Bonjour à tous et à toutes.
L'introduction
Après Londres avec BA, on poursuit encore plus avant dans le report banal.
Banal pour vous, mais pas pour moi !
A force de sillonner la planète dans tous les sens, on perd de vue nos régions.
J'ai beau être - génétiquement au moins - originaire du sud ouest, je n'ai jamais vraiment pris la peine de me balader dans la ville rose en dehors d'un cadre pro ou semi pro.
Réparons donc cet impair, le temps d'une journée d'été indien et à la faveur d'un prix promotionnel à 80 EUR.
Comme on part d'ORY, ce n'est certainement pas la case salon qui a motivé ce vol. Vous vous en doutez.
Rendez vous donc dans le bonus qui - s'il n'a pas l'exotisme de ma production habituelle - n'en revêt pas moins à mes yeux un intérêt égal.
Place au routing qui ne devrait pas occuper trop de mémoire vive de votre cerveau que je vais m’employer à rendre disponible du mieux que je peux.
- ORY-TLS en Y avec AF sur A321 : c'était là.
- TLS-ORY en Y avec AF sur A319 : c'est ici.
Le prélude
J'arrive au terminal en bus.

En avant.

Cela fait 17 ans que je n'avais pas remis les pieds à TLS. Force est de constater que je n'ai plus mes marques.

Un coup de FIDS.

Et me voilà à la zone Air France Hop.
Je m'y renseigne sur l'éligibilité des pax AF au salon.
Restons humbles et affermissons les supposés.
Le personnel AF est très sympa

Puis après quelques hésitations, direction la zone D du check-in où semble-t-il tous les pax sont canalisés en amont du PIF.


Bon point pour l'aéroport d'organiser un passage prioritaire. Et aussi un bon point pour AF d'en laisser l'accès pour ses pax prioritaires.

Comptoir de vente à la confiance. Je n'en ai jamais vu autre part que dans un aéroport.
Et c'est la première fois que j'en vois en France.

Le PIF est passé en fluidité avec des agents courtois et agréables.

En revanche, on n'échappe pas au parcours du combattant. Sinueux, parsemé d'obstacles tous plus piégeux les uns que les autres.

De Charybde en Scylla, le nouvel Ulysse terrasse sirènes et cyclope sans *coût* férir.
Direction le salon des plaisirs. Bien nommé, la Croix du Sud. Repentance et pénitence au vin de messe sont au programme !

Mais, le chemin de croix est long, le croyant est mis à rude épreuve.
Je ne faillis pas.

Il faut pourtant descendre d'un niveau nous rapprochant un peu plus de l'enfer tant redouté.

Le lounge report
Mais la lumière jaillit du fond de la nuit.

En fait de luminosité, ce ne sera pas l'apothéose.
Le salon est aveugle et baigné par des lumières parcimonieuses de couleur rouge.
Anti chambre de l'enfer, quelle déconvenue ?
Suis-je donc tomber dans un quelconque "purgatoire" dont la représentation médiévale est un feu rougeoyant.

Et plus on s'y enfonce, plus l'obscurité incandescente croit.
D'autres âmes en peine attendent le jugement divin.
Envol vers les cieux ou retour dans cette vallée de larmes où nous vivons ?

Il y a bien un étage supérieur - le purgatoire +, mais il semble interdit aux pécheurs que nous sommes.

Reste à s'adonner à quelques plaisirs terrestres.
Un pastis et des chips. C'est la fin de l'été, profitons-en une dernière fois.

Vademecum pour le paradis. J'ai pourtant payé ma place à vie dans l'empyrée, c'est marqué dessus !
Que fait donc Saint Pierre ? Il a encore paumé les clefs de la Jérusalem céleste ?

L'effroi me saisit à cette vue, une extension du purgatoire ? L'ascenseur divin est bien en panne, on dirait !

Revenons au terre à terre. Nourritures terrestres.





Il y a du vide dans la glacière.

Le hard.

C'est le paradis des chips.

