Bonjour à tous et bienvenue à bord de ce récit, avec l'un des gros morceau de ce routing et le vol long-courrier aller de notre voyage en direction de l'Argentine réalisé au début de l'année 2025.
Introduction
Nous sommes à l'automne 2024 quand un voyage déjà reporté à quelques reprises est enfin en capacité d'être organisé. En effet mon père à passer le cap des 70 printemps l'été dernier et il était plus que temps qu'il puisse profiter de son cadeau à savoir un voyage en Patagonie ! Nous serons donc 4 pour ce voyage mes 2 parents, ma compagne et moi même.
Petite difficulté initiale dans la construction du voyage et du routing nous ne partons pas de la même ville, mes parents partent de Grenoble quand à moi et ma compagne c'est un départ de Toulouse.
Plusieurs options s'offrent à nous pour rejoindre Buenos Aires, AF proposent des vols avec des horaires intéressants mais les tarifs à 1400€ sans bagages en soute sont pour le moins dissuasif quand on part de la province. Iberia propose une alternative intéressante mais les horaires de retour pour Lyon ne sont pas idéal et le tarif sans bagages affiche tout de même 1100€.
Par curiosité nous regardons les départs depuis Paris et tombons sur une offre plutôt alléchantes de Air Europa à 783€ A/R avec des horaires pratiques pour qui veut commuter depuis la province.
Départ d'Orly le samedi en fin d'après-midi et retour le dimanche matin à 9h30. Les tarifs avec bagages sont sans surprise une soixantaine d'euros plus cher mais cela reste raisonnable. De plus, me concernant c'est plutôt intéressant ayant le statut Elite+ chez Skyteam dont Air Europa fait encore partie. Cela nous permet en plus d'avoir tous le même point de départ depuis l'aéroport Parisien et d'être sur les mêmes vol internationaux.
Pour les vols intérieurs nous avons fait au plus simple avec du full compagnie nationale Aerolinas Argentinas qui proposait des tarifs équivalent aux low-costs sur les vols intérieurs avec en prime de meilleurs horaires et certaines lignes comme le El Calafate-Bariloche ou Trelew-Buenos Aires Aeroparque qu'ils étaient les seuls à effectuer.
Ce qui nous donne le routing suivant:
Flight routing
- 1
- 2UX41 - Economique - Madrid => Buenos Aires - Boeing 787-9
- 3AR1846 - Economique - Buenos Aires => El Calafate - Boeing 737-800
- 4AR1695 - Economique - El Calafate => San Carols de Bariloche - Boeing 737-800
- 5AR1807 - Economique - Trelew => Buenos Aires - Boeing 737-700
- 6UX42 - Economique - Buenos Aires => Madrid - Boeing 787-9
- 7UX1027 - Economique - Madrid => Paris - Boeing 737-800
L'offre de vols entre la capitale Espagnole et la capitale Argentine est pour le moins important avec jusqu'à 6 vols quotidiens. La moitié d'entre eux est effectué par la leader locale Iberia en Airbus A350 avec un triple vol quotidien ce qui est en soit déjà impressionnant. Du coté des autres compagnies Aerolinas Argentinas opère elle jusqu'à 2 vols quotidiens en Airbus A330-200. Air Europa fait office de petit poucet sur cette liaison avec un unique vol quotidien en Boeing 787-9.
Du coté de la BDD c'est une petite nouveauté, il n'y a en effet que 2 reports disponibles sur cette liaison et ils datent quelque peu et avait été effectué avec Iberia en Airbus A340 !
Correspondance tardive à Madrid
Arrivé quelques minutes plus tôt depuis notre vol d’Orly avec UX. Nous remontons le terminal depuis le T3 jusqu’au T1 où partent les vols intercontinentaux opéré par Air Europa. C’est la première fois que je rejoins cette partie de l’aéroport de Madrid, même même si elle fait meilleure figures que l’antédiluvien T2 il reste toutefois un peu étroit et pas vraiment dans les standards les plus modernes. On y trouve toutefois quelques commerces qui seront tous ouverts à cette heure tardive.

