Avis du vol entre Tokyo et Warsaw en classe Economique avec LOT Polish

Bonjour à toutes et tous.

Voilà les vacances sont terminées, il est temps de rentrer.
Nous prenons le NEX à 8 :00 depuis la gare de Tokyo, le tarif est cher, 3020 yen mais c’est rapide et confortable. 
Les informations sur les vols sont affichées et le pas est très bon.
 

Nous arrivons au terminal 1 de NRT.
Direction la partie SUD

Aujourd’hui c’est mini Bretzel qui rentre, je l’accompagne car je veux profiter de la terrasse d’observation et j’ai réservé la dernière nuit dans un hôtel à proximité de l’aéroport.
Au départ j’avais prévu de visiter un musée en plein air (Bosi-no-mura) , l’hôtel organisant un transfert avec une navette à des heures fixes, mais une sinusite aura raison de moi et je modifie mes plans pour une séance de spotting le matin et du repos l’après midi.

Nous avons effectué le check in sur internet et j’ai misé sur le fond de l’avion avec un triplace au rang 30 occupé à droite, je place donc mini à gauche en croisant les doigts (et ce sera le cas à bord pour son plus grand plaisir)

Nous allons aux bornes pour imprimer ses BP car son téléphone étant très vieux la charge n’est pas énorme.

Nous nous quittons à l’entrée du PIF. Et me voilà en route pour la terrasse.
 

Avec amusement je constate que les boules à neige sont interdites dans les valises cabine.

Celle ci se trouve à côté de la zone boutique et restaurant landside, elle n’est d’ailleurs pas indiquée.

L’ayant repéré sur le plan du site de l’aéroport je tente ma chance et je tombe directement sur une première entrée. 

La zone est sympathique avec des bancs et des chaises etc.
Je trouve un banc de libre, m’y installe et profite du moment. 

Mes voisins sont des pros avec des téléobjectifs, plusieurs appareils.

Au début ils me regardent un peu bizarrement, on ne voit pas tous les jours un bretzel féminin en train d’immortaliser des avions.

Mon but est avant tout de faire un dernier coucou à Mini B , enfin surtout à son 787-9 de 6 mois.^^

seance photos à narita

China Airlines en A330-300

SAS en A340-300

Un 747 CARGO

un A380 Malaysia Airlines

Alitalia en livrée skyteam B777-200

Swiss en A340-300

Air France en B777-300

un peu de local

Jin Air en B737-8

Ahh le voilà celui que j'attendais

un dernier coucou

A330-300TG, A320 Peach et A350 Finnair

Un A330-200 IBERIA

Un 747 Korean Air

Il y a même un Lawson à l'intérieur afin de se ravitailler durant la journée
 Et un tableau d'information sur les différentes compagnies.

J’essaie également de faire mon check in en ligne mais en constatant la place attribuée, la 12 E, je m’arrête immédiatement.
Je sélectionne le choix du siège et là, je constate qu’il n’y a aucun siège de libre. 

Crotte alors, zut flute et saperlipopette.
En quittant la terrasse en début d’après midi, je tente à une borne, c’est pareil.
Bon dernière solution, se lever tôt et être à l’heure pour l’enregistrement aux comptoirs de LOT. 

Narita Kokusai Kūkō

Je prends donc la navette de 08 :05 à l’hôtel et serai à 08 :20 à l’intérieur du terminal.
Ayant déjà fait du repérage la veille je me dirige directement vers la zone I. 

Très bien, il n’y a quasiment personne.

Une agente m’appelle et je lui demande si je peux avoir un siège au couloir (oui sur un vol plein en LC et toute seule je préfère pouvoir bouger à ma guise).
Pas de problème, elle me demande si je veux la même chose pour le vol vers Zurich, non là je veux bien un hublot si possible.
Et me voilà débarrassée de mon 12 E pour le 13D, parfait. 
Ma valise elle prends la direction de Zurich. 

Allons directement aux différents contrôles.
En chemin on peut encore faire quelques emplettes. 

Le PIF est rapide, je sors mon pc et mes gouttes pour la sinusite, sans sachet transparent que je n’ai de toute façon pas ; mais personne ne me dit rien donc tant mieux.
Un escalator pour l’étage inférieur (le troisième) et passage de l’immigration, il y a plusieurs bornes électroniques, puis des guichets classiques, puis des autres bornes pour les citoyens japonais, pour les autres ce n’est pas très bien indiqué donc direction les guichets classiques. 

On accède ensuite à un grand couloir, il y a un plan du terminal. 

L’apprentissage des pompes pour ces jeunes enfants.

Une boîte à idées

pour se soulager des sacs trop lourds ou des achats aux dutyfree

Il me reste quelques yens à dépenser donc allons dans le démon de la consommation, à savoir le duty-free.
Première étape non concluante, ce sera donc un autre vice qui sera satisfait la gourmandise : de l’Umeshu et des mochis. 

