Marathon au Far-west chinois, Tome 6
Taipei - Beijing (A333 - Air China) La Grande Muraille vue du ciel
Beijing - Urumqi (B752 - China Southern) Beijing by night
Urumqi - Kashgar (E190 - China Southern) Carte d'embarquement invalide
Hotan - Urumqi (B738 - Air China) La traversée du Taklamakan
Urumqi - Dunhuang (E190 - China Southern) Winglet story dans le désert
Dunhuang - Urumqi (E190 - China Southern) Surlendemain d'orage VOUS ETES ICI
Urumqi - Shanghai (A320 - Juneyao Airlines) Traverser la Chine en monocouloir
Shanghai - Taipei (A343 - Air China) 675 km en 343
Ce FR se passe presque entièrement dans le désert. Un désert, c'est du caillou ou du sable, à perte de vue. Prenez cependant le temps de prendre un café si votre bande passante n'est pas à la hauteur, car ce FR est encore une fois un peu long, comme ce trajet de trois quarts d'heure vers l'aéroport, depuis notre dernier lieu de visite. Mais c'est promis, il y aura beaucoup moins de winglets qu'à l'aller.

On finit par arriver à l'oasis de Dunhuang, et à ce panneau indicateur, bilingue chinois anglais, puisque nous ne sommes pas au Xinjiang tout proche, mais dans la province du Gansu.

Le terminal, à l'état neuf, se trouve tout près de la route, avec un modeste parking

Pas d'erreur, nous sommes bien à l'aéroport de Dunhuang.

Comme notre chauffeur nous a dissuadé d'aller jusqu'au site de la Grande Muraille des Han (qui date du 2° siècle avant JC, contrairement à celle que visitent les touristes dans la région de Beijing), faute de temps pour faire le trajet, nous sommes très en avance, donc autant tuer un peu de temps à inspecter les alentours.
DNH n'est pas près d'entrer au Top 10 des aéroports spotter friendly, car rien n'est vraiment fait pour faciliter la vue sur le tarmac.

Et puis, à dire vrai, le tarmac est aussi désert que le désert en arrière-plan. Plus loin, se trouve l'ancienne tour de contrôle, où je serais bien monté si j'avais trouvé une porte ouverte.

Et dans une zone à l'écart, j'ai fini par trouver ce Cessna 208

Le même, vu juste avant d'embarquer.

Et très légèrement de profil.

En vrai, c'est surtout comme cela que je l'ai vu, et que j'ai aperçu son immatriculation B-3641 qui m'a permet de confirmer l'identification.

Bref, tout cela n'est pas très passionnant, et je reviens vers le terminal en coupant à travers le terrain de sport des employés de l'aéroport.

Sur le trajet des grottes de Mogao, j'ai aussi vu la rampe des feux d'atterrissage, soigneusement entourée de barbelés, des fois qu'on chercherait à voler un spot pour éclairer son garage.


En fait, il y a un coin de spotting au ras du terminal, avec toujours le même grillage, mais l'avantage d'un petit APN, c'est que son objectif passe juste entre les mailles.

Cela me permet d'immortaliser l'A320 China Eastern qui vient d'arriver, et va partir vers Shanghai Pudong via Xi'an. La zone d'activité de l'aéroport à l'arrière plan est aussi florissante que celle de Hotan.


Le même vu depuis l'intérieur du terminal en zone publique

Il faut vous rendre compte que DNH a un trafic très intense : trois vols le matin, trois vols l'après-midi, c'est une fourmilière de tous les instants. Ici, les fourmis en partance pour PVG via XIY passent le contrôle de sécurité…

… sous le tableau qui n'affiche pas tous les vols de l'après-midi, pour éviter de surcharger l'affichage.

Pour ce qui est de l'enregistrement, il faudra attendre, car les comptoirs ont fermé à la fermeture de l'enregistrement du vol MU2216.

En attendant, un tour aux toilettes, qui sont propres, car perpétuellement nettoyées par une employée qui ne fait que cela sans sembler s'arrêter.

