Bonjour à tous,
Bienvenue sur mon 5e FR, qui porte sur mon 74e vol (1er vol sur SAS, et 17e de l'année).
C'est le troisième FR de ma série vers Hambourg et Copenhague. Ce vol-ci va me ramener de la capitale danoise à la deuxième ville allemande. Pour l'origine du voyage et du routing, je vous laisse consulter le premier FR en cliquant ici.
Une fois n'est pas coutume, je vous propose une exclusivité ici, puisque c'est le premier vol Copenhague - Hamburg présent sur FR.
Le routing prévu
Le routing prévu est donc le suivant :
1. KL1418 : LYS - AMS (Economy, B737-700) le 15 septembre 2017 => Par ici !
2. KL1783 : AMS - HAM (Economy, B737-800) le 15 septembre 2017 => Par là !
3. SK647 : CPH - HAM (Economy, CRJ900) le 16 septembre 2017 => En cours de lecture
4. AF1511 : HAM - CDG (Economy, A320) le 17 septembre 2017 => Cliquez ici !
5. AF7648 : CDG - LYS (Economy, A320) le 17 septembre 2017 => Cliquez ici !
Vers et à l'aéroport
Après avoir passé la journée à me balader dans Copenhague, je me dirige, très en avance, vers la gare pour rejoindre l'aéroport (je me fais vieux à 25 ans, mes pieds fatiguent rapidement). Pour la modique somme de 36 couronnes (5€), direction l'aéroport ce CPH à bord de ce charmant train régional, aux sièges assez "carrés".


En une grosse dizaine de minutes, nous voici arrivés. Direction le terminal 3, d'où opère SAS pour mon vol d'après mon téléphone. On arrive directement dans un hall assez petit, puisqu'en partie en travaux, ce qui réduit la surface disponible et rend le tout légèrement bordélique. Pas mal de queue aux comptoirs, heureusement ces charmantes bornes sont là pour me délivrer mon BP !

Je m'étais choisi à l'OLCI la place 16A, en issue de secours, sans supplément (bon point pour SAS), en espérant que la 16C reste libre. Elle est toujours libre, tout comme la moitié de l'appareil ! Ca laisse présager un vol agréable (de toute façon, sur 50 minutes de trajet bloc à bloc, même une cabine complète ça reste supportable). On me propose aussi un accès au salon pour 189 couronnes (environ 26€). Bien que j'ai lu sur ce site plusieurs avis peu élogieux sur les salons SAS, je me laisse tenter quand même : Je suis comme je le disais très en avance, fatigué, et il me faudra manger quelque chose à l'aéroport, donc tant qu'à faire autant que ce soit au salon au calme.
Maintenant muni de mon billet, je me met en quête de toilettes. Les indications sont assez confuses, puisque les travaux font que la zone dédiée aux arrivées est très réduite, et les toilettes sont juste derrière cette zone. Il faut donc aller à contrecourant du flux arrivées (heureusement le sol est rouge vif marqué "Interdit d'attendre ici", ce qui a le mérite de fluidifier un peu le passage). La signalétique est d'ailleurs assez mauvaise (j'y reviendrais), les WC sont en fait à l'étage inférieur, accessible par ascenceur ou escalier.
La propreté est moyenne, à l'image de la facilité d'accès.

Puis direction la PIF sans attendre, histoire de rentabiliser le plus longtemps possible l'accès au salon. De toute façon vu les travaux il n'y a pas grand chose à faire côté landside.
De même que pour les WC, la signalétique est très confuse. On a en fait tout qui est indiqué "tout droit" de là où sont placées les bornes (WC, Terminal 2, PIF du Terminal 3). Sauf que ce n'est pas vraiment le cas, puisque chaque destination est dans une direction différente. Je me dirige ce qui me semble être "tout droit" mais je finis dans un couloir avec cette signalétique là :

Retour arrière donc. En fait, pour aller vers le PIF du T3, il faut prendre l'escalier pour aller à la mezzanine. Une signalétique "escalier" m'aurait semblé beaucoup plus claire, mais pas pour les concepteurs visiblement. Bref, une fois en haut, on arrive dans un long couloir qui comporte tout le long de nombreuses tables, sur lesquelles sont affichées toutes les règles sur les objets autorisés et interdits en cabine, avec des piles de sacs transparents pour placer les liquides. C'est fort pratique, ça évite de tout sortir au dernier moment, ou de déballer sur le sol au milieu du PIF les liquides et PC, ou de passer 5 minutes à retrouver le dentifrice (comme on voit assez souvent parmi la populace non habituée). La fluidité du PIF est améliorée, et moins de stress pour les voyageurs occasionnels.


