Je vous retrouve pour un week-end avgeek en direction des îles britanniques, entre Ecosse et Irlande. Vous trouverez ci-dessous le pourquoi-du-comment et la construction du routing, mais pour ceux qui souhaiteraient accéder directement au FR, je les invite à scroller.
Le point de départ est mon souhait de profiter une dernière fois de mon statut chez TK avant qu'il n'expire le 31 août, n'ayant pas suffisamment volé sur Star Alliance ces deux dernières années pour le renouveler. L'un des avantages que j'apprécie avec le statut Gold, c'est qu'il donne accès aux salons Senator chez le groupe LH, qui sont généralement plus qualitatifs que les salons business. En particulier, j'ai un faible pour le salon SEN des portes E de ZRH. Pour y accéder, il n'y a pas à chipoter, il faut voler hors Schengen, et avec l'élargissement de l'espace Schengen, les destinations européennes ne sont plus légion, et il faut bien sûr que LX s'y rende. En furetant, je découvre que LX aligne parfois un A350 d'Edelweiss sur EDI, et cela tombe pile pour mes dates. Parfait !
Pour rentrer, un banal EDI-CDG avec AF ou U2 aurait pu faire l'affaire, mais ça n'aurait pas été drôle. Je regarde donc au départ des villes voisines, et je dégote un DUB-CDG opéré par Aer Lingus en A321neo LR. Cela me convient d'autant mieux que la Premium est vendue à un tarif abordable en offrant le confort d'une véritable cabine business.
Pour boucler la boucle, un EDI-DUB opéré en ATR par Emerald Airlines pour le compte d'Aer Lingus sera idéal pour parfaire ce routing 100% avgeek.
L'ensemble n'est bien évidemment pas bon marché, surtout en considérant le coût exorbitant de l'hébergement à Edimbourg et Dublin, mais c'était l'occasion ou jamais.
Tout ça, c'était ce qui était prévu, il y aura hélas un peu de changement mais nous y reviendrons le moment venu.
Flight routing
- 1Swiss - Eco - CDG-ZRH - A320neo
- 2Edelweiss - Business - ZRH-EDI - A350-900
- 3Emerald Airlines - Eco - EDI-DUB - ATR72-600
- 4Aer Lingus - Business - DUB-CDG - A321neo LR
L'aventure commence au terminal 1 de CDG de bonne heure, puisque je prends le vol LX de 9h45 pour rejoindre ZRH. Celui-ci me permettra de profiter d'une longue escale au salon des portes E, puisque le vol pour EDI n'est prévu qu'à 16h55. Large, me direz-vous, mais vous verrez, pas tant que cela.

Je retrouve mon ami Mathieu au salon, qui n'aura pas été dur à convaincre de me suivre dans ce périple.
Je vous épargne le FR sur le CDG-ZRH, sans grand intérêt, si ce n'est de me permettre de loguer l'A320neo de LX. En raison du trafic et des conditions météo, notre vol aura pratiquement une heure de retard, ce qui mettra en stress les nombreux passagers en correspondance.

Me voilà fraîchement débarqué de CDG, direction les portes E pour rejoindre les contrôles de police.

Il y a pas mal de monde, mais pour les détenteurs d'un passeport européen, les parafe locaux sont déserts et d'une redoutable efficacité : 5 minutes après avoir débarqué, me voici déjà de l'autre côté.

Il ne me reste qu'à descendre pour rejoindre le train qui nous amènera aux portes E en passant sous les pistes.

Visiblement, je ne suis pas tout seul. Il faut dire que nous sommes fin août et la grande transhumance de fin d'été bat son plein.

L'attente est courte, tout comme le trajet. Me voici arrivé aux portes E, il ne reste plus qu'à emprunter cet escalator pour rejoindre le terminal.

Celui-ci, ouvert de part et d'autre, est vaste et très lumineux.

