Après dix ans de vacances estivales dans des pays faciles (Chine, Japon, Taïwan, Indonésie…), Mme a souhaité sortir de la routine et partir dans un pays particulièrement exotique : le Portugal. J’ai obtenu de commencer par un week-end en groupe à Lisbonne en décembre, avec la garantie rassurante d’un voyagiste sérieux : Flight Report :)
Tout s’étant bien passé, je n’avais plus aucune excuse pour repousser une année de plus ce projet particulièrement aventureux. Et c’est ainsi qu’apparaît ce routing d’une créativité sans bornes :
AF1024 (CDG – LIS) : A319, siège 10A (vous êtes ici)
AF1225 (LIS – CDG) : A319, siège 10A à lire là
Ce grand saut dans l’inconnu commence par un trajet en RER-B, évidemment omnibus comme le diagramme de ligne l’indique, avec un tableau indiquant le terminal pour chaque compagnie aérienne à gauche.

Le RER-B est un peu plus pimpant une fois sorti à l’air libre au-delà de Gare du Nord, quand il y a un grand soleil.

Ayant un souvenir mitigé de la fiabilité du RER-B, j’avais ajouté une demi-heure de marge aux dépends du sommeil de Mme, mais cette fois-ci, le parcours se fait sans incident jusqu’à CDG, et au désormais bien connu FIDS de sa gare.

Je n’avais pas eu le temps de trouver un meilleur point de vue sur le FIDS qu’une employée s’approchait de moi pour me demander si j’avais besoin d’aide. Elle est allée ensuite faire son devoir auprès d’une voyageuse isolée et manifestement désemparée, mais c’était Mme Marathon, qui savait, résignée, qu’un passage dans un aéroport est une longue épreuve d’attente avec les bagages pendant que son époux constitue sa photothèque pour le FR à venir.

Donc voici le FIDS, avec le vol identifié par une méthode dont la licence d’utilisation risque de m'être facturée une fortune par PAT62.

Un A318 aperçu sur le trajet vers le terminal 2F

Quand on se présente à CDG le matin du premier samedi d’aout, on comprend l’intérêt de l’accès n°1, auquel nous n’avons plus accès. (Je ne vous identifie pas mon vol sur le FIDS, car je n’ai pas les moyens de payer deux licences d’utilisation à PAT62).

Car pour le menu fretin, qui début aout se déplace comme les sardines en bancs énormes avant d'être tassées dans des boites métalliques, la queue pour déposer ses bagages ressemblait à cela. Mme n’avait plus la moindre objection au sujet de la demi-heure de sommeil dont je l’avais privée.

D’autant qu’elle allait attendre assise pendant que je gérais le problème (il faut être fair-play, en échange des abandons pour cause de FR à illustrer, c'était à moi de faire la queue).
Obtenir les BP a été assez rapide, car la borne n’a eu aucune difficulté à me reconnaitre.

En revanche, la queue était ce qu’elle était : vingt minutes pour arriver à ce portique, censé marquer l’entrée au dépose bagages.

Encore trois minutes pour arriver ici

Et trente minutes tout rond s’étaient écoulées depuis mon entrée dans la queue, ce qui était moins catastrophique que je ne le craignais, vu l’embouteillage dans le hall. Deux comptoirs de dépose automatique des bagages hors service sur douze à cet endroit, cela n’arrangeait pas les affaires.

Quand je suis ressorti, la queue s’était encore allongée

Mieux valait être zen et heureux dans ces circonstances, et d’ailleurs cela semblait être le cas de tous les PAX qui attendaient sans faire d’esclandre.

La dépose des bagages ayant régulé le flux en amont, l’attente était faible au PIF.

Un besoin pressant de Mme m’a permis de découvrir que quand la porte d’embarquement est à l’extrémité de l’une des jetées du 2F, passer par le niveau inférieur où se trouvent les sanitaires gagne du temps, car les jetées, tout comme le hall, n’ont pas été dimensionnées pour un jour d’affluence.

Un peu de spotting (avec les bagages à main, pour cause d’arrêt technique de Mme), depuis l’extrémité de la jetée

Un 738 schtroumpf devant un A321 AF

Un A319 AF

Chargement des bagages dans notre A319, pendant que passe derrière un A321

Un 767 DL rentre au bercail

Arrivée d’un Jumbolino Cityjet

Livrée spéciale pour cet A320 Air Malta

Les présentoirs de presse en libre-service étaient largement approvisionnés

… suffisamment pour que Mme prenne quasiment le même échantillonnage que moi de l’autre côté, là où je suis allé restituer les doublons (un peu de civisme, quand même !).