Et des urinoirs ornés de dessins que je qualifierai d'égrillards et vulgaires.

Voici une vue à peu près générale de la zone publique, où les sièges ne manquent pas

La photo précédente est prise à peu près à partir de cette cafétéria qui marque l'extrémité gauche de la zone publique.

A l'autre extrémité, un coin librairie où la moitié des ouvrages est consacrée aux grottes de Mogao, ZE site touristique de Dunhuang.

Il y en a même en anglais.

A H-60', début de l'enregistrement, sans précipitation


L'enregistrement pour Urumqi, ça semble être dans un étroit créneau de 15h27 à 15h27.

Non, je ne transporte aucun objet interdit. Non, je n'ai pas de diplomatic Xindai (le traducteur a séché sur l'expression valise diplomatique).

Curieusement, ayant demandé à être au hublot, nous avons deux sièges au hublot l'un derrière l'autre. Il sera peut-être possible de changer une fois à bord pour être l'un à côté de l'autre, ce pour quoi une disposition 2+2 est idéale.


Passage du contrôle de sécurité, nettement moins exigeant qu'au Xinjiang : on est dans la province du Gansu, qui n'a pas connu d'émeutes ethniques (mais en revanche, récemment, des immolations par le feu de moines tibétains dans l'est de la province, que la censure chinoise interdit rigoureusement de mentionner dans les media. Ce FR ne va pas aider le référencement du site sur Baidu, le moteur de recherche chinois garanti 100% politiquement correct).

Côté spotting, depuis la salle d'embarquement, c'est évidemment assez stérile, comme le désert lui-même.

Le vol est annoncé à l'heure

Mais rien ne se passe, et à moins de dix minutes avant l'horaire prévu, tombe une annonce trilingue mandarin / anglais / japonais : en raison de l'arrivée tardive de l'appareil (qui n'est toujours pas arrivé), et du contrôle aérien, le vol est retardé d'une heure. Soupirs résignés d'un certain nombre de PAX.

Pour ceux qui veulent se désaltérer, il y a des thermos d'eau très chaude, mais pas d'eau froide, car les Chinois considèrent que l'eau fraîche est mauvaise pour la santé.

Et quand les thermos sont vides ? Il suffit de s'adresser à une employée, qui va en chercher d'autres en passant par le tarmac.

Il ne se passe toujours rien à la porte d'embarquement.

Notez à l'extrême droite le matériel des employées : de charmants chapeaux de matière ajourée pour se protéger du soleil et des porte-voix.

L'E-190 en provenance de XIY atterrit enfin




L'escalier mobile s'approche

… sur ce tarmac toujours aussi immensément rempli de vide (les quelques photos qui suivent ont été prises à travers des portes vitrées assez sales).

Tous les PAX en provenance de XIY descendent

Ceux qui terminent ici leur voyage partent vers la gauche de cette photo, ceux qui vont continuer vers URC rejoignent la salle d'embarquement où attendent les PAX enregistrés à DNH. A droite, une employée répète cette consigne avec l'un des porte-voix vus auparavant.

Une employée coche les noms des PAX en provenance de XIY sur une PIL. Il faudra un petit peu de temps à un PAX assez âgé pour comprendre qu'il s'est trompé de porte.

On embarque enfin

Et c'est la traversée du désert, enfin non, du tarmac qui n'a jamais autant paru en plein désert.

Autostich n'étant pas capable de restituer un horizon plat, voici un panorama artisanal.

Arrivée au pied de l'avion


Non, il n'y a vraiment rien de rien à voir au-delà de l'avion.

On monte à bord; l'employée a mis son chapeau pour protéger son teint.

Désolé, il manque le premier idéogramme du nom en chinois : je n'avais pas assez de recul, ou une focale suffisamment courte. Ca fait ignare, de couper ainsi un mot chinois.

Le voici, avec le logo Skyteam en prime

Cette fois-ci, je vous montre le 1 des deux rangs en 2+1 de J, parce que les sièges de l'autre côté étaient déjà occupés.

