Avis du vol entre Nantes et Toulouse en classe Economique avec easyJet

Bonjour à tous!
[FR réalisé à l'occasion de la rencontre Flight-Report à Toulouse, oui je suis en retard!, mes excuses]
Après une petite absence cet été, suite à des vacances sans voyage, je suis de retour pour une petite série de FR, dont les deux premiers concernent la rencontre Flight Report à Toulouse.
Je suis étudiant à Rennes mais j’ai la chance de ne pas avoir cours le vendredi ce qui me permet de venir dès le vendredi à Toulouse.
Je vais à Toulouse avec un ami, qui est en stage chez Airbus à St Nazaire, nous décidons donc de partir depuis l’aéroport de Nantes.
Au départ de Nantes, Air France et EasyJet se partagent la ligne vers Toulouse.
Nous avons opté pour Easyjet, déjà pour le prix ainsi que pour l’horaire, ce qui nous permettez de ne pas trop se presser.
Nous voici le jeudi 22 octobre.
Nous arrivons à 20h à l’aéroport pour une fin d’embarquement à 20 :50. Mais déjà Easyjet nous informe que l’avion a 20 minutes de retard.

Le hall des départs de l’aéroport est vide, le vol vers Toulouse étant l’avant-dernier de la journée.

Nous nous dirigeons directement vers le passage de la sécurité.

Pas d’attente, et passage sans aucun problème.
Bien que l’aéroport accueille de nombreux vols tous les jours, l’aérogare est vraiment pas du tout adapté. Il y a beaucoup de couloirs et de petites salles (vite le nouvel aéroport !).

A cette heure-ci, il y a deux autres vols Easyjet, vers Lyon et Genève, un Air France vers Paris et un vol Agean vers Héraklion.
Nous nous dirigeons directement vers notre porte d’embarquement se situant au fond du terminal.

Depuis que nous sommes arrivés nous avons eu aucune mention de retard ni de la part de l’aéroport ou d’EasyJet.
A 20 :40 commence l’embarquement, toujours normalement, avec respect des priorités. Une agente vérifie bien la conformité des bagages à main ainsi que l’identité (est-ce normal pour un vol domestique ?).

Puis une fois la porte franchie, nous dirigeons vers un couloir, un grand couloir vu que tous les passagers peuvent y rentrer.
Et la aucun avion au bout de la passerelle…
Après un petit check sur Flight Radar, en effet notre Airbus A319 arrive de Lyon avec 20 minutes. Donc en soit nous allons attendre 30 minutes debout.
Aucune information n’est donnée, rien du tout ! Je ne vois pas l’intérêt de nous faire embarquer si tôt, cette gestion est juste inadmissible …
Puis à 21 :10 atterrit notre Airbus. Rapidement il arrive au point de parking et ses passagers sortent très rapidement.

En même pas 10 minutes nous descendons déjà vers l’avion. Lowcost oblige, l’avion est à un point passerelle, mais c’est par escaliers (avant et arrière) que nous embarquerons, très bien pour les photos…
Nous voici sur le tarmac, bien sur je prends autant de photo que possible bien qu’il fasse nuit. Trois agents me voient et me disent rien.

Puis en passant à proximité de l’aile pour rejoindre la porte arrière, le choc s’approche…
En effet, une agente me voit et me demande d’éteindre TOUS mes appareils électroniques. Bien sur je l’ignore, et une personne devant moi la provoque en lui disant « oui oui c’est ça ».
Je continue à prendre des photos, et l’agente me reprend en criant. « J’arrête » et monte sur l’escalier qui est encombré. Au lieu d’attendre sans rien faire, je vais sur mon téléphone comme tout le monde le fait.

Et la le dragon surgit ! La folle arrive en courant vers moi en criant « alors on ne comprend pas le français, vous éteignez tout, tout de suite ».
Ma réponse : d’accord Madame, mais vous demandez à TOUS les autres passagers d’éteindre leurs téléphones ou encore au monsieur qui écoute de la musique »
Je vous passe la suite …
Conclusion : depuis quand on doit avoir tous les appareils éteints, on nous fait toujours aussi ch*** avec les photos, et madame a surtout était infecte. Oui je pouvais ne pas comprendre le français !!
Bref passons, nous entrons dans notre Airbus, avec 4 PNC en charges. Easyjet m’a attribué automatiquement le siège 16A.

Je laisserai une mère et son enfant au hublot, et je ne regretterai pas vu l’émerveillement de l’enfant en étant au hublot.
L’avion est à 90% plein. L’équipage s’excuse pour le retard, et annonce un temps de vol de 50 minutes.

Le pushback se fait rapidement, et nous sommes prêts à décoller vers Toulouse. Il est alors 22h (soit 40 minutes de retard).
L’Airbus atteint rapidement l’altitude de croisière et l’équipage se dépêche pour effectuer le service payant. Je ne prendrais rien. L’équipage est très souriant. L’ambiance est calme, comme si le vol était une routine et ça fait du bien.
Le vol se déroule sans encombre et très rapidement.
Vers 22h30 nous commençons notre descente vers Toulouse. Il fait nuit et la ville rose est toute éclairée.
A 22h45, l’Airbus se pose et rejoint directement le terminal hall D.

Arrivée au point de parking, par chance nous avons une descente par … bus. Pour 100m.

Bon au moins en bas de l’avion il n’y a pas un seul agent, mais vraiment 0. Alors j’en profite pour les photos.
Puis nous débarquons par le hall D de l’aéroport qui est vraiment très beau !

Merci :)