Début de l’embarquement, avec respect des priorités, mais il n’y a pas beaucoup de PAX prioritaires.
L’employée à la porte demande à Mme si elle parle français, puis une question inintelligible à laquelle Mme (habituée à des questions inintelligibles dans les aéroports chinois) répond « oui », sachant qu’en général, c’est la réponse qui génère le moins de problèmes dans les aéroports chinois, et par extension aussi dans les aéroports français.
Deux ou trois PAX plus tard, c’est à mon tour, et la même employée décidément attachée à nos compétences linguistiques me demande aussi si je parle français, puis si j’ai un BP valide, ou quelque chose d’approchant, ce à quoi, habitué des aéroports plus chinois que français, je réponds d’un hochement de tête standard qui permet à l’interlocuteur de choisir la réponse qui lui convient.

F-GRHX n’est pas tout jeune : il a été mis en service le 26 juin 2001 (mais comme pour votre serviteur, mis en service largement avant, l’âge de la retraite est encore très loin de sonner).

Je rejoins Mme dans la passerelle vitrée…

… et une fois m’avoir laissé immortaliser un autre A319 à la porte voisine (il y a des priorités pour un FRiste), Mme me raconte son anecdote et constate que j’ai eu la même. Cela l’intrigue, et comme ça bouchonne à l’entrée dans l’avion, elle demande à la PNC qui accueille les Pax en quoi un BP pourrait ne pas être valide. La PNC à son tour est intriguée, demande nos BP, et a l’éclair de génie : l’employée avait demandé si NOUS étions valides, et non pas nos BP, car nos places au rang 10 étaient à une issue de secours !
J’ai de bonnes raisons de penser que je suis valide, mais je ne suis pas convaincu, au regard de ce test, de comprendre le français, en tout cas celui d’une employée à l’embarquement à CDG.

Le dernier rang de classe affaire (la principale différence, c’est la têtière rouge)

Et nos sièges en issue de secours, attribués automatiquement par AF.

Le rang 10, avant qu’il ne se remplisse

En général, j’évite ces sièges en raison de ce pictogramme interdisant de conserver son bagage à main, car je n’aime pas me séparer de mon PC et nos jambes n’ont pas besoin de beaucoup de place, mais là, AF ne m’avait pas donné le choix, ni même averti que mon niveau douteux en français pourrait poser un problème.

Cela nous a donné l’occasion d’avoir le topo standard aux PAX en issue de secours

Les habitués de FR savent que l’issue de secours bénéficie d’un pitch supérieur

Dix centimètres de plus qu’aux autres rangs, c’est bien plus que ce dont j’ai besoin.

Le détail qui tue : le cache-hublot ne s’abaisse pas ; il se monte, en raison de la présence de la poignée d’ouverture de l’issue de secours au-dessus du hublot.

Pour le reste, c’est un siège AF plutôt ordinaire

Enfin, pas tout à fait : alors que les PAX des autres rangs bénéficient d’un crochet pour suspendre une veste,

… les PAX du rang 10 ont un machin qui ne permet pas d’accrocher quoi que ce soit.

Les garnitures accusent un peu leur âge et/ou un manque de nettoyage, mais ça reste acceptable

La fiche de sécurité recto-verso


Toujours pas de rang 13 chez AF

L’explication de ce double anneau jaune sur l’aile, qui doit générer un peu de traînée

… se trouve ici : c’est là qu’on attache la ligne qui va guider les PAX vers l’arrière de l’aile en cas d’évacuation par cette issue de secours.

Avant d’effectuer une évacuation de secours, il faut avoir eu une démonstration, et la voici, avec le kit de démonstration posé sur la tablette du PAX en 10C.

Repoussage

Et décollage imminent piste 26 (L ou R, je ne sais plus).


L’avion va contourner Paris par l’ouest, ce qui permet aux PAX aux hublots à gauche de voir le Grand stade

La boucle de la Seine du côté de Gennevilliers

Les gratte-ciels du quartier de La Défense


La Tour Montparnasse (à gauche) et la Tour Eiffel (au centre), et beaucoup d’autres infrastructures remarquables, pas forcément par leur esthétique.

