Avis du vol entre New York et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour,
Voici la suite de mon WE prolongé à New York.
Le week-end dernier j'ai posté mon premier FR : un CDG-JFK.
Aujourd'hui je vous propose le vol retour, JFK-CDG qui s'est effectué en A380.
Allais-je enfin voyager en A380 ? Il y a 2 ans, ce bel oiseau avait été remplacé par un 777. Je n'y avais pas perdu au change puisque j'avais été surclassé !
Alors, que nous étions, avec mon groupe, en train de faire la croisière autour de Manhattan (à vrai dire on ne fait pas un tour complet mais la moitié seulement) avec Circle Line, je reçois un SMS d'Air France, m'indiquant que le vol est retardé de 2 heures.
Chouette ! 2 heures de plus à NYC !
Mais la suite du SMS indiquait que l'heure limite d'enregistrement ne changeait pas. Bof !
Comme prévu dans mon programme, nous quittons l'hôtel situé dans la 28è rue pour nous rendre à la station de métro de Penn Station (600 mètres et 10 minutes de marches avec les valises, je me rend compte qu'avec tous les jeans et chocolats Hershey achetés, elles ne font plus le même poids !).
L'avantage est que le métro est direct jusqu'à Jamaica et de là, on prend l'Air Train qui dessert tous les terminaux de JFK. Le tout pour 7,25 $ et une petite heure environ. C'est très pratique.
Arrivé à JFK, j'essaye d'enregistrer mon groupe aux bornes libre service, mais ça ne marche pas. On me dit qu'il faut aller au comptoir.
Tiens, il y a 2 ans c'était la même chose. Ça y est je me dis que l'A380 est remplacé. Soit avec une nouvelle chance je suis surclassé, soit le vol est surbooké et on demande à être débarquable, l'histoire d'amortir le coût du voyage.
Ni l'un, ni l'autre, on partira bien en A380 qui n'est pas plein.
AF nous offre un bon de 10$ par personne pour un rafraichissement dans un bar/resto de notre choix dans le terminal.
On va chez Sbarro pour commander notamment une bière. Mais pas de chance, avec le bon on ne peut pas choisir une bière ! Ce sera : une part de pizza et un coca.

On est au 1er étage en zone avant la douane

L'A380 est bien arrivé

Vue de la zone d'enregistrement (pas celle d'AF) depuis l'étage des resto/bars. Tous les bagages de soute sont scannés (au milieu)

Enregistrement AF. L'enregistrement se fait rapidement. Toutefois, mon groupe et moi avons eu affaire à des agents Air France (au moins 2) qui ne parlait pas Français. C'est tout à fait anormal !

Espace d'attente devant la porte d'embarquement. Curieusement le PNC est arrivé en groupe, est resté quelques minutes et est reparti. L'avion n'était sans doute pas encore prêt. On les aperçoit au fond de la photo

Galerie commerciale avec Duty Free où seules les cigarettes valent le coût. Pour le reste, tout est plus cher. Aucun intérêt. Le terminal 1 n'est pas le plus grand ni celui où il y a le plus de commerces

Porte d'embarquement

De chaque coté de la porte d'embarquement, il y a un espace d'attente. Un agent d'AF, vient gentiment vérifier nos numéros de sièges pour nous prépositionner dans le bon espace (par rapport au pont supérieur ou inférieur de l'A380). Sauf que chacun pense que c'est le moment d'embarquer et va se positionner devant les portes d'embarquement !

Ca y est le PNC revient ; Moi je suis au bar (fort sympathique) en train de finir ma bière !

Cette fois je n'ai pas triché. On traverse tous la Première. Il n'y a personne. Heureusement pour eux, car ça fait vraiment voyeur. Ayant visionné plusieurs FR en First, je ne trouve pas celle d'AF géniale. Je trouve l'atmosphère de cette F, plutôt froide et fade et vide ! Il n'y a pas l'intimité des mini-suites que l'on peut voir sur d'autres compagnies. Par ailleurs je me demande pourquoi AF n'a pas regroupé la Première et la Business sur le même pont. Ça fait desordre…

On traverse la première cabine éco ; J'aime bien l'aménagement de cet avion en plusieurs cabines. Je me souviens de 747 (notamment) ou il y avait pour ainsi dire qu'une cabine du début à la fin entrecoupé des galley. Ici, il y a bien les galley au milieu mais aussi des cloisons sur chaque coté. Lorsque les rideaux sont fermés (et même ouverts), on ne se sent pas perdu dans l'immensité de l'avion. L'atmosphère reste intime.

