Bonjour à tous et à toutes.
L'introduction
Voici le second segment de mon aller vers Rome où je vais passer un week_end de détente de trois jours.
Vous pourrez retrouver la genèse de ce routing dans l’introduction du premier segment dont vous trouverez le lien dans l’itinéraire qui suit.
- IKA-DOH en J avec QR sur A332 : c'était là.
- DOH-FCO en J avec QR sur A346 : c'est ici.
- FCO-DOH en J avec QR sur A346 : c'est pour plus tard.
- DOH-IKA en J avec QR sur A333 : si vous êtes sages.
LE lounge report
Je vous avais laissés à la sortie du PIF de transit.
Et l’étape suivante est naturellement la case salon.
QR fait partie de ces compagnies qui placent leurs pax business à un niveau supérieur aux passagers à statut voyageant en classe éco.
Le salon Al Mourjan est destiné aux passagers J, les autres sont envoyés dans les salons soi-disant « business » et « first » dont les appellations ne manquent pas de créer la confusion chez les passagers ignorant ce fait mais qui présentent l’avantage de pouvoir prétendre que la compagnie respecte les règles de l’alliance.
Le plus étonnant dans tout cela, c’est que le groupe LH a une position radicalement différente : seul les pax à statut peuvent entrer dans le salon amélioré quelque soit leur classe de voyage (Senator), alors que le pax J de base n’a droit qu’à une version assez basique du salon.

Ces règles compliquées imposent un filtrage dès l’entrée qui s’effectue juste avant les escalators. Tactiquement bien pensé car le goulet d’étranglement qu’il représente facilite les opérations. Les cerbères portent leur scanner en bandoulière ce qui leur donne une allure assez spéciale, façon commando de charme.

Pas de souci pour moi.
Mon prédecesseur est du genre multicarté.

Reste à trouver une place.

Mais je passe avant par la case nicotine. La salle fumeur du salon est fermée et mal aérée.
Cela sent fort la cigarette froide alors que les salons EK à DXB sont nettement moins marqués dans ce domaine : fermés mais bien ventilés au concourse A, ouverts aux quatre vents au B mais isolés en bout de salon pour le concourse B. Quant au C, les zones fumeurs sont situées sur la mezzanine.
Je remarque aussi la disparition des boules blanches, dispositifs anti-odeur chimiques. Et je peux le comprendre car visiblement cela ne changeait rien à l’affaire.

Le salon est bien fréquenté mais on ne se marche pas les uns sur les autres.
Je me dirige vers la cantine car c’est un endroit où je n’ai pas passé beaucoup de temps jusqu’à présent.

Au passage, la presse.

Qui me semble un peu plus fournie que lors de mon dernier passage il y a un peu plus d’un an.
Mais cela reste rachitique…

Pousuivons.

L’endroit semble fréquenté, ce qui est un signe positif. Les gazelles se retrouvent au plan d'eau.

Je m’attable au premier endroit venu et observe le ballet légèrement frénétique des pax et des serveurs.

Car cette partie du salon est le dernier vestige des heures de gloire du salon Al Mourjan.
A l’époque, le service au restaurant était à la carte et le service à la place. Or la partie restaurant située sur la mezzanine n’est devenu qu’un bête buffet en libre service.
Non pas que le restaurant à l’époque était stellaire (on y servait du pré cuit), mais il avait plus de cachet que la plupart des salons J.
Pour se faire servir maintenant, il faut accepter des sandwichs…
Voici le choix proposé.
Rapidement un serveur viendra prendre ma commande.

Tout d’abord un Lemon mint pour se réhydrater.
On notera que les nappes n’ont jamais fait partie des attributs des salons QR. Que ce soit au Al Mourjan ou même au Al Safwa, son pendant pour les passagers First.

Je patiente en prenant la une du jour.

Puis vient le sandwich caprese commandé. Que j’accompagnerai d’une flûte de champagne Lanson.

Les docs de voyage.

Une fois cela avalé, je vais faire un tour sur la mezzanine, pour vérifier l’état de l’art.

