Avis du vol entre Frankfurt et Copenhagen en classe Economique avec Lufthansa

Et voilà le deuxième et dernier épisode de mon voyage à Copenhague. Petit rappel de l'itinéraire :
13/06 LYS FRA, par ici link
13/06 FRA CPH, vous y êtes !
Retour non reporté car j'étais accompagnée d'un collègue, pour le grand bien de la moyenne de LH sur ce site.
Je m'excuse une fois de plus pour la qualité de certaines photos, prises sur le vif…. Je vous avais quittés ici :

J'ai de la chance (ce jour-là….), car ma porte d'embarquement est à une distance raisonnable de mon point de débarquement. J'y suis en quelques minutes. Comme je reste dans le même terminal, on ne repasse pas par la sécurité, c'est un gros atout. Je me pose tranquille, il y a déjà du monde. A noter, un détail dans cet aéroport : les sièges sont présents uniquement à proximité immédiate des portes d'embarquement. C'est bien quand il n'y a pas trop de monde, mais ça peut vite devenir un problème à mon avis.

C'est bien là !

L'embarquement est rapidement appelé, dans l'ordre habituel (mioches braillards et leurs parents, classe affaires, passagers à statut, plèbe). On descend des escaliers, ça pue le bus sous la pluie. En bas, vous noterez qu'il pleut aussi à l'intérieur de l'aéroport, pour l'ambiance. Deutsche Qualität, qu'ils disaient….

Le bus se trouve au bout de ce couloir de style pénitentiaire:

Par chance, j'arrive à chopper une place assise. Le bus sera plein à craquer. Le bus fait un grand tour sur les pistes et vient se garer à proximité de mon premier avion. Il pleut encore, et j'apprécie que le chauffeur se débrouille pour le la porte du bus soit pile en face de l'escalier, et on ne se mouille pas. Enfin, ça c'est si vous êtes dans le premier bus, sinon, vous montez par l'escalier arrière (non couvert).
Je m'installe, cette fois-ci au 8F. Comme j'ai pu embarquer rapidement, les coffres à bagages sont vides et je peux y glisser mon sac. Le siège est rigoureusement le même que sur le vol précédent, normal, c'est le même modèle d'avion.

Je regarde la pochette, j'ai droit à un cadeau-souvenir d'un passager précédent, ça peut toujours servir :

Une petite vue de la cabine :

Détails du plafonnier:

Je ne sais pas quel âge avait cet avion, mais je dirais assez vieux vu les lampes….

Je vous montre l'inclinaison du siège, attention les yeux !! Elle doit faire au moins 5 degrés, youpi !

Pour ce segment de vol, j'aurai deux voisins. Le repoussage a lieu à l'heure prévue et le roulage est assez long, mais ça on n'attend pas trop pour décoller. Notre voisin est un avion de chez British Airways qui arrive de Londres, et y repart aussi "sec", si j'ose dire (ah ah ah).

La traversée de la couche nuageuse est assez longue.

Et, tout d'un coup, le ciel !

Les agents de bord s'activent rapidement après le décollage pour commencer le service. Cette fois-ci, il y a le choix entre gâteau (le même que sur le premier segment de vol) et sandwich au saumon. Je choisis le sandwich. Il n'est que 10h du matin, mais moi je suis levée depuis 5 heures alors ça passe, trannnquillle ! Le sandwich dans son emballage :

Et son autopsie :

Le sandwich est assez bon, bien qu'un peu trop salé d'après moi. Une fois de plus, les boissons arrivent trop longtemps après le sandwich. Je l'ai déjà fini depuis au moins 5 minutes quand le chariot arrive à mon niveau. C'est balot. Comme j'ai l'impression d'avoir bouffé 2 kilos de sel avec ce sandwich, je prends de l'eau plate. A noter, pour mes vols retour, il y aura le choix entre sandwich au saumon et salmon sandwich sur chaque segment de vol. Au bout du troisième en 36 heures, on se lasse !

Dehors, le ciel se dégage petit à petit. Arrivés au Danemark il fait un temps magnifique.

Vous noterez que le Danemark est un pays plat ! Cela explique la forte densité de vélos dans le pays.

Un champ d'éoliennes en mer, c'est la première fois que j'en vois un :

Atterrissage imminent !

Sur la route du parking, on croise quelques long-courriers, comme ce Air Canada

Et ce Singapore Airlines

Sans oublier des avions SAS de toutes les tailles !

Le débarquement est rapide, par passerelle. On débarque au milieu du duty free. Les arrivées sont bien indiquées. Il y a plusieurs distributeurs d'argent et de billets de transport pour rejoindre le centre ville. Je passe sans m'arrêter devant les carrousels à bagages.

Le marquage au sol est très clair !

Pour rejoindre le centre ville, il y a le métro et le train, et cela coûte 36 couronnes (ce qui, pour les plus de 25 ans, correspond plus ou moins à 36 nouveaux francs, soit environ 5 euros). Il y a des trains et des métros très régulièrement. Les trains vont soit à Copenhague, soit à Malmö (en Suède). Le réseau m'a eu l'air particulièrement efficace et moderne. Ça m'a pris une grosse demie-heure pour arriver en centre-ville.
Je vous retrouverai pour de nouvelles aventures, avec deux autres compagnies, une autre classe de voyage et une destination bien plus lointaine après l'été. Une image pour celui qui devine !