Pour les kit kat, la valise en est déjà bien garnie.

Me voilà dépouillée, enfin juste de quoi prendre une bouteille d’eau pour dans l’avion, sachant qu’ils n’en distribuent pas à bord et que c’est bien plus pratique que les verres en plastique.
Après beaucoup de marche, j’arrive à la porte 42, et je m’installe dans les sièges face à la piste et aux avions. 

On est bien là.

La une du jour

Les documents de vol.

L’emplacement est idéal pour immortaliser l’avion du jour qui s’installe en porte à l’heure.

Après un moment de repos, je constate qu’un peu plus loin qu’il y a des sièges avec prises, je décide donc de faire un dernier passage aux toilettes.
Parfaitement propres. 

Si jamais vous n’avez pas encore succombé à ces petits jouets, vous pouvez vous rattraper en porte, dommage que ce ne soit pas des petits goodies sur le thème des avions, j’aurais craqué.

Puis je m’installe et connecte mon téléphone afin de le gaver.

Cela bouge en porte, visiblement l’embarquement est proche.
Une annonce est faite à la recherche de passagers devant se présenter en porte, ma fille a eu la même chose hier, c’était un contrôle de passeport. 

Une file commence à se mettre en place, ceux voulant être les premiers à bord.

A 10:30 je constate que la file avance, il n’y a pas eu d’annonce.
Je décide d’aller me positionner en bout de file, déjà bien longue afin de faire une petite marche. 

On avance doucement et me présente mon BP et mon passeport au contrôle.

Direction la passerelle.

Encore de la publicité.

L’instant saké-ban.

Fuselage avec un morceau de moteur dans le miroir.

UN VOL DE JOUR EN 787 sur LOT

Je profite d’un petit bouchon pour prendre une photo d’une rangée de sièges vide.

Je mets dans les coffres l’ensemble de mon bazar (sac à dos, veste, duty-free etc..)
Le petit coussin et la couverture sont sur le siège. 

Le flux de passagers continue à arriver, et un jeune couple polonais prendra place à mes côtés.
L'espace est bon pour moi. 

Pour certain l’espace est plus serré.

L’IFE

Le choix de langue n’a pas bougé.

Le repose pied.

Il y a des signes d’usure qui ne sont pas rafistolés.

La prise.

L’allée

La vidéo des consignes en polonais et en anglais.

Une fois l’embarquement terminé, les IFE seront un moment bloqués.
Lorsque nous repoussons la cabine est plongée dans le noir (enfin avec ces hublots c’est relatif), puis la lumière sera remise. 

Avec un siège couloir on prend le temps d’observer ses voisins lol

Dans un petit angle de l’IFE je découvre le temps de parcours et les kilomètres mais en tout petit.

La route du jour.

Certaine se mettre bien à l’aise.

Une FRiste en devenir elle filmera l’intégralité du décollage.

La montée sera lente, nous sommes pleins.
La notice qui n’est pas collector. 

Le magazine qui cette fois ci finira dans le sac à dos spécial Chevelan.

La flotte des 787

Les destinations.

La page mode que 99% des FRistes va zapper, ces bottines à la mode cet hiver ne tiendront pas 13 ans comme les chaussures de Mogoy.^^

Un bel acteur Jude Law.

Le nouvel aéroport d’Istanbul.

Distribution des écouteurs avec un panier.

Puis d’une lingette rafraichissante.

31 minutes de vol est c’est l’apéro.

Nettoyage de la tablette.

Le chariot se rapproche.

Je demande une bière cette fois ci, elle sera tiède, ce n’est pas terrible, avec les cacahuètes.

Vous l’aurez remarqué mais il manque un verre, je rappellerai la PNC pour l’obtenir.
C’est mieux ainsi 

Pour m’occuper je m’attaque à l’IFE que j’avais laissé de côté à l’aller.
Les jeux 

L'histoire de LOT

Le choix musical

Niveau série c'est moyen.

Les films

Les plateaux spéciaux sont distribués, ma voisine de couloir a un végétarien, elle aussi prends son repas en photo.

De suite arrivent les chariots.

La PNC mentionne juste chicken ou fish.

Comme à l’aller cela manque d’explication.
J’ai remarqué qu’en premium un menu a été distribué à la fin de l’embarquement.
Pour varier les plaisirs, je tente le poisson.
Le plateau tel que servi.

Cette fois ci des baguettes sont proposées mais que sur cette prestation.

Couverts en plastique

Découvrons ce plat : un poisson blanc sans arrêtes, avec une purée de pommes de terre, des asperges et des carottes avec un peu d’huile d’olive.
En jetant un coup d’œil au plateau de ma voisine de siège je constate que le poulet est frit avec du riz, donc je suis satisfaite de mon choix.
Le plat est comme à l’aller très bon avec du goût. 

Une première entrée, c’est un mélange de légumes grillés, cela change et très bon.

Deuxième entrée : une petite salade verte, il y a un petit pot de sauce vinaigrette « française » sur le plateau.