La Tour Eiffel

N’est pas spécialiste des photos air to air qui veut. Cet avion était vraiment trop loin.

La collation, c’est une boisson

Et une viennoiserie au choix

Le choix de Mme, option salée

Et le mien, option sucrée

Un coup d’œil au magazine AF, dont l’édition de juillet (périmée depuis quelques heures) a une vision beaucoup plus paradisiaque que celle des bonus de Papoumada.

Cette page m’a sauté aux yeux. De porcelaines de Kangxi ? Plutôt des porcelaines de l’époque Kangxi, du nom de l’illustre empereur (1654 – 1722). C’est un peu comme le rédacteur parlait de mobilier de Louis XIV, au lieu de mobilier de style Louis XIV : cette coquille ne donne pas l’impression qu’il connait le sujet.

Des porcelaines de l’époque Kangxi, j’en ai vu beaucoup dans les musées du Portugal qui commerçait beaucoup avec la Chine via sa colonie de Macao, comme par exemple celles-ci au Musée des Arts Antiques de Lisbonne.

J’ai atterri ou décollé dans 37, soit plus de la moitié de ces 72 villes desservies par AF/KL et ses partenaires de Skyteam. Et vous ?

Première vue du Tage

… et de la base aérienne d’Alverca, qui abrite une annexe du Musée de l’Air portugais, situé sur la base aérienne de Sintra.

C’est l’endroit où le Tage débouche dans une très vaste baie intérieure, en amont du chenal étroit franchi par les ponts de Lisbonne.

Le Pont Vasco de Gama

Le Pont du 25 Avril

L’aéroport de Lisbonne

L’embouchure du Tage

L’avion va franchir deux fois le Tage pour se présenter piste 3. Une capture d’écran de Flighradar24 (merci à ce site) pour expliciter les vues lors de cette descente.

Premier virage vers le sud-est, découvrant le Tage avec le Pont du 25 Avril au fond

Lisbonne à gauche, et Caparica à droite

Le phare de São Lourenço do Bugio, au milieu de l’estuaire du Tage

La rive gauche du Tage, en face du centre historique de Lisbonne

L’avion retraverse le Tage et offre une vue imprenable sur la Tour de Belem, un incontournable touristique de Lisbonne.

La voici vue depuis le sol – une petite digue a été ajoutée pour qu’elle reste entourée d’eau malgré le changement du cours du fleuve causé par le séisme de 1755.

Le Monastère des Hiéronymites, un chef d’œuvre du style manuélien. Outre son célèbre cloître, ici derrière l’église Santa Maria, il abrite aujourd’hui le Musée de la Marine (à gauche) et le Musée archéologique (au centre).

Le même, vu du sol

Le Monument aux
[Grandes] Découvertes

… qu’il est impossible d’éviter en allant visiter les monuments précédents

Les irrévérencieux Lisboètes ont surnommé « Poussez pas, derrière ! » ce monument inauguré en 1960, sous la dictature de Salazar.

Revenons au sujet : l’avion continue de descendre au-dessus des quartiers périphériques vers LIS, qui a été rattrapé par l’urbanisation.

La toiture verte du stade José Alvalade, situé à la station de métro Campo Grande, vu à quelques minutes du toucher des roues

Arrivée à LIS, où il y a évidemment une collection d’appareils de la TAP

Mais il y a aussi un appareil TK

Et KL

En Europe, ce n’est qu’au Portugal (OPO et LIS) qu’on peut voir un appareil de la TAAG (Angola)

Il est ETA + 9’ quand je prends cette photo : autant dire que l’avion était à l’heure

Encore un peu de spotting dans un aéroport qui ne s’y prête guère, car la majorité des baies vitrées sont couvertes de points noirs qui empêchent toute photo.
CS-TFX, un A340 de Hi-Fly

Au loin, le terminal 2 qui accueille les low-costs ; il est significatif que Norwegian y cotoie Easyjet (et aussi Ryanair)

Les mêmes, depuis un point de vue moins perturbé par l’air chaud de réacteurs.

Les cheminements sont un peu longuets pour arriver en salle de livraison de bagages

Vingt minutes après l’arrivée au bloc pour voir apparaître le premier bagage, ce n’est pas très rapide, et nous allons attendre longuement le nôtre.

