Fin de notre périple canadien.
Retour depuis Halifax en Nouvelle Ecosse jusqu’à Montréal puis ensuite Paris, après 3 semaines de vacances estivales.
Le vol aller au Canada CDG > YUL avec Air France AF348 modèle COI est par ICI
Arrivée en fin d’après-midi à l’aéroport d’Halifax Stanfield à une trentaine de kilomètre de la ville, sur un plateau arboré. Il fait beau.

Une seule route pour rejoindre l’aéroport depuis Halifax

Vite en passant, un des 767 de Cargojet ?

Direction les loueurs pour rendre la voiture utilisée depuis Montréal (il n'y en avait qu'un seul qui permettait la prise en charge Montréal et restitution Halifax)

Affichage arrivée départ à l’étage du retour des loueurs

Quelques mètres à l’extérieur pour rejoindre l’aérogare, le petit toit doit certainement être très utile de nombreux jours dans l’année

C’est bien par là. Le drapeau des voisins est déjà là, pour identifier la zone d’embarquement dédiée. Décoration sobre, pas de faute de goût dirons nous

Pas grand monde à l’étage

Voilà d’où nous arrivons

Une décoration du hangar assez sommaire

Terminal lumineux avec pas mal d'endroit où s’asseoir. De l’art près d’une fenêtre et non pas fenêtre sur l’art, faut pas pousser vu que c’est tout de même un peu brut

A nous les automates

Questionnaire de destination, peu de chance d’avoir celui-là en France

Bon la machine est récalcitrante. Elle nous demande 50 $ pour enregistrer les bagages.
Après une autre tentative à une autre machine, même résultat.
Donc il faut faire la queue à la zone d’enregistrement classique. Sauf que ce fut long. Nous avons attendu ½ heure après les passagers chargés de valise, siège auto bébé, etc et peu de personnel Air Canada. Au moment où nous nous mettons dans la file, il y avait 3 agents. Puis après quelques minutes, un part en pause, il en reste 2. Ouf le dernier gars du comptoir semble un peu plus efficace que sa collègue qui doit débuté. Il s’est occupé de nous bien qu’il ait apposé un panonceau « en pause ». 2 passagers avant nous il était parti après avoir posé le panneau mais était revenu rapidement car il y avait beaucoup de monde et un seul comptoir ouvert. Il était consciencieux. Sans aucun problème il enregistre nos valises jusqu’à Paris notre destination finale, pour zéro euros. Il nous explique que la machine n’a pas reconnu notre réservation, faite sur Air France qui n’est pas dans l’alliance et sur un tronçon non commercialisé. Pro. On récupère nos bagages et cartes d’embarquement. Sièges tout au fond de l’appareil, rang 25 sur 27. La veille je n’ai pas réussi à m’enregistrer en ligne sur le site Air Canada, normal.

Direction les automates pour déposer nos valises

Que voici. Pas besoin de scanner. Cela se fait automatiquement si on place bien l’étiquette.

L’écran m’informe que mes bagages sont acceptés

Les cartes rigides d’embarquement Air Canada dont une pour un vol Air France ! avec talon détachable

Tout à côté, un aquarium avec la spécialité provinciale, des homards qui ne savent pas encore qui va les tuer

C'est cuit pour eux. On en a mangé très souvent au Nouveau Brunswick et en Nouvelle Ecosse. Il y a même une ville, Shediac, autoproclamée capitale mondiale du homard (voir le bonus)

Bon nous avons perdu pas mal de temps. Il est déjà 18 h. Notre vol est prévu à l’heure.
Nous avons mis près d’une heure entre le moment où nous avons essayé de nous enregistrer aux bornes et celui où nous avons déposé nos bagages.
Ensuite passage des contrôles des bagages à main et de la température. Un peu d’attente, car contrôle très très pointilleux.
Les vols européens : un vol charter Condor pour Francfort et un régulier Icelandair pour KEF
Sydney n’est pas seulement en Australie, mais aussi en Nouvelle Ecosse sur l’ile du Cap breton (YQY)
Un vol est annulé pour cause d’orages sur la région d’Ottawa… suspens

On passe à l’étage. Vue airside. Enfin entre les lettres car ça gâche le paysage ces marquages.

