Avis du vol entre Doha et Tehran en classe Affaires avec Qatar Airways

Bonjour à tous et à toutes.

L'introduction

Voici le quatrième et dernier segment de mon aller vers Rome où je vais passer un week-end de détente de trois jours.
Vous pourrez retrouver la genèse de ce routing dans l’introduction du premier segment dont vous trouverez le lien dans l’itinéraire qui suit.

• IKA-DOH en J avec QR sur A332 : c'était là.
• DOH-FCO en J avec QR sur A346 : c'était là.
• FCO-DOH en J avec QR sur A346 : c'était là .
• DOH-IKA en J avec QR sur A333 : c'est ici.

LE prélude

Fraîchement débarqué de mon vol provenant de FCO, je passe le PIF sans aucune attente grâce à la file réservée aux pasagers business.
Me voilà à rejoindre directement ma porte car je n’ai pas le temps de passer au salon avant l’embarquement. La peste soit des correspondances hyper optimisées.

En revanche, je trouverai bien quelques minutes pour m’en griller un dans l’une des cabines fumeurs de l’aéroport.
L’odeur y est très marquée. Je me demande bien pourquoi DOH, qui est un aéroport récent, ne s’est pas inspiré de SIN.
Le climat y est toujours clément et on peut faire de la pause nicotine une bien meilleure expérience que ces horribles bocaux enfumés.

Quoiqu’il en soit, je ne m’y attarde pas plus longtemps que mon vice ne le nécessite.
J’arrive en porte et rejoins la file prioritaire pour les J.

Le flight report

La voie est libre pour embarquer, je n’avais effectivement pas le temps d’aller me prélasser au salon.

L’instant porte.

Salutations souriantes et on m’accompagne à mon siège dans la mini cabine J précédent la classe éco.

Cet Airbus A330 n’a pas été remis au goût du jour avec les cabines parallèles diamond.
C’est encore l’ancienne cabine J long courrier qui présente l’avantage d’être très spacieuse.
Ces nouveaux sièges sur Airbus sont clairement un pas en arrière au profit d’une densification.
Qui plus est, je serai le seul résident de tout le vol. D’une certaine manière, je serai en 3F donc.

Les docs de voyage.

Mon petit royaume.

Le pas est bon, mais il manque un hublot pour que ce soit parfait.

Le bout de l’aile.

Et les verres de bienvenue, un verre d’eau rapidement avalé et une flûte de Lanson pour le style.

Les commandes du siège électrique.

Le menu et la carte des vins sont distribués.

Avant le départ, je prends soin de documenter le siège.

Notamment en position full flat qui ne l’est pas complètement à mon sens.

La télécommande est moderne.

Notre voisin sans surprise.
Entre temps le CCP et la PNC de ma rangée sont venus se présenter.
L’équipage fut très prévenant, mais comme ils n’ont pas fait mention de mon insatisfaction du vol précédent, je ne sais pas s’il faut y trouver une explication.

La prière du voyageur annonce le départ imminent.

Repoussage à 00h56, soit avec une toute petite minute de retard.
Je commence à fatiguer tout de même.

Puis décollage, 13 minutes après.
Avec vue nocturne sur la crique de Doha

Je déploie l’écran qui est de très bonne taille.

Seul au monde.

L’apéritif (sic !) est lancé. Pour une dernière fois, je ferai honneur au médoc.
Les noix sont servies en chaude dans un ramequin comme à chaque fois.

Et le plateau arrive rapidement. Arabic mezze en entrée.

Suivi de boulettes de viandes (je ne me souviens plus trop ce qu’il y a avait à la carte, mais si j’ai choisis cela, cela ne devait pas être fameux).

Après l’oshibori de fin de service, j’en profiterai pour me reposer un peu car je reprends le travail le matin même c'est à dire dans à peine quelques heures.

On atterrit à 3h37 heure locale. J’arrive en seconde position à la PAF et n’ai donc pas à attendre trop longtemps.

Captain en herbe !

Merci de m’avoir lu.