Bonjour à tous, je vous propose de m'accompagner pour une exclusivité aéronautique sur Flight-Report.
En effet, si quelques "FRistes téméraires" se sont déjà aventuré en Birmanie, seulement 8 d'entre eux se sont risqués sur des vols intérieurs. Il faut dire qu'au début des années 2010 le paysage aérien birman n'est pas réputé pour sa sécurité, sa ponctualité et la qualité du service.
Mais aucun de ces téméraires précurseurs ne s'est rendu à Loikaw, capitale de l'Etat Kayah. Je vous invite donc à nous accompagner dans ce bout du monde qui n'a pas été sans me rappeler quelques scènes vues sur la Grande Île…
Avant de commencer, petit rappel de la genèse de ce routing en 8 billets un chouia tarabiscoté.
La décision prise, ne reste plus qu’à ajouter les pièces manquantes et on aboutit au routing suivant :
MRS-FCO avec Vueling.
FCO-JED avec Saudia en J
JED-CGK avec SV en J.
CGK-KUL avec KLM en J (5ème liberté.)
KUL-RGN avec MH en J
RGN-LIW avec Myanman Airlines en Y
MDL-BKK avec PG en Y
BKK-CGK avec GA en Y
CGK-RUH avec SV en J
RUH-MXP avec SV en J
MXP-CDG avec AF en Y
CDG-MRS avec AF en Y.
Pour ceux qui prennent la série en cours, voici ce qu'il est d'ores et déjà possible de voir, de revoir, de méditer… Les travelgeeks trouveront un bonus birman à la fin de chaque étape. Celui qui viendra clôturer ce reportage est à mon sens assez exceptionnel.
Rappel des épisodes précédents :
MRS – FCO avec Vueling Airlines.
FCO – JED avec Saudia en Business.
JED - CGK avec Saudia en Business
CGK- KUL avec KLM en Business
KUL- RGN avec Malaysian Airlines en Business
Nous effectuons ce vol avec Myanmar National Airlines (UB), compagnie conseillée par notre réceptif.
Conformément à la règle, nous arrivons à RGN deux heures avant le départ. Le jour est à peine levé : il est 6h.

Le terminal domestique est dans le prolongement de l'international : il semble que ce soit l'ancienne aérogare rénovée.

C'est la cohue devant les portes d'accès à l'aérogare : l'indiscipline des chauffeurs économes des pas de leurs clients est plus à blâmer que le nombre des voyageurs.

Après un premier scan des bagages, nous nous dirigeons vers la zone départ.

Les différentes compagnies qui opèrent des vols domestiques sont alignées en rang d'oignon. Nous voici devant les comptoirs UB. Il n'y a pas foule, mais un goujat venu de nulle-part réussit à nous griller la politesse.

Les banques d'enregistrement ne sont pas dédiées à un vol en particulier.

C'est le poids cumulé de nos trois valises. Pour info, 20 kg de bagages sont inclus dans le billet.


Les formalités sont réalisées avec beaucoup de soins. Munis de nos BP et allégés de nos bagages, nous gravissons l'escalator qui conduit à la zone d'embarquement.


Depuis l'étage, vue sur la zone check-in et le PIF d'accueil.

Un PIF plus scrupuleux nous accueille. Les contrôles sont réalisés avec le sourire. L'étage "embarquement", à l'instar de toute l'aérogare est vaste, confortable et fonctionnel.

On trouve quelques commerces.

De larges baies vitrées permettent de spotter. Bienvenue au royaume de la tondeuse à gazon.
ATR-72-600 d'Air KBZ (dont le premier métier est la banque.)

ATR-72-500 d'Asian Wings.

ATR-72-600 de Myanman National Airlines.


Autre exemplaire d'Air KBZ.

Au loin…

Nous prenons place dans l'un des bars-restaurants présents pour un rapide petit-déjeuner. Le prix d'un café y équivaut à celui d'un repas en ville…


L'embarquement est annoncé. Nous nous dirigeons vers la porte.

FIDS.

En chemin, un autre espace de restauration.

