Review of Air Arabia Maroc flight from Rabat to Paris in Economy

N

3O - Air Arabia Maroc

Flight taken on 11 November 2025
3O527
15:35 02h 45m 18:20
Model Airbus A320
Class Economy
Seat 26F
marathon
665 · 116 · 9 · 25

Introduction


Cela aurait dû être un aller-retour Paris – Fès, sur deux compagnies aériennes différentes, Royal Air Maroc et Air Arabia :


Flight routing


Le vol de retour était à 7h10, ce qui piquait un peu les yeux, mais cela allait être indifférent, car à J-43, l’application de notre compagne de voyage nous alerte que le vol de retour serait annulé ?! Effectivement, en allant sur le site d’Air Arabia, nous découvrons que nous avons été reprotégés sur un vol au départ de Rabat dans l’après-midi. Ce n’est que 7 jours plus tard que nous recevons un mail d’Air Arabia nous en informant. Même dans le cadre du Règlement européen 261-2004, aucune indemnisation n’est due si le délai de prévenance est supérieur à deux semaines : tout ce que nous aurions pu faire était de faire annuler le billet, ce qui n’était pas une option.

Voici donc le routing définitif :


Flight routing


Remarquez, vers le Maghreb, LCC ou legacy, même combat : en 2023, AF a annulé notre vol CDG - DJE, en nous reprotégeant sur un CDG - TUN et en refusant de nous rembourser le vol TUN - DJE. Au moins, le trajet Fez - Rabat allait nous coûter nettement moins cher… et être ponctuel, lui ! (cf. ce récit TUN - DJE)

Contrairement à Royal Air Maroc à l’aller, le tarif pour choisir son siège est acceptable : 8 € pour mon hublot, 7€ pour le siège milieu de Madame. AirArabia semble avoir du mal avec l’arithmétique de base, car chez eux, 7 + 8 = 16.


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Et même plus, car 3O y ajoute sans demander notre avis 26 € d’assurance qu’il faut décocher.


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Quand il s’est agi de payer (en fait 15 €, car la facture finale est exacte, au contraire de l’écran initial), rien à faire : la transaction est validée par l’émetteur de ma carte de crédit, mais la validation semble ne pas arriver à 3O. J’essaye une autre carte de crédit, un autre moment de la journée, le recours au chat du site : rien à faire, je n’ai jamais réussi à terminer la transaction, alors que notre compagne de voyage n’a pas eu de problème.

Arrive l’enregistrement en ligne, et bonne surprise : il est possible de choisir gratuitement un siège, et justement, ceux que je voulais (en payant) sont disponibles et réservables à l’OLCI (gratuitement) ! Comprenne qui pourra…


Trajet de la gare centrale de Rabat à son aéroport


Nous faisons le trajet en bus (fort peu rempli en ce milieu de journée) depuis la gare centrale.


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Aperçues à Salé sur le trajet : une fresque signée Mourad Rachendali et la tour Mohammed VI, à ce jour la 3° plus haute d’Afrique.


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Le futur nouveau terminal de l’aéroport


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Le terminal actuellement en service, depuis le bus à son arrivée


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L’arrêt du bus est clairement indiqué


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Le terminal (avec mes excuses aux arabisants – je n’avais pas le recul nécessaire pour avoir l’enseigne en arabe en entier)


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Enregistrement


Le hall landside est bien vide en ce début d’après-midi


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L’attente est quasiment inexistante à l’enregistrement


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Air Arabia Maroc accorde 10 kg en un seul bagage à main, de 20 cm d’épaisseur maxi (ce qui est moins que les 25 cm d’AF, par exemple). Madame avait encore sur elle son très petit et léger sac à dos de promenade, que nous comptions glisser dans mon sac à ordinateur. L’employé l’a réclamé pour peser l’ensemble : pas de problème, moins de 20 kg à nous deux…


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… et a validé comme bagages à main les trois pièces de bagage à main par des étiquettes, bleues pour ce qui serait à glisser sous le siège, verte pour la valise à mettre dans le coffre à bagages. La limite d’une pièce de bagage à main n’était donc pas absolument rigoureuse !
(Souvenir d’un vol Flybe - une low cost britannique aujourd’hui disparue - où une employée avait prétendu que ma banane était un bagage à main…)


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Il nous délivre les BP : le Maroc refuse encore les BP numériques, pour combien de temps encore ? A noter le petit autocollant rouge signalant un siège dans la moitié arrière de l’appareil.


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Les toilettes landside sont propres, mais un réassort dans cette cabine aurait été salutaire.