Reste à récupérer la voiture de location, ce qui va prendre un temps infini, mais cette inefficacité des loueurs de voiture (le nôtre n’était pas le pire) n’est pas de la responsabilité de l’aéroport : il y avait de la place au comptoir pour plus d’employés, et ces derniers auraient pu être beaucoup plus rapides.
C’est donc la fin de ce FR et le début d’un petit bonus touristique sur Lisbonne où nous avons passé plusieurs jours à la fin du séjour, après avoir restitué la voiture de location parfaitement inutile dans Lisbonne. La voiture était en revanche utile pour commencer par aller à Sintra, non pas pour aller voir le Musée de l’Air (ce sera pour une autre fois) :

.. mais l’extravagant Palais de la Pena, du chemin de ronde duquel a été prise la photo qui précède :

Le même chemin de ronde offre un superbe panorama à 180°, notamment sur cette ancienne forteresse maure.

Autre incontournable de Sintra : le Palais National, aux caractéristiques cheminées de ses cuisines.

Le centre de la voute de la Salle des Armoiries

Entre Sintra et Lisbonne, il y a le palais de Queluz, une sorte de petit palais de Versailles qui était étrangement vide de visiteurs quand nous y sommes allés l’après-midi de notre arrivée.


Revenons à Lisbonne. Les alentours du Couvent des Hiéronymites ont beaucoup changé depuis le milieu du XVII° siècle

Vue du Monastère et de la Place de Bélem, huile sur toile de Filipe Lono, datée de 1657, Musée des Arts Antiques
À l’époque, on n’y voyait que des oiseaux en l’air.

Aujourd’hui, à défaut d’aller au point de spot situé le long du périmètre de l’aéroport, à l’ouest du seuil de la piste 3, c’est un endroit intéressant.

Il est certes un peu loin des pistes, mais avec un bon zoom et par beau temps, on peut avoir de bonnes surprises :

Le Musée de la Marine, à l’extrémité ci-dessus de ce même couvent, n’est probablement pas visité spontanément par les FRistes. Bien sûr, on y parle presque uniquement de navires portugais (un vaste sujet !), mais il y a une toute petite section sur l’aéronavale. Trois hydravions y sont exposés : un Grumman G-44, en service de 1942 à 1952

Un Schrek – F.B.A. de fabrication franco-britannique, entré en service en 1917

Et la pièce maîtresse de cette rétrospective de l’aéronavale portugaise : le Fairey III « Santa Cruz », impeccablement restauré, qui a effectué la première traversée de l’Atlantique Sud aux commandes de deux pilotes portugais en juin 1922. C’est le seul des 964 exemplaires de cet appareil de construction britannique qui subsiste dans le monde.

Si vous voulez économiser le modeste billet d’entrée et quelques heures de sujets maritimes avant d’arriver à ces avions à l’extrémité du musée, vous pouvez aller au Monument des Découvertes. A deux pas se trouve un monument à la gloire de ces aviateurs, avec une réplique assez fidèle en tôle d’acier de leur avion, mais ce n’est pas la même chose.

C’est un peu comme cette œuvre d’art située près de la tour de Belem : ce n’est ni un oiseau, ni un tuk-tuk Piaggio.

Les tuk-tuk Piaggio sont omniprésents dans le centre historique de Lisbonne (et aussi d’autres villes au Portugal). Peu encombrants, très maniables, offrant une vue panoramique aux passagers, ils sont partout

Ils sont malheureusement un peu trop bruyants (j’en ai vu un électrique), et il a fallu mettre des avis spécifiques leur interdisant de pénétrer dans des quartiers trop exigus pour tolérer des véhicules autres que ceux des résidents.

Le tuk-tuk lisboète, c’est un peu comme le tram 28, ici devant la cathédrale : même si on n’est pas monté dedans, on ne peut pas ne pas l’avoir vu.

Lisbonne, ce sont aussi ses miradoures, ou points de vue panoramiques, accessibles gratuitement. Les plus célèbres sont probablement celui de Santa Luzia

… et celui encore plus spectaculaire de Santa Justa, en plein centre ville


D’en bas aussi, le Château St Georges a belle allure au coucher du soleil.