Le bar est déjà là. On aperçoit les deux champagnes servis en vol : Lanson brut et Lanson rosé.
Il est loin le temps où l’on y proposait du Krug.


Le reste du bar.

En revanche, question vins tranquilles, il y a toujours (encore ?) des bouteilles de très bonne tenue.

Le tour du buffet, avec les cold cuts en premier lieu.

Puis les cloches, pancakes dans la première.

Puis omelettes aux légumes.

Oeufs brouillés.

Et saucisses pour finir.

De tout cela, je ne profiterai pas car il est temps d’embarquer.
J’emprunte l’ascenseur pour redescendre au niveau principal, plus par curiosité que par fainéantise.

Les parois sont matelassées, on se croirait à l'asile.

Sortons donc rejoindre le peuple.

La clientèle chinoise est importante sur QR. Les marchands du temple l’ont bien compris.

Vue de l’atrium principal.

Et son nounours tourmenté.

Direction les portes C.

Le flight report

Et me voilà à faire la queue en l’absence de file prioritaire…


L’appareil du jour : un Airbus A340-600. Oiseau qui se fait de plus en plus rare et que j’apprécie notamment pour sa gracilité

La salle de préembarquement est bien encombrée alors que les pax font la queue.
A nouveau il n’y a pas de file pour les pax prioritaires… Cette fois-ci, cela m’énerve et je trace directement au contrôle des BP en grillant tout le monde.
Personne n’a rouspété. Après tout on partira tous ensemble…mais une promesse client est une promesse et j'ai mieux à faire sur mon siège qu'à attendre sans rien faire dans une queue.

Les films anti soleil du terminal n’aident pas à saisir la faune locale.

On retrouve enfin un parcours privilégié dans la première passerelle réservée aux passagers J.
Sur cet appareil : pas de cabine First.

Il vous faudra vous contenter de cela pour le fuselage shot !

L’instant porte.

Et j’arrive à mon siège le 2A. Mon voisin est déjà là.
Même cabine que j’ai eue pour le IKA DOH.
Ce n’est pas aussi bien que les sièges Super Diamond que QR propose sur ses A388, mais l’on devra s’en contenter.
J’ai trouvé ce siège Parallel diamond (le même que KL du routing précédent) vraiment étroit, et pourtant je ne suis pas bien épais (de corps, sinon d’esprit).
Certes les écrans sont superbes et les commandes électriques sont à impulsion (très bonne idée au passage, qui s’est fait longtemps attendre) mais on se sent un peu confinés.

La cabine est pleine.

Le siège est full flat, pas vraiment full privacy et certainement pas full access.
L’espace pour les pieds est "légèrement" contraint.

La notice de sécurité.


Et le lot de bord.

La trousse de confort est ensuite distribuée.

Dont voici le contenu. Ce qui manque se trouvera plus loin dans le corps du FR.

Le protocole se déroule avec le verre de bienvenue. Champagne cette fois !
Ainsi qu’un oshibori tiédasse.

Trinquons à ce vol qui s’annonce sous les meilleurs auspices.

La carte des vins qui est strictement la même que le vol précédent.






Le bar.

La passerelle se retracte.

Alors que je prend connaissance du menu. Sur ce vol partant le matin, nous aurons encore droit à une carte de style petit déjeuner.
Un peu frustrant.


On repousse alors que la PNC de la rangée se présente formellement et nous fait part que le service est effectué à la demande et à notre convenance.
Plus tard le CCP passera saluer tous les pax J sans exception ou priorité.



Présentation de la flotte hétéroclite de QR.


Et son réseau, avec de belles coquilles, notamment Kuwait City en Arabie Séoudite.
Les vols vers KSA, les EAU, Bahrein ou l’Egypte ont disparu de la carte.


A320 QR seul spotting du roulage.

Et décollage à 8h36.


Le business district de Doha.


Le centre historique.

Avec notamment le musée d’art islamique.

La crique de Doha.

J’arrive in extremis à saisir les progrès de l’oeuvre de Jean Nouvel : le futur musée national.

