Avis du vol entre Copenhagen et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous,
Après un très rapide passage à Copenhague, il est déjà temps pour moi de rentrer et de vous présenter mon vol retour vers Paris CDG.

Copenhague est un aéroport sympa, et tout est plutôt bien indiqué.
Les départs s'effectuent à l'étage, prenons donc un peu de hauteur.

Très peu de monde au PIF. Il me faudra moins de 5 minutes pour passer de l'autre côté.
Passage obligatoire par le duty-free.

Quelques restaurants: un sushi bar pour ceux qui n'auraient pas mangé de saumon pendant leur séjour…

Et une boutique de briques très sympa et attrayante. (Les prix le sont beaucoup moins!)

J'avais du travail à finir, aussi, j'avais prévu un accès au salon "Aspire lounge" avant mon arrivée à l'aéroport. Réservation effectuée sur le site de Swissport pour accéder au salon pour 20£ / 25€. Ce n'est pas donné!

Aller, on continue à monter d'un étage! Le salon est situé sur une espèce de mezzanine au dessus des boutiques et des portes.

L'accueil est passable… L’hôtesse s'adressera à moi en français à la vue de mon passeport.
Petit excès d'optimisme qui va vite disparaître dès mes premiers pas dans le lounge. C'est triste à mourir là-dedans, le salon est tout en longueur très peu de lumière naturelle.

Pas mal de places libres en cette fin d'après-midi. C'est au moins ça.

Quelques alcôves (vraiment inconfortables) qui permettent de s'isoler un peu plus.

Le wifi, qui n'est pas dédié au salon, fonctionne correctement, et permet de faire le job, et de découvrir la nouvelle version du site!!

Pour compléter le tableau, des WC (propres) sont présents dans le lounge, vers l'entrée.
Là où le bas blesse, mais vraiment, c'est sur l'offre, aussi bien solide que liquide.
Les 4 photos suivantes présentent de façon EXHAUSTIVE l'intégralité de l'offre solide.

C'est plus que triste, ça ne donne absolument pas envie, c'est même plutôt l'inverse!
Un peu plus de vide? Côté liquide(s), en plus de cette tireuse à bière, de la fontaine à soda et de la machine à café, on notera l’existence d'un whiskey (red label de mémoire) d'une vodka et d'un gin. Complété par un vin blanc et un rouge inconnu. Pas voulu/pu tester, le gin ayant déjà fait un trou dans mon estomac!

L'offre de presse à l'image de ma photo, ou l'inverse (désolé)

A noter, que malgré mes impressions plutôt négatives de l'endroit, les préposées à la propreté et au réassort s’exécutent parfaitement et réussissent même à (me) décrocher un sourire. Vu la faiblesse de l'offre, il aurait été dommage qu'il en soit autrement.
Beaucoup de vols SAS sont annoncés en retard, c'est par ailleurs, la seule vue que j'aurai d'un engin volant depuis cet endroit de perdition!

Peut-être qu'il en sera de même pour mon vol, mon expérience de l'aller ne m'encourage pas à être optimiste.
Devant la tristesse de l'endroit, je capitule et je me rends en porte à l'heure de l'embarquement programmé, soit 19h50. Direct A18 pour moi!

En chemin; un 737 next-gen de Norwegian

Et la bête du jour, A320 agé de plus de 13 ans.

L'annonce est fait, le vol est prévu avec 15 minutes de retard, une technicien doit venir redémarrer un système quelconque.
Nouvelle annonce 15 minutes plus tard, on prévoit un départ pour 20h50.
J'aurai pu, malgré la morosité de l'endroit, creuser un nouveau trou dans mon estomac avec un gin de plus au salon.
20h45, arrivée du technicien, nouvelle annonce, sans donner d'information sur le temps estimé de résolution de la panne. Finalement, les écrans affichent un respectable 21h.

Le boarding est annoncé dans la foulée. Tentative de respect des priorités!

3 Pax en cabine business, ma tentative de surclassement depuis un billet "mini" : 550€, non merci (ça reste moins cher qu'à l'aller!).
Direction la cabine eco donc qui sera, comme à l'aller, blindée. Accueil souriant malgré le retard.

21h15, j'accède enfin à mon siège, plus de place dans les coffres à bagages, pas grave, ça passe toujours sous le siège de devant.

Info du commandant de bord sur le retard: la présence d'une pièce qui n'avait rien à faire là… Rassurant
On repousse à 21h20 pour un décollage à 21h30.

Vue pas trop mal malgré quelques reflets, désolé

Aller, on est le 1er mai, un dimanche qui plus est, le magazine de bord est toujours celui d'avril, ça passe!

Le trolley arrive 45 minutes plus tard à mon niveau avec un grand moment de gastronomie: pain empereur, radis, pesto.
J'ai l'impression qu'on a emprisonné du beurre maitre d'hotel congelé dans du pain… congelé lui aussi.

Bref je râle, pas grave, je me venge sur un nouveau gin to', histoire de creuser mon trou!

Un PNC vraiment aux petits soins viendra re proposer ces délicieux sandwiches. J'ai du être difficile, beaucoup de gens en reprendront.
Ce même personnel viendra également s’enquérir dans un excellent anglais de chaque pax en correspondance, et ce avec pas mal d'humour, ce qui n'est pas négligeable dans ce genre de situation, compte tenu du retard accumulé.

On approche, et on touche à 22h50.

Un petit coucou au A318 F-GUGM qui m'aura accueilli à l'aller dans le sens inverse.

Ouverture des portes et sortie rapide aux alentours de 23h.

Merci de m'avoir lu!