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Airside


En moins d’un quart d’heure, nous sommes passés airside


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Sur 10 vols au départ de Rabat, il y en a 7 à destination de la France


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En passant le long de boutiques duty-free tout aussi dépourvues d’intérêt que dans un terminal plus moderne, mais gênant beaucoup moins la circulation des PAX


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En porte, c’est encore le calme absolu, d’autant que ce ne sera finalement pas la porte pour notre vol


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Les prises électriques (secteur et USB) sont rares et positionnées uniquement à côté des sièges pour PMR,


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… lesquels doivent avoir du mal à les repérer ou y accéder, selon leur handicap, car elles sont plutôt bien cachées sur le support du siège.


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RBA est un aéroport ouvertement spotter-unfriendly, avec un dépoli masquant le tarmac sur toutes les baies vitrées


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Embarquement


Le terminal en construction, vu depuis la passerelle qu’on n’emprunte que pour accéder à un escalier


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Embarquement à pied


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Il n’y a pas d’orientation des PAX vers le bon escalier, vers l’avant…


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… ou vers l’arrière. Inévitablement, quelques PAX (peu nombreux, certes) ont remonté le flux des PAX dans le couloir central pour atteindre leur siège dans l’autre moitié de l’avion.


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Montée de l’escalier


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Instant porte


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C’est bien un A320, merci de me le rappeler


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La file des PAX embarquant à l’arrière après nous


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Le vol AF est très en retard, ce qui fait qu’il y aura deux A320 à peu près à la même heure sur la même ligne


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Les réacteurs de HB-JZR, un A320ceo Easyjet, sont capotés, ce qui me laisse penser qu’il a fait une pause prolongée ici.


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La cabine d'un A320 Air Arabia Maroc


Entrée dans la cabine


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Le hublot est correctement aligné à mon rang


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Pas de prise USB bien sûr en LCC


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Les sièges ont une aumônière « filet » qui permet de ranger de petites affaires (contrairement à Royal Air Maroc).


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C’est un A320 : la largeur entre accoudoirs est correcte (et supérieure à celle des 737 de RAM)


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Mais le pitch, ouïe ! La distance assise – aumônière est la plus faible que je me souviens avoir mesurée.


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Qui plus est, le dossier peut s’incliner de 10°, ce qui est beaucoup quand le pitch est aussi serré. La PAX assise derrière Madame s’est d’ailleurs poliment émue quand j’ai brièvement abaissé son dossier, le temps de mesurer son inclinaison maximum.


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La carte de sécurité recto-verso


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Le choix du BOB est limité à cette double page


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Mais si on la commande à l’avance, on peut avoir des tagines pour un rapport qualité / prix imbattable (pour un repas en vol) – testé et approuvé par une PAX digne de foi !


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Le PSU standard


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CN-KAS, un Bombardier Global 5000 appartenant à Akwa Group, un conglomérat industriel marocain


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CN-RGR, l’un des E190ER de Royal Air Maroc


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Roulage vers la piste 03


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Arrivée à contre-QFU d’un jet d’affaires


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Dernier aperçu du futur nouveau terminal


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Décollage et montée au Maroc


Les hangars et l’héliport du Groupement Aérien de la Gendarmerie Royale


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Habitat dispersé au nord de RBA


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Un périmètre trop bien clos pour ne pas être militaire, avec sa boule radar à l’extrémité gauche


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Vue générale de Kénitra


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Virage pour passer au-dessus de l’océan, évitant ainsi Kenitra


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Et nouveau virage pour prendre le cap de CDG


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La base aérienne de Kenitra (NNA)
(Pour les boomers : c’est de là qu’ont décollé les F-5 qui tentèrent d’abattre le B727 ramenant de France le roi Hassan II, lors du putsch raté du général Oufkir en 1972)


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Vol le long de la côte


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Larache


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Tanger


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Zoom sur l’aéroport de Tanger-Ibn Battouta (TNG)


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Au centre de la photo, le stade Ibn Battouta
Ibn Battûta (1304 - ~1368) fut un grand explorateur berbère qui serait allé jusqu’en Chine.


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Le détroit de Gibraltar


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Flight-reporteuse détectée en 25F !


