Bonjour à tous et bienvenu à bord de la suite de cette série qui m'amène au Vietnam ! Dernier segment du trajet aller.
Le routing:
Aller:
-TLS-BRU SN3670 B Jumbolino c'était là : http://flight-report.com/fr/report-10294.html
-BRU-AUH EY056 Flying into the Blue Moon c'est par ici http://flight-report.com/fr/report-11229.html
-AUH-SGN EY441 Apocalypse bag ! c'est maintenant
Vols intérieurs:
-DLA-DAD VN1954 ce sera là
-DAD-HAN VN172 ce sera là mais plus tard
Retour:
-HAN-BKK VN613 ce sera là mais plus tard
-BKK-AUH EY401 ce sera là mais beaucoup plus tard
-AUH-BRU EY057 non reporté
-BRU-TLS SN3667 ce sera là mais dans longtemps
Cette ligne inédite lors de mon voyage a été reportée entre temps par Manu Pichu qui a effectué son vol en février à bord de A6-EYE l'appareil qui a réalisé mon BRU-AUH.
Apocalypse bag !
-Sam 18/04/2015 EY 441 AUH-SGN, Airbus A330-243 (A6-EYO) Ethiad Airways.
Petit rappel, je vous avez quitté après mon vol de Bruxelles arrivé plus d'une heure en retard. Il me reste, à la sortie du pax-bus, moins de 35 minutes pour relier ma porte d'embarquement le tout dans un aéroport surchargé due à l'heure de HUB.
Pas de chance pour nous le vol Etihad pour Ho Chi Minh est celui qui part en premier.
Le BP :

A la sortie du bus je croise un coordinateur et lui demande si il y a un fast-track short connexion. Il me réponds juste de me dépêcher et me redonne la porte que je connaissais déjà.
Puis l'on arrive à un PIF totalement débordé, aucune priorité n'est respectée. On nous dit de rejoindre la fast-track qui n'est pas plus rapide car encombrée de passagers avec des correspondances plus longue dont de nombreux francophones qui comme souvent ne respecte pas grands chose…
Après pratiquement 20 minutes d'attente les contrôles sont passés, contrôle d'une inefficacité record, les personnels de contrôle Emiriens ne regarde pas leur machine mais leur smartphone ça bip de partout mais ça passe … bref autant ne pas mettre de contrôle si c'est pour les faire comme cela.
Commence ensuite la course pour atteindre le T3 porte 28 d'où part notre vol. Il nous faudra près de 10 minutes avec un genou en vrac. On arrivera quelques minutes avant la fermeture des portes et partagerons le dernier paxbus avec une famille vietnamienne.

Nous partirons immédiatement pour une petite balade sur le tarmac de AUH au petit matin, toutefois la température est déjà élevée mais heureusement le pax bus est climatisé. On peut voir des conteneurs de compagnies visiteuses de la plateforme.

Une lignée d'Airbus d'Etihad avec des A340-500/600 et un A330-300

Un autre A330-200 derrière les grilles anti souffle.

On arrive enfin devant notre appareil. Il s'agit de nouveau d'un A330-243 motorisé Rolls Royce, A6-EYO à un peu moins de 8 ans, il a toujours volé pour Etihad et porte une livrée plus standard que l'appareil qui nous a amené de Bruxelles. On peut aussi voir le push-back entrain de se placer.

On grimpe à bord pour être accueilli par les PNCs sympathique l'une d'elle est française. Tout le monde est déjà assis. On rejoint nos sièges au rang 37. La cabine est très peu remplie surtout dans le deuxième partie de la cabine économique où nous sommes j'estime à moins de 50%.

L'embarquement de notre vol a aussi eu lieu au milieu de la zone de fret, il y a des chariots chargés de partout. Au loin on peut voir la magnifique tour de l'aéroport d'AUH.

Push back avec une dizaine de minutes de retard. Pendant ce temps les consignes sont diffusées sur les écrans.

Nous finissons notre repoussage à coté de la famille Etihad élargie A330s de Jet Airways et A330 de Air Berlin. On peut dire que AUH est vraiment une destination réservée aux A330 au vue de la quantité présente sur le tarmac.

Encore du 330 mais cette fois maison mère.

Puis notre A330 (A6-EYE) en provenance de Bruxelles aux couleurs de Manchester City. Petit détail rageant, l'appareil dont nous sommes sortis est situé à deux gates de celui où nous sommes à présent… Ce sera encore plus rageant à l'arrivé à Saigon.