Nous nous rejoignons la porte 25…

…et la file d'attente.

Comme de bien entendu, il faut redescendre d'un étage pour accéder au paxbus.


B-737-800 de Myanmar International.

Le personnel de piste nous attend. En arrière-plan, l'ATR d'Asian Wings.


L'embarquement s'effectue par l'arrière, comme de bien entendu.

Détails de notre oiseau à hélices.


Train.

Fuselage shot à défaut d'instant porte pour une raison indépendante de notre volonté^^

Nous prenons place. Le vol n'étant qu'à moitié rempli, nous bénéficierons chacun d'un duo de sièges ce qui accroît considérablement l'espace vital.
Vue générale.

Aumônière en haut de dossier.

Fiche de sécurité.


Plafonnier.

Littérature de bord.

Boeing et Embraer pour les destinations internationales.

ATR from Toulouse pour les vols domestiques.

Carte du réseau : 27 destinations domestiques mais les lignes internationales sont rares signe d'un pays encore peu intégré au monde.

Le roulage commence à l'heure. Nous patientons un moment avant de pouvoir nous élancer. Nous devons laisser atterrir ce B-777 EK.

C'est enfin notre tour.

EK est quasiment arrivé au parking.

Dernière vue des installations de RGN.

La rivière Rangoon.


Ambiance cabine.

Quelques informations sur UB.

La classe Affaires des B-738.

La compagnie veut donner une image moderne et dynamique.

Vingt minutes environ après le départ, l'équipage distribue les "breakfast boxes" accompagnées d'une serviette rafraîchissante.

On y trouve une sorte de brioche et deux petites pâtisseries.

Un peu plus tard, les LHistes n'auraient pas été dépaysés, le service boisson est effectué.
Ce catering ne restera pas dans les annales des voyages en avion mais il a le mérite d'exister.

Le vol se poursuit dans un calme absolu au-dessus des nuages.

La descente arrive rapidement et permet de découvrir le paysage de l'Etat Kayah.

Un paysage rural de villages, de pistes, de rivières…

… de pagodes…

… de rizières…

… de petites villes…

… de temples…

… une impression de bout du monde.


Nous touchons la piste, relativement dégradée.

Le freinage est vigoureux et nous empruntons le court taxiway. Nous voici à destination.

Vue générale de l'aérogare.

Le débarquement s'effectue bien évidemment pedibus.

Le chariot à bagages avec les effets des partants.

Les pompiers en faction… sur le parking.

L'état du goudron.

Nous disons au-revoir à notre oiseau, ultra-moderne dans cet environnement champêtre qui suscite des réminiscences d'ailleurs…

… et saluons notre guide qui est venue à notre rencontre sur le tarmac.

Nous pénétrons dans l'aérogare.

Le parking vu de la fenêtre.

Dès notre entrée, nous devons remettre nos passeports aux autorités locales qui les recopient avec application sur un grand cahier.

Notre guide se charge de l'opération.

Cela nous permet de partir à la découverte des lieux.
Le bureau de l'office du tourisme.

Une affiche préventive.

Une décoration inattendue.

Les WC, antiques mais propres.

Nous partons à la recherche du lieu de livraison des bagages. Or, il n'y en a pas. Nous retournons donc sur le tarmac.

Le bagagiste en jaune remplit le chariot au pied de l'avion, tire ledit chariot en usant de sa propre force motrice et aide à vider le chariot.

Chacun va se servir.

On fait ensuite passer les bagages par-dessus la clôture de séparation du parking. Inutile de s'encombrer inutilement !

Puis nous quittons l'aéroport.

Notre voiture est garée à côté des camions des pompiers.

Des curieux ou des familles des partants attendent le départ de l'avion.

Merci pour votre lecture de ce FR hors des tarmacs battus et à tout de suite pour le bonus.
Cette dame vient de faire ses courses.

Elle appartient à l'ethnie des femmes girafes.

Gros plan sur ses bijoux.

Ce samedi-là n'est pas jour du grand marché organisé tous les 5 jours. Quelques échoppes proposent toutefois leurs produits.
Des oeufs.

