A présent notre périple de retour vers la France, avec toujours deux escales, et un changement de compagnie à Abu Dhabi cette fois, nous n'aurons qu'un seul vol avec Etihad, snif.
Rooting, Bangkok/Abu Dhabi avec Etihad, Abu Dhabi/Rome avec Alitalia, et Rome/Nice avec Alitalia.
Je fête mon dix-huitième passage à l'aéroport de Suvarnabhumi.



Petit repos près de la porte d'embarquement sur des fauteuils/couchette en attendant notre avion.

Enregistrements et embarquements toujours aussi simples. Par contre, à l'immigration, on nous fait perdre du temps en demandant à mon épouse de remplir à nouveau un formulaire, alors qu'à l'atterrissage, nous l'avions fait (pour l'aller et le retour) et on lui avait jeté en lui disant qu'elle n'en aurait pas besoin, étant Thaï.

Petit bémol: nous décollons avec une heure de retard, restant dans l'avion pendant l'heure en question. L'accent du commandant est si atroce que je ne comprends pas ses explications.


D'un vol à l'autre, la disponibilité du personnel d'Etihad et sa gentillesse se confirme, les hôtesses sont vraiment adorables, agréables et avec un bon sens de l'humour. Je pourrai dormir sur une bonne partie du vol, ce qui ne m'arrive pas souvent dans un avion, tant je peine à trouver une position correcte.
Le pitch toujours très bon, le siège confortable avec le coussin autour de la nuque.


D

é

tail vraiment pour chipoter: ma fille reçoit la même pochette cadeau qu'à l'aller, sur certaines compagnies, le cadeau pour le gamin change. Mais c'est déjà un luxe d'en avoir un, c'est une belle attention. Nous recevons les mêmes trousses de nécessaire de vol.

On me sert un whisky un peu trop mince, mais on m'en remet un avec le sourire.

Les repas sont toujours de bonne facture.




Concernant la programmation des film du bel IFE, elle a sensiblement changé en douze jours. En revanche, les jeux ne marchent toujours pas, et la musique non plus. Je choisis de regarder "le bon gros géant", qui s'avère être le pire nanar qu'ait conçu Spielberg.
Pas mal de turbulences. Les hôtesses sont obligées d'abandonner un chariot au milieu du couloir pour aller s'asseoir.

Bon atterrissage.
Merci pour ce FR.
Il semble que les turbulences aient interrompu plus que le service mais jusque là cela à l'air pas mal du tout pour EY !