Avis du vol entre Libreville et Paris en classe Economique avec Air France

Mbolo :)
Après vous avoir laissé à mon arrivée de Gamba, je rejoins le hall d'enregistrement des vols internationaux.

Ma valise est rapidement étiquetée jusqu'à GVA et je reçois mon invitation au salon.
A la sortie du hall d'enregistrement, ce petit tableau de rappel des horaires.

Juste avant la PAF, la désormais classique vue de LBV de la place royale, occupée ce soir par F-GSQU.
Tiens donc, c'était déjà F-GSQU qui m'avait transporté lors de mon précédent vol LBV-CDG !
Je vous invite d'ailleurs à le relire pour voir les évolutions du produit…. ou pas.

PAF et PIF plutôt rapide : il est tôt, il n'y a pas trop de monde encore.
Aperçu des documents de bord juste avant l'entrée au salon : passeport, carte de séjour, carte d'embarquement et mémo-voyage qui fait office d'invitation au salon Samba.

Choix de presse.

Petit tour au buffet, encore bien achalandé à cette heure : assiettes de cacahuètes et d'amuses-gueule, sandwich, large choix de softs et bière en libre-service.

Comme la dernière fois, le wifi fonctionne. Il s'agit donc d'une réelle amélioration.

Les toilettes par contre sont dans un état toujours moyen.

Le boarding est appelé dès 21h45.

Le salon se vide de ses pax en quelques minutes, ce qui me permet de faire une photo d'ensemble.

J'embarque 20min plus tard une fois que la meute est passée.
Choix de presse disponible en passerelle (pas de photo à cause d'un agent de sécurité suspicieux).
A l'époque du vol, LBV est encore desservi avec les anciennes cabines.

Arrivée à ma place, oreiller, couverture et casques m'attendent.

Pitch réduit et porte-gobelet carré.

IFE à l'ancienne. Quelqu'un sait à quoi sert le renfoncement à gauche sous l'écran ?

Seule touche de modernité dans cette cabine, la nouvelle video de sécurité.

Le menu papier est distribué.

Peu de surprise, on retrouve le suprême de poulet et le filet de bar, classique du Servair made in Libreville.
Pas de jaloux sur l'accompagnement, tout le monde au riz !

7
J'opte pour le Suprême de poulet niemboué, riz pilaf, banane plantain.
Comment un plat que j'adore en ville peut-il être aussi décevant en avion :(
Les couverts sont fragiles. A défaut de couverts en métal, je préférais ceux en pastique gris.

Après le repas, je m'endors… ou plutôt somnole jusqu'au petit-déjeuner, servi environ 1h30 l'arrivée, c'est trop tôt !
Yoplait a bien réussi son coup marketing avec Servair !
Heureusement qu'il est là d'ailleurs, car tout comme mon précédent vol, il sauve ce plateau du naufrage.

PNC dernier virage.

Le débarquement est rapide. Me voilà au LISA.

Dans la salle des arrivées bagages, AF fait de la pub pour son salon arrivée situé au 2C, manquerait-il de remplissage ?

30min après avoir débarqué, me voilà dans le CDGVal.

Mais pourquoi le CDGVal alors que ma correspondance pour GVA part du 2F et que j'aurais pu emprunter le tunnel direct 2E-2F ? Vous le saurez au prochain épisode ;)
Merci de m'avoir lu :)