Les départs prévus dans les T1 à T3 sont affichés sur le FIDS, on peut y voir la vague des départs tardifs pour l’Am-Sud avec Lima, Asuncion, Sao Paulo et bien entendu notre vol vers Buenos Aires.

Lounge Cibeles
Ayant le statut Skyteam elite plus, je délaisserais mes géniteurs dans le terminal et partirais avec ma compagne en direction du Lounge "Cibeles" opéré par le groupe aéroportuaire Aena et qui accueil les passagers des vols intercontinentaux d’Air Europa. Le lounge est de taille moyenne et bien plein quand nous arrivons. Il dispose d'une terrasse qui doit être bien agréable en été mais pour le coup fermé du fait des conditions météo pour le moins dantesque au dessus de Madrid cette nuit la.

L’offre de catering est plutôt intéressante, avec une belle offre de sandwichs et yaourts pour les passagers les plus pressé.
Pour le reste on trouve les grands classiques d'un lounge avec quelques pâtisseries des kawateuses, bar à salade et autre fruits.
Mention spéciale pour les petits ramequins de plat chaud individuels qui seront vraiment excellents.




Voici l’une de mes sélections franchement très bien pour ce restaurer avant un long vol, le bar à salade bien fournit avec des produits frais.

Embarquement
Après nous être bien restauré au lounge (il faut dire qu'UX n'a pas une excellente réputation pour son catering en Y), nous prenons le chemin de la porte B24 d'où embarquera notre vol. Ce sera un sacré foutoir du fait que 3 vols long courriers d'Air Europa (Sao-Polo, Asuncion et Buenos Aires) embarquaient dans la même zone à quelques minutes d'écart dans une partie du terminal vraiment pas dimensionné pour cela.


Bon par contre ça bouchonne un peu de le jet-bridge.

L'avantage c'est qu'il est vitré et permet d'apercevoir notre B787-9 du soir qui nous mènera au Sud des Amériques.

Et l'on retrouve la machine qui nous a amené ici lors de notre vol depuis Paris. EC-ODI un Boeing 787-9 âgé d'un peu moins de 5 ans lors de notre vol.



Retour à bord du Boeing 787-9 d'UX
Au bout de la passerelle, nous retrouvons la porte 2L par laquelle nous embarquerons avec un accueil aimable de la part de l'équipage en porte à grande majorité féminin.

Fuselage shoot nocturne et bien humide.

Je profite de remonter la cabine pour rendre mes hommages au roi des portes.
Coté cabine et sièges on retrouve le siège Recaro CL3710 plutôt de bonne facture avec son appuis tête réglage et un peu de recline le tout dans les tons bleus de la compagnie.



J'arrive à notre rangée et dans ma zone de vie pour les 12 heures à venir


Le seul point noir de cette cabine pour un vol long courrier reste le pitch, heureusement je ne suis pas très grand mais pour des passagers de plus d'un mètre quatre vingt ça doit réellement devenir un problème.


Le plan de cabine fournit par l'excellent site Aerolopa, comme on peut le voir la configuration est plutôt dense pour un B787-9 avec un total de 339 paxs.

Une couverture avec un petit oreiller à l'intérieur est disponible sur le siège et pour une fois sans suremballage plastique. J'avoue que j'ai été agréablement surpris, si le petit coussin est très basique la couverture est elle plutôt agréable.

Le hublot sera lui parfaitement aligné par rapport à mon siège, même si pour le début et une grande partie du vol cela n'aura pas trop d'importance avec les conditions météo du jour et le vol prévu de nuit sur une bonne partie du trajet.

L'embarquement semble terminé depuis un moment mais nous patientons, derrière nous un très joli Boeing 787-9 d'AeroMexico avec la livrée Quetzal repousse pour un départ en direction de la capitale Mexico City.

L'embarquement se poursuit relativement lentement, le vol sera quasiment full ce soir avec quelques rares places de libre ou les PNC demanderont à certains passagers volontaires de changer de siège pour permettre à des familles avec bébé de bénéficier de plus d'espace mais aussi au passagers voisin d'éviter la présence d'un bambin trop proche ^^.

Après une attente plutôt longue les démonstrations de sécurité (bilingue espagnol/anglais) seront diffusées sur les IFE.

