Bonjour à tous et bienvenu dans la suite de ce FR direction Venise !
Rappel du routing :
Vol Aller :
A54213 TLS-LYS : 02/06/16 Hop ! (Air France) Airbus A319 c'était làvous y retrouverez le pourquoi du comment.
A54526 LYS-VCE : 02/06/16 Hop ! (Brit Air) Bombardier Crj 700 c’est maintenant.
Vol Retour :
AF1527 VCE-CDG : 07/06/16 Air France Airbus A318
AF6134 ORY-TLS : 11/06/16 Air France Airbus A319 non reporté
Allez hop hop hop on attaque le FR :
Cela tombe bien car cette ligne n’a été reportée que dans le sens inverse c’est donc une exclue !
Début de report un peu particulier car nous sommes en transit à Lyon. Je vous avais laissé à la sortie de notre avion.

Le cheminement pour les vols en correspondance est extrêmement simple. On arrive au niveau des salles d’embarquements des vols métropolitains.
Après un passage aux toilettes peu propre, en face du bar 2.21, bondé.

Le FIDS, un peu flou désolé, pour nous ce sera en D23.

On se dirige donc vers la petite PAF qui couvre les portes Paxbus D20 à 25 ces portes sont normalement destinées au trafic non Schengen mais état d’urgence oblige nous passerons les formalités immédiatement le PAF man attendant le chaland.

Nous prenons ensuite l’escalier qui nous permet de descendre au rez de chaussé, des écriteaux avant la PAF n’indiqué aucun service après le poste frontière, c’est malheureusement vrai. La salle est froide bien remplie, sans aucun réel service hormis les toilettes, un distributeur et une prise pour une centaine de pax …

Notre porte et sa vue sur le parking des Cobus. Pas de presse proposée ni à bord ni dans la salle.

L’embarquement est lancé à l’heure, petit coup d’œil au Bp.

On monte dans notre Cobus 2700 plus petit que les habituelles 3000 malgré cela tous les passagers embarquent sans être trop serrés.

On chemine vers la jetée des portes S sans oublié de laisser la priorité à cet Embraer 145.

Lignée des points d’exclamations de toutes les formes.

Nous arrivons rapidement aux cotés de notre avion, F-GRZF est un Bombardier Crj 700 âgé de 14 ans, il a toujours volé sous les couleurs bretonnes de Brit Air devenu HOP !


On monte par l’escalier inclus dans la porte vu du côté gauche de notre avion. Accueil froid de la part du CCP.


Puis on traverse la cabine afin de rejoindre nos sièges situés à l’issue de secours.

Vu de l’issue de secours, et des sièges de l’autre côté de la rangée, malgré l’ajout des têtières rouge les sièges et la cabine font vintage.

Le pitch est lui, issue de secours oblige, excellent. Le motif de la moquette est lui aussi un peu dépassé. Par contre l’assise de mon siège est totalement défoncée et penchée vers l’avant ce qui m’oblige à être avachie sur mon siège. Pas hyper confortable.

Vue de madame qui étant tout son mètre soixante-dix. Nos voisins eux s’équipent de leur chaussette de contention. Le pilote, lui porte-t-il sa combinaison anti-G ^^ ?

La pluie commence à tomber, on distingue à nos côtés un Crj 700 de HOP !

Rapidement supplanté par un Embraer 135 de la Pan Européen Air Services qui assure un vol pour HOP en ce jour de grève des PN Air France.

L’embarquement se termine et nous repoussons à l’heure.

Dernier regards sur les installations de Saint-Exupéry.

Roulage court nous n’utiliserons pas la totalité de la grande piste 18R (4000m), la vitesse permet de retirer les gouttelettes d’eau, on peut voir le château d’eau de Saugnieu.

Puis la bourgade du Colombier-Saugnieu.

Notre montée se poursuit normalement.

On traverse la couche pour retrouver le soleil vue sur le winglet.

Bon il n’y a pas grand-chose à voir, que du blanc dommage sinon les Alpes auraient été superbe … Alors voyons voir, le magazine de bord est à jour, la safety card et le détail du réseau HOP !.


Une cabine bien pleine je dirais 95% de remplissage.

Vient l’heure de l’habituel sucré/salé, avec mon choix cola et salé (encore les pizettes sic..). Quand on est en correspondance et que l’on est à l’aéroport depuis midi, 2 sucrée salée ça nourrie 2 dents creuses y en reste 26 ! (chui sympa je n’ai plus de dents de sagesse !) on aurait pu espérer un sandwich pour ce vol d’une heure.

Bref après ce frugale repas retour à nos moutons car la couche nuageuse se déchire en bon gros moutons blancs.

Pour vous donner une idée de la route suivie.

Puis ça se dégage complètement, on longe alors le Pô ici un méandre qui fait la jonction avec le Cavo Napoleonico qui relie le fleuve Reno.

Un peu plus loin un autre méandre sur le Pô fleuve tortueux séparant les régions de Vénétie et d’Emilie Romagne.