Pas de photo du PIF, puisque l'entrée est gardée par des personnes en uniforme avec des panneaux "NO PHOTO", et n'étant pas joueur, je préfère ne pas tenter le diable. Le passage est fluide, quasiment aucune attente (seules trois personnes sont devant moi sur la file), et en 2 minutes c'est plié. J'aurais droit à une palpation plus poussée, le bouton de jean ayant fait tiquer le scanner.
Une fois sorti, revigoré par ce tripotage de jean et caleçon en bonne et due forme, petit coup d'oeil au PIF : Mon vol est prévu à l'heure. En même temps, vu qu'il reste 3h15 avant le départ, c'est assez normal…

Juste après le PIF, on arrive au cœur du centre commercial terminal. Je me promène un peu, mais je dois avouer que faire du shopping n'est pas mon but quand je vais dans un aéroport.



Du coup une grande partie de ce terminal est aveugle, les boutiques sont de chaque côté et bloquent toute vue sur le tarmac. Seuls les quelques cafés présents permettent d'apercevoir les appareils derrière les baies vitrées… Je ne m'éternise donc pas et me dirige vers les SAS Lounges.

Le SAS Business Lounge
A l'intérieur, accueil souriant par le cerbère. Deux salons sont disponibles : Au RDC, le salon Business, à l'étage, le salon "Gold", réservé aux clients Gold (d'où le nom…). Je me dirige donc vers la gauche pour entrer au salon du bas.
Première impression : Le salon est assez grand, et semble confortable. Il y a un peu de monde, mais ça reste calme. Je me trouve un coin libre, habituellement signalé par des verres et assiettes vides.

Petit coup d'oeil au BP du jour :

Je fais un petit tour du salon, histoire de me prendre quelque chose à grignoter. L'offre de presse est conséquente… Mais uniquement en langue scandinave. Assez dommage pour un aéroport international.

Côté offre solide, c'est pauvre aussi :
Du saumon, du pain, du beurre, des légumes, de la salade, des cookies, de la soupe à la tomate et des croutons. Pas d'offre chaude (à part la soupe, dommage, je n'aime pas celle à la tomate), pas de charcuterie, pas de snacks (sandwichs ou canapés)… La tristesse quoi. Je savais que ce n'était pas la folie les salons Business SAS, mais là c'est pitoyable pour, encore une fois, un aéroport international et hub de la compagnie.


L'offre liquide consiste en du soft, de l'eau, de la bière et des tireuses à vin (blanc et rouge, une de chaque).
Ma première sélection, du saumon, du pain, du beurre, des tomates cerises. Ca a au moins le mérite d'être bon, notamment le saumon. Je n'en attendais pas moins d'un salon scandinave. J'accompagne ça d'un verre d'eau, et d'une bière.

Soudain, horreur !!! La bière que j'ai prise est "Alkoholfri" ! Le désespoir m'envahit, je retourne donc me chercher un verre de vin (au moins, c'est une valeur sûre, à moins que ça aussi ça ne soit du jus de raisin ?). Au passage, je prends quelques légumes, un peu de sauce, des chips et des cookies, histoire d'avoir un truc à grignoter.


Mine de rien, en lisant, glandant et grignotant un peu, le temps passe vite… Il est 20h15, l'embarquement est prévu à 20h40, la porte n'est pas à côté et j'ai envie de me promener un peu… Je passe rapidement aux WC, assez propres. En même temps, j'ai croisé la femme de ménage qui en sortait, ça aide. Ca sera d'ailleurs, mis à part l'homme à l'accueil, la seule employée souriante de ce salon, les autres n'étant visiblement pas des plus réjouis de travailler ce samedi soir dans ce pauvre salon.

L'embarquement
Je sors donc de ce lieu de gourmandise et de luxure. Dehors, c'est mort, tous les commerces ferment à 20h visiblement, même les cafés. J'aurais pensé que dans un aéroport de cette taille, les boutiques resteraient ouvertes un peu plus longtemps, il reste tout de même pas mal de vols à partir. Bref, moi je me dirige vers la porte B9, c'est parti !






Bon, il reste au moins quelques cafés ouverts dans cette partie du terminal, c'est mieux que rien… J'arrive à ma salle d'embarquement, l'embarquement est toujours prévu dans 15 minutes, et il n'y a pas foule ! Il y a quelques baies vitrées, mais qui ne permettent pas de voir notre appareil.