Divers légumes et brèdes.

A quoi ce jeune marchand songe-t-il?


On trouve des nymphettes séchées. En vrac…

En brochettes.

Quelques commerçantes :
lasse

espiègle

la valeur n'attend pas le nombre des années.

Devant le marché, une télévision diffuse, avec le son, un discours d'Aung San Suu Kyi.

Tout est politique.

Notre guide nous conduit dans un monastère où l'on présente fièrement le Bouddha couché. Sur ses pieds, les 108 états de Bouddha.

En ce samedi matin, une association dirigée par la mère de notre guide organise des consultations médicales pour les pauvres. Le praticien bénévole est médecin militaire.


A droite, les patients qui attendent leur tour.

Nous poursuivons par la visite de Taung Kwe Pagoda.

"Taung Kwe Pagoda" signifie la pagode de la colline brisée. Panorama.

Sur chaque éminence rocheuse, un autel et ou un stupa.


Nous croisons des fidèles en tenue traditionnelle Pa-O. Des femmes surtout.




Mais aussi un homme.

Les cloche d'une ombrelle.

Un moine en méditation.

Panorama de conclusion.

Alors que la mi-journée approche, nous sommes conviés à nous rendre dans un monastère au moment du repas. Les photos que je vous propose illustrent un temps fort de notre voyage. En marge du repas, nous avons pu nous entretenir avec certains participants.

Cela commence par la longue procession des novices par âge, le bol à la main.


Des moines encadrent les jeunes.

Le silence de cathédrale dans lequel s'effectue la translation vers le réfectoire n'interdit pas l'espièglerie et l'expressivité des visages.


Mais c'est la concentration qui domine.


Il nous arrive de nous demander qui observe le plus l'autre, du photographe ou de son modèle.



La troupe des élèves, car le monastère est avant tout une école secondaire, se déchausse et gravit l'escalier qui mène au réfectoire.


Une longue incantation précède le repas.

Chacun y participe avec plus ou moins de conviction.


Un bâillement tout juste retenu.

Un temps de réflexion.


Place aux agapes.


Moines et novices n'ont pas eu à mendier leur pitance. Ce jour est jour d'abondance car pour célébrer les 5 ans de cet enfant, sa famille offre le repas à tous les pensionnaires. Il s'agit de mettre du côté de ce jeune garçon toutes les chances en vue de la future réincarnation.

On mange plus ou moins voracement…


… dans un silence interrompu seulement par le choc des cuillers sur le métal des bols.

Les professeurs déjeunent sur l'estrade.

Le repas de la mi-journée est le dernier car le moine doit jeûner de midi au petit matin.

Le repas terminé, chacun se retire et les novices de corvée rangent et font le ménage.


Le tout dans un ballet efficace et silencieux.

Enfin, les bols sont rincés et chacun repart en classe.

Après un passage en ces lieux.

