Avis du vol entre Strasbourg et Ajaccio en classe Economique avec Volotea

Il est 5 heures 30 du matin lorsque je me réveille, mon avion pars dans 3 heures mais je suis tellement impatient de faire mon premier vol (sur un avion de ligne) que je n'arrive pas à dormir. Je descends prendre le petit déjeuner avec les 9 personnes qui m'accompagnent lors de ces vacances dans le sud de la Corse. Voilà le temps de partir jusqu'à l’aéroport de Strasbourg qui se trouve à 10 minutes de mon hôtel. Une fois arrivé, il faut trouver une place de parking (chose pas très facile car peu de place étaient disponibles).
(L'extérieur de l'aéroport)

(L'intérieur de l’aéroport)

Une fois à l’intérieur de l'aéroport, il faut encore faire toutes les choses nécessaires avant d'embarquer dans l'appareil. une fois le parcours du combattant fini, il nous faut encore attendre environ 10 minutes pour que tous les tickets d'embarquements des autres passagers soient validés.
Une femme nous appelle et nous conduit jusqu'à l'avion qui vient d’atterrie il y a environ 10 minutes. Tout était présent comme je l'avais imaginé dans mon lit le matin même, les hôtesses qui nous accueillent à la montée de l'avion (elles étaient d'ailleurs très aimables), le personnel au sol qui s'active pour que l'avion parte sans une seconde de retard… Malheureusement à l’aéroport de départ, les photos sont interdites, alors qu'à Ajaccio pas de problème pour les photos.
Voici venue le temps du démarrage moteur, le bruit fabuleux qu'ils produisent me donne des frissons ! Nous roulons jusqu'à la piste 23 et nous nous alignons. Le stress monte et d'un seul coup, la puissance des moteurs me scotche à mon siège, après quelques secondes on peut sentir l'avion prendre son envole je regarde pas le hublot, les maisons et les arbres devenir de plus en plus petit.
(Lors du démarrage)

(Quelques minutes après le décollage)

Tout le reste du vol se passe à merveille, les hôtesses sont extrêmement serviables et gentilles. Je n'ose pas demander à aller dans le cockpit (ce qui est assez ridicule après réflexion).Une fois la descente amorcée, je suis collé au hublot, à regarder les bateaux qui sont devenus minuscules, je suis tellement fasciné par l'approche pour la piste 20 d'Ajaccio que j'oublie de prendre des photos…Les roues touchèrent le sol et firent freiner l'avion assez rapidement avec les spoilers et l'inversion de poussée. 2 minutes plus tard, nous étions Parker et les moteurs étaient arrêtés. Après 1 heure 30 de vol, je suis sorti de l'avion et je voulais déjà y retourner…
(L'avion sur le parking de l’aéroport d'Ajaccio)