Il est à peine plus de 12h lorsque j'arrive au salon SEN, comme le montrent les horloges installées à l'entrée par le sponsor du salon.

Mon éligibilité est validée, encore qu'il ait fallu montrer ma carte TK Gold. En effet, le statut *A n'est pas reconnu sur un vol WK (qui d'ailleurs ne cumule aucun mile sur TK), mais le vol a été acheté avec un code LX, ce qui ne pose pas de problème.

Comme je le disais en introduction, j'apprécie particulièrement ce salon, tant par son agencement que par la tranquillité qu'il offre. Ici la longue coursive habillée de bois qui mène de l'entrée à la zone principale.

La zone de restauration.

De nombreux espace sont disponibles pour s'installer. Le salon se remplira avec les vols de milieu de journée et se videra en début d'après-midi.


Au fond du salon, un espace de repos avec des installations individuelles.

Côté catering, plusieurs plats chauds sont disponibles.

Ainsi qu'un assortiment de crudités et de divers snacks salés. En revanche c'était un peu juste sur le sucré.

Plusieurs alcools sont disponibles dans la zone principale, dont d'intéressants alcools suisses.

Vins blancs (au frais) et rouge, joliment présentés d'ailleurs, mais pas de champagne, je trouve que ça manque dans un salon de ce standing, d'autant que LX en sert en vol. Les références de vin suisse sont intéressantes, comme ce pinot noir ou ce chasselas.



Mais les deux gros points forts de ce salon sont ailleurs. Tout d'abord, cet extraordinaire bar à whisky.

Celui-ci est situé tout de suite à gauche de l'entrée.

Il offre une gamme très large. Il y a moins de références qu'auparavant, mais j'ai tout de même compté plus de 150 références, de quoi largement satisfaire les amateurs, d'autant que les étiquettes sont flatteuses comme on le verra tout à l'heure.

Le second point fort de ce salon, c'est cette superbe terrasse donnant directement sur les pistes. Par beau temps comme ce jour-là, c'est un pur bonheur !


Il est même possible de s'y installer pour manger ou boire un verre.

Qu'on se le dise, ZRH est avgeek friendly, avec ces jumelles Leica disponibles pour admirer les aéronefs de plus près et le plan des pistes.

La terrasse est également accessible depuis le salon business, mais les deux zones sont distinctes.

Commençons par un apéritif. Je me fais plaisir avec un Fernet Branca glacé, un apéritif qu"on trouve peu souvent.

Puis nous nous installons dehors pour déjeuner, au bruit des avions qui vont et qui viennent. Quel pied ! Les pâtes aux asperges étaient excellentes.

Séquence spotting de cette belle après-midi. Icelandair en B737, j'ai l'impression que c'est une nouvelle livrée avec cette bande jaune sur l'empennage.

Le patron des lieux, qui opèrent encore de vénérables A340 comme celui-ci.

DL en A330, AC en 777 et en arrière-plan Condor en livrée spéciale "serviette de plage".

Saudia vient ici en mono couloir.

Air Serbia en A319.

Celui-ci fait d'ailleurs bien petit à côté du mérou émirati.

Que voici au décollage. J'aurais vraiment pu passer ma journée sur cette terrasse à regarder le va-et-vient des avions.

Oh, mais qui voilà ? Notre A350 est bien arrivé, au moins nous sommes sûrs de ne pas avoir de swap.

Nous sommes aussi certains de ne pas devoir retourner aux portes D, car jusqu'au dernier moment la porte n'était pas affichée.

Passons à l'autre attraction du salon, à savoir le bar à whisky. Le plus difficile est bien évidemment de choisir, et il faut admettre que même si le personnel est charmant et disponible, il n'y connaît rien en matière de single malt et sera d'une aide limitée pour nous conseiller. Petite nouveauté par rapport à mon dernier passage, des cocktails sont proposés.