On traverse la 2ème cabine

Et enfin la 3ème, la notre

Je suis à la 47J

Le pitch très généreux (plus que sur l'A330)

J'ai un soucis avec le repose pied qui ne descend que de quelques centimètres ; donc inutilisable. Je préviens un steward qui me dit qu'il faut le remonter à fond et forcer ! Ça marche. Je dois faire attention à ne pas le remonter. Sauf que par mégarde c'est ce que je fais et j'aurai un mal fou à le faire redescendre.

En plus il est de travers !

La télécommande ne rentre pas complétement ; Décidément fallait que ça tombe sur moi. jamais 2 sans 3 alors ?

Et bien ce sera l'IFE qui ne fonctionne pas pendant les consignes de sécurité. Le steward me dit que ça fonctionnera une fois en vol. Tant pis pour les consignes de sécurité !
Les écrans sont plus grand que ceux de l'A330

Pendant de temps là, on est toujours pas parti. On demande 3 fois à une passagère de se présenter au PNC. On compte….Fin de comptage. La CCP demande au PNC de recompter. On entend une clameur d'exaspération dans la cabine. Fin de comptage. C'est bon on peut partir.
Distribution des écouteurs et menus

Cette fois le champagne est bien sur la carte

Pour le décollage, on a pas eu le droit au direct via la camera. Je le déplore auprès du PNC qui me répond que de toute façon on a rien raté puisqu'on ne voit rien au décollage de nuit et que c'est l'atterrissage à Paris qui viendra le coup. A suivre….

Miam miam,

Ça fait ragougnasse mais pourtant elles étaient excellentes ces pâtes au saumon en entrée

Hachi de b'uf (ou cheval, allez savoir !), pas mauvais non plus.

Après le repas, visite de l'appareil
Les toilettes du fond, avant l'escalier qui monte au pont supérieur

Une trappe d'aération des toilettes est fixé avec une sorte de gros scotch !

Bar éco du pont supérieur (celui du pont principal est bien plus beau)

Un fois redescendu, je retraverse ma cabine pour aller vers le bar située entre les 2 dernières cabines

Et notre bar ! (le champagne est là mais pas au frais)

Juste à coté, les galley (le PNC s'apprête à manger). Alors que je m'apprête à prendre une photo, un steward, étonné, me demande ce que je fais. Je lui demande si je peux prendre une photo des galley. Il a l'air de ne pas savoir quoi répondre et demande à son collègue qui me répond très aimablement bien sûr, il n'y a pas de problème.

Après une petite sieste, on arrive au petit-déjeuner (vers 3h du matin pour nous). Vraiment sommaire et vu la tête du cake, je n'ai pas envie d'y toucher. Je pensais qu'on aurait eu le droit à pain, beurre et confiture…

La cabine est réveillée

Vue du fond

L'avant

On va atterrir ; les rideaux sont ouverts et comme l'a dit le steward, c'est maintenant que ça va être intéressant pour la vidéo. C'est l'attraction sans doute la plus intéressante, sauf que finalement, elle n'a pas été mise en fonction non plus !

Ah si, une fois atterri ; je n'en vois plus l'utilité

La business au pont supérieur, le PNC m'a gentiment laissé monter avant de quitter l'avion

Il nous faut reprendre un train automatique pour rejoindre le 2E

Voilà, c'est fini. Enfin pas tout à fait, après avoir récupéré nos bagages, nous retournons au niveau de la gare RER/TGV pour attendre la navette qui nous ramène à l'hôtel Ibis. Sauf qu'avec le retard de l'avion, il est 11h30 et on est en heure creuse pour la navette qu'on attendra pendant 45 minutes interminables.
La prochaine fois, je choisirai un hôtel plus prêt !