Alors que notre descente et déjà bien entamée nous croisons la petite ville de Piove di Sacco proche de la lagune. C’est à ce moment-là que je regrette de n’avoir pu choisir mon siège. Je suis à gauche de l’appareil et je raterais la vue sur Venise qui sera à notre droite (l’approche préférentielle).

Bon ben pour la peine vous aurez des photos du port de Marghera et de Mestre.


Sinon de l’autre côté hublot droit ça donné cela …

Le petit village de Campalto

Puis le passage au-dessus du Canale di San Giuliano qui contourne les pistes de l’aéroport de Tessera pour relier l’aéroport à la lagune.

Le parking des privés avec 2 Gulfstream (G550 à gauche, G650 au milieu) et un Bombardier Global Express à droite. En haut à droite vous pouvez voir la gare fluviale d’où partent les bateaux pour Venise (jaune). Autre détail intéressant nous atterrissons sur la piste 04 droite la gauche semble utilisée uniquement comme taxiway, on peut en voir le seuil sur indiquée par la flèche à droite de la photo.

Passage devant la zone cargo qui accueille aussi des jets plus modeste comme ce Hawker.

Aperçu lointain de la faune locale du grand classique européen.

On traverse la piste 04L, les pompiers ont sortis leurs beaux camions rouges !

L’aéroport et ses passerelles ou stationne un 737 de KLM. On voit aussi les grues qui participent à la rénovation de l’aéroport.

On tourne à droite pour aller se garer à l’autre côté de l’aéroport, encore plus loin que les low-cost donc sans surprise débarquement par Paxbus. Vu de notre parking de l’orange, du Bonne Maman et cet Embraer de flyKiss j’y reviendrais.

Après le Cobus 2700 de l’embarquement retour aux classiques avec un bon vieux (vu l’état de la bête) Cobus 3000.

Débarquement dans le calme à l’heure le steward répondra à mon salue mais sans sourire, les bagages sont déchargés par le personnel au sol.

Le commandant salue la dispatcheuse et son style vestimentaire peu académique (botte d’agriculteur + jupe + gilet orange = la classe !) bon sur le coup elle m’a fait peur par rapport aux aqua alta mais non c’est juste un nouveau style.

Dernier regard sur notre destrier sous l’œil bienveillant de la tour.

Petit tour de tarmac qui nous permet de voir de plus près cet Embraer 145 de flyKiss. Nouvelle petite compagnie française vainqueur de l’appel d’offre pour la ligne Lyon-Lorient ce nouvel arrivant français c’est fait couper les ailes par la DGAC. La ligne elle faute d’exploitant est voué à disparaître bien qu’un appel d’offre soit en cours. Pour les intéressés (Mathieu ?) il y a un très bon article du télégramme à ce sujet. Concernant sa présence ici il me semble qu’il a transporté l’équipe de France espoir de football qui joué un match à Venise ce jour-là.

Notre bus nous dépose au rez de chaussé à quelques dizaines de mètres des tapis à bagages, originaux ils forment une roulette géante, une pub pour le casino de Venise.



Nous récupérons nos tickets de transport fluvial auprès de la compagnie Alaliguna ainsi que nos Venezia pass auprès d’un autre guichet, personnel souriant et efficace même si le guichet est situé pile devant la sortie des voyageurs. A cause des travaux la gare fluviale n’est pas très bien indiquée et le passage temporaire nous fait sortir et marché quelques centaines de mètre.

Puis nous embarquons à bord de notre vaporetto ici la future gare fluviale.

Nous arrivons donc à Venise par la lagune après un petit stop sur l’ile de Murano, ce n’est pas la façon la plus économique d’arriver à Venise mais elle reste très pratique et vraiment typique.

En espérant que ce Fr vous aura plus, la suite devrait arriver prochainement avec sans doute un petit bonus si vous êtes sages.
Bon vols à tous !
Salut Hugo :)
Merci pour ce FR :)
C'est rare d'embarquer par paxbus à LYS sur un vol Hop! En plus, ton avion n'était pas au large :) Néanmoins, ça évite d'attendre dans les jetées dédiées à Hop qui saturent rapidement, faute de sièges disponibles :)
J'aime bien les CRJ de Hop, mais j'ai une préférence pour la série -1000, dont je trouve la cabine encore plus réussie que la série -700.
La prestation est classique et l'équipage fait son travail. Le confort en issue de secours est amélioré :)
Bien vu pour l'Embraer FlyKiss (la livrée finale devait être encore plus jolie, je peu te la transmettre si tu veux). Effectivement, il semblerait que la DGAC ait retourné sa veste au dernier moment (pression de Hop ?). Il n'en reste que pour le moment, aucun AO n'a été officiellement lancée par la CCI du Morbihan. C'est bien dommage pour une ligne à 55K passagers en 2013. L'article du Télégramme était très intéressant, malheureusement, il a été vite étouffé...
A bientôt :)
Merci pour ton commentaire Mathieu, pour l'embarquement les jetés hop devait être calme tout les vols vers l'étranger partaient depuis les portes paxbus.
Je suis du même avis concernant les cabines des CRK plus belle et confortable.
Concernant flykiss dommage que la dgac ne soit pas la pour aider un maximum les nouvelles compagnies aériennes.
Bon vols à toi !