Vacances au Brésil
A l'occasion de mon anniversaire, je me suis offert un séjour au Brésil en cabine La Première d'Air France vers Sao Paulo.
J'en ai profité pour visiter les incontournables, redoutables et merveilleuses chutes d'Iguaçu (Brésil) et d'Iguazu (Argentine) !
Puis avant de rejoindre Rio, un passage presque obligé vers Brasilia m'aura permis de connaitre la capitale du Brésil.
Il est temps maintenant de rejoindre la ville carte postale : Rio
Le routing (au fur et à mesure) :
Flight routing
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- 6
- 7G31722 - Economique - Brasilia - Rio de Janeiro - Boeing 737-700
BSB
Brasilia est une ville prévue pour la voiture ; et c'est donc en Uber que je rejoins BSB.
Le chauffeur me dépose devant l'entrée GOL
Je ne sais pas si le mot "entrée" est approprié car le terminal est ouvert aux 4 vents ! En fait il fait chaud toute l'année à Brasilia. Ce très large toit protège le terminal contre les rayons du soleil, voire de l'éventuelle pluie.
L'espace "intérieur" est vaste et ce n'est pas la foule des grands jours.
Il y a des comptoirs "Premium". Une hôtesse vérifie les statuts.
Le logo AF/KL est présent mais je ne comprends pas la mention "First Class - Business Class - Premium Economy". Ce sont plutôt les pax Elite+ ce AF/KL qui sont concernées.
Il y a un groupe qui monopolise le seul comptoir Premium - ils ont visiblement un problème dans leur réservation - et ça n'avance pas. Ça commence à grogner derrière moi !
La file non prioritaire avance plus vite.
Finalement nous sommes dirigés vers un comptoir non prioritaire ajouté en renfort.
Tarifs pour enregistrer un bagage. Mais ayant un statut AF, le bagage est gratuit pour moi.
BP (très très fin) en main, je peux me diriger vers le PIF.
Il y a un contrôle du BP avant cette rampe.
Le PIF est passé sans délai et me voici airside. Le terminal est bas de plafond et semble ancien.
L'achat d'une bouteille d'eau prendra un temps fou car je paie avec un billet d'équivalent de 15 € et le commerçant n'a pas de monnaie. Il ira dans une autre boutique pour trouver de la monnaie. En effet, au Brésil tout se paie en carte bancaire, y compris des bouteilles d'eau à 50 centimes, y compris dans les kiosques de rues ou de plage. Oui, partout !
un petit coup d’œil dehors où c'est calme. Le terminal sur la gauche semble plus moderne.
Puis je traverse un couloir pour aller vers les portes 1 à 21. je devine qu'on passe d'un bâtiment (ancien), à celui plus récent et moderne.
C'est le cas.
Il y a un salon à l'étage.
Et j'arrive à ma porte, la n° 10.
Il est un peu tôt et il n'y a pas de siège pour s'assoir devant la porte. je parts donc m'assoir un peu plus loin. Je profite de ce temps d'attente pour converser, via Watzap, avec mon ami Gben où je lui raconte le déroulé de mon périple.
GOL est toujours à l'heure pour ses embarquement. Un peu avant l'heure prévue je rejoint la porte.
Mon destrier est bien là.
Il n'y a pas foule devant la porte ; pourtant le vol sera complet.
Instants porte et fuselage shot.
Le vol
Me voici à bord en 04A. La Premium comprend les 5 premières rangées.
Le pas (stisse) est excellent.
La notice.
Notre beau voisin.
Embarquement terminé ; la passerelle est retirée.
Et on repousse, avec vue sur le terminal plus ancien et le plus récent.
On passe devant des carcasses d'avions.
Et on rejoint la piste.
On attendra plus de 10 mn au seuil de piste… à cause de celui-là.
C'est enfin à nous.
C'est parti.
Brasilia au loin.
Forêt et paysages au sud de Brasilia.
Secteurs résidentiels non encore achevés.
On jongle entre les cumulus.
Il y a de très nombreux cercles de culture.
La prestation : toujours des chips de patates douces.
Les paysage changent et son montagneux.
En approche de Rio.
Ici aussi la banlieue apparait immense.
Aéroport international de Rio de Janeiro-Campo dos Afonsos
En approche de GIG.
L'île du gouverneur où se trouve l'aéroport de GIG.
Et en finale pour Santos Dumont.
Le pont Rio-Niterói (officiellement pont Presidente Costa e Silva) traverse la baie de Guanabara.
Va t-on atterrir dans l'eau ?!
Posé. Le freinage est pour le moins….viril ! et pour cause, la piste ne fait que 1 323 mètres. C'est tout juste si je n'ai pas cogné dans le siège de devant !
Le paysage est fabuleux avec le Pain de sucre, tout de suite identifiable, en fond de piste.
On rejoint le terminal.
Dernier virage.
Pour les avions qui décollent, c'est tout de suite virage à gauche
Le terminal est…..un tube étroit !
La signalétique est efficace.
Il fait 27° mais malheureusement ça ne va pas durer.
Les indices boursiers…
Et les indications pour Uber, que je n'ai pas suivi, ce qui me vaudra d'aller dans le sens opposé !
La salle de livraison bagages est minuscule avec un seul minuscule tapis !
Et me voici landside.
Un vaste et vide hall.
qui donne sur la piste.
Une fois trouvé le point de rendez-vous Uber, ce sera la cohue.
Et une quinzaine de minutes de route après, je serai au Grand Mercure Copacabana !
Le vol selon FR24
Départ de BSB
Arrivée à SDU
Merci Patou pour le partage !
Le concept ciel ouvert est toujours chouette, il me semble que c'est pareil à DPS, du moins jusqu'à la partie airside.
La prestation GOL est solide, ce report le prouve une nouvelle foit.
SDU est impressionnant mais moins que CGH.
Quel bonus, superbe de bout en bout, mention spéciale pour la tempête et la promenade dans la favela.
A très vite !
Merci pur ce report Patrick.
Le comptoir prémium est à utiliser pour les pax AF/KL ayant un vol on continuation en W ou en J, voire en P du coup ; mais en effet les encartés Elite+ peuvent s'y rendre aussi même en éco.
Les premiers rangs apportent un grand espace supplémentaire.
Petite collation correcte pour la durée du vol.
SDU est superbe, dommage pour le mauvais côté mais c'est sympa au dégagement de piste.
J'avoue que ces photos du pain de sucre de nuit sont sublimes ! Un beau séjour brésilien.