Review of Air France flight from Lisbon to Paris in Economy

Fin de mon week-end express. Après un peu plus d'une heure de route, j'arrive à LIS.
Le routing, simple, ci-dessous :

Ça bouche pour déposer la voiture car il y a pas mal de retours. Le préposé me gueule dessus car il voudrait qu'on se mette sur 2 files mais une des files est occupée par le déchargement des bagages de la camionnette blanche qu'on aperçoit au fond. Sa collègue, bien plus sympathique, prendra les clés, fera le tour du véhicule et me dira que tout est en ordre.

Le terminal est à peine à 100 mètres des loueurs.

La signalétique est sobre, donc bonne.

Cette forme rouge est l'entrée du métro qu'on ne peut plus près du terminal.

Nous entrons sous cette grande rotonde.

Un FIDS géant mais un peu haut m'indique que l'enregistrement pour le vol AF est en zone F.

Il y a peu c'était en zone B ou C.

Je vais à la recherche de la zone F.

Cela semble être vers cette zone bas de plafond.

On peut acheter un fast track ici.

Et je finis par trouver les comptoirs Air France cachés au fond de la zone !
Je trouve qu'il y a beaucoup de monde dans la zone non prioritaire…

Ce qui n'est heureusement pas le cas de la zone SP. Pour autant, ça n'avance pas nul part. Il y a un problème visiblement. Les pax devant moi disent qu'elles attendent depuis un quart d'heure. Les hôtesses sont affairées à faire redémarrer le système…
Une pax éco viendra nous voir pour nous demander, gentiment, pourquoi nous sommes dans cette file. Nous l'informons qu'il s'agit de la file réservée aux pax business ou voyageurs fréquents qui disposent expressément d'un accès.

Au bout de quelques minutes, le système redémarre et j'obtiens rapidement mon BP. Je me dirige vers le PIF, et la ligne Fast track qui est bien indiquée et mis en valeur.

Me voici airside.

Passage obligé par le temple de la consommation.

Les produits locaux sont présents.

A part pour prendre quelques photos, je ne m'arrête pas et je poursuis mon chemin vers le salon.

Nous y arrivons.

En haut de cet escalator.

Le salon ANA

Il y a un peu de monde mais ça ira très très vite.

A l'intérieur aussi il y a du monde.

Y compris dans l'espace de restauration.

Je trouve une place pas trop loin de la baie vitrée. Le siège est confortable.

Coté buffet, c'est très pauvre : ici quelques sandwichs.

Et ici…. des viennoiseries…

Et encore quelques sandwichs.

Le glouglou n'est pas en libre service.

Alors je demande un verre de Madère

Copieusement servi, que j’accompagne de ce sandwich !

Santé !

Et on ne peut pas quitter le Portugal sans déguster une Pasteis de nata qui est vraiment délicieuse !

Bon pour l'instant je reste au salon car mon vol est retardé.

Il y a une exposition de bijoux.

Mon destrier en provenance de Paris, fini par arriver.

Pas évident de prendre des photos entre les lamelles de la baie vitrée.

Il est temps de quitter le salon et de rejoindre la porte, la 10, qui n'est pas à coté.
L’escalator est en panne, mais pour descendre ça ira !

Ici la signalétique pèche car si la sortie est bien indiquée, il n'y a aucune indication qu'il y a des portes d'embarquement. je m'étais déjà fait avoir…

La ville est mise en valeur sur un panneau lumineux.

Le couloir n'est pas large.

Il y a un espace infantile.

Ce ne sont pas les distributeurs qui manquent !

Je ne suis plus très loin de ma porte.

On y est presque…

J'arrive juste à la fin de l'embarquement des zones 1 et 2.

Mais ce sera par bus.

Car l'avion est au large, bien que pas très loin.

Instant porte.

A bord

La cabine avec 3 rangées de J ce soir.

Le 11F est en vue !

Le pas est excellent en issue.

Ma vue.

La notice.

Les "nouveaux" coffres qui ne sont plus si nouveaux, mais pas toujours compris des pax qui continuent à mettre leur bagage à l'horizontal.

L'embarquement se faisant par les portes avant et arrière, sera plutôt rapide. Pour autant nous patienterons à bord pendant 20 mn pour notre nouveau créneaux. LIS n'a qu'une piste et il peut y avoir pas mal d'attente…

On rejoint la piste.

On s'aligne entre 2 arrivées.

Et on ne tarde pas sur la piste.

Le pont Vasco de Gama.

Zone agricole du delta du Tage avec au fond la ville de Samora Correia.

Le service tardera un peu à se mettre en place. Un verre d'eau pétillante me suffira.

Le soleil tire sa révérence de l'autre coté, mais de belles couleurs rosâtres colorent l'Est. 

Nous posons à CDG à 23h05.

Et arriverons au point de stationnement vers 23h15, soit avec près d'une heure de retard.

Je traverse la salle de livraison bagage.

Et me voici air side dans ce sinistre hall d'arrivée.

Le slogan "Paris n'attendait que vous" va très bien puisque, en guise d'arrivée et d'accueil, les rideaux métalliques sont fermés.

Cela envoie une drôle d'image pour les pax étrangers qui viennent pour la première fois en France.