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En croisière dans l'espace aérien européen


Extrémité sud de l’Espagne


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Au centre-droit de la photo, Gibraltar, sur lequel s’accrochent des nuages


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Et après avoir outrageusement forcé le contraste, voici la piste de GIB, en travers de l’isthme reliant Gibraltar à La Linea


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Le barrage et le lac artificiel de Barbate


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Extrémité est du lac artificiel de Guadalcacin


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Cordoue sous l’aile, et dans le coin inférieur droit, la centrale thermosolaire La Africana


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Zoom sur Cordoue


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Le niveau du lac artificiel de La Breña est haut


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Voyez la différence avec le même paysage dans Google Earth !
(Cela n’aidait pas à l’identifier…)


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Le lac artificiel de Guadalmellato


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Mood lighting orange dans la cabine


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L’agglomération de Madrid


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Gros plan sur MAD, dans la moitié supérieure de la photo, et la base aérienne de Torrejón au bord supérieur


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La ligne sombre à mi-hauteur est la traînée d’un avion, bien trop loin pour envisager un air-to-air


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Au loin, les panaches de vapeur d’eau de la centrale nucléaire de Civaux


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Poitiers


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Ça se couvre


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Début de la descente, ce qui permet de voir Chartres


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Géographie nocturne de l'Ile-de-France


L’avion contourne l’agglomération parisienne par l’ouest. Avez-vous repéré la Tour Eiffel, au centre-droit de la photo ?


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En vol, on la repère immédiatement, grâce à ses projecteurs rotatifs


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Le serpent lumineux de la N12 au niveau de la Queue-lez-Yvelines


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Virage pour s’aligner sur les pistes de CDG au-dessus du filet lumineux de l’A13, au niveau de Porcheville


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Epône et Mézières-sur-Seine, et toujours l’A13 au premier plan


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La boucle de la Seine à Carrières-sous-Poissy, avec les îles de Vaux et de Platais


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Toujours la Seine, avec la forêt de Saint-Germain-en-Laye à droite, et les installations d’épuration des eaux usées parisiennes d’Achères, au premier plan


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La Tour Eiffel, et le pinceau lumineux de son projecteur (en fait quatre projecteurs) rotatif


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Zoom sur la Tour Eiffel illuminée et scintillante


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La zone de fret à l’extrémité ouest de CDG


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Arrivée à CDG


Toucher à 18h03


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Sans surprise, stationnement au large, à côté d’un A320ceo Vueling


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Débarquement par l’avant


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Et par l’arrière


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L’avion presque entier, depuis le PAXbus
(Contrairement au départ à ORY, il n’y aura aucune contrainte particulière à la prise de photos.)


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TS-INF, un A320ceo Nouvelair


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Une employée oriente les PAX avant la PAF : « Passeports algériens à gauche, passeports français à droite !»
Peut-être serait-il bon de lui apprendre que Rabat n’est pas en Algérie, et que vu l’état des relations algéro-marocaines, il devait y avoir assez peu de citoyens algériens dans cet avion ? Quelques PAX étaient manifestement un peu désorientés, se demandant où ils devaient aller.


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Traversée de la salle de livraison des bagages, déserte


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Et arrivée au quai du RER, où nous aurons un semi-direct pour la Gare du Nord


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Merci de m’avoir lu !


Bonus ferroviaire


Comment faire pour rejoindre RBA, quand on comptait partir de FEZ ? Le train était de loin la meilleure option

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Tourism bonus

travel illustration

marathon invites you to continue reading with the tourism bonus section below :

Product ratings

Airline

Air Arabia Maroc 7.3

  • Cabin6.0 / 10
  • Cabin crew8.0 / 10
  • Entertainment/wifi6.0 / 10
  • Buy-on-board menu9.0 / 10
Departure airport

Rabat - RBA8.8

  • Efficiency9.0 / 10
  • Access8.0 / 10
  • Services8.0 / 10
  • Cleanliness10.0 / 10
Arrival Airport

Paris - CDG7.9

  • Efficiency8.0 / 10
  • Access7.5 / 10
  • Services6.0 / 10
  • Cleanliness10.0 / 10

Conclusion

Air Arabia Maroc case 31 rangs dans un A320 où Air France n'en place que 29 (car il n'y a pas de rang 13) : forcément, le pitch est à déconseiller aux PAX de grande taille ! Pas de prise USB ou de magazine de vol, mais le choix du hublot était à un tarif très raisonnable. Le BOB offre peu de choix, mais son rapport qualité-prix est excellent. Pour 60 € par personne, pourquoi payer plus cher ?

Le terminal de RBA est un peu vieillot, mais il fait le job, de même que la desserte par bus, aux horaires incertains.

Un mauvais point à CDG pour une employée qui aurait mieux fait de se taire plutôt que d'étaler son ignorance de l'origine du vol, ou de la géographie, voire des deux. Je pénalise moins qu'autrefois l'accessibilité de CDG pour cause de train semi-direct (en heure creuse) et parce qu'on peut désormais faire l'impasse de l'achat du billet au distributeur, en utilisant son téléphone ou son passe de transport favori de Francilien. Dommage quand même ne pas avoir mis en place de tap and go (paiement par carte de crédit directement au portillon) comme dans tant d'autres métropoles européennes.

