Avis du vol entre Edinburgh et London en classe Economique avec Ryanair

Bonjour,
Suite et presque fin de mes aventures au Royaume-Uni, avec mon retour d’Edimbourg vers Londres qui préfigure le retour définitif à Paris le lendemain (FR à suivre pour boucler la série). Comme dans tous mes FR retour, je commence par un bonus touristique, ici consacré à la jolie ville d’Edimbourg, au climat hélas bien peu accueillant à cette période.
Victoria Street

Au cœur de la vieille ville

Edimbourg Castle

La Cathédrale Saint-Gilles

Calton Hill

A cette période de l’année, dès la nuit tombée la ville est totalement déserte, ce qui peut se comprendre vu la température !

Le Parlement écossais, dessiné par l’architecte catalan Enric Miralles, dans lequel il est possible d’assister à un débat parlementaire avec un ticket gratuit, ce qui vaut le coup ne serait-ce que pour voir la charpente aérienne du bâtiment.

Le Palais d’Hollyrood, dans lequel sa Majesté se rend durant les mois d’été

Le siège historique de l’une des plus anciennes banques au monde, la Royal Bank of Scotland (RBS)

Même si l’endroit n’est pas vraiment réputé pour ses plages, n’oublions pas qu’Edimbourg est une cité maritime, avec une promenade le long de la plage à Portobello Seaside.

Enfin la ville est immédiatement surplombée par une ‘colline’ abrupte, l’Arthur’s Seat dont les efforts fournis dans la montée par presque – 10° sont récompensés par une superbe vue sur la ville et les lands d’Ecosse

Et pour finir… Que serait l’Ecosse sans son whisky ?!

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Et maintenant direction l’aéroport avec le bus direct Airlink, à 2 niveaux comme tout bus qui se respecte en Grande-Bretagne !

Pas grand monde pour le moment

Après une petite demie-heure de trajet, arrivée à EDI et montée dans la foulée vers la sécurité, n’ayant pas de bagages à enregistrer.

Celle-ci sera passée en une dizaine de minutes avec des agents aimables
Passage obligatoire par le duty free pour accéder aux portes d’embarquement

Un plan pour ceux qui auraient peur de se perdre dans cet unique terminal + le FIDS

Il n’y aurait pas eu une confusion entre les Bahamas et Edimbourg pour la livraison d’une telle cargaison de lunettes de soleil ? A moins que les Ecossais n’en aient besoin que lorsqu’ils voyagent, d’où un tel choix :)

Là pas de doute par contre, ce *délicieux* Haggis (panse de brebis farcie) est on ne peut plus à sa place. Etonnant qu’il y en ait encore autant en stock ! La description élogieuse de Jacques Bodoin n’aurait donc pas suffi à convaincre le grand public ? Le bon saumon écossais passe presque inaperçu dans l’affaire

La loterie automobile de DXB a fait des émules aux 4 coins du monde, Ecosse y comprise. Mais ici on est – presque – sur les terres de sa gracieuse Majesté, donc rien de mieux qu’une Aston…

…enfin si, c’est au choix !

Des français inspirés sont déjà passés dans les sanitaires précédemment

Il est maintenant temps de tester le Wifi gratuit pour 2 heures, ça devrait suffire…

…et ça permet de tomber sur ce genre ‘d’infos’ toujours plaisantes avant de décoller (quoique, si la véracité est au niveau de l’orthographe, pas de quoi s’inquiéter)

C’est parti, après une dizaine de minutes d’attente pour contrôle des BP et du gabarit des bagages cabine, un cheminement assez long en extérieur nous amène vers l’appareil, heureusement la plupart de la distance est couverte.
Il neige à gros flocons. Notez la tour de contrôle futuriste d’EDI en arrière plan

Givre ? Neige ?

Enfin à l’abri, dans une cabine aux couleurs toujours aussi peu harmonieuses

Les plafonniers n’ont pas un aspect très moderne

Repoussage dans les temps puis passage au de-icing fluid, bien nécessaire par ce temps ! L’occasion de jeter un coup d’œil aux journaux gratuit écossais, avec un article bien de circonstance

Le pitch

Rien de spécial durant le vol, si ce n’est la vente de tickets de loterie à bord de l’appareil. Ajoutez cela à un jeune équipage espagnol très enjoué (et motivé) et le vol prend vite une allure de foire, finalement bien distrayante en ce début de soirée.

Arrivée à temps à STN, avec un atterrissage plus doux que dans l’autre sens (pas difficile !) puis une attente d’un quart d’heure pour les escaliers mobiles… C’était la peine d’être à l’heure !
Nous sortons parmi les derniers. De face les sièges rendent un peu mieux

Dernières vues (floues…) de l’appareil et des couloirs de STN, longs et déserts à cette heure-ci.

Retour en bus vers Liverpool Street Station dans la foulée.
Merci.
A bientôt.