Review of Saudia flight from Jakarta to Jeddah in Business

Bonjour à toutes et tous,

Après un excellent séjour passé à Bali, il est l'heure de rentrer à la maison. Lors de la préparation du voyage, j'ai opté de passer 24 heures à Jakarta, afin d'éviter le stress d'un transit le jour même, pouvant virer au cauchemar en cas de retard important du vol en provenance de DPS.

Cette petite halte dans l'ex Batavia, nous aura permis de visiter le vieux Jakarta, et de manger un gâteau lors du tea team, dans le café à la mode dans le quartier, " Le Batavia".

Suite du routing concernant les vols retour vers le vieux continent, en transitant via l'Arabie Saoudite et l' Afrique du Nord.

Arrivée à CGK Terminal 3

Nous quittons l'hôtel sous la pluie 3 heures 30 avant le décollage, Contrairement à la veille la circulation est fluide, le driver nous dépose devant le Terminal 3, une vingtaine de minutes plus tard.

Le bâtiment respire la nouveauté, il est le dernier né de la plateforme jakartanaise.

Les comptoirs de Saudia se situent près de la porte N°2

Il est possible d'obtenir des infos sur les vols avant d'entrer dans le Terminal.

C'est parti pour un nouveau voyage !

Les banques d'enregistrement SV se trouvent devant l'accès au bâtiment, une aubaine.

Depuis Jakarta, les vols de la Major saoudienne vers Jeddah sont majoritairement empruntés par les pèlerins se rendant à la Mecque…

L'enregistrement

Une employée se tient devant l'accès aux files prioritaires, elle nous laisse passer après nous avoir posé la question : " Vous voyagez en Business Class ? "

Arrivé devant le comptoir, l'agente nous prend en charge immédiatement, cette dernière est professionnelle sans être très chaleureuse, ma valise ne dépasse pas 20 Kg, celle de ma fille atteint péniblement 14 kilos.

Nous quittons ces lieux bondés et nous rendons vers les espaces du PIF et de la PAF.

L'aérogare est conviviale avec une ambiance feutrée, malgré la foule environnante.

Contrairement à Tunis, ici il existe ici un fast track.

CGK airside

Les deux étapes sont passées rapidement, la Police de l'air et des frontières se déroule via les Parafes locaux, aucune attente puisque tous les portillons sont ouverts, en revanche les aficionados des tampons en sont pour leurs frais…

Il faut redescendre au rez de chaussée pour atteindre le concourse des départs, un immense food court est disponible à l'entresol.

Les gigantesques baies vitrées permettent une belle vue sur le tarmac, toujours en proie aux intempéries à ce moment.

Ma fille veut "claquer" se qui lui reste de Roupies, elle trouve facilement son bonheur dans cette boutique.

L'aérogare est immense, nous sommes à la recherche du salon !

Sur les conseils d'une commerçante, d'après elle Il est possible de héler un caddy afin de nous rendre au pied du lounge.

Ce que nous ne nous privons pas de faire…

Le jeune conducteur nous dépose près des escaliers, étonnement le transport hectométrique est en fonction dans le sens de la descente !

Salon Garuda International Lounge

La jeune fille de l’accueil nous reçoit avec empathie.

La maquette de cet Airbus A330 aux couleurs de l’alliance Sky Team, est exposée à l’entrée du lounge.

Les lieux offrent de beaux espaces afin de se relaxer.

Cette petite salle est réservé aux enfants, parfaite pour le couple Marathon et leur petit fils d’ici quelques années.

La pièce est disposée tout en longueur, l’ambiance lors de notre passage est resté feutré.

La vue depuis la mezzanine sur les commerces et le t’armas est interessante.

Le salon se prolonge après le bar, et le personnel est très sympathique. Il est possible de commander diverses boissons alcoolisées ou non.

Vaisselle que l’on doit retrouver dans les cabines First des Boeing B777 de Garuda.

Ces objets exposés sont en vente à l’accueil.

Quelques sites emblématiques de pays desservis par GA, et façonnés en chocolat, miam ! Trônent derrière cette vitre, on reconnaît entre autres: L’opéra de Sydney, l’ersatz de Tour Eiffel tokyoïte, un moulin hollandais…

Je commence à avoir la fringale et un large tour du buffet s’impose. Ici, de quoi se confectionner une soupe chinoise.

Des fruits considérés comme “exotiques” par les asiatiques.

Ananas, melon et pastèque.

Le coin des pains et pâtisseries.

Salade bar, sandwiches et hamburgers.

Plusieurs plats chauds sous cloches.

Deux autres marmites de potage, ainsi que des chips et autres amuses gueules.

La zone des boissons softs.

Ma sélection.

Le sésame concernant le prochain vol.

Sur le chemin de la porte d’embarquement

Nous quittons cet agréable lounge une dizaine de minutes avant l’embarquement théorique, un peu de marche nous fera du bien et laissera les conducteurs de caddy au repos.

La porte est située au fond de la jetée.

Les passagers attendent patiemment dans le calme que sonne l’heure des jours anciens, et je pleure.

un Airbus A350 de Qatar en attente de repoussage avant de rentrer à Doha.

Notre gros coucou est en place et toujours en cours de chargement.

Grand dépôt de conteneurs, le concourse transversal accueille deux compagnies locales.

L’embarquement

Si la file prioritaire est déjà occupée, ce n’est pas le cas des autres queues.

Nous nous plaçons à la suite des pax éligibles, l’embarquement va commencer.

Direction la première passerelle fixe et vitrée.