Nous poursuivons tant bien que mal notre roulage au milieu des travaux de l'aéroport, au loin on peut voir une partie de la flotte d'hélicoptère gouvernementaux de l'Emirats composé d'Agusta 139 et de Bell 412.

Décollage en piste 31L ce qui nous donne une excellente vue sur Ferrari world et le circuit automobile de Yas Marina où à lieu le grand prix de F1.

Puis passage au dessus de la lagune de Rahman Island.

Enfin nous quittons la péninsule arabique en survolant la cote Omanaise.

Alors que les hôtesses s'affairent dans le galley, il est temps de jeter un coup d’œil au menu distribué après le décollage avec une serviette chaude.

Pour ma part ce sera le petit déjeuner asiatique avec le riz collant et le poisson plutôt pas mauvais. Il y aura aussi un yaourt, mini muffin, pain confiture et salade de fruit … euh pastèque.

Petit AC/DC pendant le repas, autant la sélection de film est bonne autant pour la musique on repassera, beaucoup de compilations, peu d'albums.

Petit aperçu du pitch pour 1,72m

Puis je pars me coucher sur une des rangés libres j'y dormirais un peu plus d'une heure. A noté que la plupart des passagers baisseront les caches hublots.

Quand je me réveil nous sommes ici.

Je vais dans le galley pour chercher à boire et aller aux toilettes où je vois l'équipage qui, pour passé le temps, s’entraîne à des exercices chronométrés pour s'équipé des éléments des luttes contre l'incendie. En effet une des PNC passe bientôt un examen de contrôle. Et pour avoir vu un des essais elles sont prêtes !
Pour les toilettes, elles étaient dans un état correct. Une hôtesse viendra nettoyer après mon passage (pourtant j'ai fait attention ^^)

Un peu de lecture ? Voici les documents de bord. On peut voir le casque fournit.

Le vol se poursuit, le sol lui ne sera pas visible avant l'arrivé à destination.

Petit coup d’œil à la cabine qui se réveille après la sieste

Ça tombe bien c'est l'heure de l’en cas. Un espèce de pain brioché chaud fourré au bœuf et tomate, si ma mémoire et bonne mangeable même si ça ne casse pas trois pattes à un canard… Servie avec du tchaï pour ma part.

Pendant ce temps le soleil se couche



Atterrissage à l'heure à Saigon puis cours roulage vers la gate à coté de ce Boeing 777-2ER de la compagnie locale.

Après un premier contrôle sanitaire en porte pour les formulaires Ebola. Je me dirige vers les comptoirs pour réaliser mon visa on arrival. Je devrais patienter un long moment (environ une heure), un appareil Emirates venant d'arrivé avant nous et les autorités n'ayant ouvert que 2 guichets. Le tout arrangé par des guides locaux qui n'hésite pas à couper la file pour passer les piles de passeport de leur groupe…
Mon collègue ayant déjà son visa, il passe immédiatement pour aller récupérer les bagages. Je le retrouve devant le tapis où nos bagages sont absents. Une annonce a été faite au niveau du tapis pendant la livraison or pour ma part j'arrive bien après. On se dirige vers le comptoirs des bagages perdus ou plusieurs autres passagers attendent. La plupart viennent de notre vol. On nous informe dans un anglais approximatif que nos bagages n'ont pas été chargés à AUH comme tout les bagages des passagers en correspondance.

Le bagage arrivera par le vol du lendemain, on nous dira de venir le chercher dans la soirée par téléphone. Or quand on arrive à l'aéroport on nous informe qu'un coursier vient de partir livrer les bagages à notre lieu de résidence!
Un coup de téléphone et quelques minutes plus tard le coursier est de retard avec nos précieuses besaces.
Après réclamation Etihad me fera un virement de 35€.
Merci d'avoir suivi ce FR !
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Tiens, je suis le premier à commenter ?
Le riz collant est du congee, un porridge de riz qui est un grand standard du petit déjeuner en Chine.
La valise ayant raté la correspondance, c'était un peu prévisible (encore que j'ai vu des bagages suivre des correspondances acrobatiques, dans des aéroports très performants), mais le cafouillage revenir à l'aéroport / livraison à l'hôtel est regrettable.
Merci pour le partage !
En effet, merci donc pour ce commentaire,
Pour la valise le plus rageant est que notre appareil était stationné à côté de l'appareil et provenance de Bruxelles.