Vue générale du business district.



Bye bye Doha, à dans deux jours.

La ville cède bientôt la place au désert.

Ayant un voisin sur ce vol, je lance l’IFE pour suivre le début du vol.

Il faut être fin connaisseur des secrets qataris pour savoir qu’au centre de ce cliché se trouve les ruines d’Al Zubarah.
Ainsi que son fort que je vous avais présenté dans le bonus de ce FR : DXB-DOH sur EK Y en A332 .

Un coup de zoom devrait vous aider.

Toujours pas ? Et là ?
Dans le quart en haut à gauche du cliché, légèrement à droite et en haut du bâtiment en blanc, on aperçoit les ombres des quatre tours du fort.`
Ce dernier, étant ocre, se confond facilement avec le paysage.

Prenons du champ.

Au loin on aperçoit Bahrein.

En zoomant.

Et en zoomant encore plus on peut clairement voir BAH.


Allez deux dernières pour la route.


Les appareils Qataris frôlent les pays non amis.

Ici l’Arabie Séoudite avec Fanateer et la réserve naturelle de Jubail.

Le service commence alors. Formule petit déjeuner oblige, on me propose un smoothie que j’accepte.


Mon voisin indien qui vient de Goa, lui démarre directement au champagne. Mais j’avais pris une longueur d’avance dès le matin. Peut-être que lui aussi, cela dit.
Nous avions sympathisé avant le décollage car tant lui et moi avons eu du mal à paramétrer notre langue préférée sur l’IFE. Même la PNC n'y arrivera pas.
La solution ? Lancer un film et changer alors la langue.

La table est dressée.

Et je suis le service avec le yaourt.

Puis je me laisse tenter par le plat indien. L’omelette au fromage, cela suffit, j’ai eu plus que ma dose sur BA.
Quant au petit déjeuner arabe traditionnel, cela me semble bien trop léger.
Aloo paneer tikki with jeera potato
C’était plaisant car parfumé. Cela a au moins le mérite de l’originalité.

Que j’accompagne au bordeaux avec un petit doute, mais le mariage se passe bien.
On me fera goûter le vin, mais à nouveau la capsule est mal découpée.
Je me demande si la prochaine fois que je vois cela, je leur signalerai pour achèvement…
Autre impair plus grave, le vin n’est pas à température ambiante… bien trop froid.

Je m’arrête là, pour le moment pour terminer sur un petit cognac.

Juste interrompu par un oshibori marquant la fin du service.

Santé !

J’enjambe mon voisin pour accéder aux toilettes. Un peu compliqué quand la cabine est plongée dans la pénombre.

Le test ZE n’a rien donné. Mis à part ce "Traveler".

Les toilettes sont propres et surtout disposent d’un hublot pour ceux dont la passion est l’exhibitionnisme aérien.

Hommage à Mme jack

Dehors, les sommets enneigés de l’est de la Turquie.

Quelques kits en libre service complètent la trousse de confort.

La cabine plongée dans le noir.

Puis je me balade dans le trèèèèèsss long A346 et ses multiples cabines Y. Dont voici la seconde.
On remarquera que les IFE sont anciens (et qu’on est gratifié en sus d’une boîte aux pieds pour certains types de sièges).

J’en profite pour prendre le bout de l’aile.

La première cabine Y.

Sièges 29 en issue de secours à recommander.


J’ai estimé à 40% environ la proportion de chinois dans la cabine Y. Impressionnant.
D’autant que l’avion semblait plein à 90% en Y, tout comme en J.

Toujours au dessus la Turquie.


Histoire de changer un peu de l’ordinaire, je prends plus tard pendant le vol un Cuba Libre.

Mais je reviens rapidement vers mes marottes en achevant la demie bouteille de Tokaj à moi tout seul jusqu’à la fin du vol.
Il est bon sans être extraordinaire. Mais cela se boit comme du petit lait.
Ne dit-on pas que c’est le vin des rois ?

Effets de lumière hongrois.

Tout ceci en regardant une histoire originale et surprenante mais lourdement enjolivée dans la mièvrerie de notre époque.