Il y aurait tant et plus à voir à Lisbonne que je préfère arrêter là ce bonus touristique, avant de lasser mes lecteurs. Merci d’avoir eu la patience de me lire jusqu’ici !
Merci pour ce FR.
Couper ces affreuses files d'attente aux aéroports est un des privilèges que j'apprécie le plus grâce au statut.
J'arrive péniblement à 12 au test de la carte du réseau asiatique ST…
L'approche sur LIS est toujours belle lorsque la météo est clémente.
Je remarque que malgré le fait que tu évites d'ordinaire les issues de secours, celle-ci obtient 10 en confort. ;)
A bientôt.
Sur un vol court-courrier, cette priorité est à mes yeux le seul avantage majeur du statut (ou du voyage en classe avant).
Chacun ses zones de prédilection – le choix du cadrage de cette carte n’est pas anodin :)
C’est dans les gros porteurs que je trouve les sièges en issue de secours désagréables : certains n’ont pas de hublot, et il y a souvent un jumpseat de PNC photophobe en face.
Merci pour le commentaire !
Merci.
Quel audace que de s'aventurer dans ces terres ! Pas eu trop de difficulté à s'habituer à déchiffrer les panneaux en caractères latin ?
L'unique avantage d'un matin chargé est de pouvoir passer facilement entre les gouttes des contrôles de poids avant la PIF.
13 sur 72 et ce n'est pas cette années que je vais étoffer cette collection.
Dans la magazine de juillet, il me semble avoir vue une tellière en terre cuite dont tu as parlé dans ta série chinoise. De mémoire c'est une bicolore comme celle du maître potier chez qui tu as passé une journée.
J’ai beaucoup plaisanté pendant ce voyage sur l’insurmontable barrière linguistique de cette langue aux voyelles encombrées de tildes et d’accents.
Dans les magazines de vol, je regarde rarement autre chose que la carte du réseau de la compagnie aérienne, et je n’ai pas vu cette théière.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR avec une petite touche d'humour. J'ajouterai une petite précision: le Terminal 2 de Lis sert uniquement aux départs des low-cost qui arrivent au terminal 1.
Je connaissais cette curieuse asymétrie des départs/arrivées des low-costs à LIS. Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR
Air France fait le job sur cette liaison pour un tarif attractif bien souvent
La nouvelle cabine moyen-courrier à l'air agréable, et même si elle est simple, l’harmonie des couleurs est avenante
Catering classique mais suffisant pour l'heure
D'après ce que j'ai compris, les anneaux jaunes sur les ailes servent à accrocher les toboggans si l'un d'eux se dégonfle lors d'une évacuation d'urgence
A bientôt
Le tarif AF était le moins cher sur Paris-Lisbonne ou Paris-Porto à ces dates là, mais il était plutôt cher en EUR/km, bien qu’acheté six mois à l’avance. Nous sommes d’ailleurs rentrés un samedi, le tarif du retour le dimanche rendant prohibitif le prix de revient de la journée supplémentaire au Portugal.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR,
Catering un peu limite, LH et LX offrant un mini-repas sur les vols vers la cité Lisboète.
Place présidentielle en issue de secours :)
Sintra est magnifique, j'en garde également un très bon souvenir, accessible facilement par train depuis Lisbonne.
A bientôt
PS : la voiture pour visiter Sintra était justifiée par le fait que nous étions logés chez des amis habitant loin de transports en commun. Heureusement que la majorité des visiteurs utilisent ces derniers, car sinon, l'espace pour se garer sur place manquerait très vite.
La place pour les jambes parait d’autant plus importante que celles-ci sont courtes :)
Merci pour le commentaire !
Super report j ai adore ton vol et le bonus touristique cela me rappel bien des souvenirs que j'ai immortalisé dans mon report tres Portugais.J'espere que tu as passer de bon moments là bas tt comme moi :)
Excellent séjour, dans un pays accueillant où le tourisme est facile et les distances courtes entre les nombreux centres d’intérêt culturel.
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce bon FR qui l'a fait sourire, la partie à CDG est drôle.
Bien moins d'aéroports que toi en Asie, mais au moins un en plus celui de Nanchang !;-)
Très beau bonus touristique.
A bientôt
En effet, Nanchang manque à mon tableau de chasse. Il y a des dizaines d’aéroports asiatiques où je n’ai jamais mis les pieds dans la carte des mouvements reportés sur Flight Report.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR ! La collation est un peu simpliste... Sur un vol TAP Paris-Lisbonne, j'ai le souvenir de qqch de plus consistant !
