Review of Qatar Airways flight from Sofia to Doha in Business

Après le vol de préacheminement, voici le premier élément concret de ce nouveau routing dont voici les statistiques en brut, pour changer de l'introduction fleuve :)

- 9 aéroports traversés et 10 salons reportés
- 6 compagnies aériennes empruntées (dont 2 nouvelles pour moi) au sein des 3 alliances majeures
- 8 appareils différents (et encore je ne sépare pas (j'en serais bien incapable) les variations mineures)
- 1812 euros dépensés (1859€ de billets et taxes moins 47€ de cashback lors des réservations)
- 20.500 miles prime Flying Blue dépensés, 23.100 points Atmos (Alaska Airlines) gagnés et 240 miles Miles & More (Lufthansa) gagnés
- 35.584 kilomètres parcourus pour 8,5 tonnes de Co2 émises

Le routing se résumant ainsi :

Nous avons passé la nuit au Radisson de Sofia, qui à l'avantage d'offrir un service de chauffeur privé (et pas juste une navette) gratuit à l'arrivée et au départ.

Sinon, l'aéroport de Sofia est proche du centre et très bien connecté avec taxis, bus, métro et même parking vélo au même endroit !

Notre vol pour Doha détonne un peu au milieu de destinations principalement européennes.

L'enregistrement en ligne n'était pas possible (comme souvent sur un billet en open-jaw, le système n'arrive pas à déterminer le nombre de jour sur place à l'arrivée puisqu'il ne trouve pas de retour du même pays, ce qui déclenche un contrôle de visa) mais la formalité est expédiée rapidement au guichet.

Direction l'étage ensuite pour les contrôles de sécurité, et là il faut prendre son mal en patience, surtout qu'il n'existe aucun passage prioritaire.

L'aéroport propose un seul salon où toutes les compagnies ont rendez-vous. Nous nous posons juste le temps d'attendre notre vol. Si vous voulez une couverture plus exhaustive, vous pouvez reprendre mon FR précédent depuis SOF.

Nous embarquons ensuite du bout du terminal, où se trouvent les 4 portes dédiées aux vols hors Schenghen.

Embarquement par files dédiées mais bien sûr, une seule nourrice rejoint ce petit module.

La cabine Business propose seulement 12 sièges, en 4 de front.

C'est un siège qui propose un flat-bed, mais pas de full-access.

Pour être honnête, c'est un espace très confortable pour un vol de jour, mais même avec le lit plat, je ne vois pas dormir correctement avec cet ottoman où je ne pourrais même pas glisser les deux pieds.

Un verre d'accueil est proposé pendant l'embarquement, il est proposé et servi au siège.

Le menu pour ce vol. Cela semble pas mal, mais notre steward nous prévient que les options "Fish" (donc les crevettes en entrée et le cabillaud en plat) ne sont pas chargés, sans plus d'explication mais probablement dû à l'appareil.

Diffusion des consignes de sécurité et nous repoussons à l'heure.

Et c'est parti pour un peu plus de 4 heures de vol.

L'apéritif est proposé en début de vol et le repas dans la foulée, que nous optons pour le dine-on-demand et un service plutôt en fin de vol.

A la santé des FRistes !

Je commence donc par un film. Le casque est correct, la sélection de films également mais bien moins fournie que sur les gros porteurs que nous aurons ensuite. La réactivité de l'écran est nulle, il vaut mieux tout faire à la télécommande qu'utiliser la dalle tactile.

Le vol se déroule tranquillement. J'en profite pour aller faire une petit tour derrière pour me dégourdir les jambes.

Forcément, c'est un beaucoup plus "petit" tour que sur 77W ^^

Puis retour à mon siège. Nous donnons le top-départ pour notre dîner, et relançons un apéritif le temps de sa préparation.

Nous survolons l'Iraq à ce moment là.

La table est dressée. Les experts sauront-ils trouver les quelques différences qui existent avec le dressage sur un gros porteur ;) ?

A défaut de présence du poisson, je prends les mezze qui s'avèrent très bons et copieux. Mon ami goutera au velouté, sans grand intérêt.

Côté plat, je prends les viandes grillées orientales qui complètent bien mon entrée.

Mon ami opte pour les tortellini, qui sont très élégamment présentées, mais qui ne sont absolument pas à la sauce Alfredo qu'indique le menu. Elles demeurent pour autant bonnes.

Notre steward revient pour débarasser en demandant, un peu gêné, s'il peut nous proposer quoi que ce soit à boire pour terminer, car il n'y a de toute façon plus aucun dessert. Je le rassure en indiquant que j'aurais de toute façon décliné, ce qui libère un peu sa parole et nous pourrons échanger sur les chargements (j'apprendrai donc que seulement 8 desserts sont chargés pour 12 passagers).

Puis la cabine est préparée pour l'arrivée à Doha.

Pas mal de correspondances annoncées, mais nous resterons 3 jours en stop-over[/i) avant de continuer.

Arrivée en porte, débarquement rapide, immigration par le salon d'arrivée dédié et nous rejoidrons notre hôtel en métro !

A bientôt !