Avis du vol entre Nápoli et Paris en classe Economique avec Transavia

Bonjour,
Voici le FR retour de mon WE prolongé à Naples
Pour mémoire le vol aller : link
Après avoir déposé le véhicule chez Hertz, mes amis et moi rejoignons l’aérogare (distant d'environ 650 mètres) par la navette.

Façade vitrée toujours aussi belle.

J'y accède, non pas par l'entrée principale, mais par l'entrée latérale droite. Il y a en effet des toilettes au sous-sol ou nous pourrons nous changer et être plus présentable pour aller au salon.

Vue du hall depuis l'entrée latérale.

Il y a des comptoirs mais vide en soirée. Les enregistrements et comptoirs dépose bagages sont actifs dans la zone centrale.

Justement, nous y voici et on voit que pour TO ce sera le comptoirs 13.

Vue du hall central depuis l'escalator qui nous emmène au 1er étage.

Voici la borne pour acheter une entrée au salon ou un pass pour le passage prioritaire aux contrôles.
Nous avons acheté nos entrée pour le salon, sur Internet, au prix de 18€ contre 24 euros par cette borne.

Direction les contrôles.

Petit embouteillage : beaucoup de personnes scannent mal leur carte d'embarquement et du coup le portillon ne s'ouvre pas. Technique quand tu nous tiens !

Contrôles qui s'effectuent, somme toute, rapidement.

Grand panneau après les contrôles. Notre porte d'embarquement n'est pas encore indiquée (mais elle sera juste en face du salon).

Vue sur le tarmac.

Tiens, un transport d'eaux minérales !

Passage au Dutyfree ou je ferai le plein de mozzaralle : 1,5 kg. Eh oui 5 enfants + moi ça mange !

Voici l'entrée du salon.

Voici les compagnies accueillantes (+ les passagers payants).

Exemples de nourritures proposées.

Ma sélection.

Une partie de mes cousines et amies.

Un peu de relaxation : ces fauteuils sont vraiment relaxants et confortables. J'avais failli m'y endormir lors de mon passage en mars.

Un petit tour aux toilettes avant de partir. Propres. Normal, le service de nettoyage vient juste de passer.

Notre porte d'embarquement (C17) située juste en face du salon.

Contrairement aux apparences, l'avion n'est pas au contact. On passe par la passerelle mais…

… c'est pour redescendre.

Embarquement par les 2 portes.

Pour nous ce sera la porte arrière.

Ce soir nous avons le GZHO, avion récent qui a effectué son 1er vol en février 2015.

Bon c'est pas tout, mais il faut monter !

L'embarquement est laborieux : mon groupe crée un embouteillage en tentant de caser les valises et le dutyfree !

On repousse à 20h45. A ce moment, le commandant de bord, prend la parole pour s'excuser du retard (léger somme toute) qu'il impute au personnel de NAP. Il pousse même une gueulante à propos de ce personnel "pas très tonique" à l'arrivée avec un roulage qui a duré 15 mn. En effet !

Décollage à 20h54. Pas de secousse, impeccable.

Baisse de l'intensité lumineuse. Dommage que les lumières soient rallumées ensuite. Sur un vol de nuit, on devrait laisser l'intensité baissée ; chacun ayant sa liseuse.

Voilà c'est rallumé.
Tout à coup, 10 mn après le décollage, nous sommes pris dans de violentes secousses. Les consignes de ceintures attachés sont rallumées ; les PNC vérifient. Ça bouge vraiment de partout. Je n'ai jamais vu ça !
C'est interminable. Puis 5 à 8 minutes après, alors qu'on est toujours secoués comme un shaker, on attend : "ici le poste de pilotage. PNC position assise attachée".
Là je me dis que c'est pas bon du tout. On est en pleine nuit et le pilote doit se battre avec son avion. Moi même je n'arrive pas à écrire tellement que ça bouge.
Le fuselage va t-il résister à des tels mouvement ? (oui sans doute puisque je travaille dans une boite de recherche aéronautique et je connais mais collègues qui étudient la résistance des matériaux !!!). Les sondes pitot fonctionnent-elles ? Va t-on plonger dans la méditerranée ? !!
On sent l'avion monter. Sans doute le pilote essaie t-il de passer au dessus….
Puis tout s'arrête d'un coup. Le CDB reprend la parole pour nous dire qu'il y a de violents orages sur Rome et bien que l'on était assez loin, nous nous sommes pris une masse d'air humide en plein dedans. Et qu'il a du monter de 33000 à 38000 pieds.
Ouf, ces minutes en tout auront été longues !! Mais avec le recul, belle expérience !

Le service peut débuter et je change pas la tradition !

A la votre chers FRistes !

Cotes françaises. Serait-ce le var ?

Arrivée à Orly Sud. presque au contact. On descendra sur le tarmac pour entrer dans l'aérogare. Pas de bus à prendre cette fois !
Ma nièce qui est venue me chercher, aura mis une bonne demi-heure pour accéder au parking. Un vrai bordel et une vraie honte pour ADP.

Merci de m'avoir lu et à bientôt.