Mais nous ne nous dispersons pas. Voici quelques références dégustées pendant notre séjour, en veillant bien sûr à ce que les doses restent homéopathiques pour garder la tête froide.
Commençons par quelques assemblages de la maison Signatory.

Aujourd'hui, mon attention se portera plus particulièrement sur le Speyside.



Je terminerai avec cet intéressant distillat japonais, qui n'est pas à proprement parler un whisky, mais un shochu à base d'orge, vieilli dans des fûts de chêne d'Hokkaido (le mizunara), réputé pour sa rareté.

Comme vous vous en doutez, entre le retard du vol depuis CDG, le spotting sur la terrasse, les dégustations de whisky et les discussions entre amis, la longue escale prévue passe très vite et il est temps de se rendre en porte.
Nous quittons donc le salon peu avant 16h. Le hall des portes E est calme à cette heure-ci, la grosse vague des départs est passée.

Notre oiseau du jour s'offre à nos regards. Quel bel appareil tout de même ! Je vous présente donc HB-IBC, l'un des A350-900 qu'Edelweiss a récupérés de LATAM Brazil et qui sont destinés à remplacer les A340. Celui-ci a effectué son premier vol en 2016 et a rejoint la flotte WK le 1er juillet de cette année.

Il y a encore peu d'animation en porte. Je suis étonné de l'absence de files organisées.

Oups, a priori il nous faut faire la queue ici.

Il s'agit d'un contrôle de l'ETA, la nouvelle autorisation électronique de voyage mise en place par le Royaume-Uni. L'obtention de celui-ci est très rapide (la confirmation est reçue en quelques minutes), mais il faut bourse délier. Aucun document à imprimer, l'ETA est associée au passeport.
Les agents se contentent donc juste de poser la question si nous avons bien notre ETA. Il y a un guichet dédiée à la business, mais avec une seule file donc nous n'avons pas osé doubler tout le monde.

En tout état de cause, c'était rapide et nous nous retrouvons avec un BP vierge tamponné (mon BP étant dans l'application LX). J'ai un doute, mais je soupçonne aussi l'agente d'avoir accolé ce sticker bleu sur mon passeport.

L'embarquement est lancé quelques instants plus tard et les passagers business et *A Gold sont appelés en premier. J'embarque le premier, parfait pour prendre la cabine encore vide.

C'est aussi l'occasion de prendre ce superbe appareil de plus près.

Allez, un peu plus de face.

Une seule passerelle est connectée, ce sera donc tout droit pour tout le monde.

Entretemps je me fais doubler par une pax qui semble encore plus pressée d'embarquer que moi, mais cela ne changera rien puisqu'elle sera retenue par un tensoguide un peu plus loin.

Cet A350-900 a été baptisé Piz Palü (du nom d'une montagne suisse) à sa réception par WK il y a seulement deux mois.

Vue sur l'aile et son winglet bien reconnaissable.

Instant porte, avec accueil très souriant par l'équipage.

Fuselage shot à travers le vitrage bleuté de la passerelle.

Virage à gauche en entrant, pour nous rendre dans la cabine business.

Celle-ci est composée de 30 sièges en configuration 2-2-2. Ce n'est donc pas du full access, mais cette configuration me semble adaptée pour une compagnie loisir comme Edelweiss. Ce n'est pas non plus du full privacy, car comme vous pouvez le constater, la cabine est très ouverte. Personnellement, cela ne me dérange, au contraire, surtout sur un vol court comme celui-ci.

Voici nos sièges. Deux lingettes sont prépositionnées.

Ainsi que des casques, qui pendouillent peu élégamment attachés à la patère.

Le grand accoudoir de séparation centrale est bien pratique. On y retrouve les boutons de commande du siège.

La tablette, située dans celui-ci, est de bonne taille et facile à manipuler.

On trouve également une télécommande, bien pratique pour commander l'écran qui est loin du siège.

