Review of Boliviana de Aviacion flight from Santa Cruz to Sucre in Economy

Bonjour à toutes et tous.

Après un petit séjour à Santa Cruz je poursuis mon acclimatation dans une ville qui est LA base pour cela : SUCRE. C’est une belle ville coloniale, inscrite au patrimoine mondial de l’Unesco. Elle est à 2 800 mètres, c’est parfait pour y faire mes 48H00. Et cette fois ci je vais m’y tenir… voir plus mais cela ce sera l’histoire du prochain FR (FR qui n’aurait jamais dû avoir lieu, mais la vie peut être faite de belles comme de mauvaises surprises, et souvent les deux en même temps, pour la petite histoire je rédige ce FR en étant dans un pays non prévu à mon routing d'origine au frais d'une compagnie aérienne ^^).

Pour rejoindre Sucre : deux options : 13 heures de bus , de nuit mais 20$, ou l’avion.

La distance n’est pas énorme mais nous sommes dans les Andes et ici tout prend du temps.

On ne va pas se mentir, je n’ai même pas envisagé cette solution, cela a été direct l’avion et avec cette fois ci BoA et surtout en B737-300.
Cela tombe bien c’est lui qui fait le vol entre VVI et SRE ce jour-là.

J’ai eu du mal à réserver sur le site de BoA, je suis donc passé par un OTA, ou là j’ai réceptionné mon PNR dans la foulée.
Le prix était de 67€ (il y a toujours une valise en soute incluse chez BoA.
Pas vraiment donné, mais je suis tellement contente de voler enfin sur cette compagnie, c’est le principal.  

Boliviana de Aviación (BoA) est une compagnie aérienne publique bolivienne. Cette compagnie est créée en 2007 par le président Evo Morales en remplacement des compagnies Lloyd Aéreo Boliviano et Aerosur (wikipédia).
 C'est la plus grande compagnie aérienne de Bolivie et la sixième d'Amérique du Sud, en termes de taille de flotte et de passagers transportés.
 Boliviana de Aviación exploite une flotte composée d'avions Airbus (A330) et Boeing (B737) et une flotte régionale de Bombardier CRJ-200.

Après une matinée de visite de Santa Cruz à retrouver en bonus, je retourne à mon hôtel (superbe adresse, en bonus également) et après un déjeuner je commande un Uber pour l’aéroport.
Cela prendra un peu de temps il n’y a pas une offre énorme de chauffeur. 

L’entrée de l’aéroport de Viru-Viru.

Aux couleurs de la région cette fois-ci.

L’aéroport n’est pas des plus esthétique, mais il est fonctionnel.

Un parking est devant le terminal.  

Voici le terminal depuis celui-ci.  

Plusieurs comptoirs d’enregistrement ainsi que des bornes.

Pour le vol de Sucre c’est le numéro UN.

Ma valise fait 15KG de vêtement (avec la majoration des chaussures de randonnées).

J’ai à chaque fois fait mon enregistrement en ligne, et j’ai pu sélectionner mon siège gratuitement.

Les commerces de VVI landside.

Pour les gens sans valise, il y a le bus 135.

Le FIDS, il y a finalement peu de vol vers Sucre.

Les contrôles sont à l’étage.

Mais que vois-je, une terrasse ?

Je ne peu m’empêcher d’aller voir, mais je trouverai porte close, celle-ci ne doit plus être utilisé depuis longtemps, c’est dommage. 

En plus il y a du beau monde à proximité, avec un A330 de BOA…

J’opère un demi-tour et je me dirige vers le PIF. 

Passage rapide des contrôles, et les liquides n’ont pas de restrictions.

Airside c’est spacieux.

Avec même du spotting à faire.

Lui, ce sera pour la fin de mon séjour. 

Lui vient du Venezuela, mais n’apparait pas dans le FDIS… je me pose la question de ce qu’il fait là.
il repartira pour l'Equateur  ou il est basé (une belle prise avgeek pour un séjour en Equateur^^) .

Je fais un tour des différents commerces.

Il y a un salon.

Je me rapproche de ma porte la 4A.

Et voici ce vénérable B737-300.

Les données Airfleets.

A côté, ce CRJ, j’ai essayé de le rajouter à ma collection mais le temps que je me décide, le vol était full…. Oh rage, oh désespoir.

L’embarquement se fait par zone, et les gens semblent le respecter.

Allez un instant porte spécial Bolivie.  

La cabine est à la hauteur de mes espérances, pas de toute jeunesse.

Pour l’instant la rangée est encore vide, mais le vol sera complet.
Le hublot est correctement aligné. 

Je ne suis pas trop fan de ces places sur l’aile, mais le devant de la cabine était déjà plein.

Il est vraiment très beau celui-là.

Partons à l’exploration de la pochette du siège.

La consigne de sécurité, qui tombera je ne sais comment dans mon sac. 

Une fiche d’information sur le trafic humain… cela fait froid dans le dos.

Comme chez Ecojet, une carte sanitaire.  

Et un magazine, ce qui devient rare.

Le pas est excellent.

Le plafonnier old school.

Au revoir VVI on se revoie plus vite que prévu.  

Un point positif pour BoA c’est que tous mes vols seront parfaitement à l’heure.

Cette livrée, j’aurais aimé l’avoir, mais la chance n’a pas été avec moi. 

Un jour je l’aurais ….

Il y a du stockage d’avion bien plus ancien.

On roule et on s’arrache du sol.

Le hublot est aussi à la peine niveau propreté. Mes photos vont en souffrir.

Ici c’est plat..

VVI et sa piste.

Au loin la ville de Santa Cruz (pour une petite visite c’est dans le bonus).

Puis les montagnes arrivent.

Il n’y a pas de services sur les vols domestiques, même pas de l’eau.

Mais pour moi l’essentiel est là : des paysages que je ne vois pas tous les jours.
Et je compte bien en profiter au maximum. 

.

Dernier virage.

On se rapproche.

Et on freine, longtemps…. en raison de l'altitude.
L’aéroport de Sucre est à 3104M, à l’écart de la ville sur un petit plateau (30 KM).

L'aéroport a été inauguré le 15 mai 2016 et a remplacé l'ancien aéroport Juana Azurduy de Padilla pour des raisons d'espace et de capacité.

On dépasse le terminal.

Demi-tour sur la raquette.

SRE n’est pas très grand, mais est plus récent que VVI.  

Avec passerelle.

Soyons sportive et prenons l’escalier.  

J’attends pour ma valise.

Quelques photos landslide

Puis je me dépêche de sortir pour récupérer un taxi qui sera honnête et me demandera le prix normal de la course.
Il y a des collectivo pour bien moins cher , mais il fait déjà nuit et je n’ai pas du tout envie de trainer ma valise à travers la ville. 

Je vous présente l’extérieur du terminal, photo prise quelques jours plus tard , mais ceci est une autre histoire.

Merci pour la lecture et les commentaires, place au 🥨 bonus .