Je profite de mon avance pour me glisser à la porte d'à côté, pour Göteborg, pour essayer de prendre une vue du CRJ900 qui attend patiemment à notre porte. Le tarmac étant assez sombre, et la salle lumineuse, difficile de faire une meilleure photo que ça…

A peine ai-je le temps de faire ma photo que j'entends l'appel à l'embarquement pour Hamburg ! Je retourne donc à ma porte, et effectivement, des passagers commencent à embarquer. Aucune priorité n'est respectée, mais vu qu'il y a pas plus de 30 personnes dans la salle, ça va assez vite de toute façon. Il n'y a d'ailleurs pas de queue du tout, chacun y va très tranquillement, ça change des cohues habituelles. D'ailleurs l'agent contrôlant les billets est lui aussi très "cool", souriant, blaguant avec les passagers. On descend un escalier, et nous voici directement sur le tarmac, devant ce Bombardier (désolé, photo floue, je n'ai pas pu faire mieux)

A bord
L'accueil à bord est chaleureux et souriant, je me dirige vers ma place sur l'issue. Pitch excellent, forcément.

Les seuls soucis de ces sièges aux issues sont les accoudoirs : Fixes, et celui côté issue est raccourci de moitié pour ne pas empiéter sur l'issue. Mais on se passe facilement d'un demi accoudoir si ça permet de pouvoir étendre ses jambes…

La moquette est propre…

Le plafonnier fait récent mais pas trop non plus…

L'hôtesse vient s'agenouiller à côté de moi pour m'expliquer les consignes de sécurité au sujet de l'issue de secours, dans un très bon anglais. Les consignes sont très détaillées, trop peut-être, puisqu'elle précise même que la porte ne doit pas être ouverte en cas d'urgence si l'on est dans les airs. J'aurais pu m'en douter, mais c'est gentil de préciser ! Attentif et obéissant, je consulte à sa demande les pictos expliquant l'ouverture de l'issue, situés sur la tablette de devant. Notez le système de vis qui bloque la tablette en position fermée…

… Mais je crois qu'il y a une faille dans le système !

Bref, il est 20h40, l'heure de début de l'embarquement prévue sur le billet, et l'embarquement est déjà fini ! L'avion est aux deux-tiers vide, surtout à l'arrière où nous sommes une dizaine de pax pour 10 rangs. Le pilote fait une annonce, précise que nous mettrons en route dans quelques minutes, que le vol est de 45mn porte à porte, et qu'il y aura probablement des turbulences, même s'il essaiera de les éviter.
Les démos de sécurité manuelles sont lancées dans la foulée, accompagnées par des consignes en anglais. Par la suite, un résumé est fait dans les différentes langues scandinaves. Les hôtesses font ensuite le tour de la cabine, puis annoncent que la luminosité de la cabine va être réduite. Je peux enfin faire quelques clichés de l'extérieur ! Malheureusement, notre voisin est parti entretemps et il n'y a plus grand chose à voir…


Il est 20h50, la copilote (première fois que j'ai une femme PNT !) annonce "Cabin crew, take your seats !", alors que les moteurs ne sont toujours pas allumés et que nous sommes toujours en porte.
A 20h55, nous repoussons enfin ! Avec au passage une vue sur ce 737 SAS qui a repoussé juste avant nous.

Puis sur l'A340-300 SAS qui va partir peu après pour Pékin


Puis sur un autre 737 SAS qui passe derrière l'A343…

A 20h59, les moteurs sont en marche et nous commençons à rouler vers la piste, qui est rapidement atteinte. Le décollage a lieu dans la foulée, à 21h03 nous sommes dans les airs ! Il fait très sombre à 21h en septembre au Danemark… La preuve (on voit quand même un bout de winglet) :

Je me rabat donc sur le contenu de la pochette pour m'occuper durant ce court vol. Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle est bien pleine ! Et mal nettoyée… Dommage, vu le quart d'heure d'attente sur le tarmac, ils auraient pu en profiter pour faire un nettoyage plus poussé de la cabine plutôt que de faire embarquer en avance.

La pochette contient donc la notice de sécurité, le catalogue de boutique à bord, le magazine SAS…

Un autre magazine inconnu, et le menu du BOB (joliment décoré) !

Coup d'oeil au menu en détail…

Les PNC sont libérées et annoncent qu'elles vont passer proposer des boissons chaudes. Les passagers SAS Plus pourront bénéficier d'un refill de boissons, contrairement aux autres passagers. Mais sur un vol de 45 minutes je doute qu'ils soient nombreux à le faire. Je n'ai pas saisis s'ils avaient également droit à un snack ou autre en plus par contre.
L'hôtesse qui m'avait expliqué les consignes pour la porte passe dans la foulée avec un plateau avec des gobelets, du lait et du sucre, et un thermos de café, pour en proposer aux passagers. Je refuse poliment, n'ayant pas besoin d'un café à 21h30.
Elle repasse 5 minutes plus tard, toujours le même plateau, sauf que cette fois elle propose du thé, toujours en thermos. Je craque, voici donc le thé (avec un nuage de lait) SAS, sur une tablette d'une propreté immaculée, ou presque.

