Review of Transavia flight from Split to Paris in Economy

Bonjour à tous chers lecteurs.

Après une semaine pour le moins agréable en Croatie, sur les bords de l’Adriatique ainsi qu’une rapide virée dans mon pays de cœur la Bosnie-Herzégovine à Mostar, il est déjà temps de rentrer en France puisque c’est la rentrée pour les enfants mais pas tout à fait encore pour les parents.

Huit petites minutes de retard sont annoncées, les choses se présentent bien. Les derniers espoirs de toucher un A320neo s'envolent…

Et rappel du simplisme routing.

Un van nous conduira de Podaca directement à l’aéroport de Split sur de magnifiques routes côtières et montagneuses. Nous sommes déposés au pied du terminal.

L’aéroport de Split

Comme vous pouvez le voir, des navettes bus rejoignent le centre de la ville pour 8 euros. Ce n’est vraiment pas donné.

Même si à l’aller j’avais pu découvrir une bonne partie des installations, la confortable avance avec laquelle nous sommes arrivés me permettra d’approfondir mes connaissances.

À ce stade, notre vol est annoncé à l’heure. Je dis bien à ce stade.

C'est une première pour moi je crois : il n'y a pas de comptoirs dédiés à une compagnie. On se présente où on veut et les agents enregistrent pour tous les départs de la période.

Comme chacun le sait, "svi letovi" signifie "tous les vols".

Le hall principal n'est pas surchargé en ce dimanche 31 août. En tout cas, il est très lumineux.

J'aime bien ce hall, clair, moderne, aéré.

Passage par les toilettes, fort propres.

Il reste du temps à tuer, normalement assez peu, mais les choses vont se gâter. En attendant, dernière ration de Karlovačko pivo avant le retour en France où le verre rappelle déjà des houblons plus courants sous nos contrées.

Petite séance de spotting côté landside. Cet Embraer 190 aux couleurs de Hop Air France se prépare à rejoindre Paris CDG, vol AF 1015. Il s’agit de l’exemplaire F-HBQC qui vient juste d’intégrer la flotte ; auparavant, il volait pour KLM Cityhopper.

Austrian et son A320 OE-LBQ sur le vol OS 1746 pour Vienne.

Puis nous allons passer airside, ce sera déjà ça de fait. Ça me permettra de spotter un peu plus.

Invitation au voyage.

Puis il faut passer à l'étage supérieur.

Départ estimé à 20 h 15 désormais.

Du côté de FR24, ça se dégrade encore.

La faute n'est pas à mettre sur les épaules de la compagnie mais plutôt de la météo. Des cellules orageuses perturbent le trafic dans le sud parisien.

Le passage du PIF sera d'une bonne fluidité et bien organisé - un sans faute. Pour rappel, il n'y a plus de passage de la PAF, la Croatie étant entrée dans l'espace Schengen depuis le 1er janvier 2023.

Au moins ici, le passage par le duty free n’a pas de caractère obligatoire.

La salle d'attente est lumineuse mais largement saturée.

Les places sont chères. Elles sont dotées de prises 230 V et de ports USB.

Pour les vols sortants de la zone Schengen, les comptoirs de la police.

Spotting contrarié

Le vitrage de l'aéroport est comment dire… un véritable cauchemar pour les photographes : pour réduire les effets du soleil, les surfaces vitrées sont mouchetées. Ajoutons à cela le fait qu'elles n'aient pas vu la raclette d'un laveur de vitre depuis un bon moment. C'est donc un véritable casse-tête pour essayer de faire quelques clichés montrables.

Voici quand même le fruit de mes "travaux". Je n'ai pas retraité les photos de quelque manière que ce soit.

On commence par une vieille connaissance, puisque c'est le même appareil (D-AICR) que j'ai vu dimanche dernier, sur la même rotation. On voit donc ici le vol DE 1152 en provenance de Düsseldorf et qui repartira dans un moment dans le sens opposé, sur l'indicatif 1153.

Ce Dash 8-Q400 croate (9A-CQD) s'en va vers Munich, vol OU 430.

Même compagnie, mais le format au-dessus avec cet A319 9A-CTH qui arrive de Rome (FCO), vol OU 381. En octobre 2022, j'avais eu l'insigne honneur de voler à son bord de Paris à Zagreb.