Nous sommes en Europe.

Il est temps de me faire un second service du mieux que je peux avec cette carte de petit déjeuner.
Commençons par le vin. Le chablis premier cru Laroche.

Pour accompagner le Smoked halibut and mackerel rillette.

Suivi des Mushroom Tortellini in creamy morel sauce.
Le tout était mangeable et plutôt bien présenté mais sans me marquer gustativement.

Un point pénible dans l’agencement du siège, la liseuse se reflète sur l’écran quand elle est allumée.

La faute en incombe à un placement trop à hauteur d’épaule du flux.

Je termine tranquillement mon verre.

Car il est temps d’atterrir.

Au dessus de l’adriatique, cela moutonne.


La côte italienne.

Très rapidement on entame la descente et nous voici prêts à atterrir.

Atterrissage à 13H15.


Un peu de spotting léger et opportuniste.




J’ai oublié de mentionner les patères.


Il n’y a plus qu’à rejoindre le people mover.



La PAF est passée très rapidement.

Vers la sortie directement, car pour un week end je n’ai pas eu à enregistrer de bagages en soute.

Il faut un peu marcher pour mériter son tour de petit train vers Termini.




Et voilà.

Merci de m’avoir lu.
Le bonus
Plusieurs sites que je n’avais jamais pris le temps de visiter à Rome me titillaient depuis bien longtemps.
Tout d’abord à proximité de Santa Maria Maggiore, la basilique Santa Prassede.

.
Avec notamment une abside ornée de mosaïque paléochrétienne. Ici masquée par le ciborium.

Sainte Praxède.

Vue de la nef.

Chapelle Saint Zénon.





Puis à proximité du Mercure Colosseo, une autre église ancienne peu connue et peu fréquentée.
La basilique des Quatre-Saints-Couronnés.

Son aspect médiéval cache bien des trésors.



Dont le plus beau est la chapelle Saint Sylvestre (non pas celui de Michelg !).

Chef d’oeuvre de l’art rupestre roman, très bien conservé.










Le cloître.




Et la basilique. Baroque. Dont le choeur tranche assez nettement…

Avec la nef, restée dans son jus.



A proximité immédiate, Saint Clément du Latran. Qui outre une basilique inférieure que je n’ai pas eu le temps de visiter avant la fermeture, propose une fresque de Masolino da Panicale, compère de Masaccio, un moment.




Je déjeune entre temps, puis direction le Palazzo Barberini. S’y déroule une exposition assez exhaustive des oeuvres d’Arcimboldo.
Pas de photo, car non autorisé.

Plus connue car à côté du capitole et juchée sur un promontoire en haut d’un escalier inmanquable, la Basilique Sainte - Marie D’Aracœli.

J’aime beaucoup le charme suranné dU Pinturicchio.




Mais la raison de ma venue est cette fresque par Pietro Cavallini, le primitif romain méconnu qui a précédé Giotto.

D’autres fresques du trecento non attribuées.

Saint Antoine de Padoue par Benozzo Gozzoli.

Petit panorama de la ville éternelle en sortant de la basilique.

Puis direction le Trastevere, où se trouve le but initial de ce voyage : certaines fresques de Cavallini.

A Sainte Cecile du Trastevere.

L’église en soi ne détone pas de la moyenne de Rome.

Mais ce sont les fresques de l’ancien narthex qui m’intéressent.
Encore une fois, je suis arrivé trop tard pour pouvoir entrer.

Arriverai-je un jour à les voir (c’est mon quatrième échec…) ?
La suite dans le prochain bonus !