Le thé étant bouillant, j'en profite pour aller aux WC, qui sont à peu près propres (si ce n'est quelques gouttes d'eau sur la cuvette).


Étonnamment sur un vol aussi court, je compterais 5 ou 6 personnes qui iront également aux sanitaires… Peut-être qu'ils allaient également juste prendre des photos pour faire un FR, qui sait !
Le début de la descente est annoncé à 21h20, alors que je reviens à ma place difficilement, les turbulences annoncées par le pilote avant le vol se manifestant plutôt violemment tout à coup. L’atterrissage est prévu dans un quart d'heure. Je bois mon thé rapidement, il n'a même pas eu le temps de refroidir, et les hôtesses passent préparer la cabine.
Peu après, l'appareil vire très légèrement sur la droite. Ça sera d'ailleurs le seul virage de tout le vol, nous avons en effet décollé de la piste 22R de CPH, et allons atterrir sur la piste 23 de HAM, qui sont quasiment en alignement (à 300km de distance).
Nous repassons en "mode nuit", ce qui permet d'apprécier l'approche et les lumières de la banlieue hambourgeoise qui se rapprochent…



Tentative de prendre en photo l'aéroport (tellement ratée qu'il y a presque un côté "artistique").

Arrivée sur le sol allemand
Et nous voilà au sol à 21h35 ! Atterrissage assez rude, et freinage très puissant, heureusement que je suis ceinturé sinon j'aurais fini dans le siège de devant !
On se dirige vers les terminaux, l'appareil s'immobilise à côté de ce Ryanair qui somnole sous les lampes du tarmac…

Un comité d'accueil juste à côté avec camionnette follow-me, tracteur à repoussage (je ne connais pas le nom) et chariots à bagages laissent présager que nous nous parquerons ici. Derrière, Emirates repousse.

Mais il n'en est rien ! En fait nous attendions juste notre follow-me, nous repartons donc désormais bien escorté, avec vue au passage sur le comité qui attend sans doute un vol juste après nous.

Beaucoup d'appareils endormis au large par ici… Ryanair, Easyjet, Eurowings, British Airways et j'en passe…



Notre guide qui nous fait faire des détours, histoire que l'appareil soit garé dans le bon sens pour repartir sans repoussage.

Et nous nous arrêtons finalement au parking à 21h44, avec un bus Man qui nous attend en compagnie des bagagistes ! Tout juste 45 minutes après la mise en route à CPH, bravo pour la ponctualité pilote ;)

Le bus est un peu trop proche pour permettre une dernière vue en une seule fois de notre CRJ… On notera d'ailleurs qu'il est opéré par Cimber (SAS n'opère aucun avion régional en propre).


Le débarquement est tout aussi rapide que l'embarquement, et 9 minutes après le dernier virage de l'appareil, je débarque dans le terminal (après avoir fait une petite visite en bus de l'aéroport, en passant notamment devant le hangar de maintenance… des paxbus).
Le cheminement en cas de débarquement par bus permet d'arriver directement aux portes anti-retour, on évite ainsi les 10 minutes de marche que j'ai du faire la veille en arrivant d'AMS, très bon point ! Je me dirige vers la sortie après être passé aux WC (j'aurais pas du boire un thé), qui sont dans un état déplorable : Des petits malins ont envoyés valser de l'essuie main un peu partout dans les sanitaires… Je plains le personnel de nettoyage.



Je me dirige comme la veille vers le S-Bahn, qui malgré l'heure tardive (22h) part toujours toutes les 10 minutes. La veille, j'étais monté dans le train quelques secondes avant qu'il ne ferme ses portes. J'ai eu moins de chance, et je vois le train partir devant mon nez. Heureusement le suivant arrive peu après…

Une heure après être sorti de l'appareil, je serai dans ma chambre de l'Ibis Hamburg Centre.
Comme d'habitude, la trajectoire (très rectiligne) de mon vol :

