Bonjour,
Avec un peu de retard, FR de mon retour d'Amsterdam, le 15 août 2015.
Pour l'aller, entre Lyon et Amsterdam, le 7 août 2015, c'est http://flight-report.com/fr/report-11217.htmlici.
Départ de la gare de la gare d'Amsterdam Sloterdijk, plus proche de notre hôtel. Les billets pour l'aéroport s'achètent facilement au guichet ou à la borne automatique.

Comme à l'aller, le train est une sorte de RER B.

Le trajet jusqu'à l'aéroport est plutôt rapide, 10-15 minutes. L'arrivée a lieu dans une gare souterraine.

Direction le Hall des départs

Pas de queue pour récupérer son boarding pass, imprimé comme à Lyon sur un papier beaucoup plus fin qu'avant

Dépose bagages automatique, une première pour moi ! Le personnel est là pour aider en cas de besoin.

Le passage de la sécurité est rapide, puisque cette zone est très moderne et très fonctionnelle. Si tous les aéroports pouvaient s'en inspirer, ce serait une bonne chose !

Nous arrivons donc en en airside, zone bien fréquentée en ce samedi soir du mois d'août.
Un 737 Air Europa attend l'autorisation de partir
Au loin, un 747 China Airlines cargo arrive
Le Boeing 767 G-BNWX British Airways vient d'arriver aussi, un avion plutôt original pour un vol moyen courrier européen.
Des compagnies européennes classiques
Le N738MA affreté en été par une compagnie touristique du groupe TUI attend ses passagers. Sa livrée et son espèce d'autocollant Arkefly ne donne vraiment pas envie de monter à bord !
Alors que l'A320 EC-LML de Vueling s'en va pour Ibiza
L'A319 D-AILT de Lufthansa s'apprête à s'en aller pour Frankfurt.
Il est l'heure de manger, et Amsterdam ne manque pas de commerces pour ça. pour un peu moins de 10 euros, on peut manger ça, ce qui est très correct.
Beaucoup de KLM ici
Beaucoup moins par là
L'heure d'embarquement approche, direction la jetée B, qui nous offre une vue sur le hub Cityhopper
Beaucoup de difficultés pour trouver une prise. Tant pis, j'espère que ma batterie tiendra. en attendant, je photographie mon avion, un Embraer 190, le PH-EZZ.
Un CRJ d'Estonian Air tente d'entrer en douce, mais il ne porte pas le bon bleu, et devra se contenter de l'autre côté de la jetée.
Un Airbus A318 d'Air France arrive en provenance de Marseille

Notre vol est annoncé à l'heure. cependant, une mauvaise nouvelle tombe : le vol est surbooké, et nous ne decollerons pas tant qu'un passager ne se sera pas desisté et n'acceptera pas de partir demain matin. Cette annonce me surprend un peu, je pensais que c'était réservé aux low cost ! La file d'attente s'énerve un peu, certains viennent de loin, et sont fatigués par leurs voyages. Dommage pour l'image renvoyée.

L'embarquement finira par commencer, avec une file Skypriority et une file normale
Embarquement par une fausse passerelle
Nous approchons de notre avion
Vue sur le moteur
La vue sur la fausse passerelle
L'intérieur de l'avion est plutôt moderne, les sièges ont en cuir, rien de bien surprenant sur un Embraer de KLM

Je mesure toujours un peu plus d'1m80, mais j'arrive à m'asseoir correctement. Les genoux collent à peine au siège devant, mais on peut s'étaler un peu, donc ce n'est pas bien gênant.
Vue du hublot
L'embarquement est assez compliqué. Les PNC, qui en sont à leurs dernier vol de la journée, ont l'air fatigués, et le surbooking n'arrange rien. une passagère russe ne parlant ni français, ni anglais, ni néerlandais aura donc beaucoup de mal à se faire comprendre par l'hôtesse, qui aura également du mal à lui faire comprendre qu'elle doit s'asseoir à son siège, et ne pas rester dans les allées.
La cabine sere pleine ce soir
Nous finissons tout de même l'embarquement sans trop de retard. Derrière nous, un groupe de passagers vient vraissemblablement de loin, et essaye de s'occuper pour faire passer un peu plus vite ces deux dernières heures avant le retour à la maison. Au programme : planification de l'apéro du soir, commentaires à propos de tout ce qui se passe autour de l'avion (vraiment TOUT), et le tout à voix haute. La cabine est pleine, tout ceci n'est pas très agréable.
Derrière nous, au loin, les avions cargos qui se chargent ou se déchargent
Et nous finissons par enfin repousser

