'1h30 bloc-bloc. Dommage qu'AF ne fasse pas d'efforts.
A+
L’interface homme-machine des distributeurs automatiques est (comme bien souvent) un peu compliquée pour un PAX qui la découvre à l’aéroport : une raison supplémentaire pour qu’il y en faille plusieurs dans la salle de livraison des bagages.
Ce salon soutient honorablement la comparaison avec ceux de CDG-2F, certains critères en compensant d’autres.
La concurrence en vol direct étant limitée à Eurowings, AF n’est pas incité à faire des efforts sur cette destination. Par ailleurs, ce vol d'approche n'est pas le critère de choix principal pour les PAX en correspondance avec une destination long-courrier.
Merci pour le commentaire !
Merci Francois pour ce retour relaté cliniquement comme à ton habitude.
Autre de mes lacunes : HAM. Ce n'est clairement pas le salon qui me fera écourter un éventuel week end la bas. Ce n'est pas pas un tord après voir vu le bonus, bien nécesssaire à rendre sexy des empilements de briques au nord de l'Allemagne (à Rome cela s'appelle une ruine antique...).
Autant savoir les raisons de l'absence de voisin en tant que plat tant que tu le restes. Sinon tu ne pourras plus évoquer avec nostalgie cette glorieuses période une fois retombé au niveau Gold ! Pour se consoler, tu pourras en revanche te dire que cela n'avait rien de systématique ce qui est commercialement assez logique pour AF car accorder cet avantage rapproche encore plus l'expérience passager Y avec statut de la J.
Il n'y a pas que des assemblages de briques à voir Hambourg : le Musée des Arts Décoratifs semble mériter la visite, mais il m'est difficile d'en inclure la visite dans un déplacement professionnel à l'emploi du temps toujours trop serré.
Ce siège milieu souvent neutralisé est beaucoup moins appréciable à mes yeux que d'être presque assuré d'avoir le meilleur siège au hublot selon mes critères. La perte de statut à venir devrait être surmontable psychologiquement :)
Merci pour le commentaire !
Vielen Dank für dieses Lied von Reinhard Mey. Ich kannte es (und auch ihn) nicht!
Er hat Recht. Wenn man über den Wolken ist, erscheinen die grosse und wichtige Probleme plötzlich klein.
Leider, in einem meinen künftigen Berichten wird das nich Wahr sein, und die Probleme, die wir normalerweise nicht sehen, werden plötzlich ganz klar sein. :(