Pour finir, un mini-bonus sur la raison initiale qui m'a poussée à faire ce voyage vers Hamburg et Copenhague…
C'est donc en juin que j'ai lu dans la revue Rail Passion que les trains allemands ICE-TD allaient terminer leur carrière fin septembre 2017. Il reste en effet une seule rame, qui effectue un aller-retour quotidien entre Hambourg et Copenhague sur la Vogelfluglinie, ligne connue pour être une des (très) rares lignes ferroviaires européennes encore existantes où le train… Prend le ferry :)
Cela faisait plusieurs années que je souhaitais découvrir cette curieuse ligne, si possible avec le matériel ICE qui offre une voiture "panorama" : La vitre derrière le conducteur peut être rendue transparente par le conducteur pour que les passagers assis derrière puisse voir ce qu'il voit. C'était donc une des dernières occasions de le faire…
Et me voilà donc le samedi au matin en gare de Hambourg, quand l'ICE entre en gare.

Dommage, la vitre derrière le conducteur n'est pas transparente, et ne le sera pas de tout le trajet.

Après 2h de trajet, nous arrivons en gare de Puttgarden, où le train embarque sur le ferry…




Tous les passagers doivent descendre pendant la traversée, qui dure 45 minutes. Direction donc le pont-passerelle pendant la traversée, et c'est parti !


5 minutes avant l'arrivée au port de Rødby, les passagers sont invités à regagner la rame. Le train débarque ensuite sur le sol danois…





Deux heures plus tard, le train arrivera en gare de Copenhague…
Allez, pour finir ce bonus, un "bateau" dans un canal de Copenhague qui a eu le mérite de me faire sourire, vu sa simplicité !

Merci de votre lecture, toutes mes excuses à ceux qui n'auront pas apprécié ce bonus ferroviaire et maritime !
A dans quelques jours, pour les FR des vols retour de ce petit périple…
Merci pour ce FR
26 e de perdu avec ce salon, même pas de quoi manger correctement dans le salon, mis à part le saumon !
Le vol est très court, SAS conserve la formule d'offrir une boisson chaude, c'est déjà ça mais ce n'est pas digne d'une legacy, (je met IB, BA et les autres dans le même sac)
Des turbulences à l'arrivée et un débarquement par paxbus
HAM est bien relié par le transports en commun au centre ville
J'espère que tu as visité le fabuleux Miniatur Wunderland, un incontournable à Hambourg
Merci pour le partage, à bientôt !
Merci pour ton commentaire !
26€ pas tout à fait perdus puisque j'ai quand même profité du confort des sièges et du calme du salon, beaucoup plus agréable pour attendre, mais il est clair que ça ne vaut pas ce prix...
Tout à fait d'accord sur le fait que proposer du BoB pour une legacy, ce n'est pas acceptable. Le service de boisson chaude a quand même le mérite d'exister même sur un vol court, je ne m'y attendais pas forcément.
La balade en paxbus à HAM a le mérite de faire éviter le long transit dans la zone airside, c'est assez intéressant !
Je n'ai pas visité ce paradis des miniatures, mais il est prévu que je retourne à Hambourg, avec ma douce et tendre cette fois, notamment pour visiter cette attraction qui l'intéresse aussi ! Mais je me suis quand même bien baladé dans la ville, que j'ai beaucoup appréciée d'ailleurs.
A bientôt !
Merci pour cette suite.
26 euros pour ce salon, ce n’est pas si excessif, mais ça goûte trop peu. A ce prix-là, j'aurais fait une razzia sur le saumon^^^^
Vol court mais qui semble agréable, le service est léger, mais on est sur SAS.
Bonus sympa, toujours une expérience de prendre un train-ferry. Perso, je préfère les IC3 aux ICTD sur cette ligne, ils ont un côté plus cossu, et sont plus larges aussi. Tout ça me fait penser au "Night-Ferry", qui offrait une toute autre façon de voyager entre Paris et Londres que U2...
Merci pour le commentaire :)
C'est raisonnable effectivement, surtout en Scandinavie, mais quand même assez décevant pour la partie restauration. Je ne le montre pas, mais je ne me suis pas servi qu'une seule fois du saumon !
Le service léger ne gêne pas sur un vol aussi court, qui fut effectivement bien agréable vu le faible remplissage... En plus avec très peu de passagers voyageant ensemble, donc mis à part le service des hôtesses et les réacteurs, pas de bruit parasite en cabine.
C'était une première fois pour moi, le train ferry, vu que ça devient assez rare en Europe, mais c'était assez sympathique. Je tenterai les IC3 une autre fois pour comparer, j'espérais surtout avoir la vue par la cabine dans l'ICE TD, raté ;)
Je suis un peu (beaucoup) trop jeune pour avoir pu voyager sur le Night Ferry, mais c'est effectivement une toute autre expérience (et bien plus agréable).