J’aime bien ces petites coupelles colorées.
Un kiri ail et fines herbes avec un pain brioché.
Et en dessert des fruits. 

Et bien j’ai mieux mangé sur Lot que sur Cathay cet été.
Une fois ces agapes terminées, les plateaux seront ramassés, par contre je n’ai pas vu de pax prenant du café ou du thé pourtant il me semblait qu’il y avait des thermos sur le trolley ; 

La cabine est ensuite mise en mode nocturne, certains passagers tentent de dormir mais visiblement sans grand succès ; Pour ma part j’ai 3 FRs à faire donc de quoi m’occuper durant le vol.

Une petite pause pour découvrir les toilettes (la bière et les asperges c’est diurétique)

Une pensée pour Katia.

J’en profite pour faire un tour au galley.
 Il y a un trolley avec des boissons, des Prince Polo, des noodle cup et des sachets de bonbon.

Un petit coup d’œil à la vitre de la porte : bon rien d’intéressant.

On survol la Sibérie.

Retour à mon siège, je prépare le Fr de notre premier vol intérieur ;

A mi vol je refais un passage au galley pour un coca et quelques bonbons, celui ci a été dévalisé par les noodel cup, il y a d’ailleurs du monde dans le galley en train de papoter.
Je ramène mes victuailles à mon siège. 

Je tente le jeu de Pac Man et la manette sort tellement violement de son support en pressant le bouton d’éjection que celle-ci renversera le fond de mon verre de coca.
Donc re-nettoyage de la tablette.
Les jeux c’est bien quelques minutes mais c’est vite lassant, je ressors mon mac et entame cette fois ci la rédaction de ce vol, puis celui du deuxième vol intérieur.
A la fin du vol j’aurais rattrapé mon retard.
Au bout de 6 heures de vol une PNC passera proposer de l’eau.
Distribution d’une nouvelle lingette, deux heures avant l’arrivée. 

La deuxième prestation arrive.

Il y a le choix entre bœuf ou pâtes.
Allons-y pour les pâtes qui seront trop cuites à mon goût. 

Salade verte et des soba froides (plat que j’apprécie).
Etant refroidie par la bière chaude, et devant rester éveillée, ce sera un coca avec. 

Après avoir été débarrassée de mon plateau, la PNC distribuera une plaquette pour expliquer les différentes procédures de passage par WAW.

aéroport de Varsovie-Chopin

Nous nous préparons pour l’atterrissage.
Nous touchons le sol avec douceur.
Nous voilà en porte, je récupère mes affaires dans le coffre et je prends rapidement la direction de la sortie car ma fille m’a prévenue la veille qu’il valait mieux être dans les premiers à la sortie de l’avion, vous verrez plus tard pourquoi.

Nous sommes au dessus des salles d'embarquement.

Je consulte le FDIS pour connaître ma prochaine porte.

Un dernier regard sur ce 787 qui a bien travaillé et pour lequel je n'ai pas eu à payer les pièces de rechange.

Ensuite nous avons le passage de l’immigration ou je serai parmi les premières, le contrôle est rapide.
Le parcours est bien fléché avec même un rappel pour ceux qui ne connaitraient pas la zone Schengen un rappel des pays concernés. 

Au bout de ce couloir, deux directions possibles : tout droit pour quitter l’aéroport et à gauche pour le transit.
Et là c’est le problème qui arrive.

Le PIF ne comporte que deux files, dont l’une est actuellement occupée par des crews qui sont prioritaires, et la deuxième avec des agents qui à part « hurler » sur les pauvres paxs asiatiques qui n’ont pas sorti leur PC de sa pochette sont aussi aimables que des gardiens de prisons.
Je sors les mignonettes d’Umeshu de mon sac duty free, elles sont dans une pochette plastifiée conforme et de contenance autorisée. Le préposé commencera à tiquer mais je lui rappellerai que ceci est tout à fait conforme.
Il remet les flacons dans le bac et je passe la fin des contrôles.
En voyant la file après moi, je comprends qu’être à la fin de la file, l’attente sera encore longue pour eux.
Puis il faut descendre afin d’accéder à la zone Schengen.
J’effectue un petit passage à travers les différents shops jusqu’à ma porte.

Je ne reporterai pas le vol entre WAW et ZRH, étant trop fatiguée par le décalage et ma sinusite, j’ai dormi l’intégralité du vol et loupé mon dernier Prince Polo.
Celui-ci aura une heure de retard en raison de l’absence d’une personne dans l’équipage et que dixit le pilote une fois à bord : « ils n’ont pas de stock de crew » et que trouver un remplaçant n’était pas aisé, lol.

Arrivée à Zurich un fort brouillard sur l’intégralité du trajet retour sera très fatiguant.

Mais c’est pour mieux repartir dans les 10 jours vers le soleil. 

Merci pour la lecture.
 

BONUS SUR HIMEJI , KOBE et tokyo