Il est l’heure de quitter la Norvège et de rejoindre mes pénates !!!
Pour retourner à l’aéroport de Trondheim depuis l’hotel, même topo qu’à l’aller, ce sera le Flybussen. Pour prendre cette navette, il suffit de se placer à l’arrêt désiré (on repère les arrêts desservis à une fiche avec les horaires du Flybussen) et lorsque le bus arrive (vous n’aurez aucun problème pour le reconnaître) faire un petit signe au chauffeur pour qu’il s’arrête.
Si vous n’avez pas de billet, prenez en un auprès du chauffeur, et c’est parti… Le temps de parcours dépend de l’arrêt auquel vous montez, mais comptez environ 45 minutes depuis le centre de Trondheim.

N’ayant pas testé le wifi à bord du bus à l’aller, je décide de le faire maintenant, et le moins que l’on puisse dire, c’est que c’est efficace. J’en profite pour consulter FR, et c’est Gkeke qui est à la une en ce moment avec son CDG-DOH, encore dans l’ancienne version de FR à l’époque !!!!

Arrivé à l’aéroport, je me rends vers l’une des bornes de self check-in. Mon BP et le Tag pour la valise sont imprimés en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mais là encore, il faudra passer par un comptoir pour déposer la valise. La zone d’enregistrement est vraiment agréable, très lumineuse, et la déco nous rappelle bien que l’on est dans un aéroport !!!!


I

l y a peu de monde à cette heure, et je rejoins rapidement le PIF. Pour une fois, les agents sont polis et souriants, et malgré qu’il n’y ait qu’une seule file, la faible fréquentation à cette heure permet de passer airside en moins de cinq minutes. Un petit pupitre permet de noter son niveau de satisfaction après le PIF, pour ma part se sera un smiley vert foncé !!!


La zone d’embarquement est très agréable, lumineuse, et malgré la taille relativement petite de l’aéroport, de nombreuses boutiques et points de restauration sont disponibles, ainsi que des aires de jeux pour les enfants.



C’est donc un très bon point. L'aéroport est spotter-friendly, mais peu d’avions à ce matin… Comme à Oslo quelques jours auparavant, on retrouve un de ces très jolis 737 de Norwegian avec leurs queues aux effigies de personnalités scandinaves.


et quelques autres appareils:


L’oiseau du jour :


L’embarquement et le repoussage se font à l’heure, et après un court taxiing, on décolle. Le pitch est correct, il me semble même meilleur qu’à l’aller (une impression peut être). Le siège est confortable.

Alors qu’à l’aller, le temps couvert n’avait pas laissé voir grand-chose, aujourd’hui, le ciel est dégagé, et le spectacle des montagnes enneigées est de toute beauté. Voilà une des raisons qui fait que je ne me lasserai jamais de prendre l’avion. Chaque vol offre des paysages différents et je suis émerveillé devant tant de beauté (amis de la poésie, bonne nuit !!!).








Pour passer le temps, je lis le magazine SAS d’avril, avec en couverture la ravissante Alicia Vickander. Les articles sont très intéressants. On y apprend par exemple que lors des premiers vols opérés par SAS vers le Japon la nécessité d’éviter l’espace aérien Soviétique, obligeait à des vols par l’ouest d’environ 32 heures avec une escale, entre autre, à Anchorage. SAS avait embauché des jumelles comme hôtesses et elles s’échangeaient lors de cette escale. Ainsi les passagers avaient les mêmes PNC toujours en forme !!!

Comme à l’aller, le catering est payant, à l’exception du café, de l’eau et du thé. Pour ma part ce sera un café. Les PNC (au nombre de trois) sont aimables, donc RAS sur le service.
Le vol est court, l’atterrissage se fait en douceur, et nous sommes rapidement débarqués.

Direction le FIDS pour repérer ma porte d’embarquement (curieusement pas indiquée sur le BP alors qu’elle l’est pour les deux autres escales). Le temps de connexion est de presque 3 heures j’en profite donc pour flâner et manger un morceau. A plus pour les deux derniers tronçons…
Merci pour ce FR et la découverte de TRD.
J'ai l'impression que l'architecture de cet aéroport ressemble beaucoup à celle d'OSL.
Un catering minimaliste comme souvent avec les compagnies scandinaves !
A bientôt.
Merci. Effectivement, il y a des similitudes entre OSL et TRD, mais je trouve ce dernier plus lumineux.
Les paysages sont superbes, voilà ce qui nous fait aimer l'avion.
Voler en Boeing 737-600 n'est pas si récurrent vu le faible succès de ce modèle au même titre que l'A318 chez Airbus.
Je suis un peu mitigé avec SAS, j'ai l'impression que cette compagnie est à mi-chemin entre une low-cost et une legacy, résultat ce n'est ni décevant ni convaincant...
Merci pour le commentaire. D'après le site SAS, cette dernière opère 26 B737-600. Concernant SAS, difficile de se faire un avis objectif sur un vol court-courrier comme celui-là. Il faudrait consulter les avis en vol LC, mais il y en a peu sur le site en version francophone (à ma connaissance le seul LC reporté sur SAS concerne un Stockholm-Chicago et en classe affaire).