A bientôt pour de nouvelles découvertes birmanes.
Merci pour ce FR façon Albert Préjean.
On notera la différence de standing entre les terminaux de départ et d'arrivée...
Merci Clément du commentaire.
Albert Préjean : tu vas devoir éclairer ma lanterne, je confesse mon ignorance.
A bientôt !
Il est connu pour sa version de "Comme de bien entendu".
Merci Franck pour ce FR que j’attendais avec impatience :)
L’aéroport de Yangon semble plutôt confortable, assez vaste…
Les nouvelles cabines des ATR rendent nettement mieux qu’avant, ça donne un peu plus envie de voler à bord de ces appareils !
Le catering fait un peu penser aux box que mogoy avait sur les vols intérieurs iraniens…
Amusant ce pont tout blanc menant à la pagode vue en approche !
La piste ressemble plus à une route départementale qu’à une piste… Mais ça se comprend quand on voit le terminal et la quasi absence de séparation entre le tarmac et l’extérieur. Une impression de voler « à l’ancienne » dans cet aéroport du bout du monde, ça n’est pas désagréable du tout, au contraire !
J’adore l’A380 AF ^^
Encore un sublime bonus, ce moment partagé avec ces novices et les moines devait vraiment être intense… (pour répondre à ton message sur le précédent FR, je ne peux pas comparer avec tes boni sur Madagascar puisque je ne les ai point lus, à ma grande honte !)
A bientôt !
Merci du commentaire.
RGN est un aéroport parfaitement moderne et organisé et l'on bénéficie si j'ose dire de l'amabilité des Birmans qui ont un vrai sens du service y compris dans des passages obligés comme le PIF.
LIW est évidemment un aéroport d'un tout autre genre. Très honnêtement, je le trouve charmant. Aller chercher soi-même les valises su le chariot et le passer au chauffeur par-dessus le muret de clôture de l'aéroport voilà qui n'est pas banal. Tout comme l'emplacement des pompiers.
On se demande ce que ce poster A-380 AF fait là.
"je ne peux pas comparer avec tes boni sur Madagascar puisque je ne les ai point lus, " ===> a priori ils sont toujours disponibles, suffit de remonter le temps.
A bientôt !
Je compte bien les lire, ces boni sur Madagascar, en effet ! Mais je tente déjà de rattraper mon retard de lecture sur les FR actuels ^^
Merci M'sieur Franck pour ce FR complètement alternatif!
Ton périple te permet de découvrir des coins reculés peu connu par beaucoup d'entre nous!
La prestation à bord est correcte même si cet eternel service en retard est usant pour les boissons.
La cabine me parait correcte et le pitch aussi.
Arrivée dans un lieu bien calme à l'ancienne ou les affiches mettent en avant de l'A380 AF qui plus est en ancienne livrée!
Excellente journée à toi et à bientôt!
Merci Benoît pour le commentaire. Que me vaut ce M'sieur? ;=))
LIW me rappelle des souvenirs de la Grande Île mais en plus serein aussi : à aucun moment tu n'imagines quelqu'un venir essayer de te soutirer de l'argent.
"complètement alternatif!" ===> On est loin de CDG, SIN, HKG et j'en passe !
A bientôt !
Merci pour ce FR dans une contrée reculée. Et superbe bonus en prime
Merci Greg du commentaire.
"contrée reculée" ===> pas tant que ça puisque on s'y rend en ATR flambant neuf. Il est vrai que le contraste entre l'avion et l'infrastructure d'arrivée est fort.
A bientôt !
C’est vrai que le contraste est saisissant. Et que dire de la publicité pour AF?
Merci Franck pour le partage !
La prestation est vraiment sympa pour un vol de cette durée, que demander de plus ?
L'A380 AF à l'arrivée est vraiment, mais alors vraiment innatendu :)
Superbe bonus, comme d'habitude, je suis fan.
A très bientôt et mes amitiés à J.
Merci Stephan pour le commentaire.
LIW est un lieu étonnant pour tous les aspects et on se demande comment ce poster a pu arriver là.
UB se veut une jeune compagnie dynamique porte-drapeau du pays et y réussit plutôt fort bien. Les infrastructures aéroportuaires de RGN sont de bon niveau.
A bientôt pour la suite.
Hello Franck
L'aéroport de RGN est résolument moderne, donc tournée vers l'avenir
Un vol très court avec une box en prime, c'est toujours mieux que rien
Myanmar National a des espions à FRA ? ^^
J'adore ces aéroports champêtres ! Le bout du monde...
Un bonus exceptionnel que j'ai dévoré avec délectation, comme les novices dévoraient leur repas. :))