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Comments (9)

  • Merci pour ce FR, très détaillé et bien informé!

  • Merci pour ce report bien détaillé.

    Incroyable cette histoire de 8 + 7 = 16 mais qui au bout du compte font 0. Tant mieux.

    Je n’avais pas autant eu de mal à réserver un siège quand j’avais fait Tanger - Lyon avec la même compagnie.

    J’avais également réservé un « repas » à bord sans difficulté. Leur système de réservation a peut-être été changé et s’est dégradé.

    Il y a un problème dans l’ordonnancement des photos, ou dans la désignation de la centrale nucléaire. Je pense que c’est celle de Civaux, située au sud de Poitiers car celle de Saint-Laurent-des-Eaux est située entre Blois et Orléans, dans le Loir-et-Cher, donc plus au nord.

    Très bonne option que d’avoir pris le train, qui fonctionne très bien au Maroc, en plus d’être bon marché. Le réseau est cadencé ce qui facilite le voyage. Le type de locomotive E-1400 est du type Prima II. Il n’y a que le Maroc qui en a acheté d’ailleurs…

    Bons vols

    • Je n’avais pas autant eu de mal à réserver un siège quand j’avais fait Tanger - Lyon avec la même compagnie.

      Très étrange; heureusement que l'achat des billets eux-mêmes a été sans difficulté (il m'est arrivé d'échouer à acheter en ligne des billets d'avion sur un LCC un peu exotique).

      La propension de certains LCC a cocher par défaut des cases d'options payantes est agaçante.

      Il y a un problème dans l’ordonnancement des photos, ou dans la désignation de la centrale nucléaire. Je pense que c’est celle de Civaux, située au sud de Poitiers car celle de Saint-Laurent-des-Eaux est située entre Blois et Orléans, dans le Loir-et-Cher, donc plus au nord.

      J'avais pensé à St Laurent-des-Eaux pendant le vol, constaté en préparant ce FR que c'était Civaux, et quand même tapé St Laurent-des-Eaux 😳. Intrigant blocage mental... j'ai corrigé !

      Très bonne option que d’avoir pris le train, qui fonctionne très bien au Maroc, en plus d’être bon marché. Le réseau est cadencé ce qui facilite le voyage. Le type de locomotive E-1400 est du type Prima II. Il n’y a que le Maroc qui en a acheté d’ailleurs…

      Le design me rappelait un peu les BB 26000 "Sybic"; Wikipédia m'a appris que c'en était une descendance.

      Nous avons eu plus de sommeil, et avons eu l'occasion de découvrir cette option au Maroc, au prix d'un retour au domicile beaucoup plus tardif. Au total, le bilan de l'annulation du vol initial est assez équilibré.

      Merci pour le commentaire, bons vols !

  • Merci pour ce FR 😊

    Donc un trajet tracté par une Prima II dans une A9 VSE de la SNCF revendue à l’ONCF ? Le reste de la rame est composée de VU/VTU ex-SNCF…

    Pour ce qui est du tap and go, remercions la CNIL qui y a mis son veto dans les années 90 car le banquier aurait pu connaître nos trajets. On a juste pris 30 ans de retard en Île-de-France a cause de cela... Le tap and go n’est accepté que dans Roissybus ☹

    • Le reste de la rame est composée de VU/VTU ex-SNCF…

      En effet, l'aménagement de cette voiture me rappelait des souvenirs de jeunesse 😜

      Pour ce qui est du tap and go, remercions la CNIL qui y a mis son veto dans les années 90 car le banquier aurait pu connaître nos trajets.

      J'ai en effet ouï dire que c'était un problème lié au RGPD, merci pour le complément d'information.

      Merci pour le commentaire, toujours aussi informatif !

  • RBA est un aéroport ouvertement spotter-unfriendly, avec un dépoli masquant le tarmac sur toutes les baies vitrées

    Je pense que les vitres sont obscures pour des raisons de sécurité, parce que l'aéroport est également une base militaire. Des avions militaires et gouvernementaux y sont stationnés, ainsi que les avions du roi.

    • Bien vu (sans jeu de mot) !

      J'ai le lointain souvenir d'un aéroport asiatique dont la terrasse d'observation était équipé de vitres à "dépoli directionnel", floutant tout dans la direction de la base aérienne située à une extrémité du périmètre aéroportuaire.

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