En provenance d'Édimbourg, le vol LS 783, sans doute peu rempli, va par contre bien se remplir pour son retour en Écosse. Boeing 737-800 G-JZHZ.

Et un dernier pour la route, tant attendu par ma famille mais aussi par bien d'autres. Le Boeing 737-800 F-HTVN en provenance de Paris-Orly, vol TO 4218.

Cet appareil a donc volé aussi sous les couleurs de la compagnie indienne Spicejet.

C'est enfin l'heure du retour

Le retard s'est encore un peu plus aggravé.

Puis le signal de départ est envoyé, avec respect des priorités.

Je tente encore quelques clichés, de nuit, mais sans trépied. L'exercice n'est pas simple. On commence avec cet A319 D-AGWK d'une des trop nombreuses filiales du groupe Lufthansa qui s'apprête à partir vers Stuttgart, vol EW 2969 bien en retard lui aussi.

Le Dash 8-Q400 9A-CQC de la compagnie Croatia embarque ses passagers pour Zagreb, vol OU 659.

L'A319 EC-MUX va retourner à Nantes qui a été sa base jusqu'au 22 septembre, vol V7 2245.

Et bien sûr notre coucou du soir.

Instant dérive.

Et instants pré-embarquement.

À bord

Accueil sympathique en porte et direction mon siège.

Que voici. Je n’aime définitivement pas ce coloris.

Ma vue sur le plongeoir.

Le pas, toujours bien réduit. Ce 737-800 peut accueillir 189 passagers.

Un PSU dans son jus.

Une tablette généreuse.

Le contenu de la pochette.

La safety card aux dimensions un peu déroutantes.

L’embarquement se poursuit. Difficile de gagner du temps avec cet appareil qui sera au complet.

Photo prise par ma fille qui l'a prise car on voyait le cockpit. Mouais. Je la publie car c'était une gentille attention de sa part. #futurflightrepoter

Vol de nuit

Puis débute enfin le taxiing.

Nous nous rendons au seuil de piste de la 05.

Le vol se déroule sans encombre, le ciel est bien couvert, mais il laisse parfois se dévoiler le sol pour offrir à mon regard les installations aéroportuaires de Venise ou de Milan-Malpensa.

À bord, le service va commencer, 

Le réseau de la compagnie, avec fort logiquement une dominante loisirs.

Déjà 23 A320neo !

Même si nous n'avons rien commandé, nous avons échangé quelques mots avec les sympathiques PNC. C'est le dernier vol de la journée mais aussi de la décade avec trois nuits de découché (Malaga, Alger et Faro). Bigre ! Pas forcément la vie rêvée. 

Quand je sortais quelque chose de la pochette, je me retrouvais avec de la poudre blanche sur le futal. Il s'agissait du fait d'un passager peu scrupuleux qui n'a rien trouvé de mieux que d'ouvrir deux ou trois sachets de sucre dans la pochette. J'ai avisé le personnel qui s'est excusé. Je leur ai dit que je ne cherchais pas d'excuses mais que je voulais juste que l'information soit transmise aux services concernés.

Un dimanche à Orly

Elle était facile à placer celle-là, mais voilà, ce n'est que la deuxième fois que je vais à Orly un dimanche. La dernière fois, c'était la semaine dernière, mais je n'y avais pas pensé.

Nous voilà donc arrivés à bon port après avoir été bien secoués dans les dernières minutes du vol.

Et comme à la messe, tout le monde se lève.

Direction le carrousel à bagages.

Donc on monte…

Pour redescendre.

Une pub pour Rolex. Ça me fait penser que je viens d’avoir 50 ans et que je n’ai toujours pas cette breloque. Je n'ai pas réussi ma vie.

Il va falloir attendre un peu.

Puis arrivent enfin nos deux valises.

La queue pour les taxis est juste hallucinante sans compter les rabatteurs bien collants. Bienvenue !

Peut-être que d’ici 10 ans on pourra voyager sur les 15, 16, ou 17 dont les délais de mise en service sont continuellement repoussés. Pour Orly, la 14 est déjà là, la 18 peut-être pour 2026.

Puis c’est parti pour un tour sur la très moderne et fort pratique 14.

Le vol selon Flightradar24.

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout.