Avis du vol entre Paris et Bordeaux en classe Economique avec Air France

Mon 6e FR mon retour CDG-BOD.
Un vol classique mais je vais tout même tenter de souligner les points importants du vol pour comparer l'évolution de l'offre CC AF et rendre ce FR des moins banal et le plus pertinent possible.
Je quitte la maison de mes amis à Goussainville dans le Val d'Oise en bout de piste de Roissy à 15h30 pour arriver au 2F 20 minutes plus tard.
Pas d'imprimante chez mes amis, je préfère encore imprimer mes boarding pass plutôt que les télécharger sur mon iphone (je l'ai déjà fait sur d'autres vols) car la batterie de mon iphone 4S a tendance à pas tenir très longtemps en ce moment.
Cette fois-ci j'imprime donc mon boarding pass à une BLS.

Une peu d'affluence au PIF mais passage rapide en quelques minutes.
Je ne me lasse jamais d'admirer l'architecture de l'aile d'embarquement du 2F.
Je suis en salle d'embarquement environ 20 minutes avant l'embarquement et 45 minutes avant le départ.

Embarquement à l'heure à bord de GKXS, un A320 récent livré à AF en Mars 2009.
J'ai vérifié les rotations de l'appareil après coup sur flight radar fleet, aujourd'hui il aura été cantonné aux vols intérieurs, avant d'aller à Bordeaux, il est allé sur Montpellier et Marseille.
Il est équipé de ma cabine MC AF préférée bien connue ici, il me semble également la cabine MC préférée de nombreux FRistes.
L'avantage sur CDG est de pouvoir tomber sur des cabines Europe au lieu des planches à repasser, ces dernières que je trouve assez confortables aussi finalement.
Pendant l'embarquement dans la cabine, une annonce est répétée plusieurs fois que le vol est complet et qu'il est demandé aux passagers de faire en sorte de préserver une place pour chacun dans les coffres à bagages.
Délicate attention, ça fait pas de mal un rappel au civisme aux passagers, je placerai ma petite valise trolley dans les coffres, et je garderai avec moi sous mon siège ma petite sacoche.
Les passagers ont l'air de jouer le jeu, je remarque que beaucoup de passagers ont des petits sacs à dos placés sous les sièges.

Quelques vues de mon siège.
Pitch correct pour mon 1m83 mais c'est bien ce qui me semblait, pitch plus généreux que sur les sièges carrés du HEPG (A320 sharklet) que j'ai eu mercredi16 pour l'aller.
Ici je passe 4 doigts entre mon genoux et le siège, sur le HEPG Sharklet que j'ai aussi reporté, je ne passais que 2 doigts.

Fin rapide de l'embarquement malgré un vol complet, on nous annonce 50 minutes de vol et un départ dans les 5 minutes.

Sur ce vol j'imagine que la plupart des passagers viennent en fait de correspondances internationales contrairement à moi.
Mes voisins ont l'air bien fatigués, sans doute finissent ils un long voyage, ils demandent des coussins qui leurs seront immédiatement apportés, ils dormiront tout le vol et ne prendront même pas la collation.
Un des steward proposera des coussins en faisant un rapide aller-retour dans la cabine juste avant la fermeture des portes.
Une super équipe de PNC sur ce vol, détendus, souriants, attentionnés, efficaces en même temps, depuis l'embarquement, pendant le vol et jusqu'au débarquement.
Le coussin de mon voisin avec les nouveaux motifs :

Repoussage à l'heure 16h55 et sortie des flaps.

Décollage après 8 minutes de roulage montre en main, pas mal pour CDG.

On passe pratiquement à la verticale du Bourget.

Stade de France.

Paris qui se cache sous les nuages.

Orly un peu sous les nuages aussi.

Extinction des consignes lumineuses moins de 10 minutes après le décollage.

En croisière, gros plan sur le winglet classique A320.

Le classique sucré-salé servi à mon niveau 15-20 minutes après le décollage.
Suffisant pour ce court vol à l'heure du goûter.
Sucré pour moi, galettes bretonnes Pleyben, très bonnes, qui ont détrônés Madame Poulard.

Approche au-dessus de la campagne verdoyante du nord de Bordeaux.

L'autoroute A10 et le viaduc de l'A10 sur la Dordogne.
On voit le long de l'autoroute la future LGV avec son nouveau viaduc ferroviaire sur la Dordogne.
On distingue qu'on a déjà commencé à poser rails et caténaires.
En 2017 les AF Paris-Bordeaux vont prendre un coup mais je pense que contrairement aux prévisions il y a quelques années, les avion AF Paris-Bordeaux n'auront pas dit leurs derniers mots en 2017.

Sur la Garonne, le bâteau Breuil qui transporte une aile d'A380 jusqu'à Langon, avant de rejoindre Toulouse par convoi exceptionnel routier.

Approche finale

Atterrissage 17h55

Tiens un Boeing 737-800 Luxair (avec ses nouvelles winglets dernières générations) à Mérignac parqué au Hall A.
Vol spécial ? charter ? déroutement ? incident technique ? situation d'urgence ?…

Une brochette HOP à la jetée ibérique, qui porte mal son nom aujourd'hui.

Arrivée au parking avec un peu d'avances après quelques minutes de roulage

Débarquement rapide et je récupère aussitôt ma voiture au P2.
37,50euros pour 3 jours de parking, c'est ce qui était prévu, j'avais regardé les tarifs sur internet avant.
Tarifs raisonnables il me semble même moins cher que les parkings de la Gare Saint Jean.
Il faut penser aussi au parking dans le choix Train/Avion.

Je vais faire un tour dans les magasins à Mérignac Carrefour Soleil et je retrouve des amis au Cave/Bar V and B (Vins et Bières) de Mérignac (pas loin de Carrefour Soleil) pour le match de Rugby France-Italie.

Bon j'aurai bu 1 verre de bière au début du match et un 2e verre au début de la 2e mi-temps.
C'est qu'après j'ai 45 minutes de route pour rentrer dans ma campagne.
Je ne plaisante pas avec la sécurité aérienne, je plaisante encore moins avec la sécurité routière.

Une victoire de la France 32-10 et une très bonne soirée pour clôturer ce retour à la maison.
Si la France progresse bien j'irai bien voir un match en Angleterre.
Peut être un prochain FR Bordeaux-Londres ?
A bientôt !!
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