Toute la documentation est disposée dans un rangement à cet effet près de l'ottoman.

Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il y a de la lecture.

Sympa, WK propose des produits en l'honneur des 30 ans de la compagnie.


L'ottoman ne se soulève pas (comme chez TK) mais un rangement est disponible en-dessous, bien pratique pour y loger ses chaussures.

Terminons ce tour du propriétaire avec le plafonnier, qui fait moderne.

Pas de full access ni de full privacy comme dit plus haut, mais je confirme que le siège est bien full flat.

Avant que l'embarquement ne soit terminé, je passe aux toilettes situées à l'avant de l'appareil.

Rien de particulier à noter, si ce n'est l'absence de produits particuliers (mais peut-être ceux-ci ont-ils été placés après le décollage).

J'en profite pour engager la discussion avec la PNC située au galley avant, mais celle-ci semble peu encline à échanger. La porte du cockpit étant ouverte, je lui demande juste si je peux glisser une tête, requête accordée par les PNT !

De ma place, je constate que l'embarquement se termine, la passerelle est vide.

Je surveille par ailleurs les opérations grâce à la caméra située à l'arrière.

J'en profite pour naviguer un peu dans l'IFE.

Je ne prends pas vraiment le temps de regarder le catalogue des films, de toute façon le vol est trop court et je ne suis pas là pour ça. C'est plutôt l'IFE que j'enclenche.

Celui-ci est plutôt bien fait, mais il est entrecoupé de nombreuses publicités, c'est un peu pénible (sauf celle-ci bien sûr ^^).

A 17h, les consignes de sécurité sont lancées.

Et nous repoussons.

Le roulage sera court et nous voici déjà en l'air. Le silence de l'A350 au décollage est vraiment impressionnant.

Les décollages de ZRH sont toujours l'occasion de belles vues sur la région zurichoise.


On devine la ville et le lac de Zurich au loin.

Virage à gauche qui me permet d'avoir une vue d'ensemble sur l'aéroport.

Rapidement nous prenons de l'altitude et les nuages se font plus présents.

Avec ce beau soleil, c'est d'ailleurs très beau aussi.

Le service débute avec la distribution d'une petite bouteille d'eau.

Avant le service du repas, je feuillète le magazine de bord, qui a le mérite d'exister. On sent que la compagnie est très fière d'accueillir ses A350.

On la comprend d'ailleurs, les chiffres parlent d'eux-mêmes : rayon d'action supérieur de 20%, capacité supérieure de 8% et consommation de kérosène inférieure de 25% par rapport à l'A340. Les comptables ont vite fait leurs calculs, d'autant que les A340 WK doivent être largement amortis.

Profitons-en pour jeter un oeil à la carte des destinations, qui confirme la vocation loisir de WK.


Le magazine est bien fichu, avec des focus sur plusieurs destinations, comme Tbilissi (qui est d'ailleurs plus une destination affinitaire que loisir, mais bon).

Mention spéciale pour la page spotting !

Le service est un peu long à démarrer, les trolleys se mettent en branle 45 minutes après le décollage.

Pour vous donner une idée, nous arrivons déjà au-dessus de la côte néerlandaise.

Mon premier vol avec WK l'année dernière entre Antalya et Zurich avait été une excellente surprise et je suis curieux de voir ce qui sera proposé sur ce vol de 2 heures.
Comme je m'en doutais, pas de service aussi poussé que sur un AYT-ZRH de 3h30. Ici pas d'apéritif dédié, pas de choix ni de plat chaud. Voici donc le plateau déposé, avec une tomate mozzarella, une salade et un dessert (tapioca mangue). C'est frais, c'est consensuel (pas de viande) mais c'est tout de même un peu léger.

Les couverts sont en métal et au logo de la compagnie.

On note tout de même la présence de champagne, au choix rosé ou blanc, ce qui est aussi remarquable qu'inattendu sur une compagnie loisir comme WK. Je prends également un verre de ce vin blanc suisse. C'est tout de suite plus agréable quand les vins sont servis à la bouteille et non en mignonette.

