Aussi incroyable que cela puisse paraître, ce vol ô combien banal pour les Scandinaves est une exclusivité sur FR !
S'enregistrer sur ce vol, cela se mérite : l’intégration dans un pays étranger auquel on ne s’est nullement préparé est une succession de défis quotidiens, et le défi du jour était ce courriel envoyé par SAS :

Malgré sa propension à joncher ses voyelles de trémas et de macrons, le suédois est une langue assez abordable à l’écrit, et j’ai tenu à être à la hauteur de l’estime linguistique dans laquelle me tenait SAS, n’omettant pas au passage de changer mon siège pour en choisir un au hublot loin de l'aile côté nord (il n’était pas clair quel serait le côté optimal; j'ai eu en fait le soleil un peu de mon côté).

Jusqu'ici, c'était sur PC sous Windows, un système d'exploitation apparu au milieu des années 80, vingt ans avant les smartphones. Les djeunn's qui n'ont pas connu le billet d'avion sur papier autocarbonné rouge ni le poste S63 de France Telecom ne peuvent pas percevoir la révolution technologique matérialisée (si je peux dire) par ce courriel envoyé par SAS :

Il était presque décevant de le recevoir en anglais après s'être obstiné à ne pas basculer le site de SAS en anglais, mais au moins, j’avais une confiance raisonnable que c’était un BP et non un bon de réduction pour un achat dans une boutique duty-free située porte 27A.

La journée professionnelle s’est terminée un peu plus tôt que prévu, ce qui allait me donner d’autant plus de temps pour explorer OSL. Départ de la gare centrale après un trajet en métro

Je n’ai pas de reproche à faire à la signalétique à la gare du train vers OSL

Juste avant les quais, il est possible bien sûr d’acheter un billet (180 NOK l’aller-simple) à droite, mais aussi d’obtenir un BP à gauche (pour n’importe quel vol, ou sur la plupart des compagnies aériennes ?). N’ayant que quelque minutes avant le départ du prochain train, et étant avec un collègue, je n’ai pas vérifié.

Voici le train, dont le pare-brise a un petit air de cockpit d’A350, en plus anguleux.

De même que pour l’Arlanda Express, il est possible d’acheter son billet jusque sur le quai, mais ici, c’est simplement par lecture de sa carte de crédit, qui sera lue de même au contrôle de sortie, la facture étant envoyée ultérieurement par courriel.

Le confort duFlytoget ne cède en rien à celui de l’Arlanda Express ; il est de surcroit nettement moins cher et cadencé à 10 minutes au lieu de 15 pour son homologue suédois.

Je trouve aussi le paysage plus agréable

Arrivée en vingt minutes à OSL. Les doubles portes rotatives (bloquées en position ouverte à cette saison) forment un sas en hiver, isolant efficacement le terminal du froid.

Montée au niveau Départs

… sous un plafond qui rappelle que la Norvège ne manque pas de bois

Coup d’œil en arrière vers la façade de la gare d’OSL

… et sur les portillons dont la hauteur montre que le risque de fraude n’est pas une préoccupation majeure ici.

Mon BP obtenu en suédois est bien reconnu par ces bornes de lecture norvégiennes, à l’entrée du PIF : elles n’ont pas de mérite, car ce sont des langues très proches l’une de l’autre, surtout quand elles sont écrites en QR-code.

La queue au PIF est aussi longue que de progression rapide, car non seulement il y a beaucoup de postes de contrôle, mais les Scandinaves ont l’habitude de prendre l’avion et ne font pas d’erreur de débutant.
En sortie du PIF, la liste des vols s’arrête précisément avant mon vol de 19h10

La porte a des chances raisonnables d’être en zone D, comme les autres vols Schengen étrangers de SK qui sont affichés.

De fait, au FIDS suivant

Ca se précise un peu : ce sera en zone D ou E

De toute façon, contrairement au vol précédent où je suis arrivé presque une heure plus tard que prévu, j’ai aujourd’hui presque une heure d’avance sur mon horaire, ce qui va me permettre d’explorer à fond OSL airside en zone Schengen.
Il y a évidemment des boutiques duty-free, mais de même que dans le circuit d’arrivée, il n’est pas nécessaire de les traverser.