Sélection de thés en sachets.


Kawateuse.

Au frais, un petit muscat, vodka et du blanc.

Mais aussi du Gin.

Ooohh du cacolac ! So vintage !

Ma sélection très équilibrée. Je sens que je vais finir en enfer.

L'espoir subsiste car l'ange est bien arrivé du ciel pour mener les âmes pures dans les cieux.

Et pour l'instant, il compte bien y retourner.

Après m'avoir fait confirmer le début d'enregistrement par la cerbère car le FIDS semblait immuable, je pars rejoindre ma porte.

Ok, c'est en cours.

Sixt, roi des jeux de mot.

Dernier appel.

J'ai le temps de laisser passer la foule. Pas de bagages cabine à caser dans les coffrezabagages.

Le flight report
C'est à moi.

Il ne reste plus de presse à l'embarquement, l'inconvénient de passer en dernier.

L’immatriculation de l’appareil est F-GPMD.

Certains lisent leurs journaux dans la passerelle. Probablement car il espèrent embarquer en dernier et profiter des meilleurs sièges vacants selon une technique éprouvée que j’ai récemment souvent utilisée sur easyJet et Vueling (où le placement payant des sièges m’interdit toute garantie d’un siège convenable).

L’instant double P.

Le fuselage shot.
L ‘accueil à bord est souriant et sincère.

J’arrive à mon siège et l’inspection sanitaire n’est pas satisfaisante.
La moquette est tâchée.

Ou pas nettoyée.

Et l’assise du siège est tâchée.

A de multiples endroits.

Bref, ce n’est guère ragoûtant.

Le pas est en revanche excellent.

Le test horatius relève un peu le niveau de cette cabine qui accuse le poids des rotations de la journée.

Dehors un frère jumeau.

Notice de sécurité.

Les portes sont fermées rapidement après mon embarquement.

Vue du plafonnier historique.

Tout autant que le logo de la boucle de sécurité, qui fleure bon les années 80.

Le bon espacement des sièges à un prix : l'absence de recul du siège trahi par l'absence de bouton sur l'accoudoir.
Ce dernier incitant à la guerre des accoudoirs entre pax compte tenu de sa faible longueur.

Autre désavantage de siège planche à repasser, l'absence totale d'ajustement de la têtière.
Pour un vol en court courrier, ce n'est pas bien grave mais voler vers TLV ou AMM à son bord, relève de l'abnégation la plus admirable.

Bref, ce n'est pas le grand luxe et face à un TGV, l'inconfort est net.
Bonne nouvelle, pas de voisin sur ce vol.

Malgré quelques pax no show annoncés par le commandant de bord, nous repoussons à l'heure à 18h50.

Bye, bye Toulouse, ce fut court mais très intéressant.

TP, LH, TU ou U2 au menu.

En piste.

Et décollage.



Nous arrivons rapidement au dessus des nuages, la façon la plus sûre de voir le ciel bleu en Europe de l'ouest à partir de l'automne.


La collation est servie. Mousse et galette. C'est frugal.
Puis, j'irai "me laver les mains" et en revenant à mon siège au bout de cinq minutes (car oui je me suis vraiment lavé les mains, in fine), je retrouve un gamin de 16/17 ans assis à mon siège.
Je n'ai pas le temps de réprimander le méchant garnement que le chef de cabine arrive, m'explique que c'est un cadet (ou je ne sais quoi… certainement pour me faire courber l'échine devant le jeune prince…) et si je préfère mon hublot à son couloir…
Errrrh ? De quoi se mêle-t-il ? Certainement une histoire de famille car je n'ai pas vu de service aussi spontané dans des cas similaires (certainement pas en Iran, hin hin).
S'il avait 8-10 ans, mon coeur sensible aurait saigné, mais à son âge, on arrive à gérer les blessures de la vie toutes cruelles soient-elles. Ne pas voyager à côté d'un hublot n'en fait pas partie.
Bref, je signale mon refus désabusé mais sans appel de la proposition malhonnête du chef de cabine qui m'apparaît alors comme un guet apens ourdi dans mon dos alors que… je me lavais les mains !