Nous ne manquons pas de trinquer à ce voyage, et à ce bel oiseau qu'est l'A350.

Santé également aux FRistes de tous poils !

A la fin du repas, les PNC passent proposer des chocolats. Sans hésiter, je choisis un noir !

Que j'accompagne d'un petit expresso.

Et oui, j'ai craqué pour une maquette ;-)

Dehors, le temps est très nuageux et l'on ne voit pas grand chose.

ça y est, on aperçoit la terre écossaise ! (si, si, entre les nuages…)


En fait nous avions déjà commencé le survol de l'Ecosse, mais sans rien y voir.

Et voilà Edimbourg !

Nous sommes du bon côté pour l'approche sur la ville.


Un golf, what else en Ecosse ?

Passage au-dessus des champs en finale.

Et bonjour EDI, une première pour moi.

Pour l'occasion, je suis accueilli par un arc-en-ciel.

Sympa de pouvoir suivre l'atterrissage avec la caméra.

On trouve pas mal d'easyJet dans les parages.

Le roulage est court et nous voici arrivés en porte peu après 18h, à l'heure donc.

Dernier regard à ce siège, très confortable pour un vol de 2 heures.

Vue générale sur la cabine business.

Nous débarquons sous les salutations souriantes de l'équipage. Un dernier fuselage shot pour la route, celui-ci n'étant pas soumis à la teinte du vitrage de ZRH.

Sacré museau tout de même.


Dès l'arrivée, les passagers sont mis dans l'ambiance locale.

On devine quand même que les Ecossais manquent de soleil…

Les procédures d'arrivée sont très bien expliquées sur de grands panneaux que l'on retrouve tout au long du cheminement.

Il y a un peu de monde devant nous, mais ça avance très vite.

Il faut dire que toutes les smart gates sont opérationnelles, ça aide ! (n'est-ce pas, ADP ?)

Tout ceci est promptement expédié, et 5 minutes après avoir débarqués nous voici en salle de livraison bagages.

Dans laquelle nous ne nous attardons pas, n'ayant pas de valise en soute.

Direction la sortie.


Plusieurs options sont possibles pour rejoindre le centre-ville d'Edimbourg (bus, tram…), nous avons opté pour le bus Airlink, dont le tarif A/R est tout à fait raisonnable.

Bon, c'est là que nous connaissons notre première mésaventure, sans conséquence fort heureusement. En montant dans le bus, je réalise que j'ai oublié mon portefeuille dans l'avion. Ni une ni deux, nous redescendons du bus et expliquons la situation à l'agente qui a poinçonné notre ticket et je cours au comptoir d'enregistrement (qui arrive à son terme) de WK pour faire le signalement. Un coup de fil plus tard et elle me confirme que celui-ci a été retrouvé, j'ai juste à me rendre aux sorties domestiques et un agent viendra me le remettre. Ouf !
Sauf que mon camarade de voyage se rendra alors compte qu'il a oublié sa valise dans le bus duquel nous sommes précipitamment descendus. Il retourne donc voire la préposée, qui sera adorable, pour éviter que le bagage ne soit considéré comme abandonné et détruit.
Mais pour le récupérer, il faut attendre que le bus ait fait tout son tour, que le chauffeur ait fait sa pause, puis revienne à l'aéroport.
Pour patienter, nous partons à la découverte du patrimoine local avec une pinte de Tennent (une bière écossaise brassée depuis 1556).

Deux heures plus tard, nous retrouvons le bus, le chauffeur et le bagage de Mathieu. Quand on n'a pas de tête, il faut savoir être patient ;-)
Le bus au demeurant est très confortable pour les 30 minutes qui nous séparent du centre-ville.