Mes collègues suédois m’avaient prévenu : dans le duty free d’OSL, tout est plus cher ; mieux vaut faire ses achats à Stockholm

De fait, il y a du saumon fumé très similaire à celui que j’achète habituellement, également norvégien

Mais ici, il est à 529 NOK le kilo, contre 399 SEK le kilo à ARN, alors qu’il n’y a que quelques pourcents d’écart entre les deux devises, qui plus est en défaveur de la couronne suédoise,

La porte de mon vol est maintenant affichée : D9, mais on n’est encore qu’à STD-1h50’ : ce n’est pas du tout du dernier moment à la mode britannique.

Et puisque je ne vais pas faire de shopping, la suite logique des opérations est un spotting en règle, d’autant plus que les vols Schengen partent d’un unique terminal vaste et spotter friendly. Évidemment, je ne me suis pas limité à cette dérive DY peinte aux couleurs de l’Unicef, photographiée au vol.

Voici la livrée standard, de l’appareil norvégien tout aussi standard

Alignement de dérives diverses

I had a farm in Africa at the foot of the Ngong Hills…

A319 Brussels Airlines en livrée Star Alliance


A320 Finnair

737-800 KLM


737-800 TUI

Le même en entier

Il a la particularité d’avoir des winglets « scimitar »

Le voici au départ vers CTA

Le restaurant situé en haut de cet escalier mécanique permet de voir au-delà d’une zone en travaux

Ce qui permet de voir cet E-145 BMI, en repoussage depuis la zone non-Schengen

Les baies vitrées d’OSL sont très propres, peut-être en partie parce qu’elles inclinées, comme par exemple à HKG, évitant ainsi les traînées de goutte de pluie lorsqu’elle tombe verticalement.

Ces stores du côté exposé au soleil peuvent paraître très spotter-unfriendly, mais il est en fait possible de s’en approcher et de les écarter un peu pour prendre des photos

Comme par exemple de cet A330-300 Thomas Cook : c'est lui qui assure à l'aube le lendemain le plus long vol Schengen au départ d'OSL, signalé par Saraoutou : il y a 4106 km jusqu'à LPA.

Ou le départ d’un E-190 Hop! vers CDG

Arrivée d’un A321 Lufthansa

Fin de repoussage d’un 787 Norwegian Long Haul

La goupille de blocage du train avant est bien ôtée

L’appareil aux caractéristiques carénages de réacteurs crénelés s’éloigne.

Arrivée d’un A320 portugais, assurant un vol Schengen qui ne fait « que » 2772 km, mais c'est quand même probablement le plus long vol Schengen "continental" au départ d'OSL.

CRJ-1000 Croatia Airlines

Un Dash 8-100 Widerøe, une compagnie intérieure norvégienne

A319 British Airways

Impossible d’aller plus loin dans cette direction : il y a un contrôle de passeport : sans doute l’accès à des vols non-Schengen

L’espace ne manque pas, airside, dans la zone Schengen (qu’on pense à l’espace étriqué du Terminal 2F de CDG !) avec ici la bifurcation entre deux ailes

Vue depuis l’extrémité d’une aile

Il y a aussi de la recherche architecturale pour certaines boutiques

Les murs végétalisés, c’est très tendance

Sculpture en hauteur

A OSL, on ne parle pas d’amour et d’eau fraîche, mais cette fontaine d’eau fraîche n’en fonctionne pas moins

Il y a du monde porte D9

Mais c’est pour un autre vol vers ARN

Après ce vaste tour d’horizon norvégien, un peu de surf en attendant l’avion, en rechargeant par la même occasion ordinateur et accu d’appareil photo avec l’une des prises électriques situées sous ces sièges, tout en gardant l’œil sur le tarmac.

Ou plutôt, en gardant l’œil au dessus du tarmac, car ce que je vois le mieux de là, ce sont les appareils après leur décollage piste 01R : 738 Norwegian Air Shuttle

737-600 SAS

A320 SAS

A321 Turkish Airlines

Bonne nouvelle : nous avons apparemment un équipage ;)

Et rien d’anormal n’est annoncé au sujet de notre vol. Pendant qu’il fait 18° en fin de journée à Stockholm, il fait 33° à Paris.