Ce dernier se rattrapera avant la fin du vol car il finira par tomber sur mon Boco au fond d'un galley in extremis avant le début de la descente.
J'avais complètement oublié que j'avais commandé un Boco (à 15 EUR tout de même).
Menu du potager ?

En fait, non, c'est le menu de la mer… mais c'était ce que j'avais commandé !
Je rappelle à tous les mauvais esprits que les photos sont rarement contractuelles !
Le contenu.



Ce qui tient de plat principal. je dois reconnaître que c'est sympa à manger.
Naturellement, c'est froid mais cela peut dépanner quand on a pas le temps de manger quelque chose une fois arrivé.

On trouve également dans le sachet, un morceau de pain.

Et un dessert, ici, un Abricotier à la crème de pistache signée d'un grand chef.
Le tout accompagné d'une seconde bière tout de même.
L'ensemble est pas mal du tout, je dois dire. Ce n'est pas donné, mais c'est qualitatif et pour les pauvres navetteurs qui en ont assez des galettes Saint Michel, je trouve que c'est salvateur.

J'ai juste le temps de terminer tout cela avant de toucher la terre ferme à 19h51 avec 19 minutes d'avance.


Nous y voilà, on passera à côté de ce 747 que j'ai réussi à identifier in extremis : l'appareil présidentiel sud coréen.

L'instant danette.

Et parcours de sortie.




Merci de m'avoir lu.
Un bonus assez bateau de Toulouse. Mais quelques belles premières pour moi.
Le bonus
Le musée de la fondationn Georges Bemberg, une pépite inconnue et appréciée !


































Et le couvent des Jacobins, réclamé par plusieurs FRistes exigeants dans le précédent opus.
Heureusement que je n'ai pas fait l'impasse !