Bifurcation à gauche vers le finger réservé aux heureux élus de la Business Class.

Deuxième passerelle à emprunter, cette dernière est mobile…

… Avec une belle vue sur le flamboyant Terminal 3 de CGK.

Instant porte mais sans fuselage shoot.

La vie à bord

Une fois de plus l’accueil à bord par la Cheffe de Cabine est remarquable. Nous retrouvons la mini cabine de la Classe Affaires du B777-300ER appartenant à Saudia.

Mon siège armé d’une couette et d’un oreiller pour les 9h40 de vol à venir.

La couverture est présenté sous blister, ce qui n’est pas le cas du coussin.

Le pas(racétamol), est forcément confortable.

Cette mini tablette cachée sous l’écran est destiné à accueillir lunettes, téléphones et petits objets peu encombrants.

L’écran de l’IFE s’avère de bonne taille. Les programmes sont déjà disponibles.

Quelques rangements sont situés sous l’accoudoir central, on y trouve la fiche sécurité et le sac vomitoire, mais aussi la zappette pas forcément bien placée !

La tablette commune aux deux sièges est assez grande pour faire de la place pour deux verres et deux ramequins de contenant noix et amendes.

Les platines des boutons attribués au fonctionnement des sièges sont elles parfaitement situées.

Un autre petit espace entre les dossiers des fauteuils, accueille l’étui du casque et une bouteille d’eau destinée à la passagère assise côté couloir, en l’occurrence ma fille.

On trouve côté hublot le même agencement, avec un contenu identique plus des prises. La liseuse est incrustée dans la coque du siège.

Le casque semble de bonne facture.

Accoudoir mobile à gauche, pratique lorsque le fauteuil se transforme en lit.

Prises zé liseuse, chacune dans leur espace.

Le plafonnier reste dépouillé, seules les lampes principales le garnisse.

La bonne hauteur des coffres à bagages permet de ne pas se cogner la tête en se levant, je parle égoïstement des personnes de grande taille.

Presentation de la fiche sécurité et du sac vomito.

La trousse de confort vient d’être remise par un membre de l’équipage, elle est différente de celle distribuée lors du vol aller.

Son contenu est convenable, il manque cependant un stylo.

Suit un oshibori rafraîchissant…

… Ainsi que “ le verre de bienvenue “, nous choisissons un succulent jus de fraise.

Dehors le crépuscule pointe son nez entre les 2 passerelles, l’embarquement concernant les pax de la classe économie prends du temps.

Patron le menu !

Le menu est distribué quelques minutes plus tard.

On retrouve une carte faisant une belle part au produits orientaux, ainsi qu’aux spécialités saoudiennes.

Ça y est, les fingers se retirent vers leur base.

Le programme des distractions va faire place …

… Aux consignes de sécurité, diffusées en anglais et en arabe.

Suit invariablement la traditionnelle prière, avec en fond sonore une voix masculine tout droit venue du ciel.

Nous repoussons avec 40 minutes de retard…

Le vol

Il va s’en dire que CGK est immense, le taxi sera long.

Passage devant un hangar avant d’atteindre la piste.

Court point fixe avant le rugissement des réacteurs.

Et c’est parti !

Ambiance psychédélique…

Les lumières de la ville s’étalent.

Jakarta déploie son immensité sous les ailes.

Dernier port avant de survoler la pleine mer.

Nous longeons la côte pendant un bon moment.

A table !

Un service d’apéritif sans alcool est mis en place une vingtaine de minutes après le décollage, j’ai choisi la limonade pour accompagner les noix et amendes. Le personnel est très attentionné et á l’écoute, c’est toujours bien perçu.

Pour le repas je sélectionne le menu saoudien.

Entrée fraîche, pains traditionnels, sauce tomate, je carbure à l’eau pétillante…

Chaussons fourrés aux légumes.

Pains et une excellente sauce tomate.

Poulet Kansa, la portion est généreuse et le plat très appétissant.

Une glace au chocolat conclue la prestation, la présentation est à la hauteur de mes attentes.

Les couverts sont évidement en métal.

Seconde limonade pour faire descendre ce copieux dîner.

Nous survolons le sud de l’Inde lorsque se termine les agapes.

Passage aux toilettes avant de visionner un deuxième film, les sanitaires sont de bonne taille, et on n’oublie pas Katia pour autant.

Je rappelle qu’il s’agit d’un vol de jour ! La suite du voyage se poursuit sans encombres et avec peu de turbulences, l’approche vers Jeddah est impressionnante.

En finale…

Bien le bonsoir Madame la Tour de contrôle, nous atterrissons avec un quart d’heure de retard.

Pour une fois le roulage ne prends pas trop de temps.

Nous stationnons au contact, á coté d’un membre de la famille SV.

Le débarquement

La porte est ouverte rapidement, la prise de congé par le personnel est tout aussi délicate que le service effectué lors de cet agréable vol.

Les distances sont longues á JED.

Le décor place tout de suite le voyageur dans l’ambiance du pays hôte.

Encore un couloir á franchir.

Avant que la zone de transit n’apparaisse.

Les scans sont passés rapidement, une seule personne devant nous. Les employés ne sont vraiment pas du tout aimable, quel accueil déplorable ! Nous voici quelques instants plus tard dans la rotonde abritant le duty-free…

… Mais aussi l’AEROTEL ou nous passerons six heures… Pas mal de monde á la réception, dont une famille française comme nous, en transit.

Merci de m’avoir lu, à bientôt pour la suite.