Le panneau en hauteur rappelle que SAS pratique l’embarquement par les deux extrémités de l’avion

Cela revient à un faux contact pour les PAX de la moitié arrière de l’avion

… et ce n’est pas un handicap pour un FRiste, surtout par grand soleil

Le cheminement a été balisé pour ne pas passer sous l’aile

Fuselage shot depuis le sol

L’instant porte arrière, plutôt rare dans mes FR

La cabine, vue de l’arrière

Les hublots sont décalés par rapport au siège, mais pas de manière très gênante. Ce qui gêne, c’est qu’ils sont assez rayés.

Le siège choisi par SAS a un logement pour magazine de vol en partie haute, retenus par une simple languette quand la tablette est abaissée

… et une poche à filet d’une capacité minimale

L’avantage est de procurer un généreux espace pour les jambes : 30 cm de la limite de l’assise au dossier du siège de devant.

L’inconvénient, c’est que ce filet permet à peine de retenir un ordinateur

La largeur entre accoudoirs est un peu moindre que chez AF, mais pas de beaucoup (la carlingue d’un 737 est plus étroite que celle d’un A32x)

La moquette est presque propre

« Presque », car le ménage a laissé traîner cet emballage du comprimé d’un médicament que je n’ai pas cherché à identifier

La fiche de sécurité recto-verso

On repousse, ce qui permet de voir ce CRJ-700 Nordica

Décollage d’un 737 SAS sur la piste 01R alors que nous sommes en fin de roulage

Le CRJ-1000 Croatia Airlines vu précédemment nous précède

ATR72 SAS derrière nous

C’est à nous

Eclairage évidemment défavorable en décollant piste 01R en fin de journée.

Peu après le décollage, le cours rectiligne de la rivière Vorma, taillé dans la moraine à l’extrémité sud du lac Mjøsa (au fond de la photo, le plus grand de Norvège).

Il n’y a en fait guère d’infrastructures remarquables sur le trajet, qui de surcroit est en grande partie partie masquée par des nuages. Le lac Storsjøen, à une trentaine de kilomètres d’OSL.

L’offre gratuite de SAS se limite à une boisson – un café pour moi.

Pour la nourriture, c’est BOB, mais sur un vol de moins d’une heure, cela ne s’impose vraiment pas. L’offre est d’ailleurs assez limitée.

Les nuages se dégagent

Bålsta

Kungsägen, au bord du lac Mälaren

Le passage de l’autoroute E18 sur la presqu’île reliée à la terre ferme par un isthme de 150 mètres de large à Kungsägen à gauche

Ici, en revanche, le bras au fond est raccordé au lac Mälaren par un chenal de moins de quarante mètres de large. Il y a un dédale de 60 km de long au-delà.

Ca s’assombrit au loin

Ciel d’orage : il va bientôt arriver à Stockholm

La cabine s’obscurcit avant l’atterrissage

Là, ce n’est pas la pluie, mais simplement l’état du hublot qui m’empêche de faire une photo correcte de cet A400M (oups, merci BESMRS !)

Pas mieux avec ce 737 Blue Air (Roumanie) qui vient de repousser au moment où nous arrivons au contact.

Je trépigne intérieurement, mais l’escalier mobile va arriver trop tard pour pouvoir en faire une photo correcte une fois sorti de l’avion.

Pour ceux qui n’ont pas remarqué que ce 738 n’a pas de winglet, vue supérieure et inférieure de l’aile


Sortie des derniers PAX de l’arrière

Ca fait toujours bien d’afficher qu’on a un programme de protection de l’environnement avec un logo vert, même quant on envoie des tonnes de CO2 quotidiennement dans l’atmosphère


Cette immatriculation m’évoque tout autant un parti politique que les guerres de religion

Ce marquage publicitaire au sol indique le trajet vers des taxis collectifs, dont les tarifs commencent à 289 SEK par PAX.