Merci de m'avoir suivi sur ce bonus !
Les ventes à la confiance, c'est d'une banalité affligeante sur le chemin d'un pèlerin japonais (不偸盗 Tu ne voleras pas : Deuxième Commandement du Pèlerin), lequel chemin est psychologiquement de même longueur que celui d'un PAX airside.
Je soupçonne que le privilège le plus secret des PAX Elite Plutonium++ est d'ailleurs d'échapper à ce gymkhana entre boutiques airside.
Un salon aveugle, dans un aéroport connu pour ses avions neufs aux livrées les plus exotiques, cela relève du sadisme.
Quand un CC ne peut pas offrir de surclassement sauvage à un GP, faute de J dans la cabine, il pique effrontément le siège hublot d'un PAX Elite+ dès qu'il a le dos tourné en vol ? Cela mérite une réclamation bien sentie auprès d'AF.
Merci pour le partage, et bonne année à l'est !
Merci François pour le com'.
Japon et Occitanie ne sont guère comparables. Essayons cela sur les chemins de compostelle, je ne suis pas sûr de l'égalité de résultat.
Les dérives toulousaines ne m'émeuvent pas plus que cela, savoir quels chips je mange par défaut m'importe plus surtout si elles sont au vinaigre!
Je reste dubitatif sur le hold-up en cours de vol. La légèreté de la manoeuvre n'a d'égal que l'empressement à la réparer. On peut y voir une bourde monumentale vite réparée ou un machiavélisme sur base de pari de faiblesse du pax. L'une ou l'autre, une expérience déconcertante sinon ennuyante.
Une bonne année de pénitence, suivie d'une autre au moins. De quoi remonter le lapin salminovore !
Merci pour le partage Quentin !
Ce n'était pas la catastrophe mais dirons nous que ce vol peut s'oublier très vite.
Je n'irai pas jusqu'à la réclamation pour cette histoire de siège même si le procédé est assez cavalier.
A bientôt !
Merci Stephan, ce vol vaut plus pour son tarif et ses horaires qui me permettait de profiter au maximum de la journée.
Pour le reste c'est du vol domestique. Hardly a surprise !
Merci pour ce FR
"Mais la lumière jaillit du fond de la nuit."
Un salon qui se croit obligé d'inscrire premium ?
C'est comme le Port-Salut ?
"Anti chambre de l'enfer, quelle déconvenue ? "
Il peut être pavé de bonnes intentions, surtout que le rouge m'évoque
luxure-y life !
"C'est la fin de l'été, profitons-en une dernière fois."
C'est dire le retard que tu traines
"Revenons au terre à terre. Nourritures terrestres."
Famines, je vous hais !
ce pourrait être la seule raison pour apprécier cet endroit !
"Au frais, un petit muscat, vodka et du blanc."
Vodka Rachmaninoff lol Parfaite pour un prélude ?
La croix du Sud ou comment perdre le nord !
To loose or not to loose :(
Une cabine en décrépitude
"Puis, j'irai "me laver les mains" "
Ha Ha voilà que ça finit en Ponce Pilate ce chemin de croix
Pas très sérieux ce Boco qu'on retrouve par hasard et pas rasé :(
Du saumon fumé aux lentilles ce plat principal ?
"Ce n'est pas donné, mais c'est qualitatif et pour les pauvres navetteurs qui en ont assez des galettes Saint Michel, je trouve que c'est salvateur."
Des "pauvres" navetteurs pas en mode Gilet Jaune tout de même.
Et puis Saint Michel est surement plus salvateur que Boco ;)
Bonus intéressant malgré un Carpaccio sur panneau qui n'est même pas à l'huile d'olive...
A bientôt
Merci Gilbert pour ton com'.
Quand on est obligé de souligner la qualité de l'enseigne, c'est que généralement il faut s'attendre à l'opposé. Premium Plaza et autre First Class lounge de QR ou BA n'en sont que de tristement fameux exemples.
Le boco saumon lentille, pas bien distingué, mais efficace et surtout une surprise. L'ennui de prendre ses vols 3 mois à l'avance...
Non Môssieur, ce n'est pas moi qui suis en retard, jusqu'à cette fin d'année qui va me faire marquer une pause aussi salvatrice que régénératrice, j'ai constamment eu une grosse demi douzaine de FR rédigés qui n’attendaient que la disparition du FR en une pour paraître. Les fainéants sont la masse de FRistes qui ne publient pas assez ! C'est aussi la raison pour laquelle que mes FRs actuels n'ont pas les dernières innovations du module rédaction.
Rouge et le luxe, l'une des associations de couleurs les plus anciennes. Mais franchement, il faut que le reste suive.
Mieux vaut abuser des Boco que de Saint Michel à mon avis.
Carpaccio meme pas de saumon !
Merci Quentin pour le partage !
Une banale navette mais une lecture toujours très divertissante
Le salon et sa lumière rouge ont des airs d’enfer et le cerbère n’a jamais aussi bien porté son nom (j’ose espérer qu’il n’avait pas trois têtes). Il parait que la longueur d’onde des lumières rouges est propice au sommeil, peut être est-elle utilisée pour endormir le pax face à l’offre de nourriture quasi inexistante