Merci beaucoup pour le partage, j'attends la suite avec impatience, à bientôt ...
Merci Hervé du commentaire.
UB a été parfait sur ce coup-là et l'absence de voisin a permis de compenser un pas peu généreux.
Chacun en son genre, RGN et LIW sont deux aéroports agréables (personne ne te hurle "no photo") avec une préférence pour le second.
Ce bonus est le résultat d'une rencontre inattendue.
A bientôt !
Merci Franck pour cette suite.
Un vol en ATR plutôt agréable, la lunchbox nous fais penser à celles en Iran.
Aéroport croquignolet, on est tout de suite dépaysé, j'aime les conditions de livraison des valises.
Bonus exceptionnel, une immersion totale dans la vie de ces moines.
A bientôt pour la suite.
Merci Valérie du commentaire.
En effet, la breakfast box fait penser au pays des "cutlets".
"Aéroport croquignolet" ===> jolie formule.
La rencontre qui a permis le bonus était en effet inattendue. Et n'avait rien d'une mise en scène pour Occidental de passage.
A bientôt !
Bonsoir Franck,
Merci pour ce FR du bout du monde :)
Lunch box en mode étouffe chrétien^^ mais elle existe !!
Merci également de nous avoir fait partager une telle expérience dans le bonus.
A bientôt
Dorothée
Bonjour Dorothée,
Merci du commentaire. Le bonus est certainement celui de la série que je trouve le plus émouvant. Même si ceux qui viendront après sont aussi très bien^^.
Un vol atypique pour l'aéroport de destination.
A bientôt.
Merci beaucoup pour ce FR qui me rappelle de bons souvenirs ! Je fais partie des 8 FRistes téméraires ayant testé les vols intérieurs birmans, et même si je n'avais pas pris UB je retrouve beaucoup de choses dans ce FR : le nouveau terminal domestique, la partie airside et sa moquette, les innombrables tondeuses, la lunchbox... A bientôt !
Merci du commentaire Ô courageux précurseur. Je n'ai pas cité les 8 mais j'avais repéré ton nom.
J'ai été agréablement surpris par RGN (le terminal domestique ne serait-il pas la rénovation de l'ancien terminal international?) et charmé par LIW.
A bientôt !
Merci Franck pour ce FR en mode aventurier :)
Pour même pas une heure de vol, je trouve la prestation très bonne avec ces pâtisseries.
Affiche inattendue à l'arrivée, j'adore ^^
A+
Merci Jules du commentaire.
L'affiche est assez détonante dans le contexte de ce paisible aérodrome de campagne.
Les pâtisseries ne sont pas excellentes, mais leur présence est tout à l'honneur de la compagnie qui les propose. BoB n'a pas triomphé partout....encore.
A bientôt.
Cabine propre et moderne, qui inspire la confiance (étonnant d'ailleurs).
Merci pour ce FR !
Merci du commentaire.
Étonnant : peut-être par rapport à l'image que traîne cher nous la Birmanie. Mais pas étonnant du tout car le pays cherche de toute évidence à développer le tourisme, les vols intérieurs permettent d'éviter un réseau routier généralement de piètre qualité et l'on sent chez les Birmans une volonté d'aller de l'avant.
A bientôt !
Quel formidable dépaysement !
Curieux contraste entre un pays aussi confidentiel et la profusion d'ATRs qui le place d'un seul coup si près de nous.
Merci du partage, je me suis régalé en lisant ton FR.
A bientôt.
Merci Luc du commentaire.
Je suis ravi que la lecture de ce reportage t'ait fait passer un bon moment.
Le bonheur de voyager en Birmanie consiste en ce que l'étranger n'avance pas avec un grand signe T (pour touriste) dans le dos. Et les vols intérieurs sont fiables et abordables (contrairement à Mada par exemple.)
A bientôt !
Merci Franck pour ce FR.
Toujours des ATRs en Birmanie, comme quoi l'explosion du tourisme est un peu relative puisqu'ils n'ont pas été contraints de passer à des modules plus grands.
Superbe bonus humain !
Merci Quentin pour le commentaire.
" l'explosion du tourisme est un peu relative puisqu'ils n'ont pas été contraints de passer à des modules plus grands." ===> En effet, le tourisme demeure relativement confidentiel et sensible aux fluctuations géopolitiques (les professionnels rencontrés, chiffrent à -50% la baisse de réservations suite à l'épisode Rohingya. Le fait que le secteur bancaire reste sous embargo us n'aide pas. Quant aux ATR, il y a beaucoup de pistes de brousse et je suppose qu'il est plus aisé d'y manoeuvrer ce type d'appareil.
A bientôt !