C’est quasiment le même tarif que l’Arlanda Express (280 SEK l’aller-simple, 540 SEK l’aller-retour), mais l’intérêt dépend beaucoup de la complexité du trajet terminal à partir de la gare centrale, et le cas échéant de la quantité de bagages que l’on transporte. Dans mon cas, ce n’est pas compétitif.

Je ne sais pas si cet accessoire en milieu de voiture, entre deux rangées de sièges dos à dos, a déjà été utilisé hors exercices : c’est une échelle de secours pour évacuer le train en pleine voie.

Un bel orage pendant le trajet, mais la pluie aura heureusement quasiment cessé à l’arrivée.

C’est la fin de ce FR ; je vous propose un petit bonus sur Oslo, où le soleil n’a disparu à l’horizon du paysage urbain qu’à 22 heures, car c’était le solstice d’été, plus tard qu’à Stockholm qui est un peu moins au nord et surtout nettement plus à l’est.
A deux pas de la gare centrale, la cathédrale, de style architectural très homogène, car construite trois ans seulement, de 1694 à 1697

Vue depuis le fond de la nef, dont les voutes ont été décorées en 1933-1951 par le peintre Hugo Lous Mohr

Montage panoramique montrant à la fois la chaire au coin nord-ouest de la croisée des transepts et le buffet d’orgue au fond de la nef

Je n’ai pas vu beaucoup de pigeons mais ils étaient de belle taille.

Le bâtiment fonctionnaliste de la mairie d’Oslo, conçu dans les années 1930, mais achevé en 1950 à cause de l’occupation allemande. C’est ici que se déroule la cérémonie du Prix Nobel de la Paix, décerné par un comité nommé par le Parlement norvégien, à la différence des autres Prix Nobel qui sont décernés et remis à Stockholm.

L’horloge astronomique

Faut-il comprendre que quiconque boit de cette eau sera pétrifié sur place ?

Les derniers feux du soleil couchant sur la forteresse Akershus

Le musée d’art moderne

Le Parlement (Stortinget)

C’est en métro que je suis revenu à la gare centrale, mais j’aurais pu aussi y aller en vélo, avec un vélo en libre service d’Oslo Bysykkel, géré comme à Stockholm par Clear Channel. Oslo Bysykkel faisait une offre spéciale à l’occasion de l’Oslo Pride.

Oslo est surnommée la Cité des Tigres : cette appellation que l’on doit à Bjørnstjerne Bjørnson (Prix Nobel de Littérature 1903) ne remonte qu’aux années 1870, mais les Norvégiens se la sont appropriée. Cette statue a été installée en l’an 2000 sur le parvis de la gare centrale que vous reconnaissez à l’arrière-plan, car nous sommes revenus au début de ce FR.