Arrivés à notre rang, le couple qui aurait dû être l'un derrière l'autre au couloir a déjà anticipé notre souhait d'être côte à côte et s'est placé ainsi : tout le monde est content.
Le tarmac, toujours aussi vide, à travers un hublot pas très propre

Et le départ de l'escalier mobile, à contre-jour.

Vue de l'intérieur de la cabine.

Alignement sur la piste 08. C'est vraiment très très désertique, comme paysage.


Après le demi tour pour aller vers l'ouest, une vue de DNH

C'est un plan plus large qui permet de voir une particularité intéressante de DNH. Regardez les traces blanches qui se croisent de travers dans le désert au-delà de la piste d'atterrissage. Non, ce ne sont pas des pistes, mais des digues. Des digues dans le désert ?


Un désert, ce n'est pas forcément un endroit où il ne pleut jamais comme à Turpan, mais aussi un endroit où les faibles précipitations annuelles sont concentrées en quelques orages. Regardez l'oued au-delà de l'aéroport : c'est lui qui menace la piste.

Menacer, vraiment ? Oh que oui ! L'avant-veille de notre arrivée, il est tombé un orage de ce genre sur les montagnes au sud de Dunhuang. L'eau a dévalé les pentes, et le niveau de l'eau est monté à un mètre au-dessus du tablier de ce pont, sous lequel il n'y a habituellement pas trace d'eau.

Ce pont a résisté - c'est celui qui permet d'atteindre les immensément célèbres grottes de Mogao au fond. En revanche, quelques kilomètres avant, deux arches de cet autre pont ont été emportées, ainsi que la route ça et là. On passait à gué, après que les bulldozers de l'armée eurent aménagé un passage de fortune, quand nous sommes allés visiter les grottes. Le jour précédent, elles étaient inaccessibles, or elles seules justifiaient de dépenser plus de 5000 RMB à deux en avion et hôtel pour ces deux jours.

Voici donc un résumé de Dunhuang : l'oasis, le désert de cailloux, les dunes de sable, et le risque d'un oued dévastateur

Du désert avec dunes de sable

Et du désert sans sable, donc sans dunes.

Et un winglet, un.

Les PNC distribuent une collation. J'ai masqué les yeux, mais regardez son nez : cette femme n'est certainement pas Han, mais assez probablement ouigoure, la nationalité majoritaire au Xinjiang.

Une boîte de carton et un café qui s'il est au lait, est plutôt bon.

La décoration de la boîte est une intéressante synthèse religieuse : vendue par une entreprise de la province du Gansu, qui est bouddhiste, elle est ornée d'une belle apsara (l'équivalent des anges du christianisme), mais son contenu est garanti halal.


D'ailleurs à ce sujet, au buffet du petit déjeuner de l'hôtel le lendemain matin, il y avait une précision pour ceux qui n'ont pas l'habitude d'être confronté à de la nourriture haram.

Le contenu de la boîte est un peu inhabituel : outre l'habituelle lingette, il y a deux morceaux de concombre pelé, un petit pain et une barquette de 7g de beurre.

Et pour étaler ce beurre, une flexible fourchette en plastique, dont les PAX utilisent l'une ou l'autre extrémité, suivant leur inspiration. Il faut savoir être créatif.

Des couteaux en plastique, c'était probablement trop dangereux dans cette région.

Le paysage, c'est du désert, encore du désert, toujours du désert. J'ai parfois corrigé le rendu des couleurs ou le contraste, mais mon logiciel est un peu du genre tout ou rien.



Un peu de winglet pour rappeler qu'il existe.

Et on arrive aux montagnes qui bordent au sud le désert dans lequel se trouve Urumqi. De l'autre côté, sur leur propre flanc sud, c'est le désert du Taklamakan.







C'est la fin des montagnes, on commence la descente vers Urumqi.



Une vallée, telle une entaille dans le flanc de la montagne

Gros plan sur le barrage à usage agricole qui l'alimente.

Une zone de développement économique à la périphérie de l'agglomération.