C'est finalement avec une bonne demi-heure de retard sur l'horaire prévu que nous repousserons. Repoussage qui se fera littéralement en simultané avec notre voisin un autre B787-9 d'UX en partance pour Sao Paulo.


Le roulage sera très très long pour rejoindre le seuil de la piste 14L en effet il y avait de nombreux taxiways fermés pour travaux nous obligeant à faire un long détour nous amenant pratiquement au niveau du T4.



Il faudra attendre encore quelques poignées de secondes aligné sur la piste le temps que les turbulences de sillage de l'appareil précédent se dissipe avant que nous soyons autorisés à décoller et que nos pilotes poussent nos 2 moteurs Rolls-Royce trent 1000 à leur puissance de décollage.
Malgré un appareil bien chargé en passagers et en carburant pour ce long vol nous prendrons rapidement de la hauteur au dessus des lumières de la capitale Espagnole visibles au loin.




Bien entendu durant le roulage, le décollage et la montée initiale les lumières de la cabine sont éteintes.

Ce qui fait ressortir l'élégante et flexible extrémité de l'aile de notre 787 qui se détache dans la nuit noir.

Un peu moins de 2 heures après le décollage le trolley fera son apparition. Ce sera le moment du traditionnel Chicken or Pasta ou plutôt dans notre cas ¿Pollo o pasta?. Voici le plateau tel que distribué.
Bon on ne va pas se mentir ce n'est clairement du grand catering aérien, après même si cela est très basique, le poulet sera de bonne taille et tous les éléments du plateau seront bons. Le pain à défaut d'être d'une grande qualité sera chaud. Petit pain qui m'échappera et restera introuvable pour le reste du vol. Heureusement l'équipage fera plusieurs passages pour refournir du pain aux passagers le souhaitaient.


Juste après le repas le passager coté couloir nous informera nous informera qu'il a pris un caché pour dormir et qu'il est mieux que nous prenions nos dispositions maintenant.
Dehors même s'il fait nuit notre notre winglet est encore éclairé par la lueur de la lune. On notera au passage que l'équipage n'utilisera pas le système bloquant l'opacité des hublots laissant libre les passagers de contrôler ceux-ci.

Détail sur le contenu de la pochette du siège qui comporte de nombreux éléments, on commence par la traditionnel safety-card en 3 volets.


Un autre élément plus rare sur un vol long-courrier, un magazine de vente à bord. En effet UX propose un service BOB sur ces vols européens où elle utilise régulièrement ses Boeing 787 et il est possible sur ces vols long-courriers d'acheter certains des produits à la carte afin d'améliorer le faible catering offert par la compagnie Espagnole sur les vols les plus long.


On trouve aussi dans la pochette un magazine de vente duty-free ainsi que la magazine de bord sobrement dénommé Europa. A l'intérieur on retrouve quelques reportages sur les destinations du réseau UX mais aussi pas mal de page corporates qui présente la compagnie, son actualité, son réseau centré sur l'Amérique latine ainsi que sa flotte 100% Boeing.



La route suivit par notre vol du jour avec un vol majoritairement de nuit avec une altitude de croisière de 38.000ft.

Je passerais une bonne partie du vol à me distraire à l'aide de l'IFE. Tous les sièges en classe économie sont équipés du système Panasonic eX3 qui, même s'il est loin d'être l'un des plus grands ou des plus moderne, reste plutôt de bonne facture.


Coté contenu la aussi UX m'a plutôt agréablement surpris, même si l'on est loin de la variété des IFEs que l'on peut retrouver chez Turkish Airlines ou Emirates il y a tout de même du choix avec près d'une soixantaine de titres dont quelques titres récents. Du coté musicale le bas blesse il faudra se contenter de quelques playlists génériques.


Une très bonne chose est du coté des séries avec pas mal de titres mais surtout (contrairement à la majorité des compagnies) des saisons complètes !

Par contre il faudra supporter une petite pub pour un SIM provider hispanique dont ne nom d'entreprise pourrait être confondu avec celui d'une compagnie aérienne.

Coté géovision on retrouve la suite flightpath3D qui est elle aussi de très bonne facture avec beaucoup de vues disponibles et un appareil parfaitement modélisé.