Roulage pas très long jusqu'à la piste, on évite le polder cette fois, puisque les décollages ont lieu face au Sud.

Et c'est enfin à nous de décoller
Les photos sont floues, puisque le décollage est plutôt agité (il y a du vent et de la pluie). Cela aura le mérite de calmer le groupe de derrière, qui semble enfin avoir décidé chez qui ils boiront le pastis.
Les nuage sont bas, c'est dommage, puisque la vue au dessus des Pays Bas est magnifique normalement
On traverse les nuages, et on arrive sur une vue sur le soleil couchant (un peu derrière nous puisque la route vers Lyon n'est pas tout à fait en ligne droite : on file vers le Luxembourg, la Franche Comté, et on revient sur Lyon par l'Ain)
Le hublot pas très propre, les qq cristaux de glace, et la faible luminosité ne facilite pas la prise de photos.
Les rideaux à l'avant de la cabine sont tirés, la prestation business est servie. Excellente remarque du groupe derrière : Ils ont pas compris que le rideau laissait passer les odeurs. Et oui, même à l'arrière, on a les odeurs des plats servis à l'avant. Dommage, nous devront nous contenter de ça :
C'est du classique en Europe.
Visiblement, ce n'est pas assez, puisqu'un PNC clandestin fait son apparition pour servir des madeleines à son entourage
Le vol se poursuit, et nous seront bientôt dans le noir complet
Il fait nuit dehors, les photos en extérieur ne rendront rien. La cabine se prépare pour l'atterrissage (les lampes seront éteintes, évidemment)
Tour de piste main droite, puis alignement face au Nord
Et nous atterrissons enfin, à l'heure. Passage devant le hub régional Hop!, et un A320 Air France sharklets (il faut me croire)
Le Boeing 777-300 d'Emirates s'en va, et ce Boeing 737 de Transavia arrive
Les bagages vont commencer à pouvoir être déchargés
Passage devant ce panneau annonçant les vols du lendemain
Direction de hall de livraison bagages
Les bagages de mes parents et de ma soeur arrivent assez vite, j'attends le mien, et soudain.. le tapis s'arrête. Non, c'est pas vrai, encore une fois ? Souvenez vous l'année dernière, je rentrais aussi d'Amsterdam, et nos 4 bagages y étaient restés. Une correspondance assez courte pouvait expliquer ce problème, mais cette fois, pas de correspondance, mon bagage était enregistré à Amsterdam.
Le service bagages d'Air France sera assez reactif, me fera remplir le formulaire (je commence à avoir l'habitude). Seul problème : mon bagage n'est localisé nulle part pour le moment, ni dans l'avion, ni à Amsterdam, ni dans aucun vol pour aucune destination exotique. Je quitterai donc une nouvelle fois l'aéroport les mains vides (c'est plutôt confortable en fait).
Mon bagage sera livré le lendemain en fin d'après midi, donc un dimanche (bon point de livrer le dimanche d'ailleurs). La camionnette du livreur était remplie de sacs, j'ai l'impression que cette mésaventure est plus que courante (en même temps, 1% des bagages perdus, ça fait 1 passager par Embraer, 2 par Airbus A320, et 5 par A380).
Sur deux vols entre Amsterdam et Lyon, 100% de mes bagages ne sont donc pas arrivés. J'hésite à retenter ma chance. La 3ème fois sera-t-elle la bonne ?
Merci pour ce FR .
Un vol complet n'est jamais sympathique .
Vol correct avec KLM.
A+ Thomas