Merci de m’avoir lu !
Merci pour le FR :)
Le C17 ressemble furieusement à un A400M
Et Esteban sera furieux de se voir privé de l'usage de son fouet ! Merci :)
Hello Marathon ! Merci pour ce FR !
Je me disais qu'il y avait une suite vers ARN de prévue, je n'imaginais pas Marathon changer de pays scandinave sans avoir prévenu son audience.
A bord, c'est la diète avec SK et en plus tu n'avais pas d'accès au salon pour passer le temps avant le vol (le spotting a aidé néanmoins).
Purement utilitaire, et c'est un vol où les habitués arrivent 1h avant comme les navettes en France.
A bientôt !!
Pas de changement de base logistique nordique en effet, mais juste un détour sur le trajet.
La visite du salon Skyteam à OSL, ce sera pour un hypothétique trajet OSL-CDG; en attendant, le spotting par beau temps fait très bien l'affaire.
Merci pour le commentaire !
Merci pour cette exclusivité!
L'air de rien ça en fait du monde entre OSL et ARN sur un vol domestique scandinave si j'ose dire ^^
Les 737-800 sans winglet sont assez rares pour être soulignés en effet.
Le CRJ 1000 Croatia a encore les couleurs d'Iberia (ou Air Nostrum), possible que ce soit un prêt juste pour la saison estivale, à confirmer...
Un vol standard SAS sinon, avec toujours du BOB.
Joli bonus de la capitale norvégienne où la température semble plus clémente qu'en France ;)
A bientôt!
“Vol domestique scandinave” : l’expression n’est pas inappropriée ! Il est logique d’avoir un véritable pont aérien entre les deux plus grandes villes de la péninsule : le trajet est un peu trop long en autoroute et il n’y a pas de LGV, ce qui donne toute sa pertinence à l’avion.
Je n’avais de souvenirs de 737-800 non-winglettés qu’en Chine.
Je laisse les pros commenter la livrée pas très croate de ce CRK
Il fallait une petite laine en soirée à Oslo, alors que c’était la canicule à Paris.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce partage "Marathon" . Un vol court avec l'avantage d'embarquer et de débarquer via le tarmac et non la passerelle. une bonne occasion de mieux voir ( et photographier en bon avgeek) son appareil. Service à bord gratuit minimaliste mais existant à la différence des vraies low cost.
Etonnat ce CRJ Croatia aux couleurs d'Air Nostrum. Joli bonus ensoleillé d'une ville sympathique.
Un véritable avgeek aurait repéré dès le cheminement sur le tarmac d’OSL l’absence de winglet ;)
Couleurs en effet plus espagnoles que croates pour ce CRK
Merci pour le commentaire !
Merci Marathon pour ce FR,
Beau spotting comme a ton habitude!
Tu t'écartes de tes navettes classiques, ira ru chercher un statut chez *A? ;-)
Prestation réduite et portée sur le BoB comme depuis bien longtemps pour SAS.
Merci et bonne journée!
Je n’ai pas vu de menu spécial (kasher, diabétique, etc…) dans le BOB de SK, ce qui réduit ma motivation pour un changement d’alliance ;)
C’est la saison du spotting ; le même vol en hiver aurait été de nuit !
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR.
Great shots at the central station and of the train.
OSL looks stunning, it is great they have been doing a lot to upgrade the airport (new terminal area, etc). ARN is an absolute JOKE in comparison.
Excellent spotting shots at OSL.
Nice aerial shots before landing, some of the areas look familiar.
Great tour of your ride after disembarking.
Wonderful bonus, thanks for sharing.
Have a good one, see you!
“OSL looks stunning, it is great they have been doing a lot to upgrade the airport (new terminal area, etc). ARN is an absolute JOKE in comparison.”
- The airport link of CDG is a sad joke compared to both the Flytoget and the ARN Express.
It would have been boring to wait for my flight in winter, but it was a treat with so much light.
Thanks for your comment !
Je n'avais encore jamais vu un 738 dans sharklets. J'aurais pu le prendre pour un A320 ^^
L'aéroport d'Oslo semble vraiment sympathique.
Merci pour le partage
"Je n'avais encore jamais vu un 738 sans sharklets. J'aurais pu le prendre pour un A320 ^^"
Ceci relève du prix de camaraderie entre cancres en identification :)
Superbe aéroport en effet; les Norvégiens en ont manifestement les moyens
Merci pour le commentaire !
Merci François pour cette transversale.
Les prix sont chers à Oslo comme dans toute la Norvège. Etat providence et vertu politique qui aboutit à un surtaxage de bcp de choses. Mais l'aéroport est agréable à emprunter.
Je trouve la présentation de la carte du BoB d'un minimalisme assez rare : aucune photo mensongère pour appâter le chaland.
Du lowcost dans bcp d'aspect, il faut dire que SAS a fort à faire avec sa cousine Norwegian...
"Les prix sont chers à Oslo comme dans toute la Norvège. Etat providence et vertu politique qui aboutit à un surtaxage de bcp de choses."
- Ce que l'on sait peu, c'est que l'échelle des salaires est très comprimée en Norvège. Les emplois peu ou pas qualifiés sont comparativement très bien payés, ce qui renchérit le coût de la vie, mais la rend néanmoins abordable pour tous.
Cette carte du BOB était là plutôt pour mémoire : je n'ai vu personne acheter à boire ou manger. L'utilisation des portes avant et arrière fait low cost, mais c'est un gain de temps appréciable (et la possibilité de photos pour les avgeeeks^^), sans le désagrément du pre-boarding des vrais LCC.
Merci pour le commentaire !