Le service marketing chez Sixt a dégoté l’élite des jeux de mots. Quand les pub sont aussi drôles, elles ne me dérangent pas
”Et l’assise du siège est tâchée” : sans doute un pax incontinent ou un précédent vol mouvementé ^^
Drôle d’histoire pour le siège, les gamins se croient tout permis. Ils piquent la place aux vieux dans les transports en commun. Pire, ils piquent le hublot d’un plat for life parti se rincer les pinces. Peut être aurait-il mérité une baffe ? Le cas échéant, elle aurait eu le gout du savon
Le Boco façon ”menu marin” ne me fait pas chavirer mais ce n’est pas non plus la mer à boire
Vu le faible nombre de 747 présents à Paris aujourd’hui, celui du président Sud Coréen est une belle prise
Joli bonus Toulousain qui complète le précédent
A bientôt
Merci Hugo pour ton com'.
La gardienne du temple était plus vestale que cerbère.
Merci pour la précision de la tâche, j'avais essayé de me retenir...de trop la mentionner.
" elle aurait eu le gout du savon" on en restera à l'odeur, je n'ai pas pour habitude d'étouffer mes victimes avec "une" main. Deux, c'est plus élégant et cela évite les "bavures" !
Merci Quentin pour ce FR!
Un salon bien terne reporté de nombreuses fois par Papoumada, je constate que l'offre ne change pas, restant bien légère (mais pas très light exemple : chips).
Les couleurs restent entre le purgatoire ou la salle SM^^
A bord, service la navette classique ou tu devrais penser à laisser journaux et quelques objets sans valeur pour garder ton divin siège :-)
Bonne soirée à toi et bon réveillon à venir
Merci Benoît pour ton com'.
C'est effectivement une offre qualitative digne d'un patio AF. On pourrrait s'attendre à mieux de TLS et son marché premium. Il faut croire qu'Airbus ne paye pas suffisamment ses employés pour leur faire accepter ce régime de manants !
Forte probabilité que mon fidèle sac à dos (qui lui aussi commence à montrer des signes de fatigue) était en siège milieu. Mais la jeunesse insolente n'en a cure ! De mon temps !
Bon réveillon !
Par deux fois, j'ai dû demander mon sachet Boco au PNC parce qu'ils avaient oublié de me le servir.
On aurait tort de les blâmer tant ces petites choses sont succulentes.
Il y a fort à parier que sans le petit incident du cadet que cet oubli n'aurait pas été très fâcheux.
Sur un vol effectué en fin de journée, cette collation bien fournie pourrait faire office de dîner.
Onéreux ou non, je n'hésiterais pas à en recommander
Merci pour ce FR
Merci Bernard pour le com’
Fichtre ce n’était donc pas une exception.
L’histoire du jeune est originale tellement tout cela semblait téléphone. Je ne pense pas qu’il s’attendait à ce que je reste dans les toilettes tout le vol restant !
Merci Quentin pour ce FR.
Du cacolac, je pensais que cela n’existait plus.
Ahh les BOCOs je doute de les voir un jour sur la ligne d’EAP, dommage car c’est bien pratique surtout sur un vol en fin de journée.
Bonus qui me donne envie d’aller faire un tour à Toulouse.
A bientôt
Merci Valérie pour le com
Également surpris de voir subsister cette marque.
Tout autant surpris de l’absence de Boco sur MLH, c’est une ligne intérieure pourtant ?
Merci Quentin pour ce FR.
J'avais perdu de vue le délai de publication de l'oeuvre mogoyenne, aussi abondante que la Comédie Humaine mais au rythme de parution légèrement inférieur : mais il est vrai que le FRiste n'est pas rémunéré à la page. En effet, je m'attendais à voir le "Nouveau TLS sinisé", le "Nouveau La Croix du Sud" : or, si le "duty free" est là, cela sent encore les travaux. J'aurai donc quelque exclusivité à faire valoir si je ne tarde pas trop à publier.
Avant la Comédie Humaine à bord -encore un Jeune devenu amer et aigri par le manque de sollicitude de son aîné (on n'est pas comme ça dans l'Educ Nat !!!)- une visite airside en mode Divine Comédie avec un séjour aux Enfers des Chips.
Intéressant ce En attendant le Boco...(teasing)
La fondation Bemberg est plus connue pour l'hôtel d'Assézat merveille renaissance qui l'accueille que pour ses collections.
Les Jacobins sont là, l'honneur est sauf.
Programme toulousain au pas de course. Ne manque d'un match de rugby pour offrir un panorama complet.
A bientôt et meilleurs vœux.
Merci Franck pour le com'.
Mes oeuvres sont tout de même moins longues que celles de Balzac ! Et ce n'est pas uniquement parce que je le les rédige (un bien grand mot) à titre gracieux.