Avis du vol entre Riyadh et Paris en classe Affaires avec Saudia

Bonjour à tous les Flight-Reporters !
Suite et fin de mon itinéraire un peu fou.
Voici donc l'itinéraire prévu :
- 04/03/2016 - Paris Charles-de-Gaulle (CDG) - Riyadh King Khalid (RUH) - Saudia - SV144 - Business
- 04/03/2016 - Riyadh King Khalid (RUH) - Manilla Ninoy Aquino (MNL) - Saudia - SV874 - Business
- 05/03/2016 - Manilla Ninoy Aquino (MNL) - Riyadh King Khalid (RUH) - Saudia - SV871 - Business
- 06/03/2016 - Riyadh King Khalid (RUH) - Paris Charles-de-Gaulle (CDG) - Saudia - SV143 - Business - Vous êtes ici
Je vous ai précédemment laissé au débarquement de mon vol MNL-RUH, dans le bus qui m'emmène au terminal.
Plusieurs bus débarquent en même temps. Je crains le pire pour le PIF Transit, mais il n'en est rien. La plupart du trafic Saudia est O/D Arabie Saoudite d'après mes deux constats.
Je passe sans attendre au PIF Transit, mais sans vrai contrôle non plus.
Je rejoins le salon décrit dans mon report de la veille, je ne le redétaillerais donc pas ici.
Cette fois ci, je commence à être atteint par la fatigue et attends au salon jusqu'à l'annonce de l'embarquement du vol pour Paris.
Je me dirige vers la porte alors que nous sommes en milieu d'embarquement :

L'embarquement est en cours et je me joins à la file qui semble être prioritaire. L'avion est de même configuration que le CDG-RUH
Je m'installe à mon siège, le 16A :

Des oshiboris chauds sont distribués, ainsi que dattes et café arabe :

Le menu est également distribué, avec une légère collation prévue avant le petit-déjeuner. L'hôtesse rappelle que le service est totalement "à la carte".

Nous décollons avec 25 minutes de retard pour Paris, un vol prévu assez court, moins de 6h.

Juste après le décollage, une boisson de bienvenue est distribuée, et comme à mon habitude, j'opte pour le jus de citron :

Et je choisis de souper dès que possible, avec l'excellente salade de homard :

Puis m'endors pour 3 petites heures avant de me réveiller à 1h10 de Paris.
Le petit-déjeuner est en cours de service :

Une catastrophe. L'omelette était totalement insipide.
Des oshibors chauds sont distribués à nouveau avant l'arrivée :

Une dernière vue de la géovision avant le toucher de roues sur le doublet sud :

Nous arrivons en porte avec 5 minutes de retard, et débarquons rapidement. Un contrôle PAF est effectué à la sortie de la passerelle, puis nous restons bloqués 50 minutes avant le "vrai" contrôle PAF en raison d'une alerte à la bombe.
Voilà qui clôture mon périple arabo-asiatique.
A bientôt sur Flight-Report !
Olivier