Je somnolerais quelques heures et passerais une grande partie de mon temps à regarder la série "The 100". Lorsque je me réveille le jour c'est déjà lever au dessus d'une mer de nuage de haute altitude. Il n'y a pas à dire l'aile du 787 est vraiment une belle pièce d'ingénierie.


Nous sommes dans une zone équatoriale et nous avons beau croisé à 38.000ft nous traversons parfois le sommet des colonnes nuageuses heureusement sans l'ombre d'une turbulence.

Puis cela se dégagera au Sud du Brésil.

Il me semble reconnaitre une retenue d'eau sur l'immense fleuve Parana à la frontière des états de Sao Polo, du Parana et du Mato Grosso do Sul.

C'est à l'approche de la frontière Argentine au niveau des Foz d'Iguaçu que l'équipage effectuera la distribution des petits déjeuners précommandés mais aussi, pour tous les autres comme nous, d'une petite collation que voici. Thé/Café + un petit muffin au pépite de chocolat. De quoi occuper les mandibules quelques instants.

Après près de 12 heures de vol nous apercevrons enfin les faubourgs Nord de l'immense ville de Buenos Aires avec les quartiers résidentiels du quartier de Belén de Escobar construits autours de lacs artificiels. Alors qu'au loin on aperçoit encore le Rio Parana qui effectue ces derniers kilomètres avant de se jeter dans le Delta du Tigre


La cabine est préparée en vue de notre prochain atterissage.

Nous contournerons la capitale Argentine par l'Ouest en apercevant au loin la ville de General Rodríguez. Bon géographiquement les alentours de Buenos Aires c'est très plat et très vert !


Ce sera une approche pour la piste 11 qui nous fera survoler lors de la finale les faubourgs de Barrio San Pedro. Coté architecture des villes pas de doute on est sur un cadrillage à l'américaine !

Arrivée sous le soleil de Buenos-Aires
Posé sans encombre et freinage plutôt doux pour cet atterrissage sur le tarmac de l'aéroport international d'Ezeiza.


Nous dégagerons en bout de piste après avoir croiser la piste séquente 17/35.

Lors du roulage on commence déjà à voir quelques spécimens locaux comme ce Boeing 737-800 de la compagnie locale Aerolinas Argentinas (spoiler pour la suite)

Au loin on distingue la zone cargo avec un Boeing 767 cargo du groupe postale Allemand DHL et sa couleur bien flashy.

L'aéroport n'est pas non plus immense et nous rejoindrons rapidement notre point de stationnement au contact. Qui dit long courrier full + siège en fond de cale dit aussi débarquement un peu long. Je ne suis pas mécontent de quitter mon siège en effet je n’ai quasiment pas bougé de mon siège tout au long du vol et j’avais hâte de me dégourdir les gambettes.

Débarquement à l’aide d’une passerelle connectée à la porte 2L. L’équipage situé en porte nous adressera des salutations souriantes.

Dernier regards sur le nez de notre destrier des dernières 13h qui nous a amené sans encombre à destination.


Nous progressons rapidement dans le couloir vitré des arrivées baigné de lumière naturelle. On sent que l’on a changé d’hémisphère, fini la grisaille de début mars en Europe bonjour les belles journées ensoleillées down-under. Il y aura un peu de marche pour rejoindre les contrôles d’immigration.

Notre cheminement en direction de l'immigration et de la sortie nous fait passer devant quelques visiteurs des lieux comme ce Boeing 737max-9 de Copa en provenance de Panama City un vol de près de 6h30 qui en fait l'un des plus long sur ce type de machine plutôt rare.

D'autres vols en provenance d'Europe sont arrivés avant nous comme cet A350-900 Iberia en provenance de Madrid qui cache juste derrière un autre A350-900 celui de la compagnie italienne ITA.

Il y aura environ 5 minutes d’attente pour l’immigration, juste avant petit passage aux toilettes qui seront propres. Même pas un petit tampon sur mon passeport tout neuf. Ce sera direction la sortie après quelques questions d’usage et un Bienvenido a argentina de rigueur. Pas d’attente supplémentaire pour les bagages qui ont déjà l’air de tourner sur le carrousel.