Spotting local. D'accord c'est pas l'effervescence.

Photo floue de la salle d'embarquement


Affichage en porte

Vue lointaine de la tour

Toujours rien

Le voilà qui arrive notre coucou brésilien

De plus près, plus net

De profil, et oui faut bouger dans la salle pour l’avoir en entier

Pedigree : C-FEJD arrivé chez Air Canada en août 2005 puis Sky Regional Airlines en juillet 2013 qui opère pour le compte d’Air Canada

On distingue à contre jour ces sièges que nous avons souvent rencontré durant nos vacances.

Le wi-fi fonctionne. Je m’informe de notre vol

Et j’en profite pour la photo corporate, sensei Marathon à la une qui plus est sur un vol identique à celui que nous avons effectué au mois d’avril et momolemomo mon compatriote globetrotter finistérien

Il est 18h50 lorsque nous sommes appelés. Je ne me souviens pas de l’annonce des priorités. Jetbrige aveugle sans publicité

On est seul vers l’arrière pour l'instant. L’hôtesse à l’avant s’affaire à ranger sa tablette et celle de l’arrière son trolley avec celui du réapprovisionnement


Ma place rang 25 sur 27

IFE + USB = pas le temps de s’ennuyer

Le contenu de la pochette, vomitair et lecture


Carte sécu

Le bob

Environnement avec un Rouge


Un Crj200 Air Canada Jazz arrive –enfin- de Terre Neuve. Il n'est pas en avance

Les annonces bilingue français – anglais, tout comme celles du commandant et chef de cabine

Plafonnier

Vue de la cabine. Le commandant prend la parole annonce un temps de vol de 1 heure 20 et 1 heure 40 de porte à porte. Il y a une heure de décalage entre la province de Nouvelle Ecosse et celle du Québec. A Montréal il fait 18°C et le temps est pluvieux.

On patiente. Agitation derrière nous. Nous sommes à l’avant dernier rang. L’hôtesse communique avec le commandant. Elle n’arrive pas à fermer la porte, un témoin indique qu’elle n’est pas verrouillée. Quelques minutes plus tard, un technicien arrive avec sa trousse à outil. Il repart avec à la main une grande cartouche de silicone.
La PNC a remis en service les IFE.
Le commandant reprend la parole et présente ses excuses pour le retard « tout est réparé, on attend les papiers ». Un contrôleur vient inspecter la réparation. Nous avons perdu ½ heure environ. Heureusement il nous reste encore de la marge avant notre prochain vol.
On repousse
Une PNC mamie canadienne me fait des gestes en montrant ses oreilles. J’ai un casque sur la tête et la regarde. Elle ne prononce pas un mot. Elle est à 4 rangées de moi. Elle s’agite avec ses bras et me remontre ses oreilles, toujours sans émettre un son. Je dis à voix haute une phrase style « qu’est-ce elle veut » et là une charmante collègue qui était derrière me donne l’explication : il faut enlever son casque pour écouter les consignes de sécurité. Ah enfin une qui a de la voix.

Au revoir monsieur

On longe l’aérogare, avec un des Dash 8 Porter pour Ottawa, en retard

On se dirige vers la piste 23-05 en passant par la 14-32. Leurs extrémités se rejoignent
Très belle lumière


La 14-32 principalement dédiée aux atterrissages

Virage à droite et c’est parti

La région vue du ciel contre jour et la seule route d’accès

On aperçoit l’aéroport au milieu de la forêt


Géovision sur l’IFE

Distribution d’une collation gratuite au dessus de la baie de Fundy. Youpi comme nous sommes à l’arrière je pense, j’ai eu le droit à une canette entière de boisson gazeuse et ce gratuitement !
Ensuite fini le calme et la tranquilité

Après ce fut un tout autre voyage. Je n’ai pas photographié, ou plutôt j’ai fait ce que j’ai pu.
Notre très charmant commandant a pris la parole pour nous annoncer « maintenant j’ai une nouvelle pas très agréable à vous annoncer. Il y a actuellement de violents orages à Montréal et nous allons devoir patienter. L’aéroport est momentanément fermé». Nous avons tourné au dessus de Sherbrooke en attendant l'autorisation.