L'orientation de la rue principale de ce village ancien ne correspondait pas à celle du plan des aménageurs. Qu'à cela ne tienne, on a détruit les maisons qui gênaient pour percer la nouvelle route. Je ne donne pas lourd de l'indemnisation qu'ont peut-être reçue les habitants concernés.


Développer Urumqi pour en faire une grande ville chinoise, cela demande de l'énergie, donc des centrales électriques. Il est probable qu'elles fonctionnent au pétrole, largement présent dans le sous-sol du Xinjiang, et non au charbon comme ailleurs en Chine.


Une parcelle des zones modernes et sans âme d'Urumqi.

Bon, on n'est pas là pour parler d'urbanisme, mais de voyage aérien, donc voici l'aéroport d'Urumqi, que notre avion va longer puis dépasser pour faire un demi-tour et atterrir dans la direction opposée.


Un plan un peu plus rapproché.

Gros plan sur le terminal 2 au premier plan (une barre d'une grande banalité), et le terminal 3 au second plan, avec son hall principal à la toiture ondulée prolongé de deux branches vers la droite. Sur la piste, un appareil est sur le point de prendre l'air.

Quelques secondes plus tard, il est en l'air, au centre de la photo.


On dépasse donc URC, et on retrouve la campagne.


Il aurait fallu un matériel plus performant que mon modeste APN compact, mais je suis assez content de cet avion en approche finale sur URC.

Un quadriréacteur à aile haute : comme il ne ressemble vraiment pas à un Avro 146, et sauf démenti des spécialistes, cela doit être un Iliouchine 76, un appareil que je n'avais jamais vu dans le ciel ou sur le tarmac chinois. A cette heure là, il y a certes un vol SU en provenance de Moscou, mais il est normalement exploité avec un 752, et je pense que c'est un avion cargo.

Il survole ici les installations industrielles proches de l'aéroport.

Les mêmes bâtiments ou presque, en forçant le contraste. J'avoue ne pas savoir ce que peuvent être ces quatre dômes à gauche.

Notre E-190 atteint le désert et fait son demi-tour.



La limite entre zone cultivable et le sable

On revient vers URC; ici ce sont des alignements de serres comme on en voit dans toute la Chine.

Un carré d'habitations

Cette photo est typique de la Chine : le long d'une voie majeure, vous voyez un alignement d'ateliers de réparation de poids lourds : c'est la barre quasi-continue au toit de tôle rouge. Chaque atelier indépendant est spécialisé dans une opération de maintenance particulière et ne peut traiter qu'un unique poids-lourd. Vous en voyez beaucoup, certains en train de man'uvrer. Et dans le même alignement, avec des toitures terrasse blanches, ce sont les logements de ceux qui travaillent là. J'ai vu une fois un alignement de ce genre qui faisait trois kilomètres de long.

Touché des roues, et inversion de poussée

Et encore une visite touristique d'URC, car l'appareil a fini sa course au-delà du Terminal 1 ci-dessous, et il faut rejoindre le Terminal 3.

Les toits pointus, c'est uniquement pour faire joli.

Encore les Embraer de Tianjin Airlines




La face interne du Terminal 3

Et arrivée au contact à côté d'un autre E-190.

Non, ce n'est pas HSBC qui orne les passerelles chinoises, mais ici la Bank of China, qui fête son centenaire.

Bonne nouvelle pour les aficionados de Skyteam : Sky priority est implémentée aussi à Urumqi.

Le tableau des vols de CZ en correspondance. Ces destinations ne vous font pas rêver ?

Et le tapis rouge pour les bagages en livraison prioritaire, dont nous ignorions l'existence à notre première arrivée à URC.

Mais cette fois-ci, nous ne sommes que de vulgaires PAX FB Silver en éco sur un vol intérieur CZ, un statut de nobody qui nous fait attendre nos bagages au tapis 1 du bas peuple, en suivant attentivement ce conseil chaud (warm tip) qui est une erreur de traduction du chinois très fréquente en Chine. La livraison met un peu de temps à démarrer, mais nos bagages sont parmi les premiers à sortir.