La différence de tarif avec TAP rendait sa collation beaucoup trop chère. En revanche, les LCC n'avaient de low cost que le nom à ces dates là, frais de bagage en soute inclus.
Merci pour le commentaire!
Merci pour ce FR qui confirme que les files sans-dents ne sont malheureusement pas sans-queues.
Marrant ce dialogue de sourds à propos de qui ou quoi est valide. C'est à se demander qui a les compétences linguistiques françaises.
J'ai battu Numéro_2 & frwstar2 au nombre de destinations asiatiques ST: 18.
Superbes photos à l'atterrissage et présentation très originale des monuments et endroits vus à l'arrivée. Mon préféré est Le Monastère des Hiéronymites. J'ai été époustouflé par son architecture.
Merci François pour ce FR toujours aussi bien construit.
Éviter les issues de secours quand on a le choix du siège ne nous a pas formé à ce dialogue au contrôle des BP :)
Le Monastère des Hiéronymites est une splendeur, justement identifiée par l'Unesco comment faisant partie du patrimoine mondial de l'Humanité. Il méritait amplement les trois quarts d'heure de queue pour entrer, mais il est suffisamment vaste pour que l'intérieur ne soit pas bondé, contrairement à la Tour de Bélem qui n'a jamais été conçue pour accueillir des foules et où cela bouchonnait beaucoup.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR:
C'est un plaisir de revoir l'approche de Lisbonne par ce beau temps.
C'est véritable leçon de géographie et d'histoire.
Très beau bonus donnant envie de revisiter cette ville et ses environs.
Lequel de mes profs d'histoire-géo aurait pu imaginer que j'en donnerais un jour des leçons ? :)
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR.
Après les aventures pionnières de décembre, te voilà reparti en conquête de l'Ouest :)
joli FR, impressionnant cette foule à CDG, l'affluence des grandes vacances je suppose.
Vol rendu meilleur par cet extra-pitch et la présence du hublot malgré tout à portée de vue.
A bientôt ;)
L'excuse de la journée de grand départ a bon dos. J'ai le souvenir d'attentes encore plus longues au PIF de CDG, certains jours parfaitement ordinaires.
Merci pour le commentaire !
Merci pour ce FR à l'humour très tongue-in-cheek.
Je m'approche du spécialiste Chine du site pour les destinations asiat d'AF KL mais sans le battre : 34 au total.
Quelle cohue à CDG, voilà pourquoi mes différentes cartes sont si précieuses : ne pas me faire attendre (en d'autre
termes éviter de me faire signifier que ma vie n'a aucune valeur...).
En vol pas de surprise mais l'exit row vaut bien l'attente supplémentaire au débarquement.
Très beaux bonus de Lisbonne l'exotique !
Beau score au concours des destinations Skyteam d'Extrême Orient !
Je dirais plutôt que le PIF de CDG me fait souvent penser que ma vie a de la valeur, mais pas mon temps. Or j'aimerais avoir le temps de vivre ma vie :)
Merci pour le commentaire !
Merci François pour ce reportage exotissime ;)
Difficile de s'extasier sur le produit lui-même, sur le type d'aéronef ou sur les nouveautés de CDG...
Je note néanmoins que la maîtrise de la langue française laisse à désirer chez certains membres du personnel au sol... mais là encore, on le sait depuis longtemps dans toute la société française ; je remarque que tu parviens à spotter malgré la surcharge bagages de cabine due au passage aux stands de Mme ; qu'à défaut d'actionner l'ouverture de l'issue de secours pour t'assurer de ta bonne compréhension des consignes tu as mesuré la largeur du cheminement ; que tu as inauguré un nouveau procédé narratif en phase de d'atterrissage.
Par contre je m'interroge encore sur cette spécificité physiologique que tu nous dévoiles effrontément dans le corps de ton récit : Quand je suis ressorti, la queue s’était encore allongée.
A très bientôt !
J'ai déjà utilisé une fois ce procédé de montrer des monuments vus d'avion et du sol, mais je n'arrive pas à me souvenir dans quel FR :(
Après un énorme éclat de rire, Mme se refuse à commenter ton exégèse scabreuse de ma prose :):)
Merci pour ton commentaire !
Et pan ! Marathon a encore dégainé son mètre ruban, le pas était au moins bon...
Vol classique vers un pays attachant
Magnifique report avec la visite en prime de ce musée et la photo de cet aéroplane près de la tour de Bèlèm
Merci pour ce FR
Le mètre ruban fait désormais de ma pre-flight check list :)
Pourquoi ai-je mis autant de temps avant de passer des vacances au Portugal ?
Merci pour le commentaire !