Puis annonce de la réouverture. Ce fut le shaker, nous avons été secoués "dans tous les sens". Dehors l'orage. C’était le silence total dans la cabine. J’ai rangé les appareils sauf la PNJ que j’ai laissé fixée au début. Ensuite je l’ai retiré pour ne pas la toucher avec ma tête. Tout le monde se cramponnait à son siège pour ne pas sursauter. Désolé pour le flou de la photo

Puis descente vers Montréal où nous avons été mis à nouveau en file d’attente. Moins de turbulence


Beaux effets. Il pleut des cordes


Enfin on atterrit, soulagé que ce soit fini même si ça ne me déplait pas. Il est 21 h 20 heure d’Halifax, 20 h 20 à Montréal. Initialement l’arrivée était prévue à 19 h 40 (avant le problème de porte arrière et les orages). A la sortie de l’avion, les passagers à destination d’Ottawa du vol AC8637 annulé à Halifax sont dirigés vers un bus pour finir le voyage.

Notre trajet du jour : tournicoti tournicoton au Québec


Beaucoup de vols sont affichés en retard. Le nôtre est toujours prévu pour 22 h 50.

En conclusion hommage aux disparus du vol 111 de Swissair en 1998 dans cette baie devant le phare le plus photographié de la province de Nouvelle Ecosse, Peggy’s Cove.
Il y a un monument à quelques kilomètres de là. J'ai trouvé plus agréable de mettre cette vue plutôt que celle du moment.

Pas de FR sur le vol retour AF349 aussi « pas terrible » que le vol aller, avec en prime une trèèès longue attente de 45 minutes à la douane à Roissy.
Et pour terminer une version animée
La colonie de fous de Bassan sur l'ile de Bonaventure en face du village de Percé en Gaspésie

Bienvenue en Acadie, au nord de la province du Nouveau Brunswick avec ce drapeau tricolore étoilé, qui est fièrement montré, tracé sur les poteaux, les arbres, il décore quelques maisons.

A l'entrée de la ville de Shédiac, le monument marque cette ville comme la capitale mondiale du homard

Le port d'Alma en fin de journée, marée basse puis très basse. C'est dans la baie de Fundy, baie avec la plus grande hauteur de marnage au monde, 12 mètres entre les marées haute et basse


A marée basse on peut se promener à Hopewell Rock

Charmant village avec ses maisons en bois, Lunenburg


Halifax

au pied de la citadelle

depuis la citadelle

Merci pour ce FR, je me trompe peut-être mais il me semble que le Cargojet est un 757-200F. ;)
merci pour le commentaire.
Je suis assez nul pour l'identification des avions. Je corrige ou pas ?
Non ce n'est pas grave ;)
Merci pour ce FR
Telle est la délicate gestion des partages de codes entre cies aériennes surtout quand elles n'appartiennent pas à la même alliance. D'un autre côté, c'est un excellent moyen de comparer leurs prestations en un seul voyage.
Quant à la canette, il me semble que quand le passager se fait servir, ce dernier est en droit de la réclamer en entier.
Joli bonus canadien :)
A bientôt.
Merci.
En effet, la comparaison est toujours une bonne chose.
Merci pour le rappel sur le récent FR de Hugog12, c'est sympa de relire d'anciens rapports de temps en temps.
Super bonus par ailleurs, je vais aller lire un peu plus sur la baie de Fundy qui a attiré ma curiosité.