Merci de m'avoir lu.
Bonjour et merci pour le report.
Je suis surpris de l’absence d’accès prioritaire à l’embarquement.
L’offre de vins a l’air somptueuse.
Il vaut mieux être un peu nostalgique pour apprécier voler en J en 2-2-2 sur A340.
Mais je comprends tout à fait.
Bon nombre de compagnies seraient déjà à genoux à cause du boycott subi par QR.
Bonus impressionnant, mais appréciable par des inities dont je ne fais pas partie.
Merci encore
Merci Christian pour le com'
Egalement surpris surtout dans le hub et alors qu'il y a les comptoirs pour organiser deux flux séparés. Dans la salle d'embarquement, c'est pareil, l'absence de marquage est regrettable.
La cabine est vivable n'est pas la meilleure dans cette classe de voyage. J'imagine que l'investissment consenti devait ne pas être trop onéreux pour des appareils appelés à disparaître tôt ou tard.
Bonjour mogoy,
Mogoyvetait il malade pour si peu profiter du salon , nous sommes loin des orgies habituel , des lounge a la sauce mogoy....
L A340-600 reste comme le 500 un magnigique appareil , quel dommage qu il ne fut pas plus vendu.... La prestation QR est un peu en retrait , l etroitesse du siege , un catering un peu limite pour un tel vol . Le reste est conforme .
Le hublot dans les toilettes est un must , et devient a la mode , faut il esperer que le cache hublot soit present afin de preserver de ne pas pervertir les quelques oiseaux et autres palmipedes passant par la ..lol c est surtout embetant au sol ..
Tres beau bonus ; merci pour le fr et a bientot
Merci pour le com'.
Je n'avais juste pas le temps de prendre le temps. J'ai opté pour une correspondance courte plutôt que de réduire encore plus mon week end à Rome. Il n'y a pas grand chose qui fasse rester bien longtemps dans ce salon. Si le Krug était encore là, c'eût été différent !
J'aime beaucoup aussi l'A346 mais la rentabilité l'emporte sur le design de ce qui n'est après tout qu'un bus avec des ailes. Un Airbus donc...
Les oiseaux à 30 000 pieds auraient d'autres soucis que la vue de l'intimté de certains pax !
Ce n'est pas tant l'auteur ni la compagnie qui m'a fait cliquer sur ce FR mais l'avion emprunté. Je n'ai pas souvenir d'un Mogoy en 340. Et en -600 de surcroît, excusez du peu!
Salon agréable mais effectivement un cran en dessous de ce que tu nous a habitué à voir à DXB. Du reste, on ne sert pas de Krug à des pax en tenues si sportive, baskets/casquette. Le raffinement se mérite.
Accompagner sa caprese de Champagne est un signe de raffinement. Rien d'étonnant dans tout cela, n'est-ce-pas?
"Les parois sont matelassées, on se croirait à l'asile." -> C'est ce que l'on m'a dit récemment. C'est pour votre confort Monsieur Okapi...
"Et me voilà à faire la queue en l’absence de file prioritaire…" -> Chez QR, les manants sont prioritaires?^^
Le Champagne servi dès l'installation est dans une vraie flute. Dommage que la Compagnie Française ne s'en inspire point.
"Et son réseau, avec de belles coquilles, notamment Kuwait City en Arabie Séoudite." -> Je ne pinaillerai pas sur Milan au bord de la mer. Il y a bien une "Milano Marittima" mais c'est un peu plus au sud normalement... Par contre, Libreville mériterait peut-être une reconsidération de mon opinion sur QR et le ME3 en général.
"Vue générale du business district." -> Joli mais quand même un peut trop de sable. Ça donne soif!
Dommage que tu aies encore à te farcir du PDJ. Mais Indien vaut mieux que deux tu l'auras. Je constate aussi que tu n'avais pas très soif...
Loooooongue cabine. C'est bien ce qui rend cet avion si particulier. Un A380 à un seul étage en somme.
"J’ai estimé à 40% environ la proportion de chinois dans la cabine Y. Impressionnant." -> Un milliard et demi de Chinois, une aubaine pour le tourisme de masse Italien et Français. Qui saura mieux les accueillir et transporter?
Ah! Je vois que tu redeviens raisonnable avec le retour de la demi-bouteille. C'est que tu as une réputation à tenir.