Merci pour ce beau FR dans le \Far west Chinois\ ! ;)
merci pour ce fr presque pas winglété! Toujours pas d'\espace marathon\
Franchement je trouve cela absolument exceptionnel, ces séries à l'ouest de la Chine nous fait découvrir des paysages que l'on n'imagine pas et qui vu du ciel sont splendide. De plus je remarque que les installations aéroportuaires sont souvent neuve et moderne et qu'il semble assez facile de prendre des photos sans avoir d'ennuis.
Pour Urumqi bien que j'avais déjà entendu le nom de cette ville je n'imaginais pas un aéroport aussi grand, le terminal 3 semble est sympa et CZ semble avoir une base importante avec au vu des photos surtout des 757 et E190 de basé, étonnant car la compagnie m'avait plus habitué aux 32S.
L'avantage de Dunhuang ou des autres aéroport présentés c'est l'embarquement à pied et avec lumière pure avec le desert en arrière plan on ce sent vraiment un peu au bout du monde.
Pour le catering pas terrible et j'ai bien rigolé avec la fourchette pour étaler le beurre, je remarque que les chinois ne semble connaitre que cette marque neo-zélandaise de beurre, c'est dingue!
Sympa et bien vu le IL76 en final, je suis sans vouloir être mauvais étonné que vous reconnaissiez le type lol.
Sur un précédent FR c'était le 727 Ariana la petite rareté, mais comme vous ne compté pas sur moi pour emprunter leurs lignes lol.
Enfin les lost in translation des chinois sont marrant mais cela reste compréhensible et je pense que cela rassure vraiment les occidentaux.
Merci beaucoup François pour tout ce travail de rédaction, sache que j'apprécie vraiment.
@Leadership (et les autres) :
Merci pour ce commentaire chaleureux - j'apprécie :)
En effet, zéro restriction photographique dans tous les aéroports chinois, à l'exception (classiquement) des contrôles de sûreté et d'identité, et aussi du visage des PNC qui unanimement n'aiment pas du tout être photographié(e)s. Au sol, les policiers et vigiles sont totalement indifférents à la prise de photos.
Merci pour ce FR! Le vol Urumqi-Moscou est direct?
@airfrance72 : oui, c'est un vol direct, exploité en fait avec un 752 CZ. CDG-SVO-URC aurait nécessité beaucoup moins d'heures de vol pour mon co-PAX, mais avec des horaires pourris dans les deux sens.
Merci vraiment pour cette superbe série de reportages. Effectivement, ce ne sont plus des FRs mais une réelle invitation au voyage :-)
Merci pour ce FR super divertissent ;)
Je dirai même plus : merci pour cette superbe série de FRs de l'ouest chinois.
Merci pour ce FR :)
Et je voulais encore remercier notre marathon taïwanais sans qui la survie du dite serait bien moins intéréssante.
FR très exotique :) merci !
Les photos du tarmac avec l'ERJ190 seul sont vraiment impressionantes... C'est dans ces cas là que tu te dis \mon dieu, pourvu qu'il n'y ait pas un pneu crevé, une fuite ou une pénurie de carburant\
Merci pour ce FR! Des panoramas aériens impressionnants et totalement dépaysants.
Génial ce FR
Les couleurs de l'ERJ 190 sur son tarmac sont superbes,merci pour cette série de FRs dont la lecture est captivante et qui donne vraiment l'envie de découvrir ce bout de la route de la soie.
FR très bien documenté!
Merci bcp pour ce FR
Est-ce la partie chinoise du désert du Gobi qui abonde dans vos FRs? (seul reste des cours de géographie du secondaire..)
quelle belle attention d'offrir de l'eau chaude aux passagers
Merci
@East African : non, le désert de Gobi est à cheval sur la Mongolie et la Mongolie Intérieure (chinoise), à 1000 km+ à l'est du Xinjiang.
Merci pour ce sublime FR, jolis paysages vus du ciel !
Erudition, humour, photos de qualité... Un régal qui donne envie de partir!
Bravo et Merci!