Et pour conclure…

Merci pour ce partage Stephane ! Sympa de voler en A350 , qui plus est récemment mis en service par Edelweiss, sur ce trajet moyen courrier.
Pour un vol de deux heures je trouve le repas suffisant et il présente bien.
Merci Christophe pour le commentaire.
Toujours agréable de voler en gros porteur sur du MC !
A bientôt.
Merci Stéphane pour le partage !
Le salon SEN du terminal E est dans le très haut du panier des salons, surtout pour la terrasse et la vue. Exceptionnel.
La cabine n'est pas full privacy parce que les 4 premiers A350 de WK sont tous d'occasion ex- LATAM, seulement pour les deux suivants on passera à une cabine en 1-2-1 mais la configuration et le modèle ne sont pas encore connus. Et quand la flotte sera complète à 6 unités, alors commencera le retrofit des 4 premiers (comme ils ont 5 A340 à remplacer, avec 6 A350 un pourra passer au retrofit à la fois sans diminuer l'offre)
Le service est assez standard sur ce vol court, mais le choix de deux champagnes dont un rosé est un vrai plus chez WK.
Ah, quand on a pas de tête... on a des jambes ^^
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
Nous sommes bien d'accord pour le salon SEN, il va me manquer :-(
Merci pour les info sur le rétrofit, je pensais que les ex-latam resteraient tels quels. Le 2-2-2 n'est pourtant pas choquant sur une compagnie loisir.
A bientôt.
Salut Stéphane et merci pour le partage.
Comme toi, je suis un grand fan du bar à Whisky su salon de la jetée E.
Super de pouvoir emprunter un A350 en J sur un Moyen Courrier.
La cabine me va bien, c'est surtout l'ottoman que j'apprécie tout particulièrement.
Service light, ressemblant à ce que sert LX sur un vol similaire.
Edimbourg est une destination de choix, j'adore cette ville...
A bientôt !
Hello Hervé, merci pour le com' !
On reconnaît les amateurs de single matt ;-)
L'introduction d'un nouveau modèle de gros porteur dans une flotte est toujours une bonne occasion de l'attraper en MC.
Comme toi je trouve le catering un peu léger.
Pour Edimbourg, je ne m'avancerai pas y étant resté très peu de temps, mais j'ai bien aimé l'ambiance.
A
Merci pour ce report qui me donne une vision du côté J après avoir aussi essayé ce bien bel oiseau au printemps, mais en Y.
La cabine n’est pas au dernier cri, certes, mais reste fort correcte.
La prestation servie semble honnête. Le fait de ne servir que du « vegan » semble être un choix assumé qui règle bien des problèmes de logistique et d’éthique voire politiques.
Incroyable ces deux oublis à la fin du voyage mais ça s’est bien fini. Ouf !
Bons vols
Merci Greg pour le commentaire.
J'avais bien lu ton FR, j'aurais d'ailleurs dû le mettre en réf.
Je ne suis pas forcément adepte du tout moderne à tout prix, tant que l'ambiance générale est agréable ça me va.
Oulà ! lançons les débats 😜
La question a été de savoir à qui la faute 😂
A bientôt.
Sympa ce vol en A350. Je n'aurais pas parié sur Edimbourg comme destination européenne pour tester cet avion d'Edelweiss. Habituellement leurs gros porteur partent plus Heraklion, Faro ou Mallorca.
J’aime beaucoup l’A350 et la livrée Edelweiss est très jolie.
Cet A350 arrive de LATAM non? C’est exactement la cabine que LATAM avait sur ses A350.
En tout cas elle semble bien agréable et encore plus pour 2h de vol.
Merci pour ce FR
Salut Moritz et merci pour le commentaire.
Je n'étais pas parti sur EDI au départ, mais on s'adapte !
Oui c'est un ancien LATAM, d'où les mêmes cabines.
Pour 2h de vol c'est top, on aimerait avoir ça sur tous nos vols MC.
A bientôt.