"Effets de lumière hongrois." -> Hongrois rêver...
Avec plaisir, on découvre une seconde prestation alors que certaines compagnies les réduisent. Une arrivée à Rome sous un beau temps. L'estomac n'est pas dans les talons, ce qui est quand même plus pratique pour marcher car l'on marche beaucoup à FCO.
Le bonus est tout simplement "divino". Ma préférence allant aux sols en mosaïque pour d'évidentes raisons. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmatesque
Merci pour ce partage!
Merci Guillaume pour le com'.
Qd on lasse on doit bien trouver de quoi attirer le chaland, le 346 fait partie de ses trucs bon marché pour y arriver !
Je veux bien voyager en costumer pour peu que QR ressorte les bouteilles de Krug de sa réserve !
"C'est ce que l'on m'a dit récemment." combien de m², c'est cela la mesure de la folie !
Chez QR, tout le monde est prioritaire et personne ne l'est.
C'est vrai qu'une flût rend l'aspect nettement moins commun.
"Je constate aussi que tu n'avais pas très soif..." un peu de mesure ne fait pas de mal.
" Un A380 à un seul étage en somme. " pourtant appareil court justement du fait de son double étage.
"Qui saura mieux les accueillir et transporter?" certainement pas les Français avec certaines images déplorables de touristes chinois dépouillés...
" Hongrois rêver..." très bon !
Pas de nappe au salon, mais un plateau (plastique, verre ?) qui fait un peu planche à découper.
Le positionnement erroné de KWI ne serait-il pas une manière de donner l'impression que QR continue de desservir l'Arabie Saoudite ?
La dernière photo du business district montre plutôt l'hôtel St Regis, à plusieurs km de distance.
Pas facile de faire un air-to-air par ce hublot des WC quand on utilise le siège des toilettes, de quelque manière qu'on utilise ce dernier.
Environ 40% de Chinois, ou bien de PAX originaire d'Extrême-Orient ?
Je remarque que l'avion a pris une route plus au nord que la trajectoire du grand cercle pour ne pas entrer dans l'espace saoudien
Merci pour ce recit de vol et bien sûr pour le bonus - je n'en attendais pas moins de ce lieu vu par cet auteur :)
Merci François pour le commentaire,
C'était une assiette.
Compte tenu du nombre de destinations perdues par QR en KSA, il faudrait plusieurs Koweit pour les remplacer... Et cela n'explique pas les autres erreurs.
Je n'ai pas osé squatté les toilettes juste pour faire un chiotte to air.
Certainement quelques coréens ou japonais ds le lot mais je ne pense pas me tromper !
Oui, oui maitre marathon, j'étais un peu fatigué de ma géographie de Doha !
Hello Quentin !
Ah la la, quelle tristesse cette vie d'AvGeek de ne plus pouvoir prendre le temps d'avoir du temps, dans un salon Affaires en plus :)
Jolie prestation globale que nous propose Qatar sur ce routing. Et puis voler en 346 va devenir de plus en plus difficile, donc autant en profiter .... tant que nous avons du temps :)
A très bientôt !
Merci Stephan pour le com'
Faut-il s'en plaindre ? Les correspondances font perdre du temps. Avec trois vols par jour vers FCO, j'avais le choix de prolonger un séjour dans le salon.
Mais comme il n'a pas grand chose à offrir pour mogoyer plus que de raison, j'ai préféré privilégier le temps passé à destination !
Prendre un A346 était un plaisir car c'est rare. Hormis le bruit moins intense (mais qui est de toute façon moins sensible à l'avant qu'à l'arrière), cela permet de voler "européen" !
Pour une fois le Mogoy zap presque le salon, je me disais que la météo pourrie depuis quelques jours n'était pas normal ^^
Rome mérite une longue visite
Cet A340-600 me rappel un souvenir très précis, lors d'un retour très de BKK arrosé...
Pas de file prioritaire, bizarre dans un hub !
Belle prestation à bord
Merci pour ce FR, à bientôt.
Merci Hervé pour le com'
Même une longue visite à Rome ne suffit pas. C'est tellement riche qu'on risque l'écoeurement.
Je n'ai pas abusé du cognac précisément à cause de cela.
L'absence de file prioritaire est assez incompréhensible.