Nous passerons rapidement groundside, je chercherais une boutique pour obtenir une SIM local que je trouverais avec les indications d’une des sympathiques dames de l’accueil malheureusement la boutique proposée une offre qui ne me convenait pas. En chemin nous serons abordé par un chauffeur de taxi ce dernier semblait honnête et nous proposait un tarif un peu moins cher que Uber avec un grand taxi plus adapté à notre nombre de 4 avec bagages et la possibilité de payer en dollars sans faire de change à l’aéroport.

Nous le suivrons en direction de la zone des départs où son véhicule été stationné en passant devant/dessous le célèbre lustre dorée qui orne cette zone des départs où l’aéroport d’Ezeiza.

Détail sur le tableau des départs matinaux de l'aéroport d'Ezeiza avec un mix de destinations

Puis c’est la sortie sous le soleil éclatant de Buenos Aires et le chargement de la famille armes et bagages dans notre taxi ma fois très amical en direction du quartier de Palermo.

C’est ici que ce termine ce récit on se retrouve très vite pour la suite du voyage et les vols domestiques argentins.
Bonjour et merci pour le FR. Je suis agréablement surpris pour la seconde prestation gratuite, je n'en ai pas eu l'hiver dernier vers/de SDQ, est-ce un changement chez UX ou parce que votre vol était plus long que le mien?
Le salon Cibeles est en effet excellent et je vous confirme que la terrasse est bien sympathique.
"Il faudra attendre encore quelques poignées de secondes aligné sur la piste le temps que les turbulences de sillage de l'appareil précédent se dissipe avant que nous soyons autorisés à décoller "
Sauf si vous suiviez un A380, ce qui est impossible ou rarissime à Madrid, pas de turbulence au départ pour un 787 à appliquer pour le contrôle aérien (en l'air oui par contre). Votre petit délai était dû à autre chose ;)
Hello FrATCO et merci pour ce commentaire et ces précisions sur les séparations ATC 🙏.
Pour ce qui est de UX il semble que notre avis soit commun, il faut mieux être Skyteam E+…
Pour le second service je l’ai vu aussi sur un vol vers Santiago du Chili donc j’imagine qu’il doit être servit sur les vols supérieurs à 10 ou 11h 🤔
Bon vols !
Avec grand plaisir!
Oui, ST E obligatoire si vol avec UX, et prendre quelques petits souvenirs du salon si affinités 😂 Pour info en février dernier un pote voyageait avec nous vers SDQ mais en business, eu le produit lui a semblé très bon à tous points de vue. Mais la classe tarifaire ne donne étrangement ni miles ni XP Flying blue comme expliqué sur le site.
Merci pour ce partage. Pas évident de revenir en Y quand on pris l'habitude de la J ! D'autant plus que la Y d'Air Europa est très dense; Catering existant mais franchement pas terrible à mon gout, heureusement que l'offre au salon est plus sympa et permet de se caler avant le vol.
Il y a du monde sur la ligne Madrid - Buenos Aires, et Plus Ultra se joint à la fête à partir du printemps. Pour IB et ses trois vols, EZE est la vache à lait avec MEX et BOG.
UX a de bons prix et un réseau intéressant en Amérique Latine mais le produit est un peu en dessous des autres compagnies. Au moins ils ont réintroduit depuis quelques mois un semblant de deuxième service.
Merci pour ce FR
Merci Hugo pour ce FR.
J'ai déjà regardé pour rejoindre EZE avec AR mais les prix sont élevés.
UX est à meilleur prix.
Heureusement qu'il y a le passage au salon (qui est très bien) pour manger avant le vol.
A bord couverture et coussin c'est au moins ça.
Je fais de même car sur un vol de 12 heures de nuit, je privilégie les sièges couloirs.
Arrivée efficace, et un chauffeur de taxi sympa.
A bientôt
Merci pour la partage,
UX offre souvent le meilleur prix vers l'Amérique du Sud en échange d'un confort plus sommaire.
Pitch et restauration assez réduits. Il reste cependant un IFE de qualité mais peu rempli.
Heureusement qu'il y avait le salon pour manger avant le voyage.
Passage rapide